Avec la dictature climatique que l’on tente de nous imposer, le tableau se dessine dans toute son horreur.
Par Phil BROQ pour Le Blog de l’Éveillé
Alors que le mois de Janvier 2025 n’est pas encore terminé, les événements récents avec Trump et la réunion à Davos des membres du WEF révèlent une réalité inquiétante, où les élites occidentales, ne se cachant même plus derrière le masque de la philanthropie, poursuivent un projet global de domination et de contrôle techno-sanitaire mettant en péril l’avenir de l’humanité. À travers des programmes biologiques douteux, des vaccinations expérimentales, le développement des Biolabs et des nanotechnologies invasives, une véritable guerre contre la santé, la liberté individuelle et la souveraineté humaine, semble suivre inexorablement son cours.
De la manipulation génétique en Afrique à la création de l’Homo-Machinatus (entendez la fusion « homme-machine ») promue par des géants comme Bill Gates/Elon Musk (l’un injecte et l’autre puce…), Larry Ellison/Jeff Bezos (l’un oblige et l’autre incite…), les ambitions transhumanistes des oligarques fous se dessinent de manière de plus en plus claire. L’objectif désormais avoué de ces puissants acteurs économiques et politiques est bien de créer un système totalitaire où les individus ne sont plus que de simples rouages dans leur machination globale d’écrasement des peuples basée sur la nanotechnologie injectable et l’IA. Et tandis que les gouvernements corrompus et aux abois sont de plus en plus pressés de mettre en place ces agendas mondiaux, il est urgent qu’une véritable résistance – autre que cette dissidence en carton, ne cherchant que des abonnés sur YouTube pour se subventionner – s’organise réellement avant qu’il ne soit vraiment trop tard.
Le 23 janvier 2025, le Ministère russe de la Défense, le Général Alexeï Rtichtchev, a mis à jour des informations accablantes, confirmant que Bill Gates et sa Fondation jouent bien un rôle central dans des activités biologiques suspectes en Afrique. Selon lui, Gates serait l’un des principaux financiers du programme Biolab américain sur le continent, comme Hunter Biden l’a été en Ukraine, avec un projet où des micro-organismes pathogènes sont manipulés dans des expériences hautement dangereuses et contagieuses. Cet informaticien milliardaire, présenté sous le masque de l’homme de bien et de l’industriel bienveillant grâce à ses subventions massives aux médias de masse, œuvrant aussi pour l’agriculture intensive et la santé mondiale(sic), est désormais clairement accusé de financer des recherches visant à réduire la population mondiale par des moyens biologiques, alimentaires et technologiques avec un cynisme frôlant l’indécence.
Les récentes déclarations de ce Général, relayées par Sputnik, révèlent donc une large présence militaire biologique américaine grandissante en Afrique et étroitement liés à des acteurs puissants comme la Fondation Gates et la Fondation Clinton ! Ayant perdu tous leurs anciens Biolabs en Ukraine (plus de 35 officiellement), la parade ne s’est pas faite attendre. Selon le Général Rtishchev, des spécialistes américains, formés pour améliorer les fonctions pathogènes des micro-organismes, sont actuellement déployés sur le continent Africain, comme précédemment en Inde, où la région est considérée comme un terrain d’expérimentation idéal pour des recherches biologiques et pharmaceutiques sur les populations pauvres.
Ces activités s’étendent désormais à plusieurs pays africains, tels que le Nigéria, où un centre de recherche conjoint et un laboratoire médical militaire ont été créés en 2024 ; et au Kenya, où un réseau de stations de terrain surveille la propagation des maladies infectieuses à travers toute l’Afrique équatoriale suite à des campagnes de vaccination d’injections. Mais d’autres installations sont en construction, comme un laboratoire coûtant plus de 35 millions de dollars au Sénégal et faisant appel aux mêmes sous-traitants du Pentagone ayant déjà œuvré en ex-Union soviétique. En parallèle, la Fondation Gates mène un projet d’étude dans 18 autres pays africains pour analyser la résistance des agents pathogènes et leur réponse aux traitements médicaux. Rtishchev met donc en lumière un aspect particulièrement préoccupant de ces programmes militaires pour l’exploitation des faiblesses du système de santé africain, afin de mener des recherches sous couvert de « lutte contre les épidémies », avec des objectifs et des résultats toujours plus sombres.
De plus, les déclarations des pseudo « Maîtres du monde » lors la dernière réunion de Davos ne laissent d’ailleurs plus place à aucune illusion sur le schéma suivi pour ce futur carcéral de l’humanité. Derrière le masque des prétendues bonnes intentions, les Zélites occidentales poursuivent donc, sans vergogne et en toute impunité, leur projet de domination planétaire malthusienne, fasciste et eugéniste. Une fois de plus, la façade de philanthropie cache l’ombre de l’eugénisme, et le cynisme celui de leur folie. Mais ne dit-on pas que l’enfer est pavé de bonnes intentions ?
