Source FRANCE-SOIR
SANTE – Depuis le 4 janvier 2024, une étude publiée dans une revue à comité de lecture a fait l’objet d’une promotion intense dans les médias par le Professeur Molimard, de l’université de Bordeaux. Elle conclut faussement que 17 000 personnes hospitalisées seraient décédées de la prise d’hydroxychloroquine dans six pays et que ce chiffre pourrait être sous-estimé ! Une conclusion reprise par les médias à l’unisson sans vérification aucune et ce, malgré les nombreux commentaires dans la communauté scientifique.
D’un côté, un des auteurs, Jean-Christophe Lega, et Mathieu Molimard vantent les mérites de cette étude, faisant fi des objections avancées sur Pubpeer (réseau social de commentaires scientifiques) ou sur X alors que les autres auteurs de l’étude, Alexiane Pradelle, Sabine Mainbourg et Emmanuel Massy, sont aux abonnés absents. Un des proches de ce petit monde, qui connaît bien Sabine Mainbourg, déclare : “Elle s’est éloignée de Lega après lui avoir servi de caution pour ses articles sur les méta-analyses. En échange elle a eu le poste qu’elle convoitait.”
De l’autre côté, dans la communauté scientifique, beaucoup considèrent cette étude comme une fraude équivalente à celle du #LancetGate, une étude frauduleuse dans la prestigieuse revue médicale The Lancet en mai 2020, avant d’être rétractée 15 jours plus tard – c’est cette étude qui avait mené à la suspension de l’usage de l’hydroxychloroquine comme traitement contre le Covid. Depuis le 5 janvier 2024, les médias dominants ont beaucoup donné la parole à Mathieu Molimard et à Jean-Christophe Lega, de l’université de Lyon 1, mais sans contradicteur face à eux, alors qu’Alexiane Pradelle, principal auteur de l’étude, ne semble pas disponible pour la commenter. Contactés par France-Soir, Sabine Mainbourg et Emmanuel Massy, deux autres auteurs, n’étaient pas non plus disponibles pour répondre.
Le 8 janvier 2024, une ”letter of concern” préparée par neuf scientifiques, dont les Professeurs Perronne et Zizi, a été soumise à l’éditeur en chef de la revue Biomedecine & Pharmacotherapy. Deux semaines après son envoi, le statut de cette lettre est toujours ”chez l’éditeur”, indique un de ses auteurs. Xavier Azalbert rappelle les devoirs d’un directeur de publication qui se doit de modifier un article ou au moins mettre un avertissement dès lors que « le directeur de la publication est mis au courant d’un problème avec l’article« . Rien de cela n’a été fait. Et les médias continuent à en parler comme si de rien n’était.
L’étude Pradelle repose sur une modélisation mathématique complétement fausse. Ceci a été démontré par les chercheurs et maîtres de conférence Vincent Pavan et Emmanuelle Darles lors de la réunion du 18 janvier 2024 du Conseil scientifique indépendant. Conformément aux principes de l’éthique des publications scientifiques (COPE), Vincent Pavan, Emmanuelle Darles et Xavier Azalbert se sont évertués à soulever la manipulation des données menant à la fabrication des résultats. Vincent Pavan est même allé un cran plus loin en montrant que le modèle mathématique utilisé est non seulement faux, mais que son usage démontre le peu de compétences des auteurs en mathématiques. Le 21 janvier 2024, le doyen de la faculté de Namur, le Professeur Dogme, publiait un commentaire sur le site de preprint MedRix attaquant le point central de cette étude, l’extrapolation grotesque du risque associé à l’usage d’hydroxychloroquine à partir d’études intégrant un haut dosage de ce produit, confirmant ainsi les analyses de Pavan, Darles et Azalbert.
Voir la vidéo complète du CSI :
Le professeur Molimard, interpellé à plusieurs reprises sur X par Xavier Azalbert, n’a jamais vraiment répondu aux questions et l’a même bloqué ! Autant pour le dialogue…
A la fin de la présentation de ce faux modèle, Vincent Pavan a appelé « à la mise en retrait médiatique totale” du Pr. Molimard qui n’a pas le niveau en mathématiques d’un étudiant de classe de première. Tous les participants au CSI se sont interrogés sur le rôle de Mathieu Molimard dans la pharmacovigilance, notamment concernant les vaccins. Pavan, Darles et Azalbert appellent à un “audit indépendant des données de pharmacovigilance de la vaccination anti-Covid” qui, au même titre que les données de mortalité toutes causes par statut vaccinal et tranche d’âge demandée par le Pr. Toubiana, n’ont jamais été diffusées.
Contactés par Xavier Azalbert, ni Fréderic Fleury, président de l’université de Lyon 1, ni Dean Lewis, président de l’université de Bordeaux, n’étaient disponibles pour répondre à quelques questions essentielles. Une copie de la lettre aux deux hommes a été adressée à Sylvie Retailleau, ministre de la Recherche et de l’Education supérieure. La voici :
Ce monsieur Molimard est coutumier des attaques contre les médecins qui ont tenté de soigner avec l’hydroxychloroquine, les antibiotiques à large spectre, l’ivermectine etc. Le fait que ces médecins aient réussit à sauver des vies devait à tout prix être démolit à coups de fausses études, de vitupérations mensongères sur les médias collabos mainstream si les grands labos voulaient pouvoir placer leurs vaccins à ARN messager.
Aujourd’hui il faut à tout prix cacher l’hécatombe des effets secondaires de ces mêmes vaccins qui ont tué ou mutilé des dizaines de milliers de personnes avec la collaboration des médias et des politiques corrompus.
Pensez vous donc si le peuple se doutait de ce crime contre l’humanité c’est tout le gouvernement qui sauterait ainsi que de nombreux journalistes et médecins collabos.
Il faut donc à tout prix maintenir le mensonge et crucifier les gens qui ont eut raison.
Voilà la triste réalité : on nous abreuve de contrevérités, de mensonges servis par des journalistes et médecins qui ne méritent même pas leurs diplômes. Et nous sommes gouvernés par des politiciens corrompus qui ne pensent qu’à leur propre intérêt et à celui de leurs copains des multinationales qui les paient grassement pour leurs traitrises à répétition.
Bonjour .
Sans parler de la »masse » obéissante (complice), qui ne veut pas voir par égo ou bêtise, qui ne peux accepter d’avoir été berné par leurs sacro-saints médias et tous ces pseudos spécialistes de pacotille.
Je me demande juste combien lui a rapporté sa propagande scientiste.
Vous vous souvenez sans doute de cette bagarre contre l’hydro… On en a donné à forte dose à des personnes qui étaient déjà en fin de vie covid. Alors il est certain qu’elles allaient mourir. Si on prend de l’aspirine à forte dose, on a des « chances » d’y laisser sa peau. Ou n’importe quel produit.
Encore un mensonge de plus. Mais .. on a l’habitude !