Macron battu au premier tour de l’élection présidentielle 2022

Cet article est une copie de celui publié sur mon blog.

La réalité

Tous les médias caracolent : « Macron premier avec 27 % des voix. »

Mais il n’en est rien. Tout comme en 2017, Macron a été battu à plate couture par… l’abstention. Voici la réalité des chiffres qu’aucun média ne présente :

L’abstention, à laquelle j’ai ajouté les votes blancs et nuls. Ceux-ci ne sont pas non plus comptabilisés par les médias, ils représentent environ 2 %.

C’est là que l’on voit toute l’aberration du système électoral français. Quelle que soit l’issue du deuxième tour, le président en exercice bénéficiera du soutien d’à peine un cinquième de la population. Par ailleurs, le troisième candidat, d’un poids semblable aux deux autres n’a plus qu’à… se taire, comme ses électeurs.

Certains pointent du doigt les abstentionnistes : ce sont de mauvais citoyens, la racine du mal à cause desquels Macron risque d’être réélu. L’abstention, tout comme le vote blanc ou nul, est pour certains tout simplement la manifestation d’une résistance. Tout comme le fait de ne pas s’inscrire sur les listes électorales peut être un acte politique. C’est un refus de participer à la mascarade du système.

Il existe pourtant des alternatives simples à ce système aberrant. L’une d’entre-elles s’appelle le « jugement majoritaire ».

Le jugement majoritaire

L’Institut Rousseau a récemment conduit une étude sur le jugement majoritaire :

Tout d’abord, le premier constat est qu’une large portion des personnes interrogées sont favorables à l’instauration du jugement majoritaire :

Proportion de personnes interrogées en faveur ou non de l’instauration du jugement majoritaire.

Des résultats surprenants

Mais en allant plus loin, les résultats du sondage peuvent surprendre : Macron est deuxième, derrière… Valérie Pécresse.

Sondage prédisant les résultats de l’élection présidentielle si celle-ci était votée au jugement majoritaire.
Source : Institut Rousseau

Ne nous voilons pas la face : ces deux candidats feront exactement la même politique. Alors, au vu de ce résultat, on peut clairement se demander : est-ce que ça vaut vraiment la peine de changer de type de scrutin pour élire Françoise à la place de François ?

Un garde-fou nécessaire

On peut avoir une autre lecture de ce résultat. En effet, dans le scrutin actuel, il y a bien une clause qui impose la majorité absolue pour qu’un président soit élu. C’est une mesure d’apparat puisqu’au deuxième tour il n’y a que deux candidats, et seuls sont comptés les votes pour l’un ou l’autre.

Dans le cas du jugement majoritaire, on pourrait parfaitement envisager une règle stipulant que le candidat choisi obtienne au moins une mention « assez bien » pour être élu. En effet, dans le sondage de l’Institut Rousseau, Pécresse est celle qui rassemble le plus de suffrages, mais avec une mention… « passable ». Par ailleurs, le sondage a eu lieu en décembre 2021, il y a fort à parier que les résultats ne seraient pas les mêmes mi avril 2022, vu la campagne déplorable de cette candidate.

En mettant en place ce garde-fou, seul un candidat ayant au moins un support populaire décent pourrait être élu. Si personne ne fait l’affaire au premier tour, alors tous les candidats sont écartés et la campagne repart avec de nouveaux candidats.

Évidemment, on peut craindre que personne ne puisse contenter globalement les Français. Mais qu’est-ce qui est préférable : choisir au petit bonheur la chance un candidat qui ne satisfait pas grand-monde, comme c’est actuellement le cas, ou bien tenter de faire mieux ?

Le système des partis

En réalité, tout cela provient en premier lieu du système des partis qui implique d’être d’accord sur tout ce que présente le parti.

