Par Phil BROQ pour Le Blog de l’Éveillé
La France, après les vœux présidentiels de Macron, se trouve une nouvelle fois engloutie dans un abîme de désespoir, où l’indifférence gouvernementale et la corruption semblent l’emporter. Ce qui aurait dû être un message d’espoir et de solidarité pour l’avenir se transforme en paroles vaines, camouflant un système en déclin, rongé par l’arrogance de dirigeants toujours plus déconnectés du peuple.
Loin de répondre aux attentes des citoyens, ce système mondial, aveuglé par ses propres intérêts, s’effondre lentement, entraînant les peuples dans sa chute. 2025 pourrait bien être l’année où la guerre de l’esprit et de la liberté se joue, face à un despotisme invisible mais puissant. Alors serons-nous enfin prêts, cette année, à défendre notre liberté avant qu’il ne soit trop tard ?
Le cynisme de cette situation est absolu, car un président qui présente des vœux, mais qui ne fait rien pour les concrétiser, est la preuve d’un pouvoir qui se dérobe à ses responsabilités. Les paroles qu’il prononce ne valent que pour ceux qui croient encore à des promesses vaines et tant de fois trahies. Macron, tout comme de nombreux autres dirigeants à travers le monde, incarne parfaitement cette caste qui se moque du peuple et qui s’assure que les désirs des masses restent des chimères. Cette année 2025 s’annonce donc très difficile pour tous les Français, mais pas seulement pour eux. Le système mondial, rongé par la corruption et l’avidité des puissants, continue de s’effondrer, entraînant dans sa chute les peuples avachis, hypnotisés et incapable de regarder la vérité en face, n’ayant pas la force de prendre leur destin en main.
L’occident décadent est condamnée à sombrer dans un abîme de tyrannie, où la liberté n’est plus qu’un souvenir lointain, où l’oppression se fait douce et silencieuse, bercée par les ondes et les mensonges propagés par leur smartphones. Le despotisme devient la véritable menace visible de notre époque, et non pas l’extrémisme qui reste ce spectre que l’on agite pour détourner l’attention des véritables ennemis. Nous sommes attaqués de toutes parts par ceux qui se servent des crises pour renforcer leur pouvoir. Et quand l’élite se déploie dans ses jeux macabres, le monde voit poindre une troisième guerre mondiale qui, si elle n’est pas militaire, financière ou climatique sera bien d’une autre nature. Ce sera sûrement une guerre contre l’esprit et la spiritualité, bien plus pernicieuse et plus dévastatrice.
Les grandes puissances, rongées par leurs intérêts, continuent à soutenir les pires dictateurs, qui, loin de se soucier du bien-être de leur peuple, ne cherchent qu’à maintenir leur emprise sur un pouvoir qu’ils volent et qu’ils manipulent à outrance et en toute impunité. Ces « Zélites », si loin des préoccupations populaires, s’acharnent à protéger ceux qui, tels des parasites, s’accrochent au système tyrannique en place pour s’enrichir encore et toujours plus, tout en laissant des millions d’âmes crever sous le poids de leur arrogance.
C’est cette même indifférence qui fait de Macron et de bien d’autres des psychopathes de la politique, des êtres dénués de toute sensibilité, insensibles à la détresse des humains, dont leur seule préoccupation est de plaire à ceux qui tirent les ficelles en haut lieu. Peu importe qu’ils soient détestés ou haïs puisque leur seul objectif est de maintenir leur position, de s’accrocher à un pouvoir qui leur permet de vivre dans l’opulence insolente pendant que les nations s’effondrent. Leur absence de conscience sociale est abyssale. Ces hommes, ces « maîtres du monde », n’ont qu’un seul but avoué et qui est de rester au pouvoir, coûte que coûte. Peu importe les souffrances qu’ils engendrent, peu importe la haine qu’ils suscitent. Ils sont au-dessus de tout cela et en dehors de la réalité du monde dans lequel nous vivons. Et plus le peuple souffre, plus leur arrogance se nourrit.
Ils restent à leur place, acquise de façon frauduleuse et maintenus envers et contre tous par la violence policière et judiciaire, incapables de reconnaître qu’ils ne sont que des fantômes d’un ancien système devenu moribond. Que la France et d’autres nations finissent par être englouties dans le chaos de leur progressisme, ce n’est qu’une question de temps. Mais la véritable interrogation est sur la capacité des peuples a vouloir ou non continuer dans ce déni qui fait leur spécificité depuis ce début de siècle.
