Et si au lieu d’aller trifouiller dans le gène des arbres, on faisait une vraie lutte contre la déforestation ? Des centaines d’hectares pour ne pas dire des milliers, disparaissent chaque jours pour que des « écolos » en carton pâte, puissent avoir un salon de jardin en teck imputrescible, pour la marqueterie d’art, l’ébénisterie ou pire, pour faire pousser des palmiers à huile. Pourquoi aller trafiquer les arbres, alors qu’ils sont reconnu indispensables pour absorber le carbone et dispenser de l’oxygène ? Le changement climatique intéresse surtout les gouvernements pour les taxes et impôts générés, censés lutter contre ce « fléau » mais ils ne font rien pour l’empêcher. Au lieu d’accords d’importation, avec toutes les magouilles et corruption qui tournent autour du commerce du bois, il suffit d’interdire l’utilisation de ces bois rare et précieux**. Il faut des dizaines d’années pour qu’un arbre pousse, c’est criminel de les couper et complètement inconscient de vouloir les « augmenter » pour accélérer leur croissance. Qu’ont-ils donc dans le crâne ces Dr Moreau, pour vouloir re-façonner le vivant ? Ils ne sauveront pas la planète, qui n’a pas besoin de ces stupides bipèdes égoïstes, profiteurs et destructeurs. Elle a survécu à des milliers de cataclysmes, refroidissements, et chamboulements depuis des milliards d’années. Et, si c’est pour sauver « une partie » de l’espèce humaine, vu ce qu’ils sont entrain de faire avec leurs manipulations génétiques, dont ils ignorent les conséquences, en vaut-elle la peine ? Merci Confucius ! Partagez ! Volti
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Source Aube-Digitale
Accélération de la croissance
Afin de lutter contre la menace croissante du changement climatique mondial, les scientifiques suggèrent maintenant de modifier génétiquement les arbres afin qu’ils puissent rapidement aspirer plus de carbone de l’atmosphère.
Cette idée, rapporte la CBC, repose sur l’idée fondamentale que plus d’arbres signifie moins de dioxyde de carbone atmosphérique et une planète plus saine. Mais pour cela, il faut des forêts anciennes et massives qui pourraient mettre des siècles à pousser – c’est pourquoi Armand Séguin, scientifique du Service canadien des forêts, suggère d’accélérer le rythme en taillant les gènes des arbres pour qu’ils poussent plus vite et survivent mieux à une avalanche de nouveaux défis, comme de nouvelles maladies et de nouveaux parasites.
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