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Par Phil BROQ pour Le Blog de l’Éveillé
La France traverse une période critique où s’entremêlent tensions internationales, crises économiques, et fragmentation sociale. Sous la présidence Macron, le pays semble engagé sur une pente autoritaire préoccupante, accentuée par une soumission aux intérêts globalistes et un affaiblissement constant de sa souveraineté. De l’industrialisation agricole à la dépendance énergétique, en passant par les politiques écologiques incohérentes et l’explosion des inégalités, tous les secteurs clés sont impactés. Et cette attitude suicidaire, en période de Noël, s’inscrit dans une attaque subtile mais redoutable contre notre patrimoine spirituel et culturel, appuyée par une stratégie globale visant à effacer les symboles et les racines profondes de l’identité française et européenne.
Depuis plusieurs années, Macron engage la France sur une pente glissante vers un autoritarisme qui ne dit pas son nom. Sous couvert de « soutien » à des pays étrangers comme l’Ukraine ou Israël, il déploie une stratégie dangereuse, risquant d’entraîner la nation dans des confrontations internationales aux conséquences dévastatrices. Pendant ce temps, la situation interne se délite, et les tensions communautaires exacerbées par la montée des divisions sociales et un pouvoir exécutif toujours plus concentré entre les mains d’un seul homme, n’augurent rien de bon.
La menace est réelle, car dorénavant l’activation de l’article 16 de la Constitution – prévu pour des situations d’exception qu’il ne cesse de vouloir provoquer – donnerait à Macron le pouvoir de gouverner par décret, suspendant ainsi toutes les dernières libertés publiques et contournant l’ensemble des institutions déjà si peu démocratiques. Les scénarios probables, pouvant déclencher une telle dérive pourraient être une crise militaire en cas de guerre mondiale, un effondrement économique plus que probable, ou même une explosion sociale due à la surcharge fiscale – sinon toutes à la fois – ne relèvent plus de la science-fiction mais d’une inquiétante perspective en vue. Mais derrière la façade d’une posture internationale ambitieuse, ayant perdue toute crédibilité, se cache une stratégie de centralisation autoritaire qui n’a que pour objectif de renforcer l’emprise d’une élite déconnectée sur un pays à bout de souffle.
Si l’incendie de Notre-Dame de Paris ne peut clairement pas être réduit à un simple accident, il s’inscrit aussi dans un projet bien plus vaste d’une déconstruction spirituelle et culturelle orchestrée par des forces invisibles visant à éroder les fondements de l’identité française et européenne. Notre-Dame, ce symbole universel de la chrétienté, a été délibérément ciblée pour son pouvoir de rassemblement du peuple comme de sa portée symbolique et énergétique. La réouverture de ses portes après sa restauration, loin de marquer un simple retour à la normalité, fut une profanation, un acte symbolique venant entacher ce lieu sacré. Tout ceci s’inscrit dans une stratégie plus large, où les rituels occultes et l’influence d’assemblées secrètes semblent avoir joué un rôle central. Et derrière des événements comme celui-ci se cachent des mécanismes subtils de manipulation collective, utilisant des symboles et des dates significatives pour déstabiliser et fracturer les nations. Et si l’incendie de Notre-Dame fut un choc culturel et identitaire, il n’est qu’une étape dans une longue série d’attaques contre nos valeurs, visant à affaiblir les traditions et à renforcer le pouvoir d’une élite mondiale, souvent invisible, mais bien présente et dont Macron est le porte étendard.
À l’approche de son anniversaire, le 21 décembre 2024, – ou peut-être en quête d’un coup d’éclat pour Hanouka, qui sera fêté le 25 décembre – Macron semble prêt à s’offrir un « cadeau » dont les Français pourraient encore payer le prix. Habitué aux décisions unilatérales et symboliques, il pourrait bien annoncer une mesure spectaculaire, mais profondément déconnectée des réalités quotidiennes du pays. Que ce soit une nouvelle réforme impopulaire, un accord international controversé, ou encore un engagement militaire hasardeux, le Président semble toujours prêt à sacrifier le bien-être de la population sur l’autel de son ambition personnelle et de son obsession pour l’image qu’il renvoie à l’international. En cherchant à marquer ces dates par une décision grandiose, Macron risque une fois de plus d’envenimer les tensions sociales, d’aggraver les divisions nationales et de creuser davantage le fossé entre lui et les citoyens.