Mais les critiques ne se sont pas fait attendre. Selon l’épidémiologiste de la Fondation McCullough, Nicolas Hulscher, ces activités soulèvent des questions juridiques majeures, notamment en vertu du Code des États-Unis sur les armes biologiques. Il avertit que ceux, y compris B.Gates/A.Fauci/H.Biden, impliqués dans ce type de bioterrorisme ou de manipulation des agents pathogènes à des fins de contrôle démographique, devront rendre des comptes. L’article 18 du Code des États-Unis, qui interdit le développement et l’utilisation d’armes biologiques, pourrait donc s’appliquer à tous ceux qui participent à de telles recherches. Hulscher tire également la sonnette d’alarme en mettant en garde contre les risques de futures pandémies, potentiellement orchestrées par les membres du WEF, dans le but de servir les intérêts financiers et politiques de ces acteurs puissants réunis en bande très organisée à Davos la semaine dernière. Mais les liens très étroits entre les États-Unis et des organisations mondialistes telles que la Fondation Gates, Clinton et l’OMS, ainsi que les pratiques secrètes liées à la gestion et à la création des épidémies par l’équipe de la DARPA et A.Fauci, montrent à quel point ces projets soulèvent des inquiétudes concernant la sécurité mondiale et l’intégrité physique des populations.
Ce n’est donc pas un hasard si cet informaticien « philanthrope » autoproclamé, ayant fait fortune en créant des virus informatiques et en vendant leurs anti-virus, soit devenu en un clin d’œil expert vaccinateur mondial, puis agro-industriel généticien, et même promoteur du nucléaire avec les brevets français cédés par Macron, soit surnommé « l’eugéniste en chef », et soit également lié de manière incontournable à l’élargissement du contrôle global sur les systèmes sanitaires, alimentaires, éducatifs et technologiques. Ainsi Gates devient le symbole d’un pouvoir devenu délirant qui s’étend au-delà des frontières de la moralité, de l’éthique et du bon sens !
Et alors que le monde entier s’émeut encore de la fausse crise sanitaire mondiale de 2020 avec l’explosion de cancers et de morts subites, du suicide d’hommes Ukrainien, tout en continuant d’oublier le génocide des gazaouis et fermant les yeux sur l’impérialisme sanguinaire de la mafia sioniste mondialisée, Ursula « La hyène », présidente non élue de la Commission des truands européens, vient jeter une nouvelle pierre dans le jardin de l’éthique en refusant de se présenter à son procès pour cause de rhume… N’oublions pas qu’en orchestrant l’achat de 4,6 milliards de doses du vaccin Pfizer par la société « Orgenesis » avec une transaction d’une ampleur de 71 milliards de dollars, acquise par son mari (sic), elle met en lumière la collusion financière et judicaire effrayante entre les élites économiques, pharmaceutiques et politiques.
Par conséquent, le mariage entre la politique européenne et les intérêts financiers privés se consomme désormais dans le lit de l’opacité judiciaire, sinon de l’impunité la plus totale. Alors que l’avocat Reiner Fuellmich, ayant démontré la supercherie Covid, est toujours maintenu abusivement en prison en Allemagne ! Si cela ne vous soulève pas des questions et des révoltes sur la véritable nature de ces transactions, alors plus rien ne le fera. Et vous faîtes donc partie du problème qui détruit notre civilisation !
Les faits sont là, indéniables et accablants. Ces pratiques scandaleuses montrent à quel point les dirigeants européens, africains et américains sont prêts à sacrifier la santé, la liberté et l’intégrité de leurs peuples pour nourrir leur agenda transhumaniste, où l’humain n’est plus qu’un rouage interchangeable dans une machination bien plus vaste et abjecte visant à nous éradiquer. La vie humaine est devenue une marchandise, un outil pour servir les projets d’hégémonie mondiale de cette caste décadente. Et ne nous leurrons pas trop non plus sur le programme de Trump à long terme, même si à l’heure actuelle, il fait beaucoup mieux que les « Démon-crates » et nous a évité une guerre mondiale militaire. Ce qui, avouons-le, n’est pas difficile vue les 4 dernières années de folie wokiste.
Dans cette série de milliardaires fous d’hybris, Larry Ellison, le PDG d’Oracle, porte aussi une vision très totalitaire du monde, comme en témoigne sa promotion des vaccins ARNm anti-cancer lors de la présentation du méga-projet d’Intelligence Artificielle « Stargate » en accord avec Trump, comptant s’appuyer sur deux autres géants de la Tech : le leader japonais des investissements SoftBank, et la start-up d’IA générative OpenAI/ChatGPT. Cette initiative ne se limite pas à la médecine, elle représente une avancée inquiétante dans le programme transhumaniste avec l’Homo-Machinatus. Selon Ellison, la vaccination ARNm serait la clé pour connecter chaque individu à un système central autonome, l’IA de Stargate, accélérant ainsi la convergence bio-numérique déjà engagée par Elon Musk et son Neuralink. Ainsi, leur Agenda 2030 se déploie sans scrupules sous le prétexte d’une médecine d’apparence préventive, d’une surveillance sécuritaire absolue et du développement de l’IA mondialisée, pour lesquelles Trump débloque 500 Milliards de dollars.
Le Pr Dirk Helbing avait déjà souligné dans ses conférences les dangers de cette fusion, expliquant les implications de technologies comme l’internet des objets biologiques, le jumeau numérique, l’optogénétique, et les « smart-cities ». Ces innovations issues du WEF, bien qu’intrigantes, soulèvent des risques alarmants tels que la surveillance intra-corporelle, le contrôle mental, le piratage du cerveau et la guerre hybride invisible. Ces avancées nous rapprochent d’un monde où l’humain est réduit à un simple maillon dans un système technologique totalitaire, dirigé par l’I.A et soutenu par les avancées transhumanistes sans éthique.
