Joseph Stroberg : La clef de la libération

Depuis 18 mois, nous ressassons, vitupérons, critiquons ce que nous vivons, en occultant tout ce qui n’est pas « LE Virus ». Je vous ai souvent suggéré, d’emboîter les pièces de ce gigantesque puzzle, que sont les évènements plus ou moins médiatisés qui assaillent notre quotidien et n’ont apparemment, aucun lien entre eux. Pourtant, tout est lié pour édifier ce nouveau monde qu’inconsciemment, nous contribuons à construire en acceptant par facilité, flemme ou résignation, les diktats imposés par ceux qui ont tout intérêt, à avoir une masse servile à leur disposition. Nous en sommes à la phase Divide et Impera (diviser pour régner), Ce nouvel Ordre Mondial ne sera imposé, que si nous acceptons de jouer leur jeu pervers. Combien d’entre ceux qui se prétendent « éveillés », seront capables de combattre jusqu’au bout, de tout risquer, pour que ce cauchemar qui s’installe sans plus se cacher, soit anéanti ? Il ne dépend que de notre volonté de dire NON. Si nous avions dit NON en temps et en heure, cette funeste comédie n’aurait pas pu voir le jour. Nous vivons avec des virus depuis la nuit des temps et, on a jamais détruit l’économie et la vie des peuples pour des épidémies, aussi virulentes soient-elles. Alors ! On ouvre les yeux ou, on continue à dormir dans cette prison mentale ? La peur doit engendrer une réaction de survie, pas une acceptation sacrificielle pour le bon plaisir de quelques nantis, ivres de pouvoir.

*****

Par Joseph Stroberg pour Nouveau Monde (aussi publié par Guy Boulianne)

Les Trompettes de Jericho

Un nombre croissant d’êtres humains ne supportent plus la condition d’asservissement dans laquelle ils se trouvent plongés sous le prétexte de pandémie. Plusieurs en profitent pour sortir de l’hypnose[1] produite par les élites par le biais des médias dominants et se mettent éventuellement à participer à des démarches collectives d’ordre judiciaire[2]. D’autres se résignent, entre la peur de mourir et l’espoir qu’un vaccin viendrait les libérer et leur redonner leur vie d’avant, alors même que leurs maîtres dirigeants leur ont pourtant bien martelé que leur condition actuelle serait désormais la nouvelle normalité[3]. De fait, presque tout le monde, à part les maîtres esclavagistes, se trouve emprisonné chez lui ou dans un espace bien plus restreint que celui connu auparavant. Existe-t-il alors une clef pour ouvrir la porte de cette prison ?

La première condition pour sortir d’une prison est de prendre conscience de l’existence de cette dernière, puis de réaliser que nous nous y trouvons enfermés. Certaines personnes pourraient penser que si on ne voit pas une prison, c’est qu’elle n’existe pas. Ont-elles demandé aux victimes de sectes ce qu’elles en pensent ? Les pires des geôles ne sont pas nécessairement faites de pierre, de béton ou de métal. Leurs murs peuvent au contraire être construits d’émotions, de pensées ou de croyances. Les geôliers le savent. Les maîtres, encore plus. Il existe de nombreux moyens pour enfermer émotionnellement, mentalement ou psychiquement un être humain et actuellement nos dirigeants esclavagistes les utilisent pratiquement tous.[4]

Sur le plan émotionnel, l’outil le plus puissant est l’instillation de la peur, particulièrement la peur ultime, celle de la mort. Quoi de mieux, pour cela, qu’un ennemi létal et pratiquement invisible, une menace mortelle qui pèserait sur nous depuis n’importe où et même n’importe quoi ou n’importe qui ? Eh bien, les élites ont trouvé un coronavirus particulier — une des variétés de virus qui peuplent habituellement notre virome (constitué de centaines de milliers de milliards d’entre eux) — et ils l’ont peut-être même boosté génétiquement dans l’espoir d’en faire un super soldat. Malheureusement, celui-ci a fait pschitt !… Il s’est dégonflé ! À côté des 65 millions de morts prévus, il n’en a atteint qu’environ un million, du moins officiellement. Le nombre réel pourrait être nettement moindre. Qu’à cela ne tienne ! Les tests PCR sont venus à la rescousse, permettant de faire passer des personnes saines pour des malades et ainsi faire retrouver au piteux microbe son épouvantable aura. La peur était ainsi toujours au rendez-vous.[5]