Écoutons un personnage de mon roman, « Le Président Providentiel » :

« La meilleure preuve, c’est que les Verts soient un parti. L’écologie devrait être au cœur du débat de tous les partis. On cloisonne totalement les idées au sein d’un parti. Au lieu de proposer les idées à la carte, on propose un menu 100 % poisson ou bien un menu 100 % viande. Si vous voulez du poisson en entrée mais de la viande en plat principal, c’est impossible. Ou bien on vous présente un menu végétarien dans lequel la seule boisson comprise est une bouteille de vin. Si vous voulez du jus de fruit, vous n’avez pas le choix, ça sera une bouteille de vin. Et on vous oblige à la boire ! Présenté comme ça, ça semble totalement absurde, c’est pourtant ce que font les partis politiques avec les idées. Jusqu’au point où si vous êtes écologiste alors vous devez forcément être d’accord sur tout le reste, ce qui est totalement farfelu. Vous avez des écologistes qui sont à droite, d’autres à gauche, certains sont pour l’immigration et d’autres contre, certains sont pro-européens et d’autres anti-européens, etc. Ben oui, les idées c’est pas au menu, c’est à la carte ! »

Il s’agirait donc de voter non pas pour un menu, mais pour chaque idée, à la carte. C’est parfaitement atteignable, avec le RIC, plébiscité par plus de 70 % des Français. Ça a une autre dimension que des candidats qui peinent à récolter 20 % !

Une image vaut mille mots :

C’est quand même autre chose, non ?

Conclusion

Les modalités de l’élection présidentielle permettent de nombreuses manipulations pour élire un candidat voulu. Pire encore, elles sont des outils formidables pour engendrer de la frustration et diviser le peuple. « Votez utile, sinon vous êtes des traîtres ! » Le spectacle des « consignes de vote » au deuxième tour est tellement loufoque qu’il vaut mieux en rire.

Mais à chaque fois que nous nous retournons contre nos pairs au lieu de tous tourner un doigt accusateur vers nos bourreaux communs, nous devrions nous poser la question :

Pourquoi ?

Comment en sommes-nous arrivés là ? Au lieu de se battre les uns contre les autres autour d’un problème dont les seules issues qui nous sont présentées ne sont pas des solutions, nous devrions prendre du recul. Sortir du cadre. Le cadre, c’est à nous de le définir.

En réalité, ces pièges ne sont que des techniques de base, le B.A. BA du manipulateur. En psychologie, cela s’appelle une injonction contradictoire, ou double bind en anglais. Il s’agit de présenter un problème et de n’offrir comme « solutions » que des portes de sortie perdantes. Ici, l’électeur est sans cesse tiraillé entre voter contre sa conscience pour être un « bon citoyen » et suivre sa conscience – quitte à ne pas aller voter – mais devenir un « mauvais citoyen ».

Tout psychologue sait que le seul moyen pour sortir de ces situations sans issue est de ne pas accepter les fausses solutions qui nous sont offertes. Il suffit de s’extraire du moule qu’on veut nous imposer.

J’invite le lecteur à lire cet article pour aller un peu plus en profondeur sur cette élection et sur le système de l’élection présidentielle française.

Denis la Plume

38 Commentaires

  1. Si le cirque électoral occupe les esprits d’un grande partie de la population, les oligarques eux, s’il ont décidé de placé une tête plutôt qu’une autre y parviendront sans problèmes. C’est absolument sidérant de voir qu’un pauvre type comme Macron, qui n’a que sa petite rhétorique de vrp de banquier se hisser de nouveau au second tour après avoir été blâmé haut et fort par la majorité de la population française. Le hold-up de la souveraineté française a eu lieu pendant ce dernier quinquennat et la France est morte en tant qu’état nation. Le hold-up des élections est devenu une tradition Rothschildienne!
    A tous les Macronnistes inconscients, je les préviens qu’ils voteront pour la destruction et l’abolition totale de la constitution française et que par conséquent les Macronnistes sont des irresponsables finis!
    Je rajouterais qu’après ce deuxième tour, une haine sans borne pourrait alors se retourner contre les Macronnistes qui n’ont pas vu la réalité de la situation, hypnotisés par les mass merdias!
    Quand à moi je prépare mon passeport pour ne pas avoir à subir une dictature sans foi ni loi en ces contrées maléfiques!