La solution, vous le savez, est simple, mais elle exige une prise de conscience collective. Nous devons prendre notre destin en main, nous libérer de cette spirale de corruption et d’oppression. L’avenir n’est pas joué puisqu’il se construit tous les jours. Seul le peuple a la clé de son propre salut, mais il doit comprendre que la route ne sera pas facile. C’est à nous de sortir de cette prison dorée : sortir de l’UE, sortir de l’euro, sortir de l’OTAN, sortir de l’OMS, sortir des accords de Schengen. Ce sont les premières étapes pour retrouver notre souveraineté, pour ne plus être esclaves de cette machine à broyer les peuples. L’histoire nous jugera, et il est certain que les dirigeants actuels ne seront pas ceux qui en sortiront avec gloire. Leur nom sera terni, leur héritage désavoué.
Reste à savoir si nous serons capables de montrer, au plus grand nombre d’endormis, le système pour ce qu’il est ! C’est à dire une gigantesque arnaque, une mascarade, où les plus puissants n’hésitent pas à manipuler et écraser les masses pour conserver leur position dominante et leurs profits. Il ne faut donc surtout pas nourrir la peur, mais tenter encore et encore de nourrir la connaissance. Car ce n’est qu’en comprenant la réalité des choses que nous pourrons agir. Mais pour y parvenir, il nous faut bien plus que des paroles ou des articles quotidiens ! Il nous faut de l’action.
Il est indéniable que le temps est venu de passer à l’action, de ne plus se contenter de regarder passivement la machine s’emballer, écrasant tout sur son passage. L’inaction a trop duré, et elle a permis à cette « bête » qu’est le système corrompu de prospérer. C’est un monstre qui se nourrit de notre ignorance, de nos peurs, et de notre passivité. Nous avons vu des générations entières se résigner, accepter, se laisser engloutir dans un cycle où les dirigeants continuent à accroître leur pouvoir tandis que les peuples sombrent dans la misère. Aujourd’hui, plus que jamais, il devient impératif de refuser d’alimenter ce monstre.
Agir intelligemment signifie comprendre la nature du système que nous affrontons. Ce n’est pas simplement un système politique ou économique, mais une entité globale qui se nourrit de chaque décision, de chaque compromis, de chaque acte d’apathie de notre part. Ce système est si bien rodé qu’il nous a endormis dans une illusion de démocratie, dans un faux semblant d’égalité, pour mieux nous manipuler. Les dirigeants actuels, qu’ils soient Macron ou d’autres, ne sont que des instruments de cette bête, des marionnettes entre les mains de puissances occultes, de multinationales et de forces qui cherchent à maintenir l’ordre établi. Il est donc nécessaire de désapprendre ce qu’on nous a enseigné, de revoir le rôle que nous avons joué dans ce système, et de refuser de continuer à nourrir ce mécanisme pernicieux.
Le véritable changement ne peut venir que de la prise de conscience collective. Il ne s’agit pas simplement de parler de réformes, de promesses politiques vides, mais de comprendre que le pouvoir est entre nos mains – non pas en tant qu’individus isolés, mais collectivement. Nous devons nous unir, non pas derrière un homme ou une cause spécifique, mais pour un principe fondamental : la reconquête de notre liberté et de notre dignité. Cette lutte ne doit pas se limiter à des slogans ou à des protestations. Elle doit se traduire par des actions concrètes, intelligentes, stratégiques.
Refuser de nourrir la bête implique de cesser d’accepter le modèle de société que l’élite nous impose. Cela signifie refuser de consommer ce qu’ils nous vendent, non seulement sur le plan matériel mais aussi sur le plan idéologique. Il est crucial de se libérer de l’illusion d’un pouvoir démocratique qui ne nous représente plus. L’évasion de cette société malade passe par la mise en place de nouvelles structures, de nouveaux modèles, là où l’humain retrouverait sa place, loin des chaînes des grandes institutions financières et politiques. Les peuples doivent comprendre qu’ils ne peuvent plus continuer à se soumettre aux diktats de l’État, de l’Union européenne, des multinationales, ou des organisations internationales comme l’OMS. C’est à nous de définir nos propres règles.
