Mercosur : le coup de poignard allemand
Comme le dit si justement François Asselineau, si les intérêts de la France étaient la priorité de Macron, il devrait refuser de payer notre contribution à l’Europe, jusqu’à ce que ces accords destructeurs pour nos agriculteurs soient abandonnés. Le fera-t-il ? (ce serait un miracle ! mais…. ) Merci à…