  2. Pourquoi la démocratie est un régimes à proscrire ?
    La démocratie : est une erreur, un leurre, une illusion.
    « Le suffrage universel, considéré à lui tout seul et agissant dans une société fondée sur l’inégalité économique et sociale, dit Mikhaïl Bakounine, ne sera jamais pour le peuple qu’un leurre ; de la part des démocrates bourgeois, il ne sera jamais rien qu’un odieux mensonge, l’instrument le plus sûr pour consolider, avec une apparence de libéralisme et de justice, au détriment des intérêts et de la liberté populaires. »
    Si l’on définit la « démocratie » comme le gouvernement du peuple par lui-même, c’est là une véritable impossibilité, une chose qui ne peut pas même avoir une simple existence de fait, pas plus à notre époque qu’à n’importe quelle autre ; il ne faut pas se laisser duper par les mots, et il est contradictoire d’admettre que les mêmes hommes puissent être à la fois gouvernants et gouvernés, parce que, pour employer le langage aristotélicien, un même être ne peut être « en acte » et « en puissance » en même temps et sous le même rapport. Il y a là une relation qui suppose nécessairement deux termes en présence : il ne pourrait y avoir de gouvernés s’il n’y avait aussi des gouvernants, fussent-ils illégitimes et sans autre droit au pouvoir que celui qu’ils se sont attribué eux-mêmes ; mais la grande habileté des dirigeants, dans le monde moderne, est de faire croire au peuple qu’il se gouverne lui-même ; et le peuple se laisse persuader d’autant plus volontiers qu’il en est flatté et que d’ailleurs il est incapable de réfléchir assez pour voir ce qu’il y a là d’impossible. C’est pour créer cette illusion qu’on a inventé le « suffrage universel »
    Le « suffrage universel », rappelons-le, c’est l’opinion de la majorité qui est supposée faire la loi ; mais ce dont on ne s’aperçoit pas, c’est que l’opinion est quelque chose que l’on peut très facilement diriger et modifier ; on peut toujours, à l’aide de suggestions appropriées (démagogie, sondages, attentats, pandémies, etc.) y provoquer des courants allant dans tel ou tel sens déterminé. C’est ce qu’on appelle la « fabrication du consentement ». Et les médias de masses : presse écrite, TV, radio, cinéma, jeux vidéo, publicité, affichage urbain, sites web, « Wiki », etc., la plupart « subventionnés » à cet effet, aidant grandement à la manœuvre.
    C’est pour cela qu’on a pu dire que « l’opinion, c’est l’erreur du plus grand nombre ».
    On comprend, alors, pourquoi le pouvoir politique se fonde volontiers sur l’ignorance du peuple et s’accroît d’autant que les esprits sont faibles, les gens incultes.
    Il nous faut encore insister sur une conséquence immédiate de l’idée « démocratique » qui est la négation de l’élite entendue dans sa seule acception légitime ; ce n’est donc pas pour rien que « démocratie » s’oppose à « aristocratie », ce dernier mot désignant précisément, du moins lorsqu’il est pris dans son sens étymologique, le pouvoir de l’élite. Celle-ci, par définition, ne peut être que le petit nombre, et son pouvoir, son autorité plutôt, qui ne vient que de sa supériorité intellectuelle, n’a rien de commun avec la force numérique sur laquelle repose la « démocratie », dont le caractère essentiel est de sacrifier la minorité à la majorité, et aussi, par là même, la qualité à la quantité, donc l’élite à la masse. Ainsi, le rôle directeur d’une véritable élite et son existence même, car elle joue forcément ce rôle dès lors qu’elle existe, sont radicalement incompatibles avec la « démocratie », qui est intimement liée à la conception « égalitaire », c’est-à-dire à la négation de toute hiérarchie : le fond même de l’idée « démocratique » c’est qu’un individu quelconque en vaut un autre, parce qu’ils sont égaux numériquement, et bien qu’ils ne puissent jamais l’être que numériquement.
    Une élite véritable ne peut être qu’intellectuelle, et c’est pourquoi la « démocratie » ne peut s’instaurer que là où la pure intellectualité n’existe plus, ce qui est effectivement le cas du monde actuel. Seulement, comme l’égalité est impossible en fait, et comme on ne peut supprimer pratiquement toute différence entre les hommes, en dépit de tous les efforts de nivellement, on en arrive, par un curieux illogisme, à inventer de fausses élites, d’ailleurs multiples, qui prétendent se substituer à la seule élite réelle ; et ces fausses élites sont basées sur la considération de supériorités quelconques, éminemment relatives et contingentes, et toujours d’ordre purement matériel. On peut s’en apercevoir aisément en remarquant que la distinction sociale qui compte le plus, dans le présent état de choses, est celle qui se fonde sur la fortune, c’est-à-dire sur une supériorité tout extérieure et d’ordre exclusivement quantitatif, la seule en somme qui soit conciliable avec la « démocratie », parce qu’elle procède du même point de vue.
    L’argument le plus décisif contre la « démocratie », dit René Guénon, se résume en quelques mots : le supérieur ne peut émaner de l’inférieur, parce que le « plus » ne peut pas sortir du « moins » ; cela est d’une rigueur mathématique absolue, contre laquelle rien ne saurait prévaloir. (La Crise du Monde Moderne, Ch. VI, Le Chaos social)
    Toute élévation du type humain demande un régime aristocratique. La démocratie avilit en abaissant les bons, c’est une tyrannie qui s’exerce par un mouvement de traction morale, de bas en haut ; elle fait descendre, elle empêche les meilleurs de s’élever, elle abat les têtes qui dépassent le niveau des médiocres, empêchant ainsi l’éclosion des types supérieurs, elle supprime le respect et rend les petits insolents.
    Blog : https://livresdefemmeslivresdeverites.blogspot.com/

