Dans le paysage actuel de la politique française, un conflit majeur émerge, mettant en lumière la grosse tension entre les agriculteurs et Gabriel Attal.
Ce conflit soulève des questions cruciales sur les enjeux agroalimentaires et l’impact économique de l’agriculture sur l’économie nationale.
Les racines de cette tension se trouvent dans les politiques agricoles de 2024, récemment introduites par le gouvernement. Ces politiques, visant à promouvoir une agriculture durable, ont été reçues avec scepticisme par une partie significative du secteur agricole. Les agriculteurs expriment leur inquiétude quant à la viabilité de ces mesures, craignant qu’elles ne menacent leur sécurité alimentaire et n’augmentent la crise écologique liée à l’agriculture.
Gabriel Attal, en tant que représentant du gouvernement, est au centre de ce débat public sur l’agriculture. Les manifestations agricoles se multiplient, signe d’un malaise croissant au sein du secteur. Les agriculteurs demandent une réévaluation des subventions agricoles européennes et une meilleure prise en compte de l’agriculture et du changement climatique.
L’innovation agrotechnologique est souvent présentée comme une solution potentielle, mais sa mise en œuvre reste complexe et coûteuse. De plus, les tensions politiques en France autour de ce sujet reflètent un problème plus large de politique et société, mettant en évidence les défis de la géopolitique de l’alimentation. Le développement rural est également un facteur clé dans cette équation.
Les régions rurales, qui dépendent fortement de l’agriculture, ressentent profondément les répercussions de ces politiques. Il est impératif de trouver un terrain d’entente pour assurer la prospérité et la durabilité des communautés rurales et agricoles. La grosse tension entre les agriculteurs et Gabriel Attal est symptomatique d’un défi plus vaste, celui de concilier les besoins économiques, environnementaux et sociaux dans le domaine de l’agriculture. Ce conflit est un appel à un dialogue approfondi et à des stratégies innovantes pour forger un avenir agricole qui soit à la fois durable et profitable pour toutes les parties prenantes.
Déjà, d’office démanteler les très grands domaines (après les avoir saisis sans indemnité), pour les redistribuer en lopins plus modestes autour desquels seront rétablies les essentielles (pour de nombreuses raisons) haies. Bien entendu interdire avec énergie de nombreux désherbants, défoliants, OGM plus ou moins évitant les législations actuelles (à la culture ET à la vente), sortir de l’union européenne qui coûte très cher à la France….
Bien entendu ce n’est qu’un début !
Tu sais JClaude, on peut toujours récupérer ces terres, mais elles sont mortes. Il doit falloir des années, et beaucoup de soins, pour les régénérer.
Bonjour,
la FNSEA et les JA sont des vendus à la macronnie et à l’U.E. c’est pourtant clair , et a qui profite le plus cette fameuse PAC………!!le macaron a essayé d’endormir encore une fois le petit peuple aidé de son ange gardien le petit tatall…….l’idéal serait de quitter cette europe dictatoriale
https://www.bfmtv.com/societe/un-mauvais-signal-la-mise-en-pause-du-plan-ecophyto-sur-les-pesticides-indigne-ong-et-agriculteurs-bio_AP-202402020281.html
Youpi, on met en pause la limitation des pesticides, c’est nos gentils agriculteurs qu’on aime tant qui vont être heureux. Ils vont pouvoir nous gaver de glyphosate et autres néonicotinoïdes pour gagner plus de sous.
Merci, amis agriculteurs qui nourrissez la France pour vivre confortablement de votre activité de pollueurs de nappes phréatiques, rivières et océans, de tueurs d’abeilles et d’empoisonneurs pourvoyeurs de cancers et d’infertilité.
Salut Radagast
sans pesticides c’est quand même mieux, mais avec tout ce qui est balancé depuis 70 ans par épandages chimiques des ‘avions’ même le dit ‘bio’ ne l’est pas. Plus rien n’est ‘naturel’ depuis bien longtemps. Je ne parle plus des trainées chimiques et de la géo-ingénérie climatique depuis des lustres car ça ne sert à rien. L’éléphant au milieu du salon semble convenir à ceux qui ne veulent pas voir. Avec la transition des genres et les pesticides ; avoir un 3 ème bras qui pousse sera normalisé, et gare à ceux qui émmètront des remarques ^^
Oui Stéphane, mais 1+1=2. Je veux dire par là qu’il est vraiment inutile d’en rajouter. Tu ne crois pas ? Cette limitation en pause, me scandalise aussi. Il faut voir que, si on soutient les agriculteurs face au gouvernement, leurs revendications (toujours plus de facilités) me scandalise. On pollue sans vergogne ! De plus les fossés ne sont pas entretenus – il n’y a pas que les haies – ce qui génère des inondations aux premières grosses pluies. leurs récoltes sont foutues, ils réclament des indemnités alors que ce sont les assurances qui devraient s’en occuper, sauf que … peu d’entre-eux sont assurés. Ça coûte trop cher. On peut le comprendre, sauf que c’est nous qui payons les indemnités. Bref, du soutien oui, mais pas que …
Rien n’arrive par hasard,
– Les paysans qui pratiquent une “autre agriculture dite bio”(simplement historiquement conventionnel), refusent depuis le début de se joindre au mouvement de contestation actuel.
– Donc, l’immense majorité des manifestants sont les fils de ceux qui par leurs pratiques “révolutionnaires à haut rendements” ont fait crève la paysannerie traditionnelle.
…Puis racheter leurs terres à bas cout, bien sûr.
– Mais quand tu pactises avec le diable, il faut t’attendre à un retour de flamme, un jour ou l’autre
Certes, tu finis carbonisé après les autres. Mais malgré tout, tu finis carbonisé comme les autres.
…Et si tu y échappes, le diable viendra chercher ton fils.
Nous y sommes !
—-
PS : La plupart des manifestants ne veulent pas d’une autre agriculture.
Ils veulent simplement plus de facilités pour continuer comme avant voir en plus facile. Plus de méga bassine, Rond-up, néonicotinoïde, engrais, gas-oil détaxé et moins de haies de fossés, de zones humides, de ruisseaux et surtout moins de contraintes environnementales…
Bien sûr Biquette qu’il faut soutenir les petits paysans qui n’ont pas le temps d’aller brasser du vent. Et aider les petits producteurs qui nous nourrissent sur les marchés. Faire au mieux. Mais tous ces râleurs avec leurs gros tracteurs qui disent qu’ils n’ont pas d’eau et arrosent la route l’été, qui éventrent leurs terres à coups de charues sans respecter les sols, qui sans vergognes pesticident et ensuite viennent chouinner pour leurs avantages réduits, méritent ce qui leurs arrive. Je comprends l’entre aide, les cultures raisonnées, et le changement raisonnable.
Nous payons le prix de la soumission volontaire de la masse esclave par choix. La servitute volantaire à un prix.
Désolé je n’ai pas les mots et ce serait trop long.
L’entre aide, le partage, l’échange de savoir sans but lucratif. Voilà ce qui peut fonctionner. Ça marche dans de petits groupes qui ont compris, mais c’est tout. Tant que toute l’humanité ne sera pas ‘au pied du mur’, cela continuera. Donc advienne que pourra.
J’ai peut-être fait un hors sujet ^^ lol désolé 😉
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