La fin approche : Les français se mobilisent pour renverser Macron | GPTV

Source Géopolitique Profonde

Le 5 janvier à 12h30, Mike Borowski analyse comment, en 2025, la révolte des agriculteurs, des banlieues et des provinces, face aux mesures écologiques et à l’effondrement social, ébranle Macron et la République.

Les Français disent stop !

2025 est l’année où les Français disent stop. Les mesures écologiques imposées par le gouvernement s’ajoutent à des décennies de politiques antisociales, alimentant une colère généralisée. Le fossé entre les élites parisiennes et le reste du pays devient un gouffre infranchissable.

L’interdiction des véhicules Crit’Air 3 dans Paris et les grandes métropoles frappe de plein fouet les classes moyennes et populaires. Ces millions de Français, déjà étranglés par l’inflation, dépendent de leur voiture pour travailler ou vivre. Ils se retrouvent piégés, humiliés, et contraints de rester en marge des centres urbains. Pendant ce temps, les élites, confortablement installées avec leur chauffeur privé, continuent de prospérer. Cette mesure n’est pas écologique : c’est une guerre sociale.

La colère monte également parmi les propriétaires de logements classés G. 659 000 Français voient leur patrimoine réduit à néant. Les travaux exigés pour mettre aux normes leurs biens sont hors de portée, les empêchant de louer ou de vendre à des prix décents. Pendant ce temps, des fonds d’investissement rachètent ces logements à bas coût et renforcent les intérêts des puissants. L’amertume se transforme en révolte.

Les agriculteurs bloquent Paris et refusent de céder

Les agriculteurs, figures historiques de la révolte française, passent à l’action. Ils ne négocient plus : ils bloquent. Des milliers de tracteurs convergent sur Paris, paralysant les principales routes et infrastructures. Leur message est clair : ils ne céderont plus face aux normes absurdes, aux traités internationaux destructeurs, et à l’abandon de la souveraineté alimentaire française. Ils incarnent désormais la résistance au pouvoir central.

Mais cette fois, les agriculteurs ne sont pas seuls. Les habitants des banlieues, longtemps marginalisés des mobilisations nationales, rejoignent la lutte. La colère contre l’interdiction des véhicules Crit’Air et la flambée des prix s’ajoute au sentiment d’abandon des périphéries. Les zones rurales et périurbaines, souvent opposées, trouvent un terrain d’entente dans cette mobilisation contre les élites. Une alliance inédite entre agriculteurs, banlieusards et provinciaux se forme.

Les blocages ne se limitent pas aux axes routiers. Les préfectures, mairies et sièges des grandes entreprises deviennent les cibles d’un peuple déterminé à se faire entendre. La révolte dépasse les revendications locales ou sectorielles : elle devient un mouvement national qui remet en cause tout le système. La France n’avait pas connu une telle unité dans la contestation depuis des décennies.

Macron perd le contrôle

Emmanuel Macron et son gouvernement perdent totalement la main face à une révolte massive et déterminée. Les institutions de la République vacillent sous la pression. Les forces de l’ordre, surmobilisées et épuisées, montrent des signes de faiblesse. Dans certaines régions, des gendarmes et policiers refusent d’intervenir contre des manifestants qu’ils soutiennent en silence. La loyauté au pouvoir n’est plus acquise.

Le gouvernement tente de diviser les Français pour briser le mouvement, mais cette stratégie échoue. Les tentatives de discrédit des manifestants par les médias officiels sont balayées par une opinion publique qui ne croit plus aux récits des élites. L’unité du peuple face au pouvoir est totale. Le rejet d’Emmanuel Macron devient général, et les slogans appelant à sa démission envahissent les rues.

Les Français n’attendent plus des réformes : ils exigent une transformation radicale. Pour beaucoup, la République dans sa forme actuelle est morte. Les appels au renversement du régime se multiplient, portés par un peuple qui estime avoir été trahi par ses dirigeants. La peur change de camp : les élites comprennent que leur temps est compté. La possibilité d’un effondrement du système devient une certitude.

2025 marque un tournant irréversible. Le pouvoir centralisé, incapable de répondre à la crise, perd toute légitimité. La République, fondée sur des principes d’égalité et de justice, se révèle incapable de protéger ses citoyens face aux abus des puissants. Une nouvelle ère commence, dans le chaos et la détermination.

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18 Commentaires

  1. LOL ! – Mike Bobo t’es impayable ! https://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_yahoo.gif

  2. Et dire qu’il y a des couillons pour y croire….

  3. Quelle fin ? J’ose pas cliquer !
    Dite moi la vérité !

    Akasha.

  4. La grogne gronde, les actions se multiplient sauf qu’on est loin encore de l’essentiel. Virer un gouvernement, c’est aussi virer députés et sénateurs, administration fiscale illégitime, abolition des lois scélérates, etc.