    • Propose tes textes en article, les pavés dans les commentaires ça sature. Je te l’ai déjà dit 😉

      • Boh, pour entendre raconter que l’aristocratie c’est mieux que la démocratie, et que le pouvoir des élites est supérieur au pouvoir du peuple, autant que ça reste un pavé indigeste dans les commentaires que personne ne lira.

    • « contradictoire d’admettre que les mêmes hommes puissent être à la fois gouvernants et gouvernés »
      Dans une hiérarchie, effectivement, c’est contradictoire. Qui a dit que la hiérarchie à contrôle unilatéral était la seule méthode de gouvernance possible ? Il suffit déjà d’introduire plus de contrôle du bas vers le haut pour que soudain les soit-disant « gouvernés » se mettent eux-mêmes à gouverner les « gouvernants ». Il y a déjà, de manière concrète, des disparités dans les pays du monde, avec des pays plus ou moins dictatoriaux.

      Plus généralement, la manière de prendre les décisions commune est régie par un contrat, qui aujourd’hui s’appelle la Constitution. Tout est possible à partir de là, avec toutes les nuances entre tyrannie et démocratie. Une constitution de type de celle élaborée par les Gentils Virus conduirait véritablement à un peuple ayant beaucoup de pouvoir.

  3. Dans ma proposition de constitution, l’article 7 (devenu 21 dans mon texte) est modifié ainsi :
    Le Président de la République est élu à la majorité des suffrages exprimés. Si le candidat en tête n’obtient pas vingt-deux pour cent plus une voix du total des électeurs concernés, votants ou non, un nouveau scrutin complet est mis en place dans le mois avec de nouveaux candidats.
    .
    Il complète l’article 6 (donc 20)
    Le Président de la République est élu pour neuf ans non renouvelables au suffrage d’un quart des maires de communes par ordre alphabétique. (soit environ 9000 électeurs à chaque fois — sachant que Paris ou Marseille compte pour UNE commune).
    Les modalités d’application du présent article sont fixées par une loi organique