L’autre émotion fondamentale sur laquelle jouent les élites pour parvenir à leurs fins est paradoxalement une émotion positive : l’espoir ! Celle-ci est particulièrement utile contre ceux qui se sont rendu compte de leur incarcération. Il faut alors leur donner l’espoir qu’ils auront une remise de peine ou bien qu’ils parviendront à s’évader. L’alternance entre la peur et l’espoir[6] engendre une condition psychologique analogue à celle subie par des rats de laboratoire qui subissent aléatoirement des chocs électriques et ceci sans nécessairement de raison[7]. Les êtres humains qui reçoivent ce genre de traitement, fait d’alternance de durée variable entre des périodes de peur et d’autres d’espoir (comme lorsqu’ils oscillent entre le confinement et l’espoir que le vaccin leur permettra de sortir) finissent par se retrouver en état hypnotique, brisés, soumis, prostrés au fond de leur cage. Les rats ne savent jamais lorsqu’ils vont recevoir leur prochaine décharge électrique ni leur prochaine portion de nourriture. Les êtres humains masqués ne savent jamais lorsqu’ils auront une aggravation de peine (plus de confinement, moins d’entreprises et de magasins ouverts, obligation du port d’un second masque sur le premier…) ni lorsqu’on va supposément les soulager (par le vaccin, par la livraison de nourriture à domicile, par une subvention, par une baisse d’impôts…).

Sur le plan mental, les principales armes sont connues des propagandistes depuis un siècle.[8] [9] [10] Il est d’autant plus facile de les utiliser que l’individu ou le groupe ciblé aura auparavant été adéquatement « préparé », comme par la Gestapo nazie avant un interrogatoire, avec un bon conditionnement émotionnel conduisant à son hypnose ou à sa destruction psychologique et psychique. L’individu devient alors une éponge prête à absorber toutes les idées voulues, toutes les croyances utiles au Système, toutes les illusions que seul un bon discernement mental serait capable de percer à jour. En d’autres termes, il a subi un lavage de cerveau et celui-ci est alors rempli de poison idéologique et de pensées creuses. Il est désormais incapable de penser par lui-même et croit devoir se reposer sur ses maîtres (paternalistes ou despotiques) pour vivre.

La plupart des individus qui n’ont pas déjà été brisés par la propagande médiatique autour de la Covid-19 ou ceux qui se sont sortis de leur état hypnotique léthargique grâce à un choc salutaire qui a pu leur arriver n’ont cependant pas encore découvert la clef qui pourrait ouvrir la porte de leur prison ni le moyen d’en briser les murs. S’ils l’avaient fait, ils n’auraient pas besoin de placer de l’espoir dans les démarches judiciaires ou législatives, car celles-ci restent intimement liées au Système qui a permis, grâce à leur participation, leur emprisonnement. Est-ce que beaucoup d’esclaves ont été libérés juste en le demandant à leur maître ? Les avocats et les députés, aussi bien intentionnés soient-ils, ne peuvent agir que dans le cadre des lois établies par les maîtres. Du moins, les croyances largement diffusées par le Système sont tellement ancrées que presque personne ne songe à se passer des premières ni de celui-ci.[11]

