Tous les prétextes sont bons. Pour ceux qui ont pris la peine de regarder le documentaire Planet of the Humans, on comprend vite à qui et à quoi on devra une pénurie alimentaire. Bétonner les terres agricoles, pour faire des super-marchés, des stades, des parcs de loisirs, etc.. c’est ça de moins dévolu à l’agriculture nourricière, sans compter les terres utilisées pour les « bio-carburants ». Les multinationales ne s’y sont pas trompées, elles qui se sont engouffrées dans un créneau « verdoyant » de façade avec la complicité plus ou moins affichée de certains « verts » qui y croient (?). Et un jour est con-sacré à la Terre ? On aura plus à gagner à décroître volontairement, par la gestion raisonnée de nos besoins. Les ressources infinies n’existent pas, il faut choisir entre l’essentiel et le superflus, sans revenir à l’âge des cavernes, nous en avons les moyens. C’est possible si les consciences s’éveillent. Volti
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Source TrustMyScience
L’une des conséquences majeures du changement climatique est la réduction progressive des aires cultivables sur l’ensemble de la planète. De plus en plus d’environnements, auparavant propices aux cultures agricoles, présentent aujourd’hui des conditions difficiles voire extrêmes (désertification, pluies intenses, acidité, etc.). C’est pourquoi l’entreprise Nanoracks a lancé un projet de serres spatiales afin d’y développer des cultures résistantes aux conditions terrestres les plus difficiles, dans le but de pouvoir utiliser ces nouveaux plants sur Terre et cultiver des environnements extrêmes dans lesquels les cultures conventionnelles dépériraient.
La société de services spatiaux commerciaux Nanoracks prévoit d’utiliser des serres en orbite pour créer des cultures ultra-résilientes qui prospéreraient dans les environnements les plus difficiles de la planète et aideraient à conjurer la crise alimentaire imminente résultant du changement climatique, a annoncé la société en 2020.
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