Source Phil Broq pour Le Blog de l’Éveillé
L’investiture de Donald Trump ce 20 janvier 2025, en tant que 47ème Président des États-Unis, marque une rupture historique, bien plus qu’un simple changement de leadership. Ce moment symbolise un bouleversement radical dans l’ordre mondial mafieux qui a prédominé pendant plusieurs décennies, un système façonné par les élites globalistes décadentes et des institutions supranationales corrompues visant à garantir une gouvernance mondiale totalitaire. Le modèle d’interconnexion destructrices et de mondialisation, porté par l’Amérique de Barack Obama, touche à sa fin. Le monde change, et avec lui, les règles du jeu. Les Zélites déconnectées du réel, censées orchestrer cette mondialisation, se voient désormais défiées par un homme qui prône le nationalisme et la souveraineté. Ce n’est pas seulement un retour en force de l’Amérique, mais surtout l’émergence d’une nouvelle vision géopolitique qui renverse enfin les rapports de force établis depuis leur Seconde Guerre mondiale.
Par son slogan « l’Amérique d’abord », il affirme sans ambiguïté son rejet des diktats internationaux tyranniques. Sous sa présidence, les États-Unis ne seront visiblement plus soumis à la pression des autres puissances financières ni des grandes institutions mondialistes. Dans ce nouveau monde encore incertain, où certains croyaient déjà que la superpuissance américaine se dissipait, Trump redonne à son pays une place centrale, en s’opposant fermement aux structures vérolées et moribondes qui ont dominées les relations internationales. Cette démarche n’est pas une simple régression vers un nationalisme passéiste, comme tentent de nous le faire croire les médias propagandistes subventionnées, mais bien une refonte totale de la scène internationale et des véritables enjeux du XXIème siècle.
En remettant en question les grandes institutions mondialistes telles que l’ONU, l’Union Européenne, le Forum Economique Mondial, l’OMS, l’OTAN, etc., Trump cherche à créer un monde plus sain où chaque nation gardera la maîtrise de son destin. L’Amérique de Trump s’oppose clairement à l’idée même d’une gouvernance globale, et préfère se concentrer sur des relations bilatérales, avec des partenaires qui partagent une vision souverainiste et protectionniste. Poutine et les BRICS en général ont déjà ouvert la voie à la chute de cette caste mondialisée agissant en bande organisée. Dans cette optique, l’Europe décadente, et en particulier la France, se retrouve donc face à un dilemme stratégique, et doit repenser sa place dans ce Nouvel Ordre Mondial ou disparaître.
Ainsi, le programme de Trump vise à remettre en cause la mondialisation excessive et l’interdépendance entre les nations soumises aux banquiers apatrides décomplexés et impunis. Son objectif avoué est de libérer les États-Unis des chaînes des accords commerciaux inéquitables, des conventions internationales qui affaiblissent la souveraineté, et des entités supranationales qui, selon lui, ne servent que les intérêts de ces Zélites avides et prédatrices. L’Union Européenne est enfin perçue pour ce qu’elle est, à savoir comme un modèle de technocratie abjecte et non élu, qui impose des règles arbitraires mafieuses, nuisibles aux nations membres, tout en éloignant les peuples de leurs choix démocratiques.
Et les premières actions de Trump en tant que président sont éloquentes. Dès ses premiers gestes, il se distingue par des politiques fermes et radicales à l’encontre de l’idéologie suicidaire Wokiste imprimée depuis ce début de siècle. Son approche vis-à-vis de l’immigration, son protectionnisme économique, son renoncement aux accords internationaux comme l’Accord de Paris sur le climat, la dépravation des enfants par le Wokisme et les LGBT, l’intoxication des individus par Big Pharma, tout témoigne de son refus de se soumettre aux volontés internationales de décadence de notre civilisation. La politique de Trump place certes les intérêts de son pays en premier et considère que l’Amérique doit redevenir un acteur souverain, indépendamment des accords multilatéraux impulsés par les « démon-crates » qui, selon lui, n’ont servi qu’à exploiter les nations au profit des grandes puissances économiques mondiales et à paupériser les peuples.