Sur le plan européen, Macron joue déjà un jeu très dangereux en sacrifiant tous les intérêts de la France sur l’autel d’un fédéralisme aveugle. Obsédé par le projet d’une Europe supranationale dirigée par des truands malthusiens. Il aligne la France sur les décisions de Bruxelles alors que celles-ci contredisent tous nos intérêts stratégiques. Qu’ils soient énergétiques, industriels, agricoles ou économiques. Résultat ? Une perte de souveraineté nationale qui se répercute à présent à tous les niveaux. Prenons l’agriculture, fleuron historique de la France qui est aujourd’hui livrée aux diktats de technocrates fous imposant un modèle d’industrialisation effréné, au mépris de l’environnement, des agriculteurs et de la logique.
Les chiffres parlent d’eux-mêmes puisque plus de la moitié des volailles consommées en France sont désormais importées et souvent issues d’élevages intensifs situés en Ukraine ou en Amérique Latine. Ces fermes-usines, avec des millions d’animaux par site, détenues par des multinationales cotées en Bourse, sont à l’opposé de notre tradition agricole. Les récentes réformes, poussées par le gouvernement sous prétexte de « modernisation », ne font qu’accélérer ce processus suicidaire, étranglant les exploitations familiales et détruisant aussi le tissu rural.
Les conséquences désastreuses de cette soumission sont visibles avec une baisse drastique de la qualité alimentaire, une dépendance accrue aux importations et un risque sanitaire croissant. Sous couvert de « compétitivité », dans un jeu aux dés déjà pipés, nous acceptons sur nos marchés des produits bourrés d’hormones et d’antibiotiques, vaccinés à l’ARNm et produits dans des conditions écologiques désastreuses. Et tout cela, pour servir les intérêts des grands lobbys agricoles et industriels, au détriment de notre souveraineté alimentaire et de notre santé.
Car l’industrialisation de l’agriculture ne se contente pas de détruire nos paysages et nos traditions puisqu’elle s’attaque également à notre santé. La malbouffe générée par cette agriculture intensive, avec ses viandes standardisées et ses produits transformés saturés de pesticides, d’additifs et de résidus médicamenteux, alimente un cercle vicieux dont les profits finissent toujours dans les mains des mêmes acteurs. D’un côté, ces élevages intensifs, véritables usines à maladies, nécessitent des quantités massives d’hormones, d’antibiotiques et de vaccins pour maintenir des animaux dans des conditions insalubres. De l’autre, les géants de l’industrie pharmaceutique tirent profit de cette dépendance croissante en fournissant ces traitements. La boucle est simple, ils nous empoisonnent d’un coté et nous maintiennent malades, sous le joug de leur chimie, de l’autre.
En effet, les répercussions médicamenteuses ne s’arrêtent pas à l’animal et les consommateurs sont directement exposés aux résidus de ces substances dans leur alimentation. Le sur-usage d’antibiotiques dans l’élevage intensif, par exemple, contribue à l’émergence de bactéries résistantes qui sont une menace majeure pour la santé publique mondiale. Par ailleurs, les liens entre malbouffe et maladies chroniques comme l’obésité, le diabète ou les cancers sont bien établis. Or, ce sont ces mêmes multinationales qui tirent profit de l’empoisonnement alimentaire des populations se positionnant également comme les sauveurs, en proposant des médicaments pour traiter les pathologies qu’elles contribuent à générer. Un remake perpétuel dont la fausse pandémie qui aura à minima servie à ouvrir les yeux d’un plus grand nombre de personnes.
C’est un système crapuleux mis en place par les mondialistes qui s’auto-alimente. Pendant ce temps, les médias et les politiques publiques restent silencieuses, incapables, ou peu enclins, à s’attaquer aux véritables racines du problème. Entre les lobbies de l’agro-industrie et ceux de Big Pharma, les intérêts des citoyens passent toujours au second plan, et la souveraineté alimentaire comme sanitaire sont clairement sacrifiée. Or, ce sont nos impôts qui financent leurs subventions, et nos achats leurs dividendes.
Et pour ce qui est de l’écologie, fer de lance de la communication mondialiste, elle cache en réalité une série de politiques incohérentes et nuisibles à l’ensemble de l’humanité. Ainsi, l’interdiction des véhicules thermiques, par exemple, est présentée comme une avancée environnementale, alors qu’elle produit des effets désastreux. Il se fabrique en France moitié moins de voiture en 2023 qu’en 2017. L’automobile et sa longue chaîne de sous-traitance était traditionnellement le premier employeur industriel en France, depuis les années 50, les conséquences en termes de faillites à répétition de toutes ces PME n’étaient pas difficiles à prévoir.