Si la libération de l’Humanité est collective, elle devra néanmoins passer par une prise de conscience individuelle. Car la clef réside à ce niveau. Chacun de ceux qui veulent se libérer doit trouver la clef pour que tous puissent sortir. L’individu détient la clef et il l’utilise au bénéfice de tous. Celui qui compte seulement sur les autres restera en cage. En effet, la prison est avant tout d’ordre invisible, construite par les peurs et les croyances. Dépasser nos propres peurs et voir nos croyances pour ce qu’elles sont ne relève que de nous-mêmes, pas des autres. Si nous ne sommes, individuellement, pas prêts à sortir sans masque, sans certificat de vaccination, sans autorisation écrite, sans test PCR…, à refuser de payer des amendes, à nous retrouver dans une cellule (capitonnée ou non) pour refus de payer, à voir notre salaire saisi, à voir notre maison saisie, à voir nos enfants saisis… par peur de la mort de faim ou de maladie ou du ridicule ou de ne pas faire comme les autres… alors nous resterons enfermés dans ces murs.

L’ironie du sort de ceux qui ne dépasseront pas leurs peurs, pour ne pas risquer de perdre leurs biens matériels, leurs enfants, leur illusoire sécurité ou encore leur santé est que pourtant ils perdront tout si le plan des élites va jusqu’au bout.[12] Et, pour l’instant, rien n’arrête ce dernier. Il ne s’arrêtera que lorsque suffisamment d’êtres humains auront trouvé la clef.[13] Celle-ci est une vibration, un Son, le Verbe, la parole, des pensées, idées ou prières, les trompettes de l’Apocalypse[14], à l’image des trompettes qui ont détruit les murailles de Jéricho, la note spécifique de notre âme, de notre conscience… Nous seuls pouvons détruire les murs de notre prison émotionnelle et psychique individuelle, par l’éveil de notre conscience, par la réalisation de notre nature qui n’est pas seulement de chair et de sang. Le Nouvel Ordre Mondial ne s’effondrera pas avant qu’un nombre suffisant d’entre nous, êtres humains sur la planète Terre, ayons trouvé la clef vibratoire de notre prison pour en faire tomber les murs ou pour en ouvrir la porte.


  1. [1] Ingénierie sociale – Le monde est sous hypnose. MàJ[]
  2. [2] Le plus grand Nuremberg de tous les temps se prépare. Mise à jour 2: la démarche suit son cours[]
  3. [3] Davos 2021, du “Great Reset” au “New Normal”[]
  4. [4] Confinement, propagande COVID et points de presse gouvernementaux : la recette parfaite du lavage de cerveau calquée sur les sectes[]
  5. [5] S’échapper du syndrome de Stockholm — passer de la peur du virus (leurre) à un danger réel, la Grande Réinitialisation[]
  6. [6] La peur et l’espoir comme outils politiques[]
  7. [7] Nous, rats de laboratoire[]
  8. [8] Techniques de manipulation de masse et propagande — Application à la Covid-19[]
  9. [9] Une brève histoire de la propagande[]
  10. [10] Le quatrième pouvoir ou propagande ?[]
  11. [11] Demander au gouvernement ou aux tribunaux ne permettra jamais d’obtenir la liberté: seule la désobéissance massive peut prévaloir[]
  12. [12] Agenda 2030 : vous n’aurez rien et vous serez heureux[]
  13. [13] Note sur l’avenir[]
  14. [14] Regard sur l’Apocalypse[]

Voir aussi : « En apportant des éléments de persuasion, il est possible pour une oligarchie contrôlante d’amener les gens à aimer leur servitude » (Guy Boulianne)

Le port du masque, le lavage des mains, la “séparation sociale” et le verrouillage sont des rituels occultes séculaires. Cet article s’adresse uniquement aux personnes qui ont l’esprit et les yeux ouverts, ou qui veulent les ouvrir rapidement. Il s’adresse aux personnes sans préjugé, ni a priori, et qui veulent faire évoluer leur conscience vers la libération et la lumière de la connaissance. (Guy Boulianne)

