Pour lire les articles, ouvrez les PDF à la fin du texte. Proposé par Christine G
Source Pièces et main d’œuvre
La prétendue « Transition » (écologique/énergétique/tout-électrique) illustre à merveille le cliché suivant lequel, « il faut que tout change pour que rien ne change » (Le Guépard, 1958). Le « changement » consiste en l’occurrence à coller l’étiquette « verte » sur tout ce qui depuis 200 ans détruit la verdure ; finance verte, industrie verte, technologies vertes, énergie verte, etc. Greenwashing comme disent ceux-là même qui le pratiquent, et en particulier les « Verts », ce parti d’ingénieurs et de technocrates n’ayant de vert qu’une cause dévoyée.
Les premiers épisodes de cette enquête relataient deux siècles de mise au point de la batterie au plomb et l’émergence en France d’un champion industriel – la SAFT (1800-1945). Puis, un demi-siècle de recherches acharnées, pour enfin produire la batterie au lithium, l’indispensable réservoir d’électricité, conçu pour stocker l’indispensable fluide, issu de multiples filières de production (1945-1995). Et enfin, vingt ans plus tard, en 2015, la bascule planétaire vers la Giga-Transition, à l’aide et à l’ère des gigafactories.
Un terme publicitaire introduit par Elon Musk en 2017 pour désigner d’ENORMES usines de batteries, destinées à la Transition – afin de sauver le climat et les générations futures. Notamment dans la « Vallée de la batterie » (Dunkerque, le Blootland), et grâce à Verkor, la start-up de batteries grenobloise. Les « gigafactories », c’est vert aux yeux des Verts et de tous ceux dont l’écologisme se réduit à la décarbonation (limitée) des activités économiques. – Les vaches, non ! Le nucléaire, oui !
On démonte ici les ressorts de ce daltonisme de masse, endémique parmi les foules des « marches pour le climat », dans l’espoir qu’une parole véridique, si odieuse soit-elle, déchire l’hallucination collective et leur fasse dire : « – Mais !… C’est dégueulasse leur Transition ! C’est l’accroissement de la destruction par d’autres moyens ! »
- Au nord de l’énergie
- • Chapitre 1 : Au nord de l’énergie
- • Chapitre 2 : 1945-1995 : 50 ans de « transition »
- • Chapitre 3 : 2015 : Giga-Transition
- Chapitre 4 : L’enfer vert est branché sur batterie
Lire aussi :
• La betterave, la gauche, le peuple et nous
• L’affaire de la pizza infanticide (le crime était industriel)
• Et si on revenait à la bougie ? (Le noir bilan de la Houille blanche)
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Pour l’affaire de la pizza infanticide , le crime était industriel ( 2 morts de huit ans et deux ans vérifiés pour l’instant et tant d’autres non encore dévoilés) mettant en cause le groupe Nestlé , peut-on croire qu’il y aura une réelle condamnation ( prison) des hauts responsables du groupe Nestlé , avec de fortes indemnisations des familles des victimes , quand on sait que Macron a empoché personnellement un pourcentage financier gigantesque en qualité d’employé de Rothschild officiant lors de la signature de l’énorme contrat entre Pfizer et Nestlé ? Ce même pactole explique peut-être son « renvoi d’ascenseur » en faveur de Pfizer lors de la crise du Covid19 , à savoir son acharnement à imposer illégalement au peuple français , par tous les moyens , l’injection du dangereux produit expérimental Pfizer .