D’un point de vue économique, l’Amérique de Trump cherche donc logiquement à protéger ses industries locales, en réinstaurant des barrières commerciales et des taxes sur les produits étrangers fabriqués par des usines délocalisées. Mais la guerre commerciale qu’il mène contre la Chine et certains pays européens n’est qu’un aspect de son projet global de redéfinition de l’ordre économique international depuis trop longtemps corrompu. Cette politique, loin d’être une simple réaction nationaliste, représente surtout une véritable volonté profonde de réévaluation de l’équilibre économique mondial et une volonté de casser les logiques de domination de ces multinationales assassines tenues par les représentants du WEF.
Mais alors que Trump réaffirme la souveraineté des États-Unis sur la scène mondiale, l’Europe ruinée et moribonde, dirigée par le diktat d’un petit groupe de malfaisants non élus (il est utile d’insister sur ce fait), se trouve confrontée à une crise existentielle profonde qui révèle la supercherie de son fonctionnement au grand jour. Le modèle totalitaire d’intégration européenne se heurte donc à des tensions internes qui provoquent son implosion. L’union de ces mafieux, dont le projet tyrannique a été conçu comme un rempart contre les nationalismes, se retrouve aujourd’hui face à une montée logique des souverainistes, qui dénoncent l’idéologie supranationale et la destruction des identités nationales ; et tente de museler toute dissidence en censurant les réseaux sociaux qui mettent en lumière l’incapacité de cette « Europe » à défendre ses intérêts vitaux dans un monde qui privilégie désormais les relations bilatérales plutôt que multilatérales.
De plus, l’absence de figures politiques européennes capables de résister à cette vision marque la fin d’une époque où des grands accords multilatéraux, censés unir les nations sous une gouvernance commune, n’ont fait que vider les économies des pays membres et alimenter une guerre perdue d’avance en Ukraine. Cette UE des mafias, sous la direction de « La Hyène » et de ses alliés comme Macron, se retrouve donc plus isolée que jamais dans un monde où les grandes puissances réaffirment leur indépendance et leur souveraineté. La réponse de cette caste impunie au défi de Trump sera déterminante pour son avenir, mais à l’heure actuelle, il semble que les dirigeants européens soient plus préoccupés par la préservation d’un modèle intégré et de leurs privilèges acquis frauduleusement que par les réalités géopolitiques qui se dessinent.
Cependant le rejet désormais général des institutions globalistes n’est pas l’apanage des seuls États-Unis. Car de plus en plus de voix en Europe, notamment au sein des partis souverainistes, demandent une révision des rapports avec le reste du monde, ainsi qu’une transparence sur les agissements crapuleux de ces membres – la présidente non élue en tête. Des leaders dépassés comme Marine Le Pen ou Jean-Luc Mélenchon, ou corrompus comme Raphaël Glucksmann et Nathalie Loiseau, soutiennent pourtant encore l’idée que l’Europe doit retrouver son autonomie face aux grandes puissances, y compris les USA, et plaident encore pour une pseudo « Europe des nations », plus respectueuse de ses peuples et de ses frontières… Or, ce ne sera jamais le cas tant la corruption est généralisée au sein de cette institution illégitime.
Pendant ce temps, les tensions sociales en France, exacerbées et encouragées, sinon orchestrées par les politiques destructrices de Macron, montrent un pays exsangue et à la croisée des chemins. La gestion des Gilets Jaunes a illustré depuis longtemps la fracture profonde entre les Zélites politiques, qui défendent un multilatéralisme aveugle avec violence, et une population qui est rackettée tout en étant exclue du système. Les Gilets Jaunes, les agriculteurs, les retraités, tout comme les critiques croissantes envers la mondialisation, révèlent dorénavant un rejet massif de ces Zélites technocratiques – folles d’hybris – qui imposent des décisions arbitraires et contraires aux intérêts nationaux, sans jamais tenir compte des réalités locales, faute d’un système judiciaire fiable.
Le populisme de Trump trouve donc aussi un écho croissant dans toute l’Europe. Les critiques de sa politique sont nombreuses dans les meRdias aux abois, mais dans des pays comme la France, où les inégalités économiques et sociales se creusent, une grande partie de la population commence à voir dans le pragmatisme de Trump une alternative viable et saine aux politiques élitistes qui nous ont menées au bord du gouffre. L’idée que les peuples doivent pouvoir définir leur avenir, sans interférences d’organisations supranationales dirigées par des êtres sans scrupules, est de plus en plus acceptée pour des millions de citoyens européens qui se réveillent enfin malgré les exactions policières.