Et ce n’est pas tout ! Car il ne faut pas non plus oublier cette réunion entre Bill Gates et Donald Trump à Mar-a-Lago, résidence de ce dernier en Floride, fait a froid dans le dos. Ce fut une discussion de trois heures, juste après Noël 2024, où les deux hommes ont échangé des idées sur la « révolution » vaccinale, explorant des moyens d’accélérer l’innovation vaccinale avec des technologies comme l’ARNm. Que se cache-t-il derrière cette rencontre entre deux des plus puissants hommes d’affaires de la planète, malgré les déclarations de Robert Kennedy Junior et les décrets signés la semaine dernière ? Sinon un rapprochement destiné à accélérer l’agenda mondialiste.
Et une fois encore, Bill Gates, véritable architecte de cette stratégie génocidaire, n’hésite pas à manipuler les systèmes de gouvernance par la corruption pour les transformer en instruments de ses intérêts privés comme nous l’avons vu avec l’OMS. Ce n’est donc à aucun moment une question de santé publique. C’est une guerre silencieuse contre la souveraineté humaine et la liberté individuelle, menée par des individus et des institutions qui jouent avec la vie de millions de personnes comme s’il s’agissait de simples pions sur un échiquier global.
Le Forum Economique Mondial (WEF), est dirigé depuis des décennies par Klaus Schwab, sous l’influence de feu Kissinger et où désormais son fils Oliver, incarne officiellement ce projet totalitaire qui vise à mettre l’humanité sous un contrôle absolu. Leurs nouvelles demandes, émanant de la rencontre de Davos la semaine dernière, furent tout sauf discrètes et montrent clairement leurs intentions d’imposer une vaccination de masse tous les six mois, avec des injections d’ARNm à « action prolongée ». C’est-à-dire jusqu’à la mort des individus ! Et leurs ambitions vont bien au-delà du domaine médical. En effet, le WEF prône également la « pseudonymisation » numérique, une politique qui mettrait fin à l’anonymat des citoyens, offrant ainsi aux gouvernements devenus tyranniques et aux grandes entreprises maléfiques, un accès sans précédent à nos données personnelles, nos comptes en banque, et un contrôle absolu sur nos corps et notre santé. Tout cela, bien sûr, sous le couvert de la « protection de la démocratie » et avec le vol des 300 milliards d’Euros des économies des citoyens européens.
Il est temps de s’informer aussi correctement sur le GESARA (Global Economic Security and Reformation Act) et NESARA (National Economic Security and Recovery Act) qui ne sont pas des concepts à prendre à la légère. Ces lois sont la clé d’une réinitialisation mondiale du système financier. Le système quantique basé sur l’IA, qui garantit la sécurité économique et la réforme, se déploie à travers une revalorisation de 144 devises, toutes adossées à l’Or ou à des actifs tangibles, comme préconisés par les BRICS. Ce n’est pas un simple jeu de chiffres, mais un véritable cataclysme financier qui arrive où chaque devise sera négociée à un taux de 1 pour 1, créant ainsi une harmonie économique entre les nations. NESARA/GESARA, loin d’être une simple théorie, représente l’activation d’un changement radical à l’échelle mondiale prévu par Trump, un bouleversement qui modifie les bases mêmes de notre économie et de l’anonymat financier et bancaire.
Le président du WEF vient d’admettre la vérité déstabilisante que Trump représente une « grave menace » pour le « Nouvel Ordre Mondial ». Le rôle du WEF ne se limite donc pas à la simple création d’un modèle économique mondial avec ces 5 000 multinationales prédatrices. Il s’agit surtout d’un véritable coup d’État technocratique, où les gouvernements sont des marionnettes formatés par le programme des « Young Global Leaders », manipulées par des acteurs privés dégénérés qui, en fin de compte, dirigent réellement le monde vers sa perte. L’influence du WEF sur la politique européenne est plus profonde que ce que l’on nous laisse croire. « Wonder La hyène », présidente corrompue non élue, siège d’ailleurs au conseil d’administration de cette même organisation.
L’influence néfaste du WEF est désormais évidente, transformant les gouvernements en simples extensions de son Agenda progressiste de 2030. Mais ce n’est pas tout, car les récentes manœuvres de Donald Trump, dont le premier acte officiel en tant que Président a été de réaffirmer le décret exécutif qui retire les États-Unis de l’OMS, envisage malgré tout de rejoindre l’organisation si cela lui coûte moins cher (sic), venant confirmer cette fusion des intérêts économiques et politiques au service de ce Nouvel Ordre Mondial agressif. Dans ce jeu de dupes, les annonces de Trump constituent malgré tout des menaces existentielles pour leurs structures de pouvoir mondialistes soigneusement construites. Des institutions comme l’OMS, le WEF et les Nations Unies ont longtemps fonctionné comme des outils de centralisation du pouvoir, de réduction des libertés individuelles et de création d’un système mondial de contrôle.
Trump est aussi sur le point de secouer l’Europe avec une annonce fracassante où 20 000 soldats américains vont être retirés du continent, selon les médias italiens. De plus, il pourrait aussi exiger que l’U.E finance le personnel militaire américain restant. Selon l’agence ANSA, le Président américain veut que les pays européens contribuent financièrement pour maintenir les troupes sur place, soulignant que les coûts liés à la présence de leurs soldats ne peuvent plus reposer uniquement sur les contribuables américains. Mais Trump ne s’arrête pas là et menace de frapper l’U.E de droits de douane supplémentaires en réponse à son excédent commercial avec les USA. « L’UE est très mauvaise pour nous », a-t-il martelé. Un message clair qui montre qu’il n’a pas l’intention de continuer à jouer le rôle de bouclier pour l’Europe sans contrepartie. Les équilibres sont en train de changer.