    .
    Pour lire le texte entier, c’est ici
    https://ti1ca.com/cdk7me5o-2022-02-22-2022-02-22.pdf.html

  4. quand moi le petit rien, je vous le disait ;que nous étions pas un peuple! Dans les faits, les « représentants » en France forment une caste à part entière. Ils sont constitués d’individus au statut particulier : les politiciens. Ces gens font carrière en politique, leur fonction est de « représenter ». Ils ne savent rien faire d’autre. Et ils sont sélectionnés au sein d’un club bien privé. Club du Cercle. Young Leaders. Institut Montaigne. Il faut être introduit aux bons endroits et auprès des personnes les plus influentes. Et une fois élu, on voit mal celui qui a accédé à la fonction présidentielle trahir ceux-là mêmes qui l’ont fait élire. le RIC, avec un peux d’eau ,hum !L’une des techniques les plus utilisées est de déformer la réalité. Cela peut arriver, par exemple, lors d’une discussion avec le partenaire. La stratégie «gaslighting» est utilisée pour déstabiliser et faire douter l’autre personne et lui faire croire qu’elle vit dans une réalité imaginaire. les médias sont puissant, les petites gens , font de la politique a la petite semaine, cela demande tu temps sur eux, plus facile de tendre l’oreille, combien ont réellement, lu tout les programmes papiers des candidats ,”J’ai l’impression que rien ne change jamais, ils font de toute façon ce qu’ils ont envie de faire, la gauche, la droite, les extremes, les milieux, tout ça se vaut. C’est devenu du chacun pour soi, les riches s’enrichissent, les pauvres appauvrissent Et marre de ce Systeme ,mais avent de me pendre lollll Je voterais Lepen Marine Et viva la révolution !

  5. Si on suit la logique des chiffres les abstentionniste aurait fait la différence en votant pour tout autres candidats que Macron je sais pas si ce serais moins pire mais lui ne serait pas au 2eme tour, donc désolèe de le dire aussi cruement mais les Français n’auront que la politique qu’ils méritent car c’est facile de gueuler au bistrot et de ne pas se rendre aux urnes pour renversé la vapeur.

    • Ciao bella 🙂

      Oui tu as bien raison, c’est ce que j’ai dis aussi dans les infos du jour…. Je ne savais pas qu’il fallait des burnes pour aller aux urnes ? Juste lever son gros cul du canapé normalement…

      Akasha.

      • J’y suis allé, même si elles ne passaient pas dedans.https://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_cool.gif
        https://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_bye.gif

        • C’est marrant, ça. Vous n’avez toujours pas compris la fraude ? Le vote est une illusion, un jeu macabre qui nous engage pour 5 ans (dans le cas présent) puisque les élus ne sont pas révocables par le peuple, et ils font ensuite n’importe quoi. Tout en se gobergeant de l’argent public, le nôtre donc.
          Alors oui, on peut jouer si on veut. Mais avec des machines à voter, vous serez toujours perdants, sauf si vous votez pour le dictateur déjà en place.

          • Oui BIquette tu as raison , puis personne le parle des votes des Français a étranger ,qui aurais votez beaucoup pour Macaron , il y en as qui sent sorte , bien ici !
            ben voyons ,mais les Français n’auront que la politique qu’ils méritent je ne suis pas d’accord , il y a pas plus Français que moi, de mon ,non pas en écriture, la faute a celui-ci a faute aux cons ext votez , votez pas , cela fait je jeux , des un, des autres ! houffffffffffff, j’en ai mal la tete, Absolument pas ! Ce sont simplement des citoyens attentistes qui laissent autrui faire les choix, puis les critiquent en disant qu’ils ont fait un faux choix, je suis ok avec cela, il y a parfois des fraudes, sans pour autant que l’élection ne soit truquée. Que se passe-t-il quand une fraude est avérée ? ben rien !elle est truquée ou pas aller savoir, L’abstention est pour cette raison plus forte chez les sujets qui ont pris conscience que leur bulletin n’avait aucune chance d’être décisif, je suis pas devenu soudains facho , mais très fâcher mais je votre https://yandex.ru/images/search?from=tabbar&text=blonde%20aux%20gros%20seins

            • Personellement je contre les vote de citoyens établis à l’étranger la majorité en ce qui concerne les français vote Macron, Erdogan à été ré élu par la diaspora Turque surtout en Allemagne en Belgique certain élus issu de la communauté faisait campagne pour lui….

