Source Géopolitique Profonde
Gérard Chevrier est un spécialiste du nucléaire qui s’est distingué par son analyse géostratégique et géopolitique des guerres et conflits actuels. Il est particulièrement reconnu pour ses contributions sur les sujets liés aux risques nucléaires et à la protection contre les retombées radioactives. Auteur de l’ouvrage percutant La prochaine guerre sera nucléaire, il propose une réflexion inédite sur les réalités d’un conflit atomique et ses conséquences pour l’humanité.
Raphaël Besliu est le directeur de Géopolitique Profonde. Il anime des émissions et des interviews sur des sujets comme les conflits, les stratégies militaires et la politique mondiale. Son objectif : proposer des analyses claires et différentes de celles des médias classiques.
L’humanité s’approche inexorablement d’une guerre nucléaire. C’est le constat glaçant du livre La prochaine guerre sera nucléaire de Gérard Chevrier. Cet ouvrage ne s’embarrasse pas de demi-mesures : il décrit un avenir où l’arsenal atomique devient une arme stratégique incontournable et explique pourquoi ce conflit ne signifiera pas la fin du monde.
Un risque devenu inévitable
Le nucléaire est au cœur des stratégies militaires des grandes puissances. Depuis la fin de la guerre froide, l’escalade technologique et les tensions géopolitiques n’ont cessé de croître. Les États-Unis, la Russie, la Chine et d’autres nations investissent massivement dans le perfectionnement de leurs arsenaux. Les traités de non-prolifération semblent de plus en plus fragiles, tandis que les ambitions nucléaires de certains États émergents ajoutent de nouvelles variables à cette équation explosive.
Les doctrines de dissuasion mutuelle, longtemps estimées comme des garanties contre un conflit, se fissurent sous l’effet des rivalités exacerbées. Les tensions autour de Taïwan, de l’Ukraine ou encore du Golfe Persique ne sont plus de simples guerres d’influence : elles s’accompagnent de démonstrations de force nucléaire. La logique de l’engrenage, déjà à l’œuvre dans ces théâtres, rend un affrontement atomique non seulement possible, mais presque certain.
Les types d’explosions et leurs conséquences
Loin des images d’apocalypse totale, le livre distingue les différents types d’explosions nucléaires et leurs impacts. Une explosion aérienne, par exemple, provoque des destructions massives sur une large zone mais génère moins de retombées radioactives qu’une explosion au sol. Cette distinction est essentielle pour comprendre les stratégies militaires actuelles.
Les conséquences d’un échange nucléaire sont également fonction de la puissance des armes utilisées. Les bombes modernes, bien que plus destructrices que celles d’Hiroshima ou de Nagasaki, peuvent être calibrées pour des effets précis. Les superpuissances disposent aujourd’hui de têtes nucléaires tactiques, conçues pour être utilisées sur des cibles limitées, dans une logique « chirurgicale ». Cependant, l’utilisation de ces armes reste une ligne rouge qui pourrait facilement dégénérer en escalade globale.
Comment survivre à un conflit nucléaire ?
Abordons maintenant la survie face aux retombées radioactives. Alors que beaucoup se concentrent sur les impacts immédiats d’une explosion, il met l’accent sur les rayonnements gamma, émis par les particules radioactives après l’explosion. Ces rayonnements, invisibles mais mortels, constituent la principale menace pour les populations situées en dehors de la zone de destruction immédiate.
Les solutions proposées dans le livre sont pragmatiques et accessibles. Elles s’appuient sur des connaissances scientifiques solides et une expérience industrielle rare. Parmi les points abordés figurent les moyens de réduire l’exposition aux radiations, les principes d’un abri efficace et les mesures à adopter pour gérer les ressources dans un environnement contaminé. Ces conseils pratiques peuvent faire la différence entre la vie et la mort pour des millions de personnes.
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TOUTES les radiations sont dangereuses, à plus ou moins long terme. Il y a les adiations ionisantes, comme celles qui découle de l’emploi du nucléaire, mais il y a aussi les radiation non-ionisantes, de fréquence moindre, mais qui restent dangereuses si elles sont pulsées, parce que chaque pulsation crée un choc, au point de déclencher par exemple l’effet Brillouin.
https://www.photoniques.com/en/articles/photon/pdf/2022/03/photon2022114p26.pdf
Cet effet provoque l’arrachement par les particules de lumière ou assimilé d’autres particules par exemple de la peau, qui en conséquence sont projetées plus loin dans l’organisme même si le photon initial, lui, reste piégé par la barrière de la peau. Si cette punition se prolonge, cela peut provoquer des conséquences comme des cancers.
La médecine « officielle » n’en tient pas compte, pourtant ce n’est pas d’hier, et c’est un Français qui l’a découvert. En 1940 il s’exila aux États-Unis, et continua ses travaux.
moi c’est la 4G, quand je me colle le telephone sous la feuille, qui rentre d’un cote’ et ressort de l’autre.
Peu importe le diagnostique, sirrhose des meninges, halzeimer, amnesia, syndrome du poisson rouge, tant que je peux ainsi noyer mon senti dans l’oubli et sourire beatement aux rayons cosmiques.
Et pis, si de son ecran, un certain cote’ derangeant de la verite’ me saute aux yeux, tel un rayon qui ferait dans le tape a l’oeil, m’eblouir pour mieux me faire voir, je lui rend l’ appareil, tel Cain, je l’envoie paitre. Quant au Soleil, j’aimerais bien qu’il vienne rayonner un peu de mon cote’. il a pas son pareil…
et j’en connais un rayon
(bon allez, faute de bonne je vais me taper le menage… a moins qu’il ne rechigne a cause de mes pelicules de barbe qui finissent par lui colmater les oreilles, alors que s’agitent d’autres particules de frequence plus basse a l’etage du dessous, dans un oblivion total du drame en court, rien a foutre).
Voila quoi.
PS: putain de telephone qui comprend rien et me corrige sans cesse. ah oui, ca me fout les glandes, non sans me rappeler ce debut d’amygdales, d’angine ou de va-t-en savoir, a cause du meme telephone trop pres de l’appareil ORL. Et apres ca, on dira que c’est pas sa faute… qu’y faut pas blamer.
Allez, on rayonne dans la joie et la bonne humeur.
S’il s’agit de Poutine, il peut très bien envoyer ses missiles sans tête nucléaire. Je pense que ce serait le cas car sinon ils se trouveraient désactivés comme cela est arrivé par le passé, avec d’autres engins, voire des avions.
Toutefois, on peut toujours suivre ses conseils. Je me suis équipée d’un compteur Geiger depuis quelques mois. Pas seulement en cas de conflit, mais aussi pour tester si besoin la nourriture, ou même dehors, de temps à autres. Nous sommes près d’un camp qui utilise parfois l’uranium appauvri.
Comme il dit, la connaissance est le premier point. Elle permet de savoir ce que l’on a à faire ou non.
Biquette, vous avez déjà rencontré des produits contaminés ?