Le 23 avril à 18h30, François Asselineau, Nicolas Stoquer, Jean-Maxime Corneille et Lara Stam seront nos invités, en direct sur Géopolitique Profonde.
François Asselineau est un haut fonctionnaire et homme politique français, président de l’Union populaire républicaine (UPR) depuis sa création en 2007. Diplômé de HEC Paris et de l’ENA, il a mené une carrière de haut fonctionnaire dans différents cabinets ministériels sous les gouvernements de droite des années 1990. En politique, il est connu pour sa défense de la sortie de la France de l’Union européenne, de la zone euro et de l’OTAN, position qui le place souvent dans le spectre souverainiste.
Nicolas Stoquer est un géopolitologue et un expert en intelligence économique. Il est également patron d’émission à Radio Courtoisie, où il anime notamment Le libre journal de Géopolitique Profonde en partenariat avec notre média.
Lara Stam est chroniqueuse sur Radio Courtoisie aux côtés de Nicolas Stoquer, notamment sur le Libre Journal de Géopolitique Profonde.
Jean-Maxime Corneille est un juriste et écrivain, spécialisé dans les questions de géopolitique, de terrorisme et de renseignement. Il a notamment traduit l’ouvrage « Le charme discret du djihad: L’instrumentalisation géopolitique de l’islam radical ».
Les élections européennes sont un moment clé pour les citoyens de l’Union européenne, leur offrant l’opportunité de façonner l’avenir politique et économique du continent. Cette année, la thématique de notre entretien en direct est particulièrement brûlante : le Frexit et ses implications. Nous aborderons les raisons pour lesquelles certains partis, comme l’UPR, choisissent de présenter une liste aux élections européennes, malgré leur positionnement critique envers l’UE. Nous discuterons également de la vision qu’ils portent pour l’Europe et de leur projet politique distinctif.
Le Frexit, ou la sortie de la France de l’Union européenne, est un sujet qui suscite de vifs débats. Pour ses partisans, il représente une opportunité de retrouver la souveraineté nationale et de se libérer d’une organisation qu’ils perçoivent comme tyrannique. Pour ses opposants, c’est un risque économique et politique majeur. Notre entretien explorera ces perspectives, questionnera le tabou médiatique autour du Frexit et examinera les arguments pour et contre la sortie de la 5e république.
L’approche des élections européennes est un moment décisif pour l’UPR, qui voit dans le Frexit une chance de redéfinir les relations de la France avec ses voisins et le monde. Il est donc essentiel de comprendre les enjeux de ces élections pour un parti qui prône un changement radical de cap.
Ne manquez pas ce rendez-vous le 23 avril à 18h30, en direct sur GPTV.
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Ouais, euh, je doute qu’il passe de 0,92% à la victoire…
En droit légitime (celui qu’on ne veut pas entendre), les citoyens ont librement choisi le 29 mai 2005 de REFUSER l’union européenne, que par des magouilles on leur a imposée quand même. Normalement, si on change de mode de gouvernement (nous sommes maintenant SOUS une dictature qui ne veut pas dire son nom), il suffit de claquer la porte SANS PASSER PAR L’ARTICLE 50 d’un traité qui ne nous concerne pas… puis de se tourner naturellement vers “le reste du monde” pour traiter nos affaires, en DÉMOLISSANT la finance qui n’est que du vent. De même que la sacro-sainte DETTE.
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(là, bien entendu et comme d’habitude, les gens de l’UPR vont venir pousser des cris d’orfraie parce qu’ils VEULENT rester dans le cadre étriqué de lois anticonstitutionnelles)
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Pour clouer le bec, sortons la grosse artillerie d’une nouvelle Constitution où c’est enfin LE PEUPLE en son entier qui est souverain et maître de la situation — après avoir vidé les lieux des financiers bien entendu.
https://ti1ca.com/wx242x0g-const001-const001.pdf.html
Détail : comment régler juridiquement l’affaire ? Articles 61 et 62 – de mémoire – de l’accord international de Vienne de 1969.
Je trouve ton raisonnement très juste: le peuple ayant refusé l’UE, tout ce qui suit n’a aucune légitimité, en particulier les élections (en tant que pays participant). Donc on ne peut pas sortir d’une institution dans laquelle nous ne sommes pas entrés !
Mais également, toutes les lois de l’UE appliquées en France sont aussi illégales. Il s’agit d’ingérence étrangère.
Bien vu !!