Sortir de ce piège avant qu’il ne soit trop tard n’est plus un choix, c’est une urgence. Les fenêtres d’opportunité se referment chaque jour, et plus nous attendrons, plus ce système deviendra inextricable. Nous devons préparer l’avenir, non pas en nous contentant de rêver d’un monde meilleur, mais en construisant, dès aujourd’hui, les bases de ce monde libre. Cela signifie agir sur tous les fronts : refuser les politiques de soumission, réclamer notre souveraineté, résister aux normes économiques imposées, et surtout, prendre le contrôle de notre propre destin. Les solutions ne viendront pas d’en haut, elles viendront de nous, des citoyens éveillés et responsables, prêts à défendre ce qui nous appartient légitimement : notre avenir, nos ressources, et nos droits.
En 2025, une nouvelle ère pourrait s’ouvrir pour ceux qui sont prêts à lutter pour leur liberté, pour leur dignité. Mais ce n’est qu’une possibilité, non une certitude. La question fondamentale reste : serons-nous prêts à défendre ce qui nous appartient avant qu’il ne soit trop tard ? La liberté n’est jamais acquise ; elle se gagne, elle se préserve. Il nous revient d’être les architectes de notre propre libération, de prendre des décisions qui secoueront les fondations du système, qui perturberont l’ordre établi. Il n’est pas suffisant de s’opposer au système, il faut le remplacer, le transformer, le déconstruire.
Cela nécessite de comprendre l’ampleur du combat et de se préparer à tout. Nous devons être conscients des sacrifices que cela impliquera, car tout changement est souvent accueilli par la résistance des puissants. Le combat pour la liberté, pour la justice, est un combat de longue haleine. Il ne s’agit pas de lancer une révolte impulsive, mais d’engager une résistance organisée, réfléchie et déterminée. Chaque petit geste compte, chaque décision de refuser ce système est une victoire. Le vrai pouvoir, celui qui fait trembler les élites, c’est celui que nous créons ensemble, en dehors des structures corrompues, en redéfinissant notre manière de vivre, de consommer, d’interagir. Ce pouvoir ne pourra croître que si nous agissons de façon stratégique et unie, en comprenant que l’inaction est notre pire ennemi.
Si nous voulons un avenir libre, si nous voulons préserver notre dignité en tant qu’individus et nations, il n’y a plus de temps à perdre. La route sera difficile, semée d’embûches, mais elle est encore ouverte.
Reste à savoir si nous sommes enfin prêts à emprunter ce chemin ou persister dans ce déni suicidaire.
Phil BROQ.
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Excellente, cette image !
J’aime beaucoup votre plume. Elle est claire et nette, élégante à lire.
Oui, je sais, ce n’est pas le sujet. j’y arrive …
« refuser les politiques de soumission, réclamer notre souveraineté, résister aux normes économiques imposées, et surtout, prendre le contrôle de notre propre destin. »
Je me permets un rectification à « réclamer notre souveraineté ». En fait, nous n’avons rien à réclamer, nous avons à prendre ce qui nous revient de droit.
Pour le reste, oui, bien sûr. Mais là encore, ce serait assez facile si nous étions nombreux. Le pouvoir prendrait des mesures de coercition, mais nous pourrions alors nous soutenir et il ne pourra pas « punir » une nation entière. Juste faire des exemples. Là, on espère toujours que l’exemple, ce soit l’autre !
« Il ne s’agit pas de lancer une révolte impulsive, mais d’engager une résistance organisée, réfléchie et déterminée. » C’est exactement ça !
Dans la mesure où les Parisiens, Marseillais et autres des grandes villes ne bougent pas, je ne vois qu’une solution mais là encore, elle ne semble pas faisable – et pourtant si simple -: s’organiser en villages, en bourgs, en quartiers … Créer donc des petites communautés et ne plus s’occuper du pouvoir en place. Cela ne peut se faire que paisiblement, à condition que les égos se tiennent tranquilles, pour le bien de tous. Mais voilà …
Chère Biquette, je vous remercie pour tous vos commentaires et particulièrement ceux qui me flattent !!
Plus sérieusement, le problème essentiel est en effet notre incapacité à nous regrouper afin de défendre nos droits, que dis-je afin d’affirmer notre vie, comme notre liberté… Je persiste pourtant à travers mes billets à tenter encore l’impossible et d’éveiller quelques âmes sensibles, je veux dire quelques moutons égarés ! Mais grâce à vous tous ici et vos commentaires, mon travail n’est finalement pas vain et cet objectif surement encore réalisable! Wait and see et qui vivra verra… Je vous souhaite malgré tout une belle et douce année dans cette bergerie si bien fréquentée ! Bien à vous