Pendant ce temps, l’Ukraine s’apprête à devenir un centre clé pour la production de drones de reconnaissance et d’attaque, alors que les dirigeants de l’U.E, du Royaume-Uni et de l’OTAN préparent un sommet d’urgence sur la militarisation de l’Europe le 3 février 2025. Ce sommet visera à élaborer la nouvelle stratégie militaire de l’U.E, fondée sur une coopération accrue entre les États membres et la relance de l’industrie de la défense européenne, avec un budget de 1,5 milliard d’euros pour la période 2025-2027. La Commission européenne prévoit de réduire cette dépendance aux fournisseurs étrangers, visant 50% d’achats en Europe d’ici 2030, mais l’U.E restera toujours mal équipée face à la Russie.
Parallèlement, les entreprises européennes, comme Rheinmetall, cherchent à augmenter la production d’obus d’artillerie, mais la capacité de production restera aussi très insuffisante face à des rivaux comme la Russie ou la Chine. L’U.E se trouve donc à un point critique où la militarisation nécessiterait des réformes profondes et un soutien accru de l’Ukraine. Et cette Union des mafieux européens est tellement à la traîne que même Zelensky affirme que Bruxelles, sans l’expertise militaire de l’Ukraine, ne va pas s’en sortir. On marche sur la tête… Mais on comprend beaucoup mieux les lois de réquisition générale imposée par Macron en France !
Car d’après vous, pourquoi le petit coké coquet élyséen parle-t-il d’envoyer encore plus de troupes en Ukraine ? Simplement parce que les Russes sont en train de reprendre peu à peu tout ce que ses maîtres (Blackrock, Vanguard et States Street) ont pillé. Dire que ces Ukrainiens se battent pour leur pays, c’est ignorer que leur nation a été vendue et pillée par les mêmes puissances qui, depuis des siècles, exploitent la France et tant d’autres pays. Mais tous les vampires finissent par se brûler, et ils le savent bien ! Et quoi de mieux que de créer des distractions pour la masse d’hypnotisés ? Lancer des contre-feux et des écrans de fumée pour masquer la débâcle économique qui frappe la France, tout en détournant l’attention des masses crédules du véritable génocide silencieux des « injectables » mortels, classés Secret-Défense.
Par ailleurs, la France, dans l’ombre des négociations européennes, pousse activement pour la mise en place de pratiques de surveillance de masse : reconnaissance faciale en temps réel, interprétation des émotions, et même catégorisation des pensées religieuses, sexuelles et politiques. Selon des révélations de Disclose et Investigate Europe, soutenues par des documents confidentiels, la France milite pour que ces technologies soient intégrées dans « l’AI Act », le règlement européen sur l’intelligence artificielle. Sous couvert de sécurité avec des prétextes comme le passeport vaccinal, les ZFE, ou la fameuse identité numérique via France Identité, la caste qui s’est emparée de l’état semble resserrer le piège autour des (cons)citoyens.
Pendant ce temps, les obligations de quitter le territoire (OQTF) explosent et le blanchiment d’argent ainsi que l’évasion fiscale par les puissants se poursuit sans entrave, dans un pays ruiné et surtaxé. Cette surveillance omniprésente n’est plus un futur lointain, mais une réalité qui se dessine, visant à instaurer un crédit social à la chinoise. Ce contrôle systématique se fait au détriment des valeurs fondamentales de notre République dont les 3 principes sont désormais réservés à une élite talmudo-maçonnique qui, loin d’être au service du peuple, enferme ce dernier dans un système de plus en plus carcéral.
Dans cette nouvelle ère de « l’Amérique d’abord », l’Europe n’est plus un partenaire privilégié, mais un simple consommable jeté aux oubliettes de l’histoire. Les États-Unis ne se soucient plus de notre défense, reléguant l’Europe à une place secondaire. La herse douanière qui se ferme sur nous nous écrase sous le poids de l’arrogance américaine. Trump se délecte de la décadence de notre vieille Europe, pendant qu’Elon Musk, à l’affût des failles de notre progressisme, renforce l’hégémonie de son pays. L’Europe réalise alors qu’elle ne vivra plus avec ou à côté de l’Amérique, mais face à elle. Les idéologies qui ont nourri nos Zélites mondialistes, migrationnistes, libre-échangistes, transgenristes, et l’État profond, n’ont plus aucune place dans ce nouveau monde, et l’Amérique ne les tolère plus.
Mais ces manipulations ne se limitent pas aux sphères sanitaires, économiques et politiques. Elles résonnent également dans les prophéties de Rudolf Steiner, qui, il y a plus d’un siècle, prédisait déjà une époque où la pensée individuelle serait réprimée au profit d’un ordre mondial contrôlé par l’Ouest. Ce qu’il annonçait, aujourd’hui, se réalise sous nos yeux. La répression de la pensée, dont parlait Steiner, est devenue une réalité tangible. Le contrôle sanitaire, cette prétendue bienveillance imposée au monde, en est l’exemple le plus frappant. Ce n’est plus une question de santé. C’est une question de soumission à une norme imposée par les puissants, une norme qui élimine la liberté, la diversité et l’individualité !
Nous ne pouvons plus ignorer le fait que les gouvernements, plus ou moins conscients, semblent avoir accepté cette domination maléfique sans réserve. Les derniers vestiges de liberté s’effritent donc sous nos yeux, et il est grand temps que nous réagissions, avant qu’il ne soit trop tard ! En ce début d’année 2025, nous nous retrouvons donc à un tournant décisif, où chaque jour perdu nous rapproche un peu plus de l’extinction de notre humanité.