Ainsi, l’Amérique de Trump, avec son retour à une politique de souveraineté et de pragmatisme, semble redéfinir les règles du jeu international mais aussi national. Les institutions mondiales, telles que l’ONU, l’OTAN, l’OMC ou le FMI, sont désormais perçues comme étant obsolètes, voire nuisibles, car elles ne répondent plus aux besoins des nations, mais plutôt aux intérêts d’une élite globalisée sans foi ni loi. Les fractures internes, exacerbées par des politiques économiques et écologiques imposées de manière autoritaire, révèlent un système en crise profonde et prêt à s’effondrer. L’échec des politiques « escrologiques » et des dérives économiques abusives de l’UE créent ainsi un terrain fertile pour une remise en question totale de la politique européenne. Dans ce contexte, l’UE, telle qu’elle a été conçue par cette caste, est-elle encore capable de jouer encore un rôle dans ce nouveau monde multipolaire ?
La France détruite par Macron, en particulier, semble complètement à la dérive, déchirée entre une Europe assassine et violente, ou un retour à la souveraineté nationale porteuse de renouveau, mais dont il va falloir purger de ses parasites. Le défi actuel est de savoir si ces institutions moribondes pourront s’adapter assez vite aux nouvelles réalités du monde multipolaire, ou si elles continueront à défendre un modèle d’intégration dépassé, à un moment où la souveraineté des États comme la pression des peuples deviennent plus importante que jamais. Ce modèle, porté par Trump, offre une alternative plus saine que cette vision tyrannique des mondialistes qui a échouée. Face à cette nouvelle réalité, l’Europe comme la France doivent décider si elles veulent continuer à défendre ce modèle d’intégration suicidaire qui les privera de leur autonomie.
Car Donald Trump représente bien plus qu’un changement de dirigeant américain. Son retour en force marque donc la fin d’un modèle fondé sur une gouvernance supranationale orchestrée par des oligarques fous, et le début d’une ère où la souveraineté nationale sera au cœur des préoccupations de chacun. Forgeant, dans le même temps, un Nouvel Ordre Mondial où les nations prennent enfin le contrôle de leur avenir.
On le constate donc, l’ère du multilatéralisme semble enfin révolue. Place désormais à un monde où la souveraineté, l’identité et les intérêts nationaux seront les moteurs des relations internationales. Et dans ce monde nouveau, il est clair que les anciennes Zélites, déconnectées des réalités populaires – et mises en lumière par les réseaux sociaux tels que X et les chaînes d’informations alternatives devenant plus puissantes que les médias de propagandes subventionnés appartenant à une poignée de milliardaires – ne seront plus les arbitres des décisions mondiales, ni les pourvoyeur d’informations falsifiés.
C’est bien la fin d’une ère que nous vivons, celle d’une caste malveillante qui, depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale, a manipulé les nations et imposé une gouvernance mondiale totalitaire au seul service de ses intérêts. Pendant trop de décennies, ces Zélites corrompues ont vidé les peuples de leur souveraineté, ont enchaîné les nations sous des accords inéquitables, et ont asphyxié les libertés.
Mais il semblerait que l’heure du jugement a sonné ! Donald Trump, en réaffirmant le principe de « l’Amérique d’abord », brise cette vieille structure pourrie, redonne espoir à un monde à genoux et enclenche un renversement total de leur ordre mondial basé sur la peur et les crises continuelles. Il n’est pas simplement un homme politique milliardaire, il incarne surtout un souffle nouveau, une bouffée d’air frais pour des peuples asphyxiés par des décennies de domination élitiste et corrompue, en appelant à la réappropriation de la souveraineté, à l’affirmation de l’identité nationale, et à la fin des compromis suicidaires imposés par des institutions mondialisées obsolètes et nuisibles.
