L’infrastructure pour les futures pandémies est en cours de création, par Tsargrad

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Source Tsargrad par Le Courrier des Stratèges via l’Échelle de Jacob

Il est déjà loin le temps où les gouvernements, auxquels s’associaient plus que volontairement le corps médical et les médias mainstream, communiquaient en « mode panique » pour plonger les populations dans le désarroi le plus total afin de mieux les soumettre à leurs dictats : confinement, port du masque, pass-sanitaires, pass-vaccinal, etc. Que le Covid ait provoqué des décès, des problèmes de gestion dans les services d’urgence hospitaliers, des difficultés diverses, tout le monde en convient. Mais cela ne devait pas justifier l’ampleur des mesures prises qui ont détruit une partie des économies et restreint la liberté des individus, tout en névrosant à vie les enfants. Les polémiques sur les chiffres réels de mortalité n’ont pas cessé et nous ne saurons la vérité que dans quelques années. Dès lors, une question se pose : cette épidémie a-t-elle été accidentelle ou entrait-elle dans un plan mondial d’une dictature qui ne veut pas dire son nom ? Et doit-on craindre de prochaines tentatives de cette sorte ?

Cet article initialement publié sur le site tsargrad.tv n’engage pas la ligne éditoriale du Courrier.

Les bases de terribles pandémies sont en train d’être créées dès maintenant. Non, il ne s’agit pas d’une théorie du complot ni du début d’une fiction dystopique. Juste la réalité. Le sénateur australien Alex Antik n’a pas eu peur d’exprimer ce que beaucoup pensent, mais il a été gêné de le dire ouvertement : l’infrastructure pour les futures pandémies est en train d’être mise en place dès maintenant ! Des villes intelligentes sont équipées avec la reconnaissance faciale, des caméras et des lecteurs de plaques d’immatriculation. Ensuite, nous avons les voitures SMART, les appareils SMART, les lampadaires SMART, les maisons SMART et les quartiers SMART. Le sénateur a ainsi rappelé que tout le monde est déjà configuré pour « suivre les mouvements et les comptes du futur portefeuille numérique ». Et une fois les CBDC créées – c’est-à-dire les monnaies numériques des banques centrales – « vous ne pourrez plus dépenser votre argent sans leur approbation ! A terme, vous ne serez plus en mesure d’utiliser les services gouvernementaux, notamment de santé, partir en vacances ou accéder à Internet ! » indique le sénateur Antik.

C’est comme ça. C’est même effrayant. Nous pensions que c’était notre réalité, qui était pour le bien de chacun, etc. Mais il s’avère que fuir la civilisation pour se réfugier dans le désert, en déclarant une rébellion contre la numérisation, n’est peut-être pas si grave ? Alors, cela pousse bien évidemment à la réflexion.

Aux États-Unis, une nouvelle hystérie a commencé

Les membres du Congrès américain appellent les autorités sanitaires américaines à prêter attention à une nouvelle épidémie d’infection virale inconnue survenue en Chine. Ils ont envoyé une lettre à la directrice des Centers for Disease Control and Protection (CDC), Mandy Cohen, leur demandant de commencer à prendre des mesures proactives pour empêcher l’apparition d’une épidémie aux États-Unis. Les législateurs estiment que les autorités chinoises cachent des informations sur la situation épidémiologique de leur pays. Notons que l’OMS se montre plus sereine face à l’augmentation de la situation en Chine. On doit se rappeler que les épidémies de pneumonie à mycoplasmes en Chine en hiver sont monnaie courante. Les spécialistes de l’organisation n’y voient pas une menace d’une nouvelle pandémie mondiale. Cependant, les politiques américains ne font pas confiance à l’OMS, estimant que cette institution flirte avec la Chine pour ne pas perdre ses faveurs.

Il convient de noter qu’aux États-Unis, il est d’usage d’accuser la Chine d’être responsable de la propagation du COVID-19 dans le monde. Selon la version officielle, le coronavirus a muté et a été transmis à l’homme par les chauves-souris (en Chine, il est d’usage de manger ces animaux), après quoi il s’est rapidement propagé dans le monde entier.

