L’horreur qui vient, par H16

Souhaitons que ce scénario malheureusement probable, reste dans le domaine des hypothèses. Pourtant, ceux qui sont au courant des techniques de manipulation, savent qu’ il est d’autant plus facile d’instiller la peur, quand les gens sont abreuvés chaque jour par les horreurs commises sur notre territoire, et mises dans la case ‘faits divers”, pour en minimiser l’impact.

Par H16

H16

Les autorités redoutent un attentat d’ici la fin de l’année. Elles l’ont d’ailleurs très médiatiquement fait savoir, tant du côté européen que du côté français afin que toute la population soit correctement transie d’inquiétude et de méfiance pour la période des fêtes.

Et donc, que ce soit le résultat d’une action préparée de longue date restée discrète voire secrète au point d’échapper aux renseignements policiers, ou qu’il s’agisse d’un événement quasiment improvisé, selon toute vraisemblance, les prochaines semaines ou, plus probablement, les prochains mois verront un nouvel événement terroriste en France.

Notons que tout aura été fait pour, et qu’on pourra raisonnablement écarter tout hasard dans la préparation des conscience tant est difficile à cacher la volonté pour une bonne partie des politiciens d’importer avec gourmandise le conflit israélo-palestinien en France. Ici, on comprend bien évidemment la mécanique politique à l’œuvre : toute nouvelle tension, toute nouvelle bouffée d’horreur en France servira essentiellement à accroître les prérogatives de l’État et des gens qui le gouvernent, et tout événement violent sera prétexte à accroître les possibilités offertes à ces derniers de pressurer la population, de la museler et de la contraindre dans le sens qui leur plaira.

Il n’y a guère besoin d’extrapoler. Même quelque chose de relativement bénin (voire festif selon certains) comme les Jeux Olympiques d’été permet d’illustrer le point : ces célébrations dispendieuses, largement coupées des préoccupations directes de l’écrasante majorité de la population, servent déjà à passer nombre de lois et de décrets afin de transformer la capitale en véritable enfer carcéral pour ses habitants, et à mettre en place des mesures (notamment numériques) dont on sait qu’elles perdureront bien au-delà de leur raison initiale.

Dans ce contexte, il est facile de comprendre que n’importe quel attentat un peu plus large qu’un simple échange de coups de couteaux (qui ne ferait qu’attiser ce que la classe jacassante appelle maintenant hypocritement l’ultradroite) pourra servir d’une part à terroriser la population (ou tout faire pour) et d’autre part à renforcer le contrôle policier… sur ceux qui pourraient trouver la situation un peu saumâtre et vouloir se défendre (encore l’ultradroite, comme par hasard).

Il semble donc évident qu’un événement majeur, avec à la clé plusieurs (dizaines ?) de morts aura lieu dans les prochains mois, disons pour donner une idée, d’ici Noël 2024. Quelque chose comme ce qui s’est passé en Israël où des villages entiers furent attaqués par de petites troupes de terroristes.

Cela n’a absolument rien de farfelu puisqu’on en a déjà l’ébauche germée dans les cerveaux manifestement sous-dimensionnés de quelques individus qui ont, fort heureusement, réussi à se faire gauler : « On passe à quatre ou cinq, armés, tu tues tout le village en une seule nuit, c’est facile, je te dis que tu peux faire ça, c’est facile ! »

On devra se demander pourquoi les autorités ont jugé bon de faire connaître médiatiquement ces projets d’attentats de ces soi-disants “réfugiés” mais il est clair que ce faisant, outre disséminer l’idée encore un peu plus, cela permet d’établir un précédent, à toutes fins utiles. Dès lors, on peut imaginer que d’autres, un peu plus finauds que ces pieds nickelés du djihadisme, s’organisent déjà avec une meilleure discrétion. Peut-être ceux-là acquièrent-ils lentement des armes personnelles, chacun dans leur coin, la filière ukrainienne servant sans nul doute à les fournir et, un petit matin, ou un soir, ils choisiront de passer à l’action de manière individuelle selon un plan préparé à l’avance et discuté hors des réseaux numériques les plus écoutés.