Le monde a bel et bien changé, il n’y aura pas de retour en arrière possible et les anciennes puissances corrompues, à commencer par l’Union Européenne et ses oligarques autoproclamés, voient leur emprise se fissurer de toutes parts. Le modèle tyrannique qu’ils ont imposé est en train de se désintégrer sous la pression des peuples et des nouvelles dynamiques géopolitiques impulsées par les BRICS. Trump ne se contentera pas de rejeter simplement l’idéologie suicidaire imposée par des Zélites décadentes, car il ouvre la voie à un monde multipolaire où toutes les nations retrouvent leur liberté, leur autonomie et leur dignité. Ainsi l’Europe se trouve à un carrefour décisif qui pourrait voir disparaître cette institution scabreuse. Soit elle continue de se soumettre à la technocratie bruxelloise et à l’idéologie mondialiste qui a conduit à sa ruine, soit elle choisit de suivre l’exemple de Trump et de reconquérir son indépendance !
La caste mondialiste, qui a fait de l’hypocrisie, du déni et de la manipulation son credo, n’a plus le pouvoir de dicter sa loi. Les peuples, grâce à la montée des souverainismes et à la force de la volonté populaire, se libèrent des chaînes du multilatéralisme imposé. Trump est bien le catalyseur de ce changement radical, la flamme qui allume la révolte contre un système international qui a depuis toujours échoué. L’Histoire retiendra que c’est lui qui a sonné le glas de cette oligarchie néfaste et qu’il a ouvert les portes d’un ordre mondial, plus juste, plus libre et surtout plus humain. C’est la fin d’une époque d’oppression qui est en train de se dessiner, et le début d’un monde où la souveraineté des nations, les intérêts des peuples, et la vérité reprennent enfin le dessus. Les Zélites déconnectées des réalités populaires sont donc vouées à disparaître, à savoir si ce sera dans la guerre ou dans la justice populaire…
L’avenir appartient à ceux qui osent se lever, à ceux qui refusent de se soumettre à un système globaliste, dévoyé et injuste, et qui choisissent, comme Trump, de partir en croisade pour défendre l’indépendance, la liberté, la justice et la dignité !
Phil BROQ.
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Bonjour. Il est clair que nous ne sommes pas dupes en ce qui concerne l’élection américaine et les promesses de bonheur universel, dont certains lustrent l’effet miraculeux. Si miracle il y a, ce n’est pas sur notre planète qu’il faut le chercher ! Cela étant, les choses positives il faut les accueillir comme il se doit. Le départ de l’OMS et la décision sur la fumisterie du climat sont de très bonnes décisions. Tout comme celle concernant le genre : homme/femme, point barre.
Je ne pense pas que Trump pense à autre chose qu’aux intérêts de son pays. Il est là pour empêcher l’empire de chuter en sauvant ce qui doit l’être et en laissant tomber ce qu’il estime contre-productif pour les États-Unis. C’est le moment pour l’Europe, la France en particulier, de s’affranchir en quittant l’UE et retrouve enfin sa souveraineté…
Trump et Poutine : Les « Ping » et « Pong » (ou marionnettes oligarchiques) de la politique mondialiste, qui préparent tous les esprits (faibles) au « Supergouvernement » unique mondial à venir, c’est-à-dire le « Nouvelle Ordre Mondial ».
Est-il utile de rappeler que le monde actuel est en voie d’uniformisation totale ? L’aspect le plus patent de l’uniformisation du monde qui sévit aujourd’hui est le Mondialisme. Il se fonde principalement, au premier degré, sur des motivations économiques et idéologiques. En effet, il s’avère plus intéressant pour l’industrie et par là pour le système économique transnational, d’avoir plusieurs centaines de millions de consommateurs uniformes plutôt que des groupes de quelques millions bien différenciés. Le monde n’est plus dès lors partagé entre pays, communautés différentes et irréductibles, mais en zones qui sont des espaces quantitatifs consacrés à la distribution des produits. Quant au point de vue idéologique, il ne peut être dissocié de l’économique, car la primauté accordée à ce domaine est le moteur, l’arme et l’outil de la pensée matérialiste. Mais il s’habille d’une morale, les Droits de l’homme, et d’une fausse alternative, Capitalisme et Marxisme. Nous disons fausse, car ces deux tendances sont rigoureusement identiques quant aux principes et à l’objectif. Ce n’est qu’une question de formes et de modalités. Nous assistons aujourd’hui à une lente fusion des vestiges du Capitalisme et de ceux du Marxisme. La finalité est le Mondialisme.