Rudolf Steiner avait aussi prédit que ce contrôle social serait justifié par des découvertes technologiques, comme celles que nous vivons aujourd’hui. Les plateformes de vaccination, la surveillance omniprésente, l’introduction de la bio-ingénierie, le développement de l’I.A, tout cela fait partie d’un système global qui nous pousse à accepter, sans résistance, la fin de notre liberté. Le contrôle des masses devient ainsi une réalité, où la pensée individuelle est sacrifiée sur l’autel de la « sécurité » et du « progressisme ». L’humanité, au nom de l’innovation technologique, pourrait bien être réduite à une masse d’individus dociles, interconnectés à un système tout-puissant, sans le moindre pouvoir de décision ou de réflexion. L’écrivain philosophe nous a averti que seule une révolution intérieure pourrait stopper cette marche forcée vers la soumission. Il appelait à un éveil des consciences et à un rejet du modèle technocratique imposé par les Zélites.
Aujourd’hui, ce réveil est plus urgent que jamais. Il est temps de refuser de nous soumettre à ce projet de domination. Nous devons lutter pour préserver notre liberté, notre humanité, et notre droit à penser de manière indépendante. Le combat n’est pas seulement intellectuel. Il est physique et spirituel, devant se faire collectivement ! Le monde n’a pas encore sombré dans l’abîme, mais il est en train de s’y précipiter… Nous devons refuser d’être les instruments de ce système oppressif, et revendiquer un avenir où l’humain, avec sa liberté, sa pensée et ses droits fondamentaux, reste au centre des préoccupations. Seul ce refus total et en masse de ce système nous permettra de regagner notre autonomie, et d’empêcher que les ténèbres du contrôle totalitaire ne s’abattent sur nous tous !
C’est une bataille pour la survie de notre dignité, et elle commence dès aujourd’hui.
Phil BROQ.
Bonjour.
Les signaux d’alarme sont pourtant là, en particulier chez les grands auteurs de science-fiction comme Asimov bien entendu, mais d’autres moins connus comme Marc-André Rayjan et son « les forçats de l’énergie » de 1965 aujourd’hui introuvable sur papier. Il met en parallèle une vie dure, mais simple, et un univers dément de machines….
https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k3407526p.
Un autre ouvrage plus récent est également assez dérangeant, L’Ordinateur de Eric L. Harry, dont la fin fait froid dans le dos….
https://www.babelio.com/livres/Harry-Lordinateur/38290
mais il y en a tellement d’autres ! D’ailleurs la simple description de personnalités (bien trop) connues, et réelles, est vraiment effrayante. A se demander s’ils ne sont pas pires que les machines.
Bonjour, et merci pour ces références intéressantes ! Tu soulèves un point crucial : bien avant que nous soyons confrontés aux réalités actuelles, des auteurs de science-fiction comme Asimov, mais aussi des figures moins médiatisées comme Rayjan ou Harry, ont anticipé avec une précision inquiétante les dangers de la technologie et des dérives sociétales. Le contraste entre une vie simple et les machines omniprésentes qu’évoque Rayjan dans Les Forçats de l’Énergie reflète bien cette tension entre progrès technologique et humanité en crise. Quant à L’Ordinateur d’Éric L. Harry, il pousse la réflexion sur le pouvoir des machines et de la manipulation à un niveau glaçant. Il est fascinant de voir à quel point ces récits nous montrent parfois des scénarios bien plus proches de notre réalité qu’on ne voudrait l’admettre. Et tu as raison : les personnalités qui façonnent notre monde aujourd’hui ne semblent parfois pas loin de ressembler à des figures de fiction, avec leurs propres jeux de pouvoir et de contrôle. La frontière entre le « réel » et l’ »imaginaire » se fait parfois bien mince… Et de nos jours, la réalité dépasse l’affliction !
Quand je lis cet article – toujours aussi bien écrit, merci – j’ai envie de mourir. Oui, c’est vrai. Non, je n’en ai pas l’intention, mais il m’en prend l’envie. Car je ne vois pas de porte de sortie autre.
Refus global ? Je n’y crois plus. Les gens s’en foutent, pour la grande majorité. Payer avec son téléphone ne gêne pas, et même avec la puce dans la main. Se faire implanter des .. implants, c’est ok, surtout qu’il s’agit – pour le moment – de santé. Une amie a maintenant des implants dans les yeux contre la cataracte. Se faire injecter, ben oui, « je n’ai pas envie de mourir de la grippe » ! Et aïe donc ! Je n’ai pas pu convaincre une personne âgée, sûre que ce vax va la sauver de la mort….
« De toute façon, ILS savent tout sur nous », » de toute façon, on est déjà pisté, et alors ? »
Les bras m’en tombent, façon Vénus de Milo !
Quant au GESARA/NESARA, entre les bonnes idées (plus d’impôt sur le revenu …), j’avais repéré le même type de piège: la reconnaissance faciale, l’identité numérique … plein pot. Sous couvert d’anti-fraude bien sûr.
Mayday mayday, on va se crasher !!
« Non, je n’en ai pas l’intention, mais il m’en prend l’envie. Car je ne vois pas de porte de sortie autre. »
Ne dis JAMAIS des choses comme ça, même si tu le penses. Jamais, devant personne.
Peu importe combien tu imagines que ta vie ou ton avenir sont pourris, tu n’imagines pas à quel point ça peut devenir pire quand on tient ce genre de propos.
Crois moi sur parole, tu peux y perdre ta fierté, ta liberté, et ton droit de décider pour toi-même.
Coucou Rada et Bichette 🙂
Rada a raison ma puce, des portes il y en a pleins !