On imagine sans mal qu’ils débouleront dans l’un de ces villages tranquilles où la gendarmerie est sous-équipée et en sous-effectif chronique d’autant plus que la commune, sans barres HLM, sans racailles et sans gentils clandestins, est très calme et ne nécessite donc que peu de services de proximité que l’État n’a de toute façon aucune volonté de maintenir localement. Les dégâts (en nombre de morts, en blessés) y seront logiquement élevés.

Ceci n’est qu’un scénario possible mais au vu du nombre de candidats potentiels à ce genre d’action, au vu de l’état général des services de renseignements en France, au vu de la compétence moyenne de nos autorités, on avouera que ce n’est pas le scénario le plus fou fou non plus.

On peut aussi garantir que l’action des forces de l’ordre sera spectaculairement foireuse pendant un bon moment avant de pouvoir les stopper. Peut-être même une partie des perpétrateurs pourra – comme par hasard – s’enfuir dans la nature.

Pour donner un ordre d’idée, une poignée d’attaquants, cinq ou six (soit seulement trois de plus qu’au Bataclan) peuvent faire des dizaines de morts et de blessés dans une poignée de villages. À quelques dizaines, le massacre serait rapidement monstrueux face à des populations qu’on a, volontairement et largement, habituées à dépendre totalement de l’État pour sa sécurité, dont on a patiemment limé les dents, les griffes et toute envie de combattre à coup de lois scélérates diminuant toute possibilité d’auto-défense, de (dé)moraline en baril distribuée tous les soirs sur les ondes, et de prunages vexatoires pour la moindre hausse de sourcil un peu trop rapide.

Ici, parier sur l’incompétence totale des autorités françaises à réagir rapidement et efficacement dans ce genre de terrible contexte n’est même pas un pari osé, c’est malheureusement le moins risqué. Du reste, les attentats du 13 novembre 2015 ont amplement montré la désorganisation des forces d’intervention et des autorités. Qui imagine que l’équipe actuelle serait soudainement plus affûtée que celle d’alors ?

En revanche, on peut garantir la bonne compétence de la même brochette pour la récupération d’un tel événement, afin de poser les derniers jalons, les plus sévères, les plus lourds et les plus définitifs d’un véritable État-policier, c’est-à-dire une dictature parfaitement étanche. Cela ne fait aucun doute.

En réalité, c’est précisément pour cela que la menace d’attentats a été clairement annoncée urbi & orbi par nos autorités, l’apeurement des populations étant un des effets directs recherchés. C’est pratique, une population apeurée : bien préparée à une horreur qu’on a quasiment vendue comme inévitable, elle sera à point lorsque l’horreur surviendra.

Quelques centaines de morts d’un côté, un pouvoir quasi-illimité de l’autre : pour des élites parasitaires et parfaitement dénuées de tout scrupule, le calcul est vite fait et la question de la marche à suivre, “elle est vite répondue” pour des dirigeants qui sentent leur fin inéluctable sans la mise en place d’une poigne de fer contre le peuple.

En fait, il n’y a guère lieu d’épiloguer. Gérard Collomb, dans un rare moment de lucidité que permet l’abandon de la politique, expliquait au sujet de certaines populations qu’on vivait actuellement côte à côte, et qu’on risquait vite “de se retrouver face à face”.

Nous y sommes.

H16

Volti

21 Commentaires

  1. une attaque sur les villages français, c’est ce que j’avais dit aussi mais vivant moi même a la campagne, peu de gens trouvent ça plausible ici car tout le monde est armé, et la plupart savent très bien viser , de plus en terme de nombre de victimes ce n’est pas le meilleur endroit pour un terroriste et il faut étudier le terrain.. oui un stade où des écoles seront des cibles de 1er choix ..des parcs etc …

    • On ne doit pas connaitre la même France rurale !