    Avant de virer ces gens là, il faudrait un gouvernement provisoire et une refonte des lois, de la constitution et des règles fiscales, le tout par voie de référendum. Sans ces mesures préalables on vire tout en créant un chaos dont il sera très difficile de sortir. l’Europe pourrait meme intervenir militairement pour prendre définitivement le contrôle de la France en profitant de l’instabilité politique du moment, ruinant les espoirs de Frexit.

    Virer les Guignols tout en voulant rester dans une démocratie ne fera que déplacer le problème et revenir au point zéro. Sans compter tous ceux qui refuseront de se bouger pour ne pas perdre leurs petits avantages. La démocratie nous a entraîné vers la dictature et des lois ineptes créant chômage et pauvreté, à la fois avec un système éducatif défaillant et la survalorisation du travail intellectuel au détriment du travail manuel productif.

    C’est aux Français de voir…

  5. « Dans certaines régions, des gendarmes et policiers refusent d’intervenir contre des manifestants qu’ils soutiennent en silence. La loyauté au pouvoir n’est plus acquise. »

    Euh, alors là, j’ai comme un doute… Mais un très, très gros doute…

    Et puis ce n’est pas la loyauté au pouvoir, c’est la loyauté à leur salaire et à leur propre pouvoir supérieur à celui du citoyen normal…

  6. Ouais, sacré Mike ! Il est sympa mais il glisse de plus en plus dans l’irréel…
    Bon, je dois être trop pessimiste, pour y croire !
    Allez, Motivons-nous, comme nous l’explique si bien le Blog de l’éveillé –> https://jevousauraisprevenu.blogspot.com/2025/01/la-renaissance-francaise-commence-par.html
    https://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_cool.gifhttps://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_good.gif

  7. Tiens, vous me donnez envie de voir cette vidéo, histoire de rêver un peu … tant que c’est encore possible … https://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_yahoo.gif
    Hummm … il commence quand même par un gros doute. Voyons la suite …

    • Euh … je n’ai pas l’impression que vous ayez écouté cette vidéo. En fait, il pose beaucoup de questions, que l’on peut résumer en: quel monde voulons-nous construire pour demain ?

      Si nous faisons tout péter, genre 1789, il nous faudra bien 10 ans de souffrance pour tout reconstruire, à notre façon.

      Si nous ne faisons rien, nous vivrons simplement en esclavage, dans le grand reset. Tout est question de choix. Sommes-nous prêts à risquer notre vie pour le futur? Ou bien risquons-nous notre vie, notre santé, nos biens, nos enfants … pour éviter de nous battre ? D’un côté ce serait à durée déterminée (à peu près), de l’autre ce serait à vie, et pour les générations futures. A moins qu’elles n’arrivent ensuite à faire le boulot que nous aurons refusé de faire. Si elles sont encore en état de le faire …

      Bon, je résume à ma façon, bien sûr, mais voilà ce que j’ai compris.

  8. « Si nous faisons tout péter, genre 1789, il nous faudra bien 10 ans de souffrance pour tout reconstruire, à notre façon. »

    Tu oublies de préciser « et SI nous gagnons. »

    Parce que rien n’est moins sur. J’ai l’impression que tout le monde s’imagine que si on se révolte, on gagne. C’était déjà difficile en 1789 quand les loyalistes n’avaient que des lances et des épées, aujourd’hui ils ont des blindés, des hélicos, des drones, des caméras partout, et des fiches sur tout le monde…

    Je le redis, un ou deux millions de français ont mis des gilets jaunes pour se rebeller, ils se sont fait royalement botter le luc par une poignée de keufs… Alors imagine si c’est l’armée qui est envoyée pour mater une insurrection… Combien il restera de révolutionnaires disposés à se battre quand ils commenceront à tirer à balles réelles ?

    Regardons un peu la Chine… Un « président » élu avec 100% des voix, d’ailleurs seul candidat à se présenter, emprisonnement des opposants, usage de la force contre les contestataires, le peuple ne décide d’absolument rien il ne fait que subir, on peut se rappeler de la gestion du covid là bas…

    Et pourtant, ils sont 1,4 milliards… Si un peuple de 1,4 milliards de personne se… euh, bah non en fait, le peuple, il ferme sa mouille et il file droit.

    • – Je ne pense pas que le pouvoir prenne le risque d’engager l’armée en mission intérieure. Cette armée d’opérette n’est plus assez fiable au niveau subalterne pour ce genre de connerie.
      Sans compter qu’elle n’a jamais été formée aux missions de police.

      – De toute façon les forces de police sont tellement gonflées et suréquipées qu’elles se suffisent à elles même pour assurer cette mission dévoyée de milice dictatoriale.

  9. Oui Radagast, c’est certain. Je ne faisais qu’un résumé, personnel certes, de la vidéo.
    Toutefois, si nous partons perdants, ce n’est même pas la peine de commencer quoi que ce soit. Notre sort est alors fixé, et nous en sommes entièrement responsables. C’est un choix difficile et même … potentiellement mortel, mais quoi qu’il arrive, nous allons tous mourir. Debout ou couchés ? A nous de voir …

  10. Je ne pense pas que la majorité des gens veulent un changement du système. Ils veulent juste en faire partie.

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