Deux avis pour cet évènement à savoir, la mort du pape François. J’ai lu égoïstement l’article de Phil sans envie de le partager, tant il parle au plus profond de l’être qui devra se remettre en cause. L’éternel combat de l’Ombre et de la Lumière ne semble pas toucher les êtres imparfaits que nous sommes mais, un titre m’a interpellée, c’est celui des médias qui faisait état d’un grand nombre de personnes ayant choisi de se faire baptiser en cette période pascale (entre 17 et 18.000 selon les sources). L’humain sent-il à quel point l’heure est grave qu’il se tourne vers le Christ ? Alors, quel article vous parle le plus, celui de Jean-Pierre Aussant ou celui de Phil Broq ? Et, ne jugez pas, pour ne pas être jugés. Merci pour votre participation, si toutefois vous acceptez de débattre sur ce sujet, ce qui serait une première…
Par Phil Broq pour Le Blog de l’Éveillé

Ce lundi 21 avril 2025, la mort soudaine du Pape François à l’âge de 88 ans, le jour même de la Résurrection du Christ, ne peut qu’évoquer une profonde résonance spirituelle et hautement symbolique pour les chrétiens véritables. Mais comme un coup de tonnerre dans le silence de ce Vatican mondialiste, c’est un éclair frappant ce monde à la dérive et déjà secoué par des réformes et des scandales. Ce clin d’œil divin démontrant la toute-puissance divine qui, une fois encore, s’affiche au moment où l’on croit avoir tout perdu.
Le Christ ne se contente pas de ressusciter ce jour-là, il brise les chaînes des faux prophètes et des faux principes qui ont envahi l’Église catholique. La Lumière de la Résurrection éclaire désormais un chemin plus pur, plus radical, une invitation à revenir aux fondements originels de la foi, là où l’essence divine ne souffre aucune altération. La fin de ce pontificat, comme la fin de toutes les fausses constructions humaines, devient ainsi une réinitialisation divine, comme un « Great Reset Christique ».
Si nous scrutons cette rencontre d’un événement temporel avec l’instant divin, il devient difficile d’ignorer ce qu’elle pourrait signifier dans la trame invisible des desseins de Dieu. Car cette mort soudaine semble être un marqueur puissant, un point d’inflexion dans l’histoire de l’Église catholique et du monde, un geste divin de la part du Tout-Puissant, où l’humour noir du Christ semble se manifester avec toute la profondeur d’un paradoxe céleste. En frappant ce faux pape, symbole d’une époque de compromis et de corruption, sur le jour le plus sacré de la chrétienté, le Christ semble nous dire que « Les illusions humaines ont vécu. Voici le début des véritables tribulations ! »
Rappelons-nous qu’à l’aube de ce pontificat, un éclair frappa la coupole de la Basilique Saint-Pierre de Rome le jour de la démission du précédent pape (Benoît XVI), autre geste divin qui ne fut sans doute pas une simple coïncidence mais un signe de l’ire céleste face à une Église catholique qui s’était égarée. Celui qui fut « élu » à la place de Ratzinger (le Pape Benoît XVI) – et présenté comme un pape fragile, cosmopolite, dont les gestes et les paroles prêchaient plus l’inclusion wokiste que la rigueur doctrinale – n’a jamais pu cacher son incapacité à préserver l’essence de l’Église catholique. Il n’a fait qu’alimenter, au lieu de purifier, les fissures d’une institution déjà rongée par la corruption et l’indifférence.
Il est vrai que l’humour divin, s’il existe, a toujours une étrange capacité à défier notre logique humaine. Ce n’est surement pas un hasard si la mort du Pape François coïncide avec le jour de la Résurrection, car elle semble épouser le ton du Christ qui, sur la Croix, se moquait du monde, de ses faux messies, et de ses faux principes. « Pourquoi m’as-tu abandonné ? » disait-il dans un cri de détresse, une expression de la plus grande vérité cachée derrière le voile de l’ironie divine. Ce cri de Jésus n’était pas seulement une souffrance, c’était aussi une forme de protestation face à l’absurdité du monde qui, même dans sa rébellion contre Dieu, se croyait maître de tout.
Ainsi, le Christ, dans son infinie sagesse et sa subtile ironie, semble nous montrer que l’irrévocable fin de ce pontificat, sur ce jour de Résurrection, fait plus que marquer un changement, elle devient une sorte de réinitialisation divine. Cette fin tragique, en apparence, n’est qu’un commencement. Le faux pape, le pape qui n’a pas voulu maintenir la tradition, celui qui s’est perdu dans la mer des compromis et des dialogues inféconds, disparaît précisément au moment où la réalité divine de la Résurrection brise le cycle du mensonge et de l’illusion.