12 Commentaires

  1. Très beau texte, à noter également que les politiques comptent sur la peur ou l’espoir des gens pour être élus.

    Cependant oui, la liberté est avant tout intérieure mais pour la ressentir il faut une grande dose de sécurité intérieur, une grand foi que tout problème à sa solution, que tout est juste et à sa place pour nous permettre d’évoluer, de décider par nous ce qui est bien pour nous et non par des décisions extérieures, et ne peut être libre un être qui se raccroche à ce qu’il a acquis, parfois durement et comme si ce qu’on possédé était plus important que la vie elle-même ou la liberté, cela est du à une aggravation de dépendance au système et aux croyances qu’on ne peut pas vivre sans lui ou sans argent.

    Sortez les gens du système et ils sont perdus, ils n’ont plus de repaire, ils ne savent plus se débrouiller seuls sans lui, tout ça a été pensé pour que les gens se sentent dépendant de lui, alors qu’avec très peu de moyen, on peut très bien vivre, faut-il encore cultiver l’essentiel, chercher des solutions et oser se lancer dans l’aventure.

    Le Christ disait: Ne vous occupez pas de comment vous mangerez ou vous vous vêtirez demain, occupez-vous d’abord de la connaissance ! C’est une question de foi et de confiance que tout arrive en temps et en heure, c’est un lâcher prise total de nos peurs de perdre quelque chose ou de manquer.

    Régler nos peurs est de notre responsabilité mais pour cela il faut une connaissance adapter et une confiance en soi et en la vie à toutes épreuves et c’est tout a fait possible si on le veut, c’est devenir adulte, acteur de notre vie, c’est penser en plusieurs dimensions, c’est être indépendant des décisions de papa état pour choisir ce qui est bien pour nous et pour nos proches. Nous n’avons pas besoin de chefs pour penser à notre place, c’est une illusion entretenue volontairement pour garder le pouvoir sur nous.

    Aujourd’hui il est plus que temps que l’humanité devienne adulte et commence par penser et décider par elle-même en dehors de toutes croyances limitantes et de peurs !

  2. Ce qui est difficile à réaliser, c’est que les barreaux de nos prisons sont : La quête du plaisir.

    Croyez bien que si vous êtes emprisonner dans un harem confortable avec des bombes sublimes qui se renouvèlent chaque jour et qu’on vous ouvre la porte…il est fort probable que vous hésitiez
    pas besoin de barreau à ce genre de prison d’ailleurs…

    Le plaisir et le confort sont la prison la plus puissante qui soit et cette prison est aussi la plus dégénérescente qui soit pour l’intelligence et l’esprit et à fortiori, l’âme.

    • Oui c’est ça et c’est l’idée qu’en dehors de cette société le plaisir n’existe pas. Les conditionnements ont la vie dure et poussent les gens à faire n’importe quoi. Ceux-là ne réfléchissent pas, ils ne pensent pas.

      Combien j’en ai entendu me dire, je me suis fait vacciner pour aller boire un verre ou pour aller au restaurant mais ils ne savent pas qu’ils peuvent aller boire un verre dans la Nature, dans un parc, au bord de l’eau, sous les étoiles, faire une pique nique avec des amies… c’est fou, c’est une pensée limitante, un formatage, pour eux en dehors des plaisirs que propose cette société il n’y a rien d’autre, et c’est ça une prison.

  3. J’ai apprécié ce texte et les commentaires! En effet tout passe par une prise de conscience et un renoncement à certains conforts acquis. Combien autour de moi se sont fait vaccinés pour un concert, pour partir en vacances, pour continuer à travailler…bref pour conserver leur confort de vie au détriment de leur véritable liberté.

  4. Pas envi de lire un texte illustré par un des pires saloperie du XX° siècle, Lawrence d’Arabie.
    Ce mec est le père du terrorisme islamique moderne tel que nous le connaissons !

Les commentaires sont clos.