          • “C’est marrant, ça. Vous n’avez toujours pas compris la fraude ?” (sic)

            – La différence entre toi et moi, la voilà.
            Toi tu as peur d’agir et tu t’abstiens, moi j’agis en toute conscience et je fais avec :
            https://lesmoutonsenrages.fr/2022/04/11/les-infos-et-news-du-11-avril-2022/#comment-872212

            – Toi t’as la trouille de faire un simple boulot citoyen de contrôle des votes, mais cela ne t’empêche pas de me faire la morale car soit disant je n’aurais pas compris le potentiel de fraude.https://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_wacko.gif
            ….T’as pas l’impression d’être ridicule sur ce coup là ?

    • Pile je gagne, face tu perds !
      Aller voter ? Et puis quoi encore ?
      Macron ou un autre : Agenda 21 comme programme
      Même si lui particulièrement, tous les autres aussi.
      “renverser la vapeur”
      Tu parles. Renverser que dalle oui.
      Autant rester chez soi que d’aller participer à (et valider) cette mascarade.
      Les gens (français etc) méritent leur sort, mais pas en fonction de si ils se déplacent ou pas pour aller voter.
      A cause de leur comportement et de leurs choix dans la vie de tous les jours.
      Pas de solution par les urnes.

    • Admettons que Macron ne soit pas au deuxième tour. Concrètement, cela changerait quoi ? Ils feront tous plus ou moins la même politique. On sait maintenant que toutes les promesses de campagne sont un brassage d’air sans conséquence. Par ailleurs, beaucoup de promesses ne pourraient tout simplement pas être tenues car ne rentreraient pas dans les clous de Bruxelles (les clous, pas les choux).

      Aucun des candidats qui nous sont présentés ne changerait quoi que ce soit de vraiment décisif :
      – souveraineté de la France à tous niveaux,
      – reprendre la main sur la création monétaire,
      – lutter contre l’évasion fiscale de ceux-là même qui font élire les « élus »,
      – corruption généralisée des élus, dont ils font eux-mêmes partie,
      – lobbying entretenu par le pantouflage des hauts-fonctionnaires, dont ils font également partie,
      – etc.

  6. Dixit : “Certains pointent du doigt les abstentionnistes : ce sont de mauvais citoyens”

    – Absolument pas ! Ce sont simplement des citoyens attentistes qui laissent autrui faire les choix, puis les critiquent en disant qu’ils ont fait un faux choix, car il n’existait pas de choix.”

    Dans la configuration actuelle de cette mascarade électorectale, il existe malgré tout un choix.
    – Voter pour l’épouvantail diviseur, famille Le Pen (mis en place par Mitterrand).
    Oui, c’est un choix que de voter pour le faux choix.

    – Evidement, pas pour qu’elle sauve les restes de ce qui fut un grande nation.
    Mais simplement pour qu’elle fasse (à son corp défendant) éclater la vérité.
    Pour qu’elle démontre, une fois pour toute par son aplaventrisme, que notre division gauche/droite n’est qu’un leurre populaire.

    – Et si par hasard (mais je n’y crois pas), elle venait à prendre de “grandes décisions” contraires aux intérêts de nos maîtres, le peuple pourrait constater avec quelle puissance les “forces dites démocratiques” la détruirait. Elle et nous les gueux qui avons osé contrarier “notre chère et même très chère, élite”.

    …L’ennemi, à la vue de tous, serait ENFIN désigné !

    En conclusion : Vous vous plaigniez de cette fausse opposition, mais par votre abstention vous empêchez la prise de conscience.
    Quelle dommage !

