Les élections françaises frauduleuses et désastreuses..

Cogito ergo sum : Quelle image déplorable que celle de la France vu de l’extérieur !! Que de corruption, de compromissions acceptées par les uns ou les autres, juste pour que notre pays reste soumis à Bruxelles et Washington, avec l’austérité et la pauvreté en prime, sans oublier les postes bien payés. La France qui était indépendante en énergie grâce au nucléaire (que l’on a saboté), et que l’on nous fait payer à prix d’or, en s’alignant sur le prix du gaz allemand, cette Allemagne qui n’a pas protesté pour la destruction de Nordstream.

Restons en France, ou ce qu’il en reste. Il va falloir régler le débat sur le prochain budget, ça va être sportif ! Les agences de notations sont à l’affût.. La France est en ruine et, les opportunistes de tous bords s’allient pour finir d’achever le travail de sape de la macronie.

L’U-E ? Rester dans cette entité peuplée de non-élu grassement rémunérés (que nous avons refusée en 2005) qui n’a tenu aucune de ses promesses envers les peuples, qui a privilégié la finance et se montre dictatoriale ? Il n’y a pas d’union, il ne peut pas y en avoir au vu des intérêts divergents de chaque pays. Pour sauver la France, il faut sortir de ce piège infernal avant que ses mâchoires ne se referment. On nous prépare, un gouvernement technocratique sans âme, plus de droit de propriété, argent virtuel, carte de “bons points vert-tueuse”, reconnaissance faciale et autres smart cities. “Vous n’aurez plus rien et vous serez heureux” nous a prédit le psychopathe de Davos. Il serait peut être temps d’ouvrir les mirettes, s’il reste encore un peu de courage non ? La liberté ne se mendie pas, elle se prend ! Ce ne sont que quelques pensées matinales en vrac, pas très structurées, il y a tellement à dire.., il doit en être de même pour beaucoup d’entre nous.. Si les gens refusent de se prendre en main, nous ne pouvons plus rien pour eux..

Par Peter Koenig pour Mondialisation.ca

Il semble que dimanche dernier, le 7 juillet 2024, le deuxième tour de l’élection française est l’une des plus grandes fraudes électorales de l’histoire française, peut-être même de l’histoire européenne.

L’ingénierie du vote a procédé de la même manière que lors des élections américaines de 2020, lorsque, selon toute apparence, le président Trump, le républicain, mais surtout l’antimondialiste, a remporté une victoire écrasante. Cependant, le démocrate Joe Biden, un mondialiste facile à acheter, a soudainement remporté la victoire.

De même, en France, le Parti de Madame Le Pen, le Rassemblement national (NR), est appelé injustement par tous les courants comme l’extrême-droite populiste, alors qu’en réalité, Madame Le Pen est principalement une anti-mondiste voulant une nouvelle France souveraine, et non une France soumise à l’Union européenne et, par procuration, aux États-Unis, comme le sont la plupart des membres de l’UE.

Ces élections à deux niveaux, avec un deuxième tour où aucun vainqueur de la majorité absolue au premier tour n’apparaît, sont faites sur mesure pour la fraude. Parce qu’entre les deux élections, les manipulateurs de vote et les ingénieurs électoraux se mettent au travail avec des techniques et des outils bien raffinés, ayant observé le comportement électoral des gens au premier tour.

Ces parallèles peuvent et DOIVENT être notés dans tout le monde occidental.

Ensemble : Brigitte Macron, le baron David de Rothschild, Emmanuel Macron

Il n’y a, bien sûr, comme d’habitude, aucune preuve de manipulation. Pas encore. La sophistication de ce commerce a permis d’acquérir des compétences technologiques extraordinaires en informatique et en intelligence artificielle (IA).

Pourtant, les résultats des élections après le dimanche 7 juillet laissent une très mauvaise impression.. Toutes les chances ont été brisées. Le « Rassemblement national » a excellé avec 34 % des voix au premier tour, juste UNE semaine plus tôt, le 30 juin.

Toutes les prédictions ont donné au NR un grand avantage pour le deuxième tour – même une majorité absolue a été projetée

Cela n’est pas arrivé. Le parti de Madame Le Pen est arrivé troisième après le deuxième vote. Derrière le Parti de coalition du Nouveau Front populaire (NPF) et les Centristes de Macron, Ensemble.