Mais cet acte, ce geste divin, n’est pas sans conséquences. Le Christ, par sa sagesse infinie, semble bien nous avertir que ce n’est pas simplement un acte de purification de l’Église, mais un signal de la fin d’une époque et du commencement de véritables tribulations. « L’humour noir » du Christ, en effet, est peut-être ce qui nous frappe le plus ici. Car comment ne pas voir dans ce symbolisme macabre une invitation à ne pas prendre les choses trop au sérieux, à comprendre que tout ce que les Hommes construisent avec orgueil, toute institution humaine qui prétend jouer un rôle divin, se fracasse tôt ou tard contre la vérité éternelle. La mort du Pape François, sous ce signe divin, pourrait être vue comme la chute du dernier faux rempart entre l’humanité et les véritables épreuves qui attendent ce monde déchu.
Et ces tribulations ne seront pas simplement politiques, sociales ou économiques. Elles seront spirituelles. L’humanité, après avoir pendant des décennies ignoré les vérités transcendantes, devra maintenant affronter la réalité de sa propre fragilité. Les tribulations seront la confrontation ultime avec les fondations mêmes de notre existence avec une guerre contre la vanité des constructions humaines et un retour inévitable aux vérités premières.
Le monde, pendant trop longtemps, a vécu dans l’illusion que la paix et la réconciliation pouvaient se bâtir sur des compromis, sur l’oubli des vérités anciennes, sur la dilution de la foi dans un magma de relativisme. La mort de ce pape, dans son étrange et dérangeant timing, nous avertit que ces faux édifices devront s’effondrer pour que l’humanité puisse enfin découvrir la vérité cachée derrière le voile de la Résurrection.
Le commencement des Tribulations pourrait donc bien être un retour aux fondements de la foi, une remise en question radicale de tout ce que l’Église catholique et le monde ont cru, une purification nécessaire qui s’impose pour que l’âme humaine puisse, dans sa fragilité, se redresser face à l’éternité. Les épreuves à venir ne seront pas seulement des tests politiques, mais spirituels, où chaque homme et chaque femme devra choisir entre la lumière de la vérité divine et les ténèbres du mensonge humain. Le décès du Pape François, le jour de la Résurrection du Christ, ne marque-t-elle pas un tel moment d’une gravité infinie, une mise en garde que tout ne peut durer éternellement, et que même l’Église, comme toutes les choses humaines, doit se soumettre au Jugement Divin ?
Les prières de ceux qui, dans le silence des églises antérieures au Concile Vatican II, cherchaient à retrouver l’authenticité de la foi chrétienne, se sont, semble-t-il, fait entendre ce jour de Pâques. Pour eux, un retour à la Tradition s’avère non pas comme une régression dans le passé, mais comme une restauration, un acte d’authentique conversion dans un monde submergé par l’humanisme. Car ce n’est pas par le compromis ou la modernité qu’on approchera le Christ, mais par la fidélité à Sa parole et Ses actes, qui ont su transcender le temps et les erreurs des Hommes.
Le jour de la Résurrection, là où, selon l’Évangile, le Christ a scellé un Nouveau Testament en effaçant la pesanteur de l’Ancien, la mort du Pape François devient le sceau d’une nouvelle ère. Un signe divin que le moment est venu de dépasser les illusions humaines pour retrouver l’essence de la foi, pure et sans compromis. Le Christ, en resplendissant de Sa lumière, ne fait pas qu’éclairer le monde mais il annonce aussi un jugement. Non pas un jugement de réprobation totale, mais un jugement de purification. Et pour ceux qui croient encore en la vérité de la Parole de Dieu, le Pape Benoît XVI semblait être le dernier rempart contre la dilution de l’enseignement divin dans une société sécularisée. Alors que le Pape François, par son rapprochement avec des doctrines étranges, a semé la confusion, la discorde, l’indignation en comparant même la vaccination obligatoire et tueuse à un acte d’amour.
L’Église catholique, fondée sur le roc de Pierre, n’aurait jamais dû être un simple instrument de politique ou un outil pour promouvoir des idées modernes dévoyant le message séculaire du Christ. Elle était une lumière dans l’obscurité, un phare de vérité immuable pour les faibles et les opprimés. Mais ce phare c’était obscurci au fil des décennies, particulièrement avec l’issue tragique du Concile Vatican II, qui a donné naissance à une nouvelle Église, plus vulnérable aux vents de l’époque, plus corrompue par les mondialistes, plus encline à plier sous la pression du monde de Satan et de l’argent. Il ne s’agit pas là d’un retour nostalgique à un passé idéalisé, mais bien d’une nécessaire réappropriation de la pureté de l’enseignement évangélique, aujourd’hui trop souvent dilué sous l’influence de ceux qui ont infiltré cette institution pour mieux la détruire.
