Source Lediazec
Le sujet est brûlant, on marche sur des œufs. L’odeur d’œuf pourri sous la chaussure et sur le revers du veston !
Les faiseurs de monde pérorent sur la « chance » que nous avons de pouvoir compter avec la présence des migrants dans un continent gangrené par la crise sociale, politique et culturelle que les élites ont élaborée pour que l’on se tienne à carreau !
Ces savants martèlent avec fanatisme des concepts mal appris : l’Europe, la France en particulier, ne sont que le fruit du métissage. Tant pis si on confond brassage de population au sein d’un même continent et non métissage au sens propre ! Nous ne sommes plus à une absurdité près, quand on pense être dans le camp du bien !
Que ferions-nous sans ce « métissage » dont l’esprit buté n’assimile pas l’importance ? Sommes-nous dégénérés au point de refuser de comprendre que, sans lui, nous ne serions que des larves abjectes, grattant dans le noir le sol des profondeurs caverneuses ?
Aujourd’hui, qui dit métissage a tout dit ! Pas besoin de faire un exposé méticuleux sur la nécessité de cet urgent « brassage » : « Entrez sans frapper, c’est ouvert ! » Servez-vous ! Quoi que vous intentiez pour donner sens à ce qui n’en a plus aucun, vous met dans des sales draps !
Et, pour donner du poids à la théorie, le gougnaf de la gauche couchée ou extrême, n’ayant d’extrême que son extrême lâcheté, se drape dans un argumentaire de vente que seuls les présentateurs, animateurs et influenceuses d’une idéologie rance se complaisent encore à diffuser comme parole d’Évangile à une heure de grande écoute sur des réseaux sociaux bon chic, bon genre : comment ferions-nous pour régénérer la race ; peindre nos maisons ; nettoyer nos rues ; les salir aussi ; accomplir des tâches ingrates que le Français ne veut plus faire, comme brûler le drapeau national !
Laissons-nous envahir par la meute hurlante, payée pour ses actes de violences par cette oligarchie qui se présente comme garante de la morale. Plus on est fou, plus on rit !
À aucun moment, ces grands esprits égalitaires ne se posent la « bonne question » : comment ferait le patronat s’il devait payer le Français le prix de son travail ? Car tout est là : tout ceci est une affaire de patronat et de multinationales. Ce qui n’a rien à voir avec le métissage (un peu quand même) et beaucoup avec le profit de l’oligarchie, pas concernée par des soucis de « promiscuité » !
À aucun moment, ces adeptes du « laissez venir à moi » ne s’interrogent sur le recrutement de main-d’œuvre étrangère dans les années soixante du siècle dernier dans les pays du sud de l’Europe, Espagne/Portugal/Italie, par les grandes boites allemandes, suédoises, françaises. Le nord avait besoin de main-d’œuvre disponible à bas prix dans le respect des quotas de population. Pas plus de 10 % par rapport à la population globale du pays d’accueil. Une bonne partie de ces 10 % a fini par s’y installer dans les pays respectifs, dans le respect et la reconnaissance des lois de ces pays.
Hélas, ce qu’on appelle de nos jours le métissage n’est que l’invasion déguisée d’un continent par un autre, avec la complicité d’une classe politique trop lâche pour oser le reconnaître, hormis en loucedoc !
Quant aux petits soldats de la bonne cause, des mercenaires, bien rétribués, au service d’une élite prête à tout pour tout brûler, de la flore à la faune et jusqu’au plus petit souffle de vie, pourvu que “place soit faite” à son immense privilège !
Tous savent ! Tous se taisent !
A lire absolument : « Le camp des saints » de Jean Raspail. Un livre édité en 1973 par le courageux Robert Laffont. Un texte d’une extraordinaire prémonition.
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Sous l’Casque d’Erby
Il fait pluvieux,
et pour un peu
je serais vieux !
Scrongneugneu….
Bonne distinction entre la première vague d’immigration et l’actuelle. Je suis bien d’accord avec toi.
Les élites en question n’ont aucun rapport direct avec cette population et se cachent plutôt derrière des résidences largement surveillées, gardes armés à la porte, barrières infranchissables, caméras …