Le soi-disant « recul » du NR, qui n’a remporté que 142 sièges parlementaires (sur 577), a donné, au moins à la surface, au président Macron l’avantage de continuer sur son train en marche mondialiste et surtout sur son odyssée en pleine de-être en pleine état, s’engageant à envoyer des troupes françaises / de l’OTAN en Ukraine pour combattre contre la Russie. Des bottes françaises, certains mercenaires, certains conseillers, sont déjà sur le terrain à Kiev, à Odessa et dans d’autres endroits en Ukraine.

Qu’est-ce que la Russie a fait à la France ? Ou en Allemagne ? Ou au Royaume-Uni ? Ou à l’Union européenne ? Elle n’a fait aucun mal. Elle cherche simplement à nouer des amitiés et des alliances.

En effet, la Russie ne cherche que la paix et les relations amicales – à la recherche d’une normalisation du continent eurasien, une mesure également fortement soutenue par le président chinois Xi Jinping. Les présidents Poutine et Xi souhaitent ardment la paix avec l’Ukraine.. Mais l’OTAN-Occident ne le permet pas, il n’est pas intéressé. Ils veulent davantage de guerre et finalement conquérir la Russie. C’est un rêve ou une quête ridicule de l’Occident, vieux de plus de 200 ans. Ils n’y sont pas parvenus et ils n’y parviendront jamais.

Entre-temps, l’industrie de la guerre devient de plus en plus riche alors que des gens meurent, des familles sont détruites, l’avenir des sociétés est dévasté. Peu importe. L’hégémon et son industrie de guerre doivent continuer à faire de l’argent, et le monde doit continuer à être déstabilisé, et le monde doit continuer à être dépeuplé – et les guerres ne sont qu’un instrument parmi d’autres pour y parvenir..

La politique européenne et les politiciens européens sont malades au point d’être irrécupérables.

L’aile gauche New Popular Front (NPF) a apparemment remporté 188 sièges, mais pas la majorité absolue (289 sièges). En fait, aucune des alliances n’a remporté la majorité absolue.

Le FNP est une coalition souple de plusieurs partis de gauche, allant des socialistes aux Verts, en passant par les communistes et la gauche radicale de la France insoumise, ainsi que d’autres partis mineurs. Quelle est la fiabilité de cette alliance ? Pas très fiable, voire pas du tout.

Il s’agit d’une alliance de fortune qui vise à maintenir le mondialisme et le bellicisme en place ; le vassal du WEF, de l’UE et de Washington soumis à l’hégémon : M. Macron, également appelé « Petit Napoléon ».

Ensemble, le parti centriste d’Emmanuel Macron, a remporté 161 sièges. Pourtant, Macron devrait rester président sans majorité – un président faux et impuissant.

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Qu’est-ce qui ne va pas avec cette situation  ?

Le 30 juin, le rassemblement national qui a remporté 34 % des voix était bien en avance. Le parti de Macron, l’Ensemblecentriste, est arrivé deuxième avec seulement 22 % des voix. Pas de façon inattendue parce que les citoyens français étaient et restent contrariés et fatigués par les politiques mondialistes de Macron, favorisant les immigrants par rapport aux citoyens français, dépensant des milliards et des milliards d’argent des contribuables pour soutenir l’Ukraine, une cause perdue – que n’importe quel écolier aurait pu vous dire dès le début.

Dépenser l’argent français à l’étranger, plutôt qu’à la maison, où les services sociaux et les infrastructures physiques s’effondrent et en auraient cruellement besoin, n’est bien sûr pas très populaire. Pas aux États-Unis, pas dans aucun pays occidental, si vous demandez au peuple, pas aux politiciens corrompus, mais au PEUPLE.

C’est d’ailleurs ainsi que l’Empire romain s’est effondré, et plusieurs autres – en dépensant l’argent national à l’étranger pour des guerres de conquête, tandis que la patrie se décompose et s’enfonce dans le sol.

Peu après le premier tour des élections du 30 juin, les Verts et les socialistes ont affirmé sans ambiguïté qu’ils ne s’allieraient jamais avec les communistes. Et que font-ils ? Pour éviter qu’une coalition du Rassemblement national ne prenne la majorité absolue, ils ont dû recevoir l’ordre, ou être achetés pour collaborer avec les communistes. Mais comme nous l’avons déjà dit, il ne s’agit pas d’une alliance stable.