La mort du Pape François en ce jour de Pâques et l’incendie de Notre-Dame de Paris (le 15 avril 2019, pendant les fêtes de Pâques), événements aussi tragiques que symboliques, incarnent la fin d’une époque et la disparition des valeurs anciennes que certains prétendaient encore défier. D’un côté, la disparition du pontife romain, dernier vestige d’une autorité spirituelle vieillissante, a marqué la fin d’un certain modèle de pouvoir moral et institutionnel. De l’autre, l’incendie de Notre-Dame de Paris, ce monument emblématique de la culture chrétienne et française, s’est transformé en un autre signal de l’effondrement de l’ancien monde face aux forces dévastatrices du progrès aveugle et de l’incertitude globale.
Ces deux événements, qui pourraient sembler séparés, sont en réalité les témoins d’une même déroute : celle des puissances traditionnelles face à une mondialisation en constante accélération, qui broie tout sur son passage sans souci de ce qui fût sacré. Les mondialistes, qui voient en la destruction de ces symboles un moyen d’établir un nouvel ordre sans racines, semblent aujourd’hui avoir perdu la partie où l’unité spirituelle du monde chrétien s’effritait, et la culture européenne (déclarée Talmudique par Von der la Hyène) privée de ses repères, vacille sous les assauts des nouvelles idéologies mondialistes issues de Satan. Ces deux catastrophes, en leur profondeur, incarnent une irréversibilité, comme si la civilisation occidentale était désormais prête à se retrouver, mais dans un éclat de cendres.
Ce pape François, élu sur un fond de corruption, de mystère et d’ambiguïté, ne laissera finalement derrière lui qu’un souvenir éclatant de contradictions, de manipulation, de dévoiement et de corruption financière. En ce jour de sa mort, sous l’ombre de la Résurrection, il semble que la parole des Saints et des fidèles, qui ont résisté à la déformation de la foi, ait enfin trouvé un écho céleste. La véritable question qui reste est celle du sens de cette nouvelle ère qui suivra la disparition d’un Pontife qui n’aura pas su maintenir les lignes sacrées de la vérité.
La Lumière qui se dégage de la Résurrection du Christ, par sa pureté et sa vérité sans fard, éclaire peut-être le chemin à suivre. La fin du règne de François, en ce jour où le Christ triomphe de la mort, pourrait bien être le signe d’une déconstruction nécessaire, de la destruction de ce qui a été faussement construit au nom de la foi dévoyée par des êtres malsains s’étant infiltrés comme les fumées de Satan au sein du Vatican. Peut-être, dans cette sublime ironie divine, l’Ange de la Résurrection a-t-il scellé la fin d’une époque et l’émergence d’une nouvelle, plus fidèle à la parole éternelle, plus déterminée à honorer le Christ tel qu’Il s’est révélé à l’Humanité. Et ainsi, nous démontrer que cette fin est aussi le commencement d’une renaissance pour l’Église véritable, loin des compromis, des erreurs et des faux chemins. Une renaissance qui se nourrit de l’essence la plus pure de l’Évangile.
La mort de François, ce faux pape, marque ainsi la fin d’une ère de faux espoirs et de réconciliations superficielles, imposées par un mondialisme corrompu. Comme Trump l’a annoncé avant lui, l’époque des faux prophètes et des illusions d’unité globale est révolue. Ce n’est pas seulement un choc pour l’Église catholique, mais pour le monde entier, qui va maintenant affronter une profonde remise en question spirituelle. La lutte ne sera plus politique, mais intime et spirituelle : l’Homme devra se confronter à la vérité divine, au-delà de ses faux compromis. Les Tribulations commencent, et la purification est inévitable. La fin du mondialisme et de ses faux dieux, c’est l’heure de la séparation entre la Lumière et les ténèbres, entre la Vérité éternelle et les mensonges qui ont conduit le monde à sa chute.
Ainsi, la disparition de ce faux pape, sur le jour même de la Résurrection, est bien un signe divin éclatant, une victoire spirituelle sur les forces de corruption qui ont gangrené l’Église et le monde. C’est un appel urgent aux vrais chrétiens à se lever, à cesser de courber l’échine face au mondialisme de Satan, à cette illusion de paix mondiale avec les mécréants et la synagogue rebelle qui ne cesse que détruire l’âme des Hommes.
Que cette mort soit un rappel que le moment est venu de reprendre la Croix, de défendre la vérité divine et de rejeter la tyrannie des faux prophètes. Le temps des compromis est révolu et c’est le moment de se rassembler sous la bannière de la Foi véritable et de repousser les ténèbres partout où elles sont.
Phil BROQ.
On se souvient de l’empoisonnement de Jean-Paul Premier , le pape italien qui voulait rester dans la tradition catholique et qui ne voulait pas obéir aux directives de la finance mondiale , un mois après son élection , et de Benoît XVI , le pape menacé qui , comme il l’a expliqué dans son dernier ouvrage , a été contraint de céder la place de son vivant au pape François , le pion obéissant de l’élite mondialiste . Comme le pape François a nommé un grand nombre des cardinaux qui participeront au conclave , on peut supposer que le prochain pape sera choisi parmi ceux qui voudront continuer la démolition de l’Eglise Catholique .
