La face cachée de l’écologie | Kerlirzin, Stoquer, Bussaglia [LJGP#7]

Pour ce 7ème épisode du Libre journal de Géopolitique Profonde, Thibault Kerlirzin et Andy Bussaglia étaient les invités de Nicolas Stoquer.

Le Grand Angle de cet épisode de LJGP sera centré autour d’un sujet passionnant : l’écologie politique et l’instrumentalisation de celle-ci par l’élite occidentale.

Thibault Kerlirzin est un consultant en stratégie d’intelligence économique. Il est l’auteur de plusieurs ouvrages et rapports sur le rôle et l’influence des ONG, des lobbies et des acteurs financiers dans la gouvernance mondiale. Il est également le cofondateur de Soros Connection et de Davocratie, deux sites web qui décryptent les réseaux et les agendas cachés derrière les discours officiels.

Davocratie est un site web qui dénonce la “davocratie”, un concept politique qui désigne le régime dans lequel le monde de la finance dispose du pouvoir souverain, en s’appuyant sur des organisations non élues comme le Forum de Davos, les ONG écologistes ou les fondations philanthropiques. Il propose des analyses, des cartographies et des entretiens pour révéler les intérêts et les stratégies de ces acteurs qui prétendent agir pour le bien commun, mais qui servent en réalité une vision hégémonique et totalitaire du monde.

L’écologie est l’un des thèmes majeurs de la davocratie, qui utilise le changement climatique et la protection de l’environnement comme des prétextes pour imposer des normes, des taxes, des sanctions et des contraintes aux pays et aux populations qui ne se plient pas à leur volonté.

L’écologie est ainsi devenue une arme de domination et de manipulation, qui vise à réduire la souveraineté des Etats, à entraver le développement des pays émergents, à favoriser les intérêts des multinationales et à instaurer un contrôle social et comportemental sur les individus.

Dans ce 7ème épisode de LJGP, Thibault Kerlirzin aborde les enjeux et les conséquences de cette écologie politique, qui se cache derrière des slogans comme “sauver la planète” ou “faire la transition écologique”.

Vous verrez comment la davocratie utilise des instruments financiers, juridiques, médiatiques et scientifiques pour imposer sa vision du monde et ses solutions, qui sont souvent inefficaces, voire contre-productives, pour résoudre les problèmes environnementaux.

GÉOPOLITIQUE-PROFONDE

Franck Pengam (Géopolitique Profonde)

Un Commentaire

  1. Membre d’une association écologiste il y a quelques années, dès l’avènement des Verts politiques, j’ai réalisé que le ver était dans le fruit et j’ai quitté rapidement sentant une dérive amorçée dans les années 90. Les associations se sont quasiment effondrées reprises en mains et on virait ceux qui étaient sans parti-pris. Pas étonnant qu’il y a eu une récupération politique nauséabonde qui délesté l’écologie environnementale pour aller sur le terrain de la gauche sociale et exclure ceux qui n’étaient pas de purs et vrais gauchos. Je ne suis donc pas à convaincre de leur nuisance typiquement technocratique.

Les commentaires sont clos.