      – Bien moins d’un français sur 10 à de quoi se défendre par arme à feu.
      Sans compter qu’à la maison, la réglementation interdit le stockage des armes avec leurs munitions. De plus, les armes doivent être stockées dans un coffre fort fermé à clé.
      – Bonjour le temps de réaction pour mettre en action sa défense !https://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_wacko.gif
      Surtout si ces “mercenaires sous faux drapeaux”, qualifiés de terroristes, sont équipés de modérateur de son.
      Modérateur qui sont de plus en plus à la mode sur tous les terrains d’opérations.

      – Sans parler de l’effet de surprise et de la panique qui s’en suit….

  2. – C’est aussi mon scénario privilégié…depuis le Bataclan.
    – Car, effectivement il ne suffit pas de terroriser les villes. Il faut aussi que le monde rural soit directement impacté.
    Les français, moutons apeurées qu’ils sont devenus , n’ayant à leurs yeux plus aucune échappatoire possible, se soumettront à toutes les restrictions de liberté…”pour leur bien”.

    Si vous avez un doute, pensez Covid.https://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_cry.gif

  3. bonjour.Pour imposer le transhumanisme/transgenre/malthusianisme ils leurs faut imposer la déconstruction/destructuration : attentat sous faux drapeau virus synthétique fausse monnaie (taux négatif) jeux vidéos avec une école qui n’apprends pas réfléchir raisonner juste faire le mouton

  4. Le système d’oppression occidental repose sur la coercition mentale en jouant sur les peurs structurelle généalogiques .Ainsi de faire croire aux gens que l’idéal autoritaire est inévitable car de penser de facon autonome contraire au narratif officiel etait dangereux et que cela conduisait a la dictature: la piquouse sauver la démocratie de zelensky et depuis 2001 notamment . Dixit Edward Bernays “La manipulation consciente et intelligente des habitudes et des opinions organisées des masses est un élément important de la société démocratique. Ceux qui manipulent ce mécanisme invisible de la société constituent un gouvernement invisible qui est le véritable pouvoir de notre pays.”double neveu du psychologue Freud

  5. Les terroristes en France ? Leur chef travaille place Beauvau à Paris, et eux n’ont aucun problème d’interdiction et d’approvisionnement d’armes létales et de munitions.

  6. La situation est de toute façon déjà extrêmement grave par rapport à notre peuple. Le niveau de haine qui règne contre nous est terrible, le racisme anti-Français a quelque chose d’effrayant. Je mets ici les liens vers un fait divers extrêmement grave qui indique où nous en sommes. Il ne sera pas difficile de convaincre les communautés ethniques à qui l’on a appris à tant nous détester de commettre l’inacceptable face à nous. Voici un article qui explique la situation : https://www.ouest-france.fr/auvergne-rhone-alpes/lyon-69000/adolescente-agressee-a-lyon-une-plainte-pour-viol-serait-a-lorigine-des-faits-86f12798-9c0e-11ee-83ae-1fd73f8e6449# et la vidéo en question, attention, les images sont très dures : https://crowdbunker.com/v/LUXP5fvXyQ
    Il nous faut mettre en place des structures d’auto-défense et de vengeance face à nos ennemis, d’où qu’ils viennent.

    • La solution, la vraie justice, la vengeance jamais.

      • Si je puis me permettre, qu’y a-t-il de négatif avec la vengeance? Elle est la façon populaire de faire régner la justice sans mettre un flic derrière chaque citoyen. Elle est la façon non-institutionnalisée de garantir la sécurité : si j’attaque un individu, je prends des risques. La vengeance a une fonction dissuasive. Les immigrés aujourd’hui nous manquent de respect en permanence parce qu’ils savent qu’il ne va rien leur arriver.

        Les sociétés traditionnelles possédaient de multiples moyens d’arrêter le cycle de la vengeance. Ce n’est que lorsque l’État a commencé à les désorganiser que ces mécanismes ont été cassé, donnant naissance à l’image d’Epinale que nous connaissons de la vengeance infinie qui ne s’arrête jamais. De plus, les philosophes des Lumières, qui étaient des pourris anti-peuple, ont disqualifié la vengeance avec des arguments dont nous payons le prix aujourd’hui. Disqualifier la vengeance revient à empêcher le peuple d’assurer sa propre sécurité parce qu’on n’a pas confiance en lui. Or, c’est exactement le contraire : c’est quand on fait confiance au peuple, quand on le met en confiance, qu’il est beau.