Au moins, le premier ministre de Macron, Gabriel Attal (image à droite), était honnête avec lui-même. Il a démissionné. Plutôt que de travailler dans une alliance malsaine, artificielle et non durable, il a décidé de démissionner. Bravo !

Quelle est la prochaine étape ?

Les rumeurs disent que cette nouvelle France à coalitions multiples sera ingouvernable – et Macron pourrait être contraint d’organiser des élections anticipées. Bien entendu, le pouvoir en place fera tout ce qu’il peut pour éviter qu’en Europe comme aux États-Unis, un anti-mondialiste soit élu. Celui qui veut faire de son pays, le pays du peuple, un partenaire souverain pour d’autres partenaires souverains, n’est pas souhaitable, n’est pas acceptable.

Même si, dans une élection honnête et vraiment démocratique, c’est ce que plus de 90 % des gens veulent, si vous les laissez vraiment et honnêtement choisir. Ils veulent leur propre pays, pas une subordination à Bruxelles et à Washington.

Nous savons maintenant que l’Union européenne a été un essai sur la manière de faire gouverner des peuples et des pays multiples par une seule entité. L’UE aurait pu être considérée comme le précurseur d’un gouvernement mondial unique doté d’une monnaie unique. Et, oui, bientôt entièrement numérisé pour un asservissement total. Tel est le plan. Demandez à Madame Christine Lagarde, actuelle présidente de la Banque centrale européenne (BCE).

Un gouvernement mondial unique avec une monnaie unique – et finalement entièrement numérique – est ce que le peuple n’a jamais voulu, une soi-disant Union européenne – mieux appelée une désunion européenne. L’UE a été imposée aux peuples comme un paradis sur terre avec une monnaie unique, un échange libre et des voyages ininterrompus.

Toutes ces bonnes choses n’ont aucun sens si vous ne pouvez plus décider de votre politique intérieure, de votre politique monétaire, de votre politique commerciale, sans qu’une Unité non élue ne regarde par-dessus vos épaules et ne vous dise ce que vous avez le droit de faire et ce que vous n’avez pas le droit de faire.

C’est exactement ce que nous avons aujourd’hui. Et pas étonnant que Madame Le Pen et sa vision nationaliste anti-mondialiste ne soient pas seulement populaires, elles sont VOULUES PAR LE PEUPLE.

De violentes manifestations de la « gauche » contre les protestations des partisans nationalistes, pour avoir été floués d’une victoire claire, ont marqué la soirée du second tour de la journée électorale du 7 juillet. Ce n’est pas fini. D’autres événements pourraient survenir.

Le dimanche 7 juillet, plus de 30 000 policiers anti-émeutes ont été déployés dans toute la France en prévision d’émeutes. Comment ont-ils su qu’il y aurait des émeutes avant que les résultats des élections ne soient connus ?

Il y a vraiment une odeur de pourriture autour de ces soi-disant élections erronées. Beaucoup parlent de fraude.

Les Français seront-ils les premiers en Europe à dire STOP et à reprendre leur pays ?

Peter Koenig

Lien vers l’article original:

The French Fraudulent Disaster Elections. Peter Koenig 9 juillet 2024

Traduit par Maya pour Mondialisation.ca 

Image en vedette : Célébrations sur la place de la République à Paris le 7 juillet (sous licence CC BY-SA 4.0)

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Peter Koenig  est analyste géopolitique et ancien économiste principal à la Banque mondiale et à l’Organisation mondiale de la santé (OMS), où il a travaillé pendant plus de 30 ans à travers le monde. Il enseigne dans des universités aux États-Unis, en Europe et en Amérique du Sud. Il écrit régulièrement pour des revues en ligne et est l’auteur de  Implosion – Un thriller économique sur la guerre, la destruction de l’environnement et la cupidité des entreprises ; et  co-auteur du livre de Cynthia McKinney « When China Sneezes :  From the Coronavirus Lockdown to the Global Politico-Economic Crisis » ( Clarity Press – 1er novembre 2020).

Peter est chercheur associé au Centre de recherche sur la mondialisation (CRG). Il est également chercheur principal non-résident de l’Institut Chongyang de l’Université Renmin de Pékin.

La source originale de cet article est Mondialisation.ca

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