La transition vers l’électrique repose sur des batteries gourmandes en métaux rares – lithium, cobalt, nickel – dont l’extraction provoque des catastrophes humaines et écologiques. Dans des pays comme la République Démocratique du Congo, des milliers d’enfants (40 000 selon l’ONU) travaillent actuellement dans des mines pour extraire ces matériaux, souvent dans des conditions proches de l’esclavage. Et en France ? Nous changeons de smartphones à Noël, nous utilisons des vélos et des voitures électriques, et pourtant nous fermons nos centrales nucléaires pour plaire aux allemands. De plus, nous devenons toujours plus dépendants de la Chine, qui contrôle l’essentiel de la chaîne d’approvisionnement et les nouvelles technologies mondiales.
Les éoliennes, autre pilier des énergies renouvelables, incarnent également cette politique absurde. Subventionnées à coups de milliards, elles défigurent nos paysages, détruisent des écosystèmes, et leur recyclage reste problématique tout en produisant qu’une part infime d’électricité. Pourtant, elles sont imposées aux territoires ruraux sans véritable consultation des populations, comme un nouveau symbole d’une écologie centralisée et autoritaire. Mais à qui profite ce crime ? Telle est la question.
Pendant ce temps, Macron use et abuse de la division d’une nation fracturée et méprisée, soumise à une milice sans pitié. En désignant systématiquement les « extrêmes » comme des boucs émissaires, en faisant arrêter les journalistes citoyens et lanceurs d’alerte, en narguant le peuple par son impunité, il détourne surtout l’attention de ses propres échecs successifs à être une véritable Président. Mais cette stratégie psychopathologique est dangereuse car elle fragmente davantage une nation déjà éreintée par des années de crises économiques, sociales et identitaires. Plutôt que de rassembler, il joue la carte de la confrontation permanente, alimentant un climat de méfiance généralisée et d’insurrection violemment réprimée, pouvant mener à une guerre civile.
Les services publics, quand à eux, autrefois garants de la solidarité nationale, sont aujourd’hui à l’agonie. Hôpitaux saturés, tribunaux débordés, écoles en déclin… Plus rien ne fonctionne, tandis que les classes moyennes croulent sous le poids des taxes et de l’inflation. L’inaction face à ces crises révèle une incapacité ou plutôt une absence de volonté de répondre aux besoins fondamentaux des citoyens. Alors que les multinationales continuent de prospérer, protégées par ces élite déconnectée.
Face à ces dérives, les Français ne peuvent plus se permettre de rester immobile. Les priorités sont aussi claires que vitales. Nous devons restaurer notre souveraineté alimentaire, énergétique et industrielle en sortant de cette folie technocratique qu’est l’Union Européenne, tout en protégeant les populations les plus vulnérables en quittant l’Otan. Cela passe par un soutien massif à une agriculture locale et durable, une politique énergétique cohérente, un investissement dans les infrastructures publiques et une remise au clair du rôle des « gens d’armes ».
Mais surtout, il est urgent de rétablir un cadre démocratique véritable. Cela implique de réduire la concentration des pouvoirs entre les mains de l’exécutif, de renforcer les contre-pouvoirs institutionnels et surtout de redonner une voix aux citoyens en chassant tous ceux qui nous ont entraînés dans leur déclin. L’avenir de la France ne peut se construire sans un projet ambitieux, ancré dans ses valeurs historiques fondatrices.
Si nous ne relevons pas ces défis avec courage et lucidité, la France risque de s’effondrer, emportée par ses fractures internes, sa soumission aux puissances extérieures, ou pire, par les ravages d’une guerre civile ou mondiale qui signerait la fin de notre nation.
C’est ainsi que nous allons aborder les fêtes de Noël, avec le risque majeur de recevoir cette année sous le sapin un flot de bombes incendiaires (comme une grenade dégoupillée lancée entre nos jambes) destinées à provoquer l’embrasement du pays !
HO HO HO…
Phil BROQ.
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Bon, dans la série des cadeaux intercontinentaux dont on se passerait…
je vous présente les nouveaux jouets de la Russie : https://www.geopolintel.fr/article4145.html
Et là, ceux des USA : https://www.geopolintel.fr/article4144.html
Alors faites votre choix, mais je ne suis pas sure que ça entre dans la hotte du père Noël
J’avais commenté mais suite à une fausse manœuvre, j’ai tout perdu.
En résumé: El pueblo, unido, jamàs serà vencido !
Je cherchais comment mettre les bons accents (aigus et non graves) et voilà …
Macron joue déjà un jeu très dangereux en sacrifiant tous les intérêts de la France sur l’autel d’un fédéralisme aveugle. Obsédé par le projet d’une Europe supranationale dirigée par des truands malthusiens. Voilà qui est dit