        • – La vengeance est le fruit d’une réaction de l’affect sans garde fou.

          Si vous estimez que chaque individu est amène de faire justice personnel en s’affranchissant de toute proportionnalité en une norme sociale reconnue et suivi par tous, alors oui, prônez la vengeance.

          Mais le jour où l’autre fera vengeance, n’oubliez pas qu’il est lui aussi animé d’un noble et justifié sentiment à votre encontre…

          • Bonjour, oui, votre position est celle des Lumières. C’est bien sûr une caricature qui n’a existé que dans les sociétés traditionnelles en voie de désorganisation par une structure étatique. Vous reprenez l’antienne qui oppose les passions à la Raison, bref, je ne veux pas être blessant mais vous adoptez toutes les tartes à la crème de la doxa.

            Réfléchissez loin de la pensée de nos maîtres et vous verrez qu’on ne peut s’en sortir qu’en faisant confiance au peuple. En attendant, votre position fait que vous n’avez plus qu’une solution : attendre l’arrivée de la police pour vous défendre. Je pense que dans l’effondrement qui a commencé, les postures de tout un chacun se dévoilent avec radicalité. Ainsi, si l’on va au bout de votre posture, vous préférez le système carcéral à la justice populaire. Vous ne voyez pas que la catastrophe est aujourd’hui et pas hier, et vous n’analysez pas les causes d’une situation que l’idéologie dominante vous empêche de constater.
            Dieu se moque des gens qui détestent les conséquences des causes qu’ils adorent.

      • Coucou Engel(s)

        Ce n’est pas une vengeance, c’est une punition ! LOL

        Akasha.

      • Qui peut simplement prétendre assurer la vraie justice ? On a appris à constater que celle-ci dépend au moins en partie de la Culture du milieu où l’on vit….

        • Mais enfin, c’est une évidence! Il faut se pencher sur la justice moyen-ageuse, où la loi n’existait pas, seulement la coutume, ce qui fait que le système était beaucoup plus juste dans la mesure où les règles étaient décidées par le peuple local, à partir de ses pratiques. Avec la loi, une règle uniforme décidée par le pouvoir s’applique sur le territoire qu’il domine, au détriment de tous les particularismes.

          L’expression de “vraie justice” n’a aucun sens. Il y a bien quelques règles universelles comme l’interdit de l’inceste ou de l’assassinat ou la nécessaire égalité, excepté cela, tout est dans les mains du peuple. Tout le contraire de la fausse justice actuelle qui protège les coupables et condamne les victimes.

          • Si je puis me permettre, vous affirmez :

            “Tout le contraire de la fausse justice actuelle qui protège les coupables et condamne les victimes.

            Donc, comme rien ne saurait éxister sans son contraire, vous reconnaissez obligatoirement que par opposition “à fausse justice”, il existe une “vraie justice”.https://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_whistle3.gif
            …Après quelle soit bonne ou mauvaise et une autre affaire.

            • Vous tergiversez! La fausse justice est celle qui ne correspond pas à la morale populaire. Il n’y a donc pas “d’absolu” de la justice, juste une adéquation entre la justice et la morale. Exactement le contraire de ce à quoi la justice bourgeoise nous soumet aujourd’hui. Ce n’était quand même pas bien compliqué de comprendre cela de ce que j’ai écrit plus haut, vous exagérez à me faire prendre ma plume pour des broutilles comme celle-ci!

        • Mon chère Jclaude,

          Comme d’habitude, tu ne lis pas pour comprendre mais pour interprètes à travers ton prisme personnel.

          Je n’ai pas parlé de “bonne ou mauvaise” justice par rapport à une morale ou à une vérité révélée

          J’entends par “vraie justice” la justice reconnue par la population au lieu où elle est pratiquée.
          Forme sociale qui est en opposition totale avec la notion de vengeance qui est du ressort du personnel, tant en sa justesse, sa nécessité, son application et son intensité.

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