« Tout repose sur le mensonge, c’est la merde et ça va être encore pire » – Laurent Obertone

Source Epoch Times France

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3 Commentaires

  1. « Tout repose sur le mensonge, c’est la merde… »
    Effectivement, il est encore des gens naïfs (nombreux) qui croient que l’histoire est le récit exact des faits du passé. Ils semblent ignorer que le monde est, depuis longtemps, régi par le mensonge et que le désordre de la société actuelle en est la conséquence.
    Depuis que le mensonge règne, l’âme des foules est écrasée par l’égoïsme des oligarchies régnantes (religieuses ou laïques), fauchant tout dans leur poursuite insensée de la domination, de la gloire, de l’argent, et détruisant le rêve sacré de l’unité des esprits dans la vérité absolue.
    Depuis 2.500 ans l’humanité vit sous un régime d’incohérence fait de toutes les folies accumulées :
    – Folie de la domination qui a voulu tout soumettre à l’ambition de quelques despotes qui prétendaient dominer la Terre, se déchirant entre eux, ou, plutôt sacrifiant leurs peuples pour eux.
    – Folie des dogmes qui a imposé des croyances ineptes, des morales absurdes et cruelles qui ont enserré l’âme humaine dans un carcan de douleur et ont avili les races.
    – Folie d’accaparement de richesses folles, entassées par les plus audacieux et les plus rusés aux dépens des masses réduites à la gêne et à la misère.
    – Folie de la réglementation de ceux qui se sont crus autorisés à faire des lois, des règlements, des décrets pour diriger la vie des autres, pour leur donner la permission d’agir, la permission d’écrire, la permission de parler, la permission de penser… et même de respirer puisqu’ils ont fait de tous les actes de la vie des prétextes pour prélever des impôts, réduisant l’humanité à l’état d’automates, mus par un réseau compliqué d’ordonnances et sans cesse surveillée pour saisir et punir le moindre écart de cet assujettissement voulu.
    Pour ces puissants du vieux monde, gouverner c’est pressurer, c’est contraindre, c’est réprimer, c’est punir.
    Le monde actuel est un corps social dans lequel la flamme vitale, sans cesse diminuée, va s’éteindre tout à fait si elle n’est renouvelée.
    Nous vivons sous le régime de l’universelle imposture ; le caractère qui domine tout, c’est le mensonge, la vaine apparence des choses, qui furent réellement grandes et saintes dans les temps passés, mais qui se terminent en comédies, en simulacres ; c’est l’achèvement de toutes les parodies.
    Pour refaire la Société, il faut remonter à la source des idées, reprendre l’œuvre tout entière, reconstituer l’évolution mentale, édifier la science et rectifier l’histoire.
    Rien ne saurait arrêter une idée ou une révélation dont l’heure est arrivée, dit le poète.
    L’heure est donc venue de supprimer tous les despotismes et toutes les orthodoxies pour faire place à la Vérité qui ne s’impose pas par la Force, mais se propose par la Douceur. L’heure est venue de clore l’ère des persécutions.
    NB : Le désordre social, moral et mental qui règne sur la terre depuis les temps reculés de l’Évolution humaine, les systèmes absurdes qui se sont succédé et les aberrations de tous genres qui ont engendré tant de maux, n’ont qu’une cause : l’interversion des rôles de l’Homme et de la Femme.
    Rappelons que la pierre fondamentale de l’ordre social dans l’Inde, c’est la division en castes. La première origine des castes se trouve dans la primitive religion naturelle. Religion signifie « relier », pour se relier, il faut observer les rapports mutuels des êtres différents : masculin et féminin ; violer cette loi en nivelant les sexes que la nature a faits dissemblables, c’est créer le désordre.
    L’interversion des rôles est un travestissement moral qui naquit en même temps que le carnaval ; permis pendant quelques jours de l’année, pour s’en amuser, il finit par se maintenir en toutes saisons. Et, chose curieuse, quand l’homme prend le rôle de la femme il continue à prendre, en même temps, son costume, sa robe, d’où le verbe « dé-rober » ; en anglais « to rob ».
    Chez les Perses, lorsque la Divinité fût représentée sous une forme masculine, entourée des grandes ailes qui symbolisaient l’Esprit féminin, on donna à ce nouveau Dieu la barbe de l’homme, mais on lui laissa la robe de la Déesse.
    Dans l’ouvrage « Psychologie comparée de l’Homme et de la Femme », il est un chapitre, intitulé « Les trois robes », consacré aux fonctions que l’homme remplit en portant la robe de la Femme et qui étaient la base même du régime gynécocratique : le Sacerdoce, la Justice, l’Enseignement. Ces trois usurpations furent le sujet de violentes récriminations, puis finalement donnèrent l’occasion de fonder des Mystères.
    Le travestissement est devenu un usage acquis :
    – Pour rendre la justice, fonction féminine, l’homme met la robe du juge, la robe de Thémis.
    – Pour exercer le sacerdoce, fonction féminine, il met la robe de la prêtresse, la robe blanche de Junon, de Minerve.
    – Pour enseigner les lois de la Nature, fonction féminine, il met la robe universitaire : le satin et le velours dont on faisait la robe des neuf Muses.
    Rappelons que l’Egypte fut longtemps gouvernée par des Prêtresses que l’histoire appelle des Pharaons ; les Pharaons sont des magistrats sacerdotaux toujours représentés en costumes de femmes.
    Notons aussi que le personnage de Jésus sera vêtu, comme les femmes, d’une robe flottante.
    Le « Diable est le singe de Dieu », dit-on ; c’est l’homme qui imite la femme et prend sa place. On le représente sous des formes hideuses, symbolisant tous les aspects du mal : la laideur accompagne toujours la méchanceté. Cependant, la perversion est quelquefois logée dans de beaux hommes, mais l’expression, de la haine, de la jalousie et de l’orgueil les rendra laids.
    Les hommes ont voulu agir dans le monde comme s’ils possédaient les facultés de la Femme. Eteignant ainsi les facultés intellectuelles de la Femme, ils ne lui ont laisser de liberté que pour l’exercice de ses facultés motrices : le travail manuel et la maternité.
    En retranchant, en la Femme, le pôle cérébral, les hommes ont décapité l’humanité. Car c’est dans l’esprit de la Femme qu’est le principe de toutes les Vérités.
    Lien : https://livresdefemmeslivresdeverites.blogspot.com/

  2. Quand on apprend l’histoire enfant, on n’a pas les notions qui permettraient de critiquer ce qui est enseigné. De plus, les parents, comme les profs, sont censés savoir, eux.
    Ce n’est que plus tard qu’on s’aperçoit de la supercherie. Et encore. L’enseignement reçu fait tellement partie de nous qu’on n’a du mal à admettre que tout est bâti sur le mensonge.

    Ce que dit Obertone est très intéressant et flippant à la fois, sauf pour les casse-cou qui ont le goût de l’aventure. Là aussi on apprend aux enfants puis aux ados qu’ils ont un parcours tout tracé, quasi sécurisé, et on ne leur apprend pas à prendre des risques.
    Quand on veut faire un circuit en montagne, il faut s’équiper sérieusement. Le risque est là, mais on ne fait pas n’importe quoi. Ca s’apprend. Le survivalisme s’apprend… On apprend à avoir des idées, à repérer le danger et comment y faire face … L’instinct vient compléter l’enseignement.
    Et se casser la gueule peut coûter la vie. Il en est de même dans la vie … disons classique, bien sage. Se retrouver à dormir dans la rue, ça ne doit pas tenter grand monde. On peut le comprendre.

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