En 1964, dans « Humanisme et Culture », Edgar Faure écrivait déjà : « Le système capitaliste de l’Occident et le socialisme de la Russie cheminent l’un vers l’autre, vers la solution de synthèse. »
Ainsi, peu à peu, la l’État Nation France (et aussi les autres États Nations d’Europe) tend à disparaître des médias (complices), des préoccupations et par conséquent de l’esprit des masses, rétrécis à force d’ingurgitation, courtes et à courte vue, d’informations confuses, erronées et, surtout, débilisantes, adaptée (spécialement) pour les smartphones et leurs « addictés ».
Avec la grande duperie de la « Perestroïka » (Restructuration) et l’imposture de la « Glaznost » (Ouverture), nous assistons depuis quelques temps au « Glissement » mondial (Européen pour commencer) vers une Deuxième « Révolution d’Octobre ».
Rappelons ces propos de Gorbatchev pour « Le Figaro » en juillet 1988, puis ceux de son conseiller Yakovlev pour « La Repubblica » en novembre 1989 :
– « Le but de la Perestroïka est de rétablir théoriquement et pratiquement le Léninisme »
– « Quiconque voit dans les mutations en cours un échec des idées socialistes, confond ses désirs avec la réalité. Nous réformons la société en fonction des réalités nouvelles, nous améliorons le potentiel des Systèmes socialistes et nous ne quitterons pas cette voie… la progression de la démocratie est une victoire du bon sens. Pour nous, c’est une victoire du Socialisme »
Comprenez que le Communisme ne sera réellement mort que le jour où son « père nourricier », à savoir le Capitalisme ultra libéral de la Haute Finance, ne sera, lui-même, plus de ce monde !
NB : Mikhail Gorbatchev, qui démissionnera en décembre 1991, laissera place à Boris Eltsine, évidente « marionnette » intérimaire et fortement alcoolisée, qui sera élu, dorénavant au suffrage universel, Président de la nouvelle « République Fédérative de Russie ». Il tiendra ce rôle jusqu’en décembre 1999, lorsqu’il démissionnera à son tour. Son incapacité pour raison de « santé » (Eltsine sombrait de plus en plus dans l’alcoolisme) et son incompétence, qui seront mises à la disposition des projets des globalistes, permettront de préparer l’avènement et le long règne d’un nouvel acteur politique majeur, et plus « moderne » : Vladimir Poutine.
C’est ainsi que le 31 décembre 1999, au moment où la guerre en Tchétchénie interdisait tout débat sérieux, quelques oligarques organisèrent une discrète passation des pouvoirs d’Eltsine à Poutine, sans élections à la clé. Pour beaucoup aujourd’hui, Vladimir Poutine est devenu une sorte de « Superhéros » luttant contre le « Nouvel Ordre Mondial », à l’instar de son homologue étasunien et milliardaire, Donald Trump, tant vanté et glorifié, lui aussi, par une dissidence peut-être un peu trop naïve. Ancien Officier du KGB, les Services de renseignements soviétiques, et donc issu du « système » (Poutine a passé 17 ans au KGB avant que Boris Eltsine fasse de lui, en 1998, le directeur du FSB, ex-KGB), rappelons que le premier geste de Vladimir Poutine en tant que président fut de signer la loi qui mettait son prédécesseur à l’abri de toute poursuite judiciaire, que ce fût pour des actes de corruption ou pour les assassinats de manifestants en faveur de la « démocratie » commis par l’armée pendant qu’il était au pouvoir. De plus, bien que figure centrale de l’exécutif de la nation Russe depuis 1999, rappelons qu’une commission parlementaire britannique a publié en mai 2018 un rapport alertant sur le fait que la « City » serait devenue un centre de blanchiment d’argent pour les hommes d’affaires russes et pour Vladimir Poutine et son entourage, ce qui a valu à la capitale britannique le surnom de « Londongrad ». Enfin, rappelons également, et en parallèle, qu’en hâtant l’effondrement de l’empire américain, Donald Trump (à l’instar de M. Gorbatchev en URSS) agit comme un allié objectif des intérêts globalistes de la « City » dont le seul objectif est l’avènement d’un gouvernement mondial. Car précisément, le gouvernement mondial ne pourra voir le jour que sur les décombres des États, tout empires soient-ils.
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