La censure nous met en péril lorsqu’il nous est interdit de parler.

Par Christine E. Black pour Global-Research

Titre original : La censure nous met en péril lorsqu’il nous est interdit de parler. La libre pensée meurt et les gens meurent. La propagande enterre la vérité

La censure met en péril nos cultures et notre civilisation. Lorsqu’il nous est interdit de parler ou d’écrire sans menaces, humiliations ou épithètes destinées à mettre fin à la discussion, la libre pensée meurt . Des gens meurent aussi.

Un complexe industriel de censure s’est développé autour de l’hystérie du Covid, qui a commencé comme une guerre contre un virus.

De nouvelles guerres à grande échelle, avec des armes, des bombes, des chars et des avions, et des milliers de morts, explosent maintenant autour de nous alors que la liberté d’expression se perd dans les décombres des guerres et que la propagande enterre les vérités.

Avec leur argent, leur pouvoir et leur influence massive, les industries privées à but lucratif comme les sociétés pharmaceutiques influencent et capturent les agences américaines, telles que la Food and Drug Administration et les Centers for Disease Control, que les contribuables chargent de réglementer les produits pour la sécurité publique.

En raison de cette capture, les agences échouent souvent à protéger le public tout en renforçant les profits de l’industrie. De même, avec la capture des politiciens et des décideurs politiques, les entreprises et les entrepreneurs profitent des guerres, comme le note le général de brigade du Corps des Marines Smedley Butler dans son livre, War is a Racket et comme Dwight D. Eisenhower nous a mis en garde contre cela dans son discours d’adieu de 1961. Les élites des entreprises et des gouvernements s’enrichissent grâce aux guerres fondées sur des mensonges, comme les guerres en Irak et en Afghanistan – et elles sont riches aujourd’hui à la retraite.

Quelles vérités pourrions-nous découvrir en fouillant les décombres des guerres ?

Les enfants et les jeunes n’avaient pas besoin de vaccins contre le Covid car ils couraient peu de risques de contracter une maladie grave due au Covid, et certains pays ont cessé de les recommander ; les tirs peuvent même leur faire du mal .

Pourtant, les vaccins constituent la principale source de revenus des pédiatres. Une « pandémie des non vaccinés » ne s’est jamais produite, même si des artistes, des personnalités médiatiques très bien payées et des politiciens ont vicieusement calomnié ceux qui attendaient ou refusaient une injection de Covid.

La plupart des gens ont de toute façon contracté Covid, qu’ils aient reçu plusieurs injections ou non. Les tirs n’ont pas empêché la transmission. La plupart des personnes décédées de la maladie recevaient désormais également plusieurs injections.

Des milliers de personnes blessées par le vaccin Covid ont été réduites au silence et rendues invisibles .

Ce sont toutes des déclarations qu’il nous a été interdit de faire ces dernières années ; ceux qui osent les prononcer ont été confrontés à la rancœur, au ridicule ou pire.

• Ne parlez pas des vaccins Covid, des fermetures d’écoles et d’entreprises, ou des nombreuses entreprises et églises bien-aimées qui ont fermé définitivement leurs portes à cause de mandats bureaucratiques.
• Ne parlez pas des blessures ou des décès dus aux vaccins, des pertes d’apprentissage des enfants ou des épidémies de toxicomanie ; ne parlez pas des suicides d’enfants et d’adolescents.
• Ne parlez pas des observations astucieuses de Robert F. Kennedy Jr. selon lesquelles Haïti et le Nigeria avaient les politiques les moins restrictives de la planète en matière de Covid, avaient un taux de vaccination Covid d’environ 1 % et avaient les taux de mortalité Covid les plus bas du monde, observations notées dans son livre Letter to Liberals (Lettre aux libéraux).
• Ne dites pas que les vaccins Covid peuvent provoquer des Covid, ni que la documentation de Pfizer elle-même indique que les Covid sont l’un des effets secondaires du vaccin.

Lorsque nous abordons ces sujets, les auditeurs se raidissent et se hérissent, leurs yeux peuvent se voiler et ils nous rejettent avec pitié ou mépris avant même que nous ayons terminé un paragraphe.

Aujourd’hui, de nouvelles catastrophes et de nouveaux traumatismes affectent le monde, et beaucoup insistent pour que nous n’en parlions pas afin d’éviter les grognements et les insultes, voire pire.
La violence et la guerre ont explosé au Moyen-Orient

D’autres affirmations ineffables nous viennent à l’esprit. Par exemple, critiquer la politique du gouvernement israélien n’est pas synonyme d’antisémitisme.

Israël est un État d’apartheid, avec des séparations et des dénis de droits fondés sur la race, comme l’a noté Jimmy Carter dans son livre de 2007, Peace Not Apartheid (La paix, pas l’apartheid).

La Grande-Bretagne, la même puissance coloniale qui a colonisé et divisé le continent africain et d’autres pays comme des jetons de poker entre les gagnants, a fait la déclaration Balfour en 1917 qui déclarait un « foyer pour les Juifs » en Palestine, où vivaient déjà des Palestiniens.

Cette déclaration était présomptueuse et élitiste de la part des Britanniques. Ce n’était pas à eux de faire une telle déclaration.

Un État d’Israël unique, ouvert et démocratique, avec des droits égaux pour tous, pourrait être la meilleure solution aux conflits et à la violence, comme l’a déclaré l’écrivain et activiste israélo-américain Miko Peled. Peled est le fils d’un général israélien et le petit-fils de l’un des signataires de la déclaration d’indépendance israélienne. Son père était un héros de guerre israélien devenu artisan de la paix. Il a changé d’avis sur Israël, tout comme Miko Peled. Miko Peled raconte son histoire dans son livre, The General’s Son, et partage son point de vue lors de conférences et d’interviews, comme celle-ci dans le cadre de l’émission de Katie Halper.

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La source originale de cet article est Global Research

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