Vomis thérapeutiques: 60 articles pour survivre au wokisme | Jean Pierre Aussant 

Après son retrait quasi immédiat, mon dernier livre est à nouveau disponible (avec un nouveau lien).

Qu’est-ce qu’un vomi thérapeutique ?

Un vomi thérapeutique est comparable à un cri libérateur venant du plus profond de notre être. Il est ce texte, ce soubresaut qui en disant frontalement la vérité, nous permet de survivre. Le vomi thérapeutique (on pourrait bien aussi le nommer: «Le vomi d’écriture thérapeutique») extériorise la parole interdite et, ce faisant, il est peut-être cette ultime échappatoire qui nous empêche de passer à l’acte violent. C’est qu’il nous apaise un peu en nous permettant de nous débarrasser de nos lâchetés, en nous permettant de dire non à cette infâme dictature du wokisme, énième figure du génocide culturel chrétien occidental.

En ces temps de dictature participative où toute parole intelligemment divergente est écrasée dans l’œuf (censure permanente des réseaux sociaux sans parler des médias mainstreams), et où les esclaves essayent, hélas avec succès, de se convaincre d’être des rebelles afin de pouvoir, eux aussi et à leur façon, survivre, le vomit thérapeutique est une sorte d’ultime acte de dignité, un ultime cri de l’honnête homme. Il nous chuchote : « Si tu veux vivre, alors vomis ! Vomis ce que tu as sur le cœur et peu importe les conséquences !»

Hélas, «vomir thérapeutiquement» n’est pas donné à tout le monde. C’est qu’un vomi thérapeutique a besoin, pour être efficace, de se déverser avec la plus grande honnêteté, quitte à perdre sa femme, ses amis, ses frères et sœurs (oui, oui…!) et bien sûr son job. Il n’y a pas de demi-vomi. Ou bien tu vomis la vérité, celle qui est dans ton âme, ou bien, tu te contentes de faire comme tout le monde et tu fais ton petit crachat qui te donnera pour un bref instant l’illusion d’avoir ce courage dont tu sais pertinemment et au fond de toi que tu n’auras jamais. Mais là, ce n’est déjà plus du vomi mais simplement du caca nerveux cristallisé en salive. Pas plus.

Eh oui, dégueuler la vérité n’est pas chose facile. C’est pourtant ce que je me propose de faire avec ces 60 vomis que j’ai «choisis» spécialement pour vous. J’espère qu’ils pourront guérir vos frustrations (celles de ne pouvoir dire ce que vous pensez) autant qu’ils ont guéri les miennes.
Alors, prêt? Allons-y !
Vomir ou mourir.

Jean-Pierre Aussant

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Jean-Pierre Aussant

Auteur des essais "le complot inconscient" (génocide participatif du sexe masculin), "l'instrumentalisation du corona" (objectifs civilisationnels et anthropologiques à long terme) et de "vomis thérapeutiques". Jean-Pierre Aussant publie en outre dans diverses revues en France et en Allemagne.

A propos Jean-Pierre Aussant

Auteur des essais "le complot inconscient" (génocide participatif du sexe masculin), "l'instrumentalisation du corona" (objectifs civilisationnels et anthropologiques à long terme) et de "vomis thérapeutiques". Jean-Pierre Aussant publie en outre dans diverses revues en France et en Allemagne.

5 Commentaires

  1. “permettant de dire non à cette infâme dictature du wokisme, énième figure du génocide culturel chrétien occidental.”

    Echapper au wokisme pour tomber dans la religion, pas sûr que ce soit un progrès, le christianisme étant le wokisme d’il y a 2000 ans, une idéologie qui te dit ce que tu dois penser, ce qui est bien ou mal, et qui te demande d’adhérer inconditionnellement à sa doctrine censée être le “bien de l’humanité”…

  2. Rien que le mot me fiche mal au cœur. Mais l’idée est là.
    Je ne pense pas que de vomir des mots fasse grand chose, si ce n’est, en effet, se défouler. Au Moyen Age, il y avait la fête des fous qui servait d’exutoire. Maintenant, on veut nous empêcher même de respirer. Il reste quelques exutoires qui consisteraient à crier dans la voiture ou dans la nature, taper sur un matelas, casser la vaisselle (on m’a parlé d’un lieu où les gens amènent leur vieille vaisselle à cet usage !). Ça fait du bien mais ça ne règle pas les problèmes. C’est une façon de prendre une drogue pour ne plus sentir la douleur. On ne peut pas la gérer ainsi.

  3. Ça fait occasionnellement parti de la cérémonie de Peyote, de vomir pour aller mieux. On a tous des vieux trucs à régurgiter. Cela dit, je fini juste un bon petit repas, merci petit Jésus.

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