Surtout que face à la réalité, notre vraie condition de vie, tout ça n’est qu’illusoire, un voile qui masque la vérité !
Ca ne compte pas !
Akasha.
C’est vrai que dans les moments de désespoir, on peut avoir des pensées sombres, mais il est essentiel de se rappeler que les mots ont une grande force. Parfois, partager ses difficultés peut être libérateur, mais il faut aussi garder en tête que ce genre de propos, même s’il est formulé dans un moment de détresse, peut avoir des répercussions sur la façon dont on se perçoit soi-même et sur la manière dont les autres nous perçoivent.
Tu as raison de souligner l’importance de préserver sa dignité et sa liberté, même face à l’adversité. Il est essentiel de se rappeler que, même quand les solutions semblent inexistantes, il existe toujours des voies à explorer pour améliorer notre situation. Les pensées sombres peuvent nous envahir, mais elles ne doivent pas devenir des certitudes. La lumière, même faible, finit parfois par percer à travers les nuages.
Merci pour ton commentaire, Radagast. Je comprends la gravité de tes mots et la bienveillance derrière ton conseil. C’est vrai que dans les moments de désespoir, on peut avoir des pensées sombres, mais il est essentiel de se rappeler que les mots ont une grande force. Parfois, partager ses difficultés peut être libérateur, mais il faut aussi garder en tête que ce genre de propos, même s’il est formulé dans un moment de détresse, peut avoir des répercussions sur la façon dont on se perçoit soi-même et sur la manière dont les autres nous perçoivent.
Tu as raison de souligner l’importance de préserver sa dignité et sa liberté, même face à l’adversité. Il est essentiel de se rappeler que, même quand les solutions semblent inexistantes, il existe toujours des voies à explorer pour améliorer notre situation. Les pensées sombres peuvent nous envahir, mais elles ne doivent pas devenir des certitudes. La lumière, même faible, finit parfois par percer à travers les nuages.
Merci pour ton commentaire sincère, Biquette. Je comprends profondément ce sentiment de découragement face à la lente dérive des choses. C’est vrai que de plus en plus de personnes semblent accepter sans trop de résistance les avancées technologiques, même quand elles empiètent sur nos libertés individuelles. Comme tu le dis, beaucoup se laissent séduire par les promesses de sécurité ou de confort, souvent sans en mesurer toutes les implications. Il est difficile de ne pas se sentir impuissant face à cette normalisation des invasions technologiques, qu’il s’agisse de la surveillance, des implants ou des identités numériques. La question du consentement collectif reste essentielle, mais, comme tu le dis, il est difficile de se faire entendre quand l’acceptation semble devenue la norme.
Quant au GESARA/NESARA, effectivement, les réformes proposées peuvent sembler alléchantes, mais les risques sous-jacents sont bien réels, notamment en ce qui concerne la surveillance accrue. Parfois, on dirait que le prix à payer pour un monde plus « sûr » serait justement cette perte de liberté. Ce sentiment d’inévitabilité, de « crash » imminent, est compréhensible, mais je pense qu’il reste crucial de ne pas perdre totalement l’espoir. Parfois, une prise de conscience, aussi minime soit-elle, peut encore faire la différence… même si ça ne paraît pas suffisant à première vue. Donc , Wait and see !
Merci à vous deux pour la leçon, je la prends bien volontiers. Nous sommes dans une période que, le mot est à la mode, on pourrait qualifier de multipolaire, avec un côté sombre et un côté engageant.
L’aspect surveillance/implants/robotisation de l’humain m’angoisse parfois car tous les moyens sont bons pour nous rendre malades, pour entrer dans nos cerveaux et les commander. Et je ne vois pas comment nous y échapperons s’il n’y a pas plus de réveillés. Les plans sont machiavéliques.
Pour être plus précis, si une personne a qui t’as dit ça te balance à un psy, ils peuvent t’envoyer les flics pour t’amener en HP. Une fois sur place, tout ce que tu diras et fera sera retenu contre toi (surtout ne pas s’énerver).
Et si ils décident de te garder, tu finis sous anxiolytiques, neuroleptiques, antidépresseurs, de gré ou de force parce qu’ils diront que ton discernement est altéré par une dépression si tu refuses les soins.
A partir de là, ta santé prend une grande claque dans la gueule, parce que les effets secondaires sont nombreux et pas agréables.
Tu vis sous la menace permanente d’être placée en isolement, voire sous contention, ou en UMD (unité pour malades difficiles) ou tes « droits » sont encore restreints.
Ca marche à coups de punitions la dedans, alors si t’es pas assez sage à leur gout, tu morfles.
Le juge des libertés se mouillera pas, il rendra comme jugement « a l’appréciation du psychiatre ». Le coté « très surveillé », c’est de la connerie, ils font ce qu’ils veulent, et tu peux rien faire.
Il n’y a aucune durée définie pour ta détention, ça peut durer 15 jours, 6 mois, 1 an, c’est le psy qui décide.
Et même une fois sorti, si tu refuses de prendre ton traitement, c’est menaces de retourner sous contrainte.
La réalité de tout ça, c’est qu’ils te soignent pas, ils s’en branlent de ta santé, ils te conditionnent, ils te dressent, ils t’intoxiquent de force avec des médocs de merde, tu deviens un croisement entre un zombie et chien qu’on emmène chez le véto et qu’on punit quand il est pas sage.
Et tout ça, c’est plus ou moins légal, mais tout le monde s’en balance du moins. Alors vaut mieux pas foutre un pied la dedans, tu sais quand tu rentres, tu sais pas quand tu pourras t’en sortir, ni dans quel état.