    —-
    Ps: “Macron a été battu à plate couture par… l’abstention”.
    https://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_yahoo.gif
    —-

    Bonne journée à vous.

    • Nous sommes sur le Titanic et l’orchestre vient de s’arrêter de jouer.
      Maintenant,
      – Je reste sur le pont et j’engueule ceux qui ne font pas de même.
      – Je plonge à l’eau persuadé que le commandant de bord me récupéra.
      – J’opte pour une bouée trouée et me jette dans l’eau glacée.

    • Tous les abstentionnistes ne sont pas des attentistes, loin de là. Par ailleurs, la hausse de l’abstention au cours des dernières décennies témoigne d’un mécontentement, d’un rejet des politiques en général. Cela se manifeste également par une défiance croissante vis-à-vis des médias. Beaucoup d’abstentionnistes font le constat simple que tout cela n’est qu’une mascarade.

  7. C’est bien de dire que le système devrait être comme ci ou comme ça, de dire que le RIC ceci, que le vote blanc ou l’abstention celà, que ça serait mieux si c’était pas pareil…

    Sauf que ça s’appelle refaire le monde, comme le fait chaque jour Didier, le pilier de bar du café des sports…

    Peu importe à quel point vos idées seront bonnes (ou mauvaises), ça n’arrivera pas tant que ceux qui ont décidé et bénéficient de ce système seront à la manoeuvre. C’est aussi simple que ça. Il n’y a aucune autre option. Et même si ça arrivait, ça serait détourné et deviendrait rapidement aussi pourri que le reste.

    Et puis aujourd’hui, ça se passe non plus dans un pays, mais à l’échelle du monde (ou au moins d’une grande partie du monde). Et quand on voit ce qui dirige dans la partie qui est un peu hors de ce système…

    Toutes les vieilles sal.peries sont à l’affût pour reprendre du poil de la bête, de la monarchie au communisme en passant par la théocratie, et il y a bien trop de connards qui y croient pour que l’avenir à court ou moyen terme puisse être envisagé de manière optimiste.

    Encore une fois, le monde est le reflet de ceux qui le composent. Peu importe le système, c’est pas lui le problème. Le problème c’est nous. C’est les mentalités. C’est la nature humaine. Et le pire, c’est qu’on est encore très loin d’en avoir pris conscience.

    • Oui nous sommes beaucoup à faire ce constat. Après c’est à chacun de savoir ce qu’il en fait.

    • “Peu importe le système, c’est pas lui le problème. Le problème c’est nous”
      Perso je dirai à peu près pareil. En effet c’est bien nous, même si pas seulement nous (la populace), le problème.
      Notre comportement. Le système c’est (pareil, notamment) nous, en quelque sorte.
      Mais bien sûr on préfère désigner d’autres responsables (qui existent aussi donc).
      Que de prendre (enfin) nos responsabilités. C’est bien plus confortable.
      Et à mon avis, d’ici à ce qu’on en prenne conscience (si jamais ça arrive un jour) comme tu dis, il sera trop tard.

      • Donc le problème c’est vous, vous dites.
        …Mais alors, qu’avez vous fait pour résoudre le problème ?https://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_cool.gif

        • C’est nous oui. Au sens général. L’ensemble des êtres humains. Leur comportement.
          Et pour le(s) problème(s), il faut être, nombreux, majoritaires, énormément.
          Autrement…

    • « Le problème, c’est nous ». Parfaitement d’accord. Je fais simplement le constat que beaucoup de « nous » n’ont simplement pas conscience des problèmes ou se cachent derrière des visions manichéennes pour ne pas les voir.

      Or, pourquoi changer de système si je trouve que tout va bien ? Pourquoi vouloir changer l’élection si celle-ci semble déjà parfaite ?

      Écrire, dresser des constats, communiquer, permet simplement de faire germer des idées dans les têtes. On peut effectivement penser que cela ne sert à rien, mais tous les changements de société ont commencé par les idées.

Les commentaires sont clos.