Source Lediazec
La lecture a ceci d’authentique qu’en vous occupant l’esprit vous empêche de dire des sottises, et, surtout, de les écrire !
En ce moment, je lis les révélations sur l’orchestration de la fausse pandémie ayant pour but d’exercer un contrôle de masse absolu et je me dis qu’il est temps d’écrire un brin, même si…
C’est en Allemagne que le missile a explosé, révélant jusqu’à quel point les responsables de la classe politique et du pouvoir avaient été informés dès le début que le Covid était moins dangereux qu’une grippe saisonnière, mais qu’il était impératif de tester le degré de soumission des masses et, pourquoi pas, réussir le fameux « coup d’essai, coup de maître » !
Les mesures prises pour parer à un danger, montées de toutes pièces, étaient non seulement inutiles, mais très nuisibles d’un point de vue psychologique pour la santé des personnes et des sociétés. Ce déséquilibre voulu trouvant son point culminant dans la destruction des économies nationales et la mise au pas des populations, avec l’ombre violente de l’autorité planant sur l’ensemble comme dans une production cinématographique de très mauvais goût.
Cette domination par la terreur s’accompagnant par des injections, dont les décideurs – tous ceux en qui nous avions « confiance » – savaient qu’elles étaient, au mieux, inefficaces, la pudeur empêchant encore aujourd’hui de mettre sur la table le dossier des « effets secondaires néfastes » que ces piqures expérimentales ont entraînés.
Ceux qui savaient, ou se doutaient de la manipulation, qui l’ont inlassablement dénoncé sans céder un pouce de terrain, payant au prix fort leur audace, ayant perdu le travail et connu la dégringolade et l’opprobre, sont aujourd’hui en droit d’exiger !
Bien sûr, tout ceci se passe chez les voisins allemands. Rien à voir avec la France et des médias touchés par le « syndrome du larbin » !
Comme souvent, notre pays a pour le silence une adoration sans limites. Comme d’habitude, on nous dira qu’on ne savait pas, qu’on croyait bien faire. Qu’une autorité supérieure et occulte intimait l’ordre, sous peine d’avoir des morts sur la conscience ! Et quoi de plus consciencieux que de la fermer !
Le crétin surdosé (arrêtons de nous apitoyer sur son sort !), que l’on a cherché à alerter, vous prenant pour un fou, vous salissant jusqu’à la démesure, aura toujours du mal à admettre qu’il a passé les bornes, parce qu’il n’accepte pas l’idée de s’être trompé au point de risquer sa peau et celle de ses proches par excès de zèle !
Quelle gueule va-t-il faire quand il apprendra que toutes les mesures de contrainte ont été ordonnées par les politiciens et les militaires, sans de vrais débats scientifiques, et contre l’avis d’experts mondialement reconnus ?
Nuremberg 2 ou pas de Nuremberg du tout ?
Il serait temps d’admettre que ce plan fait partie du projet mondialiste de contrôle social et de dépopulation. Sans passer sous silence la destruction des nations par la dette et immigration massive, vous plaçant d’office chez les complotistes ou, ultime avatar du déshonneur, de militant d’extrême-droite !
Ne pas oublier cependant que, parmi les futurs « éveillés », il s’en trouvera dès opportunistes faussement repentis, qui, après avoir farouchement milité pour la vaccination et l’ostracisation de ceux qui la refusaient, se présenteront comme des résistants de la première heure !
Ni oubli ni pardon !
Sous l’Casque d’Erby
Tous les articles, la tribune libre et commentaires sont sous la responsabilité de leurs auteurs. Les Moutons Enragés ne sauraient être tenus responsables de leur contenu ou orientation.
Oui… l’oubli est une tare courante de l’humain, même si tout est en mémoire (jusqu’à nouvel ordre=Alzheimer😀. « Vous serez heureux, vous n’aurez plus de mémoires! »).
Quant au Pardon, denrée rare pour une humanité, je ne veux pas faire consciemment une croix dessus. Je ne me targue pas d’être un exemple de pardon, et même, je sais avoir une bonne dose de haine sans merci.
Et pourtant.. « Sentir » la présence de Jésus, en nous, entre nous, ça ressemble bien à du pardon… conscience transcendante. Amour.
Ça n’empêche pas de punir les criminels.
Ça demande quand même de réajuster nos lois humaines sur les lois naturelles.
Bref, oui, la colère gronde et demande à être sentie et exprimée, pour «rester» sain et éventuellement changer l’état abusif des choses.
Je crois en un inconscient (individuel et collectif) qui manifeste des réalités. J’ai bien sûr un peu peur de ce qu’il me (nous) réserve. Et pourtant…
L’Essence brille toujours, même si on en tient une couche.
Souhait (je m’en tiens, tant que possible, à des souhaits qui ne peuvent louper de s’exaucer): brillons.
La prise de conscience de nos ombres nous fait briller comme un soleil.
Oui, je me répète, comme pour mieux me persuader ou, comme avec un Mantra, me mettre en trance. C’est pas facile de vraiment sentir la souffrance et en répondre. Bref. On en est là.
Pourtant, la joie peut encore jaillir de notre cœur.
Allez, on est pas dimanche.
Et puis faut bien que j’aille faire mon tour malgré la grisaille.
Mes chiennes y courront et jouerons comme toujours.
Elles me ravissent le cœur. Ce sont mes proxies à moi.
Allez Lediazec, même si on a pas gardé les cochons ensembles, je me sens connecté avec toi. Bonne vadrouille!
Bonjour et merci pour tes commentaires, toujours intéressants. Il n’est pas nécessaire d’avoir gardé les cochons ensemble pour établir un rapport de confiance et c’est très bien ainsi. Ce monde part en sucette et l’idée d’un retour à la spiritualité s’impose comme un remède urgent. Pierre Jovanovic aborde ce volet avec passion et sens moral. Bien qu’issu d’une famille ibérique très croyante, je suis des rares à ne pas avoir été touché par la grâce, mais j’ai hérité d’elle le respect pour cette part intime de chacun. Et, aussi, des valeurs pour lesquelles il n’est pas vain de se battre. Raison pour laquelle, croyant ou pas, il nous faut serrer les rangs et faire front face au diabolisme qui menace et gangrène le monde !
il s’en trouvera dès opportunistes faussement repentis, qui, après avoir farouchement milité pour la vaccination et l’ostracisation de ceux qui la refusaient, se présenteront comme des résistants de la première heure !
C est un classique chez nous, la Rance.
Bonjour. Ça, oui ! Pour du classique, c’est du classique. Et, cette récurrence, est aussi dommage que déplorable.