Par Liliane Held Khawam pour CyberBabel
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Structure portante d’une éolienne.
10 février 2024 https://x.com/k_lhk/status/1756262195044692166
« Si les éoliennes sont un atout indispensable pour la transition énergétique, certains aspects suscitent la polémique, comme la quantité de béton nécessaire pour leurs fondations. Selon le syndicat des professionnels de l’éolien « France Énergie Éolienne » (FEE), la masse de béton utilisée varierait de 600 à 800 tonnes par turbine. Sujet de discorde, ces fondations posent question tant pour les émissions de CO2 générées à leur fabrication que pour la pollution potentielle des sols. »
https://www.revolution-energetique.com/dossiers/la-fondation-en-beton-dune-eolienne-est-elle-vraiment-problematique/
Notre planète est menacée par les activités humaines, et nous devons la sauver par tous les moyens. Cette affirmation est sortie dans les années 1960-1970 des cartons des industriels, (dont le porte-parole n’était autre que le patron de Fiat, le groupe automobile !). Ces personnes, incluant le gotha occidental, ont fondé le Club de Rome. Ce think-tank va alors financer publications et études pour faire des dangers que court la planète LE centre d’intérêts de tous les cercles de dirigeants aussi bien politiques, économiques, sociaux, etc. C’est d’ailleurs le Club de Rome qui va commanditer et financer le célèbre rapport Meadows, repris par la suite par l’ONU pour imposer le Développement durable.
Ces businessmen vont se transformer en business philanthropes. Leurs principaux bénéficiaires sont des ONG, dont un grand nombre fait avancer leurs projets consistant à « sauver » la planète, les animaux, les femmes, les minorités, etc. De véritables sujets détournés de leur réalité pour servir les intérêts des uns et des autres.
Les ONG soutenus par ces milliardaires philanthropes sont si nombreuses et si puissantes qu’elles sont considérées par certains comme un gouvernement de l’ombre (Cf les capacités de certaines à agir au niveau local et à mener des opérations plus ou moins pacifiques pour faire changer les mentalités). Un modèle les représente au centre d’une myriade d’interactions.
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L’urgence écologique mise en avant par les business philanthropes, dont les plus gros pollueurs
La Bombe P
En 1968, un tout jeune professeur de Stanford (36 ans !) publiera un livre traitant de surpopulation: la Bombe P. Paul Ehrlich y traite la thèse selon laquelle une famine envahirait le monde au cours des années 70 et 80, due à la croissance de la population mondiale. Par conséquent, il demande des mesures politiques immédiates pour limiter cette catastrophe annoncée.
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Controversé, le livre est critiqué pour son ton alarmiste et ses prédictions se sont révélées infondées et inexactes. D’après Paul et Anne Ehrlich, leur analyse de la situation
alimentaire est, à cette époque, effectivement erronée puisqu’elle sous-estime l’impact de
la révolution verte et que la baisse de la croissance démographique dans les pays riches en
Europe joue un rôle important dans la création d’excédents agricoles dans ces pays. Mais,
toujours selon les auteurs, l’ouvrage a rempli son rôle en sensibilisant la population aux
questions environnementales et en introduisant la taille de la population dans le débat sur
l’avenir de l’humanité. Wikipédia.
LHK pour CyberBabel
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