Merci Marina17
Par Tyler pour Les Moutons Rebelles
Pas avec des bombes.
Pas avec des taxes douanières.
Mais avec des TikToks.
Et le pire ? Ça fonctionne.
Une riposte silencieuse, mais redoutable
Alors que les États-Unis ont imposé de nouveaux droits de douane sur les produits chinois, beaucoup s’attendaient à une contre-attaque classique : restrictions, taxes, sanctions… Mais non.
La Chine a choisi une autre voie : l’information.
Et elle l’a diffusée sur l’arme culturelle la plus puissante du moment : TikToK
La vérité qui dérange… les marques de luxe
Sur la plateforme, une nouvelle vague de créateurs chinois balance les coulisses de l’industrie du luxe :
- « Vous voulez un Birkin ? On les fabrique. »
- « Ces leggings Lululemon à 100 € ? Ils coûtent 6 € ici. »
- « Vos Nike ? Même usine. »
Même production. Même matériaux. Mais pas le même prix.
Fabriqué en Chine → Envoyé en Europe → Estampillé “luxe” → Revendu jusqu’à 1 000 % plus cher.
Ce que les vidéos montrent ?
Ce n’est pas une arnaque. C’est le business model.
Le luxe occidental démasqué
Pendant des décennies, les grandes marques européennes et américaines ont vendu une histoire : celle de l’artisanat, du prestige, du raffinement.
Mais TikTok révèle aujourd’hui autre chose :
le mythe s’effondre.
Les consommateurs découvrent qu’ils n’achetaient pas tant un savoir-faire… qu’un logo et une illusion bien emballée.
La guerre d’influence a changé de camp
Ce n’est plus l’Occident qui dicte les tendances.
C’est la Chine qui montre désormais les ficelles.
Et ce, avec une précision chirurgicale.
Non seulement elle révèle les dessous du luxe, mais elle va plus loin :
- Elle montre l’usine exacte.
- Elle affiche les coûts de production.
- Elle enseigne même comment acheter directement, en contournant les taxes et les intermédiaires.
Et pendant ce temps-là… aux États-Unis ?
Prenons l’usine Louis Vuitton au Texas : un fiasco.
- 40 % du cuir est gaspillé.
- Des ouvriers non formés masquent les défauts à la colle chaude.
- Résultat : une qualité qui ne suit pas… et une crédibilité qui s’effondre.
une guerre sans fusils, mais pas sans dégâts
Ce que la Chine mène aujourd’hui n’est pas une guerre économique traditionnelle.
C’est une guerre culturelle, une guerre d’image, une guerre démasquée.
Et pour une fois, ce ne sont pas les missiles qui font trembler l’Occident… mais des vidéos virales à 15 secondes.
Voir aussi :
- La Russie désigne la résidence du chancelier allemand comme cible au cas où les forces armées ukrainiennes acquerraient des missiles Taurus
- François Bayrou : Les Français doivent rembourser 50 000 € chacun !
- La Russie déploie le «système d’annihilation» le plus puissant et le plus rapide au monde
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Et oui Madame, vos escarpins sortent de la même usine que des croquenots mille fois moins chers, et aussi bien finis.
Il y a 50 ans je connaissais un couvent de religieuses vendéen qui s’était spécialisé dans les foulards de chez Hermès. Je serais curieux de savoir quelle est la situation aujourd’hui. Il est évident, malgré une matière première sans doute plus chère à l’époque, que « sorti d’usine » le carré d’étoffe devait coûter bien moins cher que sur un présentoir de la rue de la Paix…. sachant que la conception du motif était la propriété de la marque même à l’époque.
Quand j’étais jeune, j’ai bossé pour un patron qui avait 2 boutiques qui vendaient des fringues et des chaussures, en tant que chauffeur-livreur-manutentionnaire.
Une marque était relativement bon marché, l’autre était plutôt de luxe.
Bah en fait, les deux magasins vendaient exactement les mêmes fringues. Il avait un entrepôt sur le port ou les étiquettes étaient cousues sur les fringues, genre un lot de 10 pantalons arrivait, ils cousaient 7 étiquettes de la marque cheap, et 3 de la marque de luxe, les seules différences, c’était l’étiquette et le prix de vente.
Et ça, c’était il y a bien 25 ou 30 ans…
bof on peut aussi tourner ces videos dans des usines de contrefaçons
faut pas tout gober qd même