Je verrais bien un pape noir, pour une époque noir…
Coucou !
En quelque sorte s’en était déjà un vu que le pape des jésuites est nommé « pape noir » .
Mais vous allez sans doute en avoir un de pape renoi ^^
Et en plus un qui comme celui si appliquera la bible de Luther ! Qui est bien plus en adéquation avec le lu.ciférisme qu’ils ont incorporé depuis qu’ils ont été infiltré par la FM et les fameuses loges P2 !
Akasha.
En 2021, ce Pape a lui-même pris la décision de ne plus être le Vicaire du Christ ( et a retiré ce titre des obligations papales)…
J’avais déjà des doutes sur ses intentions depuis longtemps mais à partir de cela, pour moi, tout fût bien plus clair.
Cet article est, à mon sens, criant de vérité, et je repense souvent à de nombreuses prophéties (comme celles de La Salette ou encore de Jahenny et de la prophétie des papes), et je crains en effet, que le temps des Tribulations a déjà débuté…
La chute du dogme est inévitable et c’est sans doute mieux ainsi.
La Lumière du Christ est dans le cœur des Hommes, et surtout si on souhaite l’accepter et vivre en ce sens. Ainsi, tout est possible !
Un point m’étonne: le pape est mort lundi, pas dimanche, qui est jour de Résurrection. Donc à la fin du we pascal.
Toujours est-il que l’analyse de Phil est très juste. Hier, j’écoutais Antoine qui voit 3 successeurs possibles, dont un Blanc et deux Noirs. Pourquoi je soulève ce fait ? En pensant à la prophétie de Malachie: le dernier pape de la fin des Temps sera noir. Et celui qu’on a entendu semble vraiment bien.
A suivre …
Quant aux conversions, je me suis posé les questions suivantes: serait-ce du à une affirmation contre l’isl.. ? Serait-ce pour entrer dans l’église catholique romaine ? Ou bien dans la communauté des Chrétiens ? Quelles ont pu être les motivations des baptisés ?
sauf que le dernier Pape est François , et ensuite c’est l’antéchrist
salut Biquette,
Le Christ à été crucifié le vendredi et a ressuscité 3 jours plus tard, soit le lundi !
Bises
Oui, un geste symbolique.
Personnellement, je ne crois pas au « jugement divine ». C’est, je crois, dans « la revelation » que Jesus dit clairement qu’il n’y a pas de judgement divine. il parle au nom d’ un Dieu d’amour et de toute permissivite’. il invite les gens a le joindre plutot que continuer a se comer a un Dieu qui juge, elit son peuple, commande et punit… bref un Dieu interventioniste vengeur. Un Dieu de violence.
Cela dit, j’apprecie l’article. Meme si je me permets d’avoir un petit souriee quant a’ cette affirmation: » Comme Trump l’a annoncé avant lui, l’époque des faux prophètes et des illusions d’unité globale est révolue ». Et puis, la Verite’, avec un grand V ou non, n’est pas l’appetance de beaucoup, meme si on s’en drappe facilement, style Truth TM.
Allez, bonne journee.
PS: bergoglio fut un pion, tout comme Trump et tant d’autres, condamnables mais qui permettent d’esquiver la responsabilite du pouvoir en place. La machine peut meme sembler derailler… pour mieux se consolider. Un jeu de Monopoly a la fois tres sophistique’ et des plus grossier (hideux).
Oui, purification et foi, avec « une attention constante » ( comme le font le soin des pieds… dicton de L’armee, mais auquel Jesus adherait, muni de sa bassine).
J’ai remonté la foi le plus loin possible et je suis atterri au temps des égyptiens les Dieux jugerons …..
Et J’AI atterri jugeronT
OUI ! merci je n’ai pas écrit depuis des lustres .
📊77 % des Français estiment que la #France est un pays de culture et de tradition #catholique✝️, selon un sondage
https://tvl.fr/actus/77-des-francais-estiment-que-la-france-est-un-pays-de-culture-et-de-tradition-catholique-selon-un-sondage
J’avais lu je ne sais plus où que, alors que une grande partie de l’Europe de l’ouest est judéo-chétienne, la France est druido-catholique : deux « civilisations » qui s’opposent violemment.
Personnellement,je ferai mienne cette phrase de Laplace :
— Je n’ai pas besoin de Dieu dans [cette] hypothèse
et je laisserai les débatteurs se débattre.
Merci Volti d’avoir diffusé ce texte !
Et merci aussi à tous ces commentateurs passionnés et passionnants…
Bien à vous tous