Cependant, certains hommes politiques américains ont commencé à promouvoir une théorie du complot selon laquelle les autorités chinoises auraient développé des armes biologiques, mais auraient laissé s’échapper un virus dangereux. Pékin nie catégoriquement, soulignant que la Chine a souffert du coronavirus, comme tous les autres pays.
Le mystère des vaccins contre la COVID-19 a disparu dans la tombe d’une députée

Passons maintenant à la France, où l’eurodéputée Michelle Rivasi est décédée subitement à l’âge de 70 ans. Sa mort a donné lieu à diverses spéculations sur le thème de la pharmacologie et de la corruption, la femme prônant la transparence sur les conditions d’approvisionnement en vaccins contre le COVID-19.

La cause du décès de Rivasi serait une crise cardiaque. Il semble que la maladie ait pris la femme par surprise. L’attaque s’est produite alors que la députée s’apprêtait à prendre la parole au Parlement européen. En d’autres termes, bien peu de temps avant sa mort, cette femme se sentait en bonne santé… D’ailleurs, ses proches disent également qu’elle ne s’est pas plainte de problèmes cardiaques.

OR, des journalistes et des internautes ont attiré l’attention sur point : le sujet du reportage que Rivasi était censé donner. En effet, la parlementaire préparait un dossier sur un scandale de corruption concernant les relations entre la chef de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, et le fabricant de vaccins contre le COVID-19, Pfizer. Il convient de noter que pendant l’épidémie de coronavirus, Rivasi avait plaidé pour la transparence dans l’approvisionnement en vaccins contre le COVID-19 et elle avait également critiqué la France et l’Europe pour avoir imposé la vaccination universelle.

L’étude des séquelles du Covid continue

Le COVID-19 s’est avéré plus dangereux que tout le monde ne le pensait. Les personnes atteintes de la maladie ont remarqué une diminution de l’activité dans la partie gauche du cerveau, responsable des fonctions de la parole. C’est ce qu’indique une étude réalisée par des scientifiques du MISIS et de l’Université d’État Lomonossov de Moscou, ainsi que par des spécialistes de la société Neurosputnik. Les chercheurs ont comparé les électroencéphalogrammes (EEG) de personnes infectées par le coronavirus et de personnes épargnées par le COVID-19. Il s’est avéré que les premiers ont connu une diminution de l’activité du centre de la parole du cerveau et une modification de la fréquence des signaux EEG dans les deux hémisphères. Olga Valaeva – directrice du Centre scientifique de l’Institut de psychanalyse de Moscou – a analysé les modèles d’activité cérébrale des personnes qui se sont remises de Covid : elle a observé une diminution des basses fréquences EEG, une suppression du rythme alpha, avec peut-être un signe d’anxiété et de dépression. Elle a indiqué qu’environ 10 % de ceux qui se sont remis du COVID-19 conservent diverses pathologies des fonctions de la parole et de la pensée et des processus cognitifs en général pendant plus de trois mois. Il s’agit de problèmes de mémoire et d’attention. Dans de tels cas, il est recommandé de demander l’aide d’un spécialiste.

Source : https://lecourrierdesstrateges.fr/2023/12/05/linfrastructure-pour-les-futures-pandemies-est-en-cours-de-creation-par-tsargrad/

Volti

Un Commentaire

  1. Est ce que ces séquelles du covid ne seraient pas plutôt dues au vaccin covid ?. Sachant que les vaccinés ont aussi attrapé le covid parfois grâve contrairement à ce que l’on nous avait annonçé. Ce ne serait pas la première fois que l’on nous balance une étude “scientifique” bidon qui incrimine le covid alors que le réel responsable est le vaccin covid. Mais c’est un sujet tabou que beaucoup de gens n’osent même pas aborder. Pourtant de nombreuses études faites par des médecins pointent dans une même direction : le vaccin covid. Idem pour la surmortalité qui touche tous les pays qui ont vacciné massivement : celà correspond au début de la vaccination covid. Problème que ne connaissent pas les pays qui n’ont pas vacciné.
    Certains pays commençent à admettre la dangerosité de ce produit et à interdire cette vaccination. Mais combien de morts avant celà ?.
    Enfin il est sûr que l’OMS nous prépare une nouvelle épidémie avec son traité internationnal contre les pandémies qui lui donnera tous les pouvoirs pour vous obliger à prendre un médicament ou un traitement approuvé.
    Nous assistons depuis 3 ans à la mise en place d’une dictature numérique mondiale qui va réduire peu à peu toutes nos libertés.
    A chaque fois on nous balançera une excuse valable pour celà : c’est pour sauver la planète ou protéger papy et mamie.
    Les vrais bénéficiaires eux seront tranquilles et contrôleront tout.

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