Tu mets en lumière une réalité sombre du système psychiatrique, où, malheureusement, des personnes vulnérables peuvent se retrouver coincées dans un processus qui semble plus axé sur le contrôle et la soumission que sur le soin véritable. C’est terrifiant de penser qu’une simple parole mal comprise puisse entraîner une perte aussi massive de liberté et de dignité, avec des conséquences psychologiques et physiques dévastatrices. Il est crucial de rappeler que la souffrance mentale mérite de l’empathie et des solutions humaines, pas de la répression. Ces pratiques doivent être discutées et dénoncées pour que les droits des patients soient respectés et que la véritable guérison puisse prendre place dans un cadre respectueux. Bien à toi !
Bonjour. J’ai l’impression, sur le moment, à vous lire, que les mots clefs ( entre autres) sont intérieur/exterieur. Il y beaucoup à dire sur le « sujet ».
Questionner ce fameux « sujet »… L’explorer, centré au cœur du sujet. Le Soi? Le « inlakech alakech », le « I am you and you are me and we are all together ».
Bref.
Le rejet et l’intégration, le devoir et les droits, le conscient et l’inconscient, la vérité et l’illusion, les désirs, mimétisme conflictuel, pulsions de violence, blâme, déni, et tendance à fuir la responsabilité, et d’ assumer/respecter le libre-arbitre.
Je crois que cette tendance à zapper la liberté est par « soucis » de contrôle.
Si chacun prenait conscience de son ombre, comme dit Jung, le cercle infernal de projection perpétuelle serait rompu. Nous vivrions un paradis de pleine conscience, ou l’harmonie n’est pas déniée.
Mais bon, c’est un processus, et l’extérieur est là pour nous rappeler ce que l’on ne saurait voir (assumer) de notre propre chef.
Quelque chose comme ça.
Il semble que souvent dans ces scénarios SF, la violence est domptée.
Higelin avait une chanson nommée je crois lobotomie/autonomie.
En tous cas, qui vivra verra.
L’intelligence de vie ne s’éteint pas machinalement comme ça. Ou si?
En effet EricG, Tu abordes les concepts essentiels énoncés par JClaude, ceux du rejet et de l’intégration, du conscient et de l’inconscient, mais aussi du libre-arbitre, qui sont au cœur des réflexions philosophiques et psychologiques. Il est clair que la quête de contrôle — qu’elle soit individuelle ou sociétale — peut souvent nous éloigner de cette liberté fondamentale, ce qui crée des tensions internes et des projections extérieures. La vision de Jung, qui nous invite à reconnaître notre « ombre », est effectivement une invitation à prendre conscience des parts de nous-mêmes que l’on préfère ignorer. Cela pourrait briser ce cercle de projection, permettant à l’individu et à la société de se libérer de nombreuses illusions et d’accéder à un état de conscience plus harmonieux.
Le parallèle avec la science-fiction est intéressant aussi. Dans beaucoup de récits, la violence, qu’elle soit physique ou psychologique, est effectivement « domptée », souvent par le biais de technologies ou de changements sociaux qui, en théorie, visent à créer un monde plus juste. Mais ce genre de scénario soulève toujours la question : à quel prix cette tranquillité apparente est-elle obtenue ? La chanson de Higelin que tu mentionnes, « Lobotomie/Autonomie », est une métaphore brillante de ce combat intérieur, de la tension entre être « programmé » et être libre.
Comme tu le dis, « qui vivra verra », et l’intelligence de vie ne disparaît pas si facilement. Il me semble qu’elle est toujours là, en nous, prête à se réveiller dès que l’on est prêt à l’écouter… merci en tout cas de ce commentaire !
Voici une des dernières vidéos de Mazikeen (une chaine Youtube que j’aime beaucoup) qui complète bien ce que nous explique ce texte rédigé à merveille
https://www.youtube.com/watch?v=hkuyF6unMD4
Merci beaucoup « ouvre les yeux », en effet, elle complète même très bien ce que j’ai voulu dire, en un peu trop de mots surement.., mais ce n’est pas toujours simple de vulgariser ce genre de sentiments et d’analyses… enfin, me concernant ! Bien à toi.
Tu connais les « Interdits » des ME ?
https://les-interdits.lesmoutonsenrages.fr/index.php/2025/01/24/le-monde-manipule-ia-publicite-onirique-et-photo-du-paradis-que-nous-cache-t-on/
Maintenant oui
Merci Volti
Bonsoir les moutons,
Rien de bien neuf dans tout ça finalement. Pour moi, il a fallut des millénaires de civilisations successives pour créer le cheptel que nous sommes. Des années à nous selectionner générations après générations pour être de bons esclaves et pas trop épris de liberté. S’éveiller est une bonne chose, mais redevenir auroch ça se fait pas comme ça pour une vache. Combien de générations faudrait-il pour arriver à ressembler à des humains sains et en accord avec leur environnement ? Qui est prêt à se sacrifier et laisser tomber la société pour montrer l’exemple? Pour moi ça fait longtemps qu’on a perdu, on rêve toujours d’un peuple souverrain mais l’histoire est là pour nous rappeller que le pouvoir a toujours appartenu aux dynasties.
civilisation=>pouvoir=>tyrans
Une ville n’étant pas soutenable par sa nature à ne pas se suffire pour prospérer, elle engendre necessairement des conflits en privant de ressources les gens qui vivent là où elle vient piller. Ce qui se passe aujourd’hui n’est que la suite logique de ce qui a commencé il y a plus de 5000 ans. Personne n’est prêt pour faire ce qu’il faut pour que ça s’arrette, sinon ça serait fait depuis longtemps. On est tous coincés par nos rêves, nos peurs, nos faiblesses etc…
Régner en enfer ou servir au paradis ? La liberté a souvent un goût amer car elle demande énormément de sacrifices pour l’obtenir et bien souvent on ne fait que s’en approcher malgré tout nos efforts. La servitude est un choix plus facile, une résignation à long terme qui n’empéche pas d’espérer qu’un jour la roue tourne du bon côté. En plus, lorsqu’on rate sa vie, on peut reporter ses désirs sur les enfants en espérant qu’eux réussiront là où nous avons échoué.
Quand on arrettera d’espérer un monde meilleur et qu’on acceptera enfin la triste réalité de celui dans lequel on vit, peut être qu’à ce moment les choses changeront. Mais faut pas réver, le bétail à des habitudes bien ancrées…
Je me suis dispersé mais j’espère que ça reste cohérent avec le texte de Phil.
a plus
A+, ou TB, comme du temps de l’école .😉
Bonjour Sam1234,
Je comprends tout à fait ce que tu veux dire, et effectivement, il est souvent difficile de maintenir l’espoir face à l’immensité des enjeux et à la répétition des cycles de l’histoire humaine. Mais c’est justement ce que j’essaie de rappeler dans mes écrits, même si mes analyses peuvent parfois paraître anxiogènes, elles sont avant tout là pour éveiller une conscience collective et rappeler que l’humanité a toujours traversé des périodes de crises, de souffrances et d’effondrements, mais qu’elle a aussi toujours su se relever.
C’est un fait que l’histoire nous montre que, malgré les cycles de pouvoir et de tyrannie, les civilisations ont fini par s’effondrer, parfois dans un cataclysme total, et pourtant, nous voilà tous ici aujourd’hui. L’homme a cette capacité incroyable à renaître de ses cendres, à reconstruire, à trouver de nouvelles voies pour évoluer. C’est ce que je veux transmettre dans mes textes de garder la flamme vivante et l’espoir, même dans les moments les plus sombres, car c’est ce qui nous permet de continuer à avancer, à remettre en question le statu quo et à offrir aux générations futures une chance de faire mieux. D’ailleurs le point le plus noir de la nuit est toujours suivi de la levée du soleil !
Mais tu as raison de souligner les sacrifices nécessaires pour espérer un changement véritable. Tous les individus veulent changer le monde mais aucun ne veut changer lui-même. La liberté demande des efforts constants, et c’est une lutte perpétuelle pour éduquer nos semblables. Mais ces efforts, nous les faisons au quotidien, chacun à notre manière, avec nos moyens, parfois modestes. Et grâce à des personnes comme Volti, qui avec sa « bergerie des moutons enragés » nous offre un espace de rencontre et d’échange, nous ne nous sentons pas isolés dans cette quête. Elle nous permet de trouver l’énergie nécessaire pour essayer, ensemble, de donner une autre direction à cette folie collective.
Si nous arrêtons de rêver, si nous cessons d’espérer, alors, en effet, tout est perdu. Je suis convaincu que tant que nous gardons l’espoir, aussi minime soit-il, nous donnons à chacun de nous la possibilité de participer, à notre manière, à ce combat pour un monde plus juste. Mais ce combat, c’est aussi ça la vie !
Enfin, si tu as envie de lire d’autres textes un peu plus positifs et d’explorer plus en profondeur cette réflexion, je t’invite à jeter un œil sur mon « blog de l’éveillé », où j’essaie justement de cultiver cet équilibre entre lucidité et espoir. Car, comme tu l’as dit, la réalité peut être dure, mais c’est aussi en l’acceptant que l’on peut en changer les contours.
Merci encore pour ton partage, et si jamais tu veux discuter plus en détail de tout cela, je serai ravi de poursuivre cette réflexion avec toi ! Bien à toi.
Hmm le ying et le yang !
» Le désespoir est le seul remède contre l’illusion. Sans désepoir, il nous est impossible de redescendre sur terre – il s’agit, en quelque sorte, d’une période de deuil de nos fantasmes. Certains ne survivent pas à ce désespoir, mais au sein d’une personne, aucun changement majeur ne peut se produire sans. »
Philip E.Slater
L’espoir est utile pour se rassurer quand on a pas de contrôle sur ce qui nous arrive. On espère que les gelées nous épargneront quand on est maraicher ou bien encore que la personne au volant sait conduire quand on est le passager. Par contre, quand j’ai travaillé et que je me sens sale, je n’espère pas prendre une douche, je le fais… idem si la faim me travaille, je n’espère pas que le rôti viendra de lui même dans mon assiette.
Personne ne changera le monde d’un coup de baguette magique et moralement nous ne pouvons agir que sur nous même, donc le combat est là, se battre contre soi pour changer ses travers et faire de son mieux dans le respect de toutes choses… Généralement ça ne se bouscule pas pour s’engager sur cette voie, à mon grand regret.
Bonne journée !
Et oui, tout ce que tu dis est tres juste. Je crois que le desespoir est en effet une etape dans le deuil, qui permet l’acceptation de ce qui est, le reel, et a partir de la’, l’action et l’etat d’etre sont plus « vrais ».
Il est important je crois d’etre clair la’ dessus meme si c’est sombre. Ca fait toujours ( en general) peur de sombrer…
Merci Sam pour ce rappel necessaire.
Une petite note d’espoir avec « l’open source » de l’IA deepseek?