Source Lediazec
Des amis béarnais sont douloureusement touchés par la nomination de François Bayrou au poste de Premier ministre. La contrition est grande dans les rangs d’une communauté qui a jalousement gardé à travers les âges son sens de l’honneur ! Je les comprends et ne puis pardonner une faute qu’ils n’ont pas commise. Un mouton noir ne faisant pas tout un troupeau, comment pourrions-nous accabler toute une région ?
Et si, in fine, la France remerciait le Béarn pour avoir fourni les munitions qui lui manquaient pour libérer un pays occupé par des malfrats ? Et si, grâce à ce Richard Gere du pauvre, Macron chutait piteusement de son piédestal ?
Mine de rien, le Béarnais affiche une filmographie à faire pâlir plus d’une star du 7ᵉ art ! Une véritable pléthore de personnages, interprétés avec brio, en témoigne. Même si le succès a été long à se dessiner, à cause d’un public capricieux et des agents véreux, il aura mis du cœur à l’ouvrage pour faire du félon sa marque de fabrique !
Qui ne se souvient pas de son rôle dans « Quarante ans dans la vie d’un fourbe », couronnant une carrière dans laquelle le bas aura été la chose la plus haute qu’il a toujours interprétée, n’a qu’une vague idée de ce que signifie l’art !
Son interprétation de franc-maçon, rôle de composition de haute volée, jouant merveilleusement avec une gamme de camaïeux à éclipser les cinquante nuances de Gray, lui valut un succès très appuyé parmi les frères invisibles qui l’applaudirent à tout rompre lors des réunions maçonniques.
Et que dire de ce rôle de spécialiste en pandémie, jouant avec ce naturel désarmant qu’on lui connaît, si crédible, si impliqué, si convaincant, courant de micro en micro pour faire vacciner chiens, chats, poules et poussins ?
C’est cette interprétation, pleine d’une vérité incroyable, qui l’aura définitivement consacré aux yeux de l’élite tombée sous le charme foudroyant de celui qu’on considérait encore il y a quelque temps comme un moins-que-rien.
Pro-européiste ; pro-tout-et-n’ importe-quoi, jouant le faire-valoir, pourvu que cela serve sa carrière, l’homme étant tout à la fois la charrue et les bœufs !
Soixante-treize ans au compteur et toujours partant pour décrocher un titre, même honorifique, aux Césars de la déchéance.
La rumeur dit qu’il aurait exercé du chantage sur le chef des malfrats en personne pour atteindre, selon un principe éprouvé, son objectif ultime : Être premier en quelque chose !
Une question, cependant, brûle les lèvres des personnes honnêtes : le chantage, est-il un délit ? Selon la loi, celui-ci expose son auteur à de lourdes sanctions. Si, comme on le dit, Bayrou a exercé ce type de pression, sa place est devant un tribunal et non à Matignon, présidant à la destinée d’un pays qui s’enfonce dans les sables mouvants !
Hélas, les lois étant faites par ceux qui les violent, inutile d’attendre que justice soit rendue !
Sous l’Casque d’Erby
Essai homo !…. (Non ! Non ! Pas d’arrière-pensées !)
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En Haute Bigorre et au pays Basque le dicton est explicite et valable aussi bien pour Lassalle que Bayrou:
Poli et fourbe comme un palois.
les deux se vallent et on fait montre de trahison a plusieur reprises.
Bonsoir. Bayrou, je n’ai jamais accroché. Des deux, celui pour qui j’avais un petit faible, et qui m’a le plus chagriné, c’est Jean Lassalle. Misère !
Si tu peux retrouver dans les archives du web, un ancien site « La Buvette des Alpages » (Pas celui actuel) Tu vas pouvoir juger les actes de Mr Lassalle. C’est assez amusant à lire car, le narrateur appelle un chat, un chat et ça déménage… Il est très sympa Jean Lassalle et même rigolo, mais sous ses airs débonnaires, ça reste un politique 🙂
Tout à fait d’accord. Merci pour le lien vers la “Buvette des alpages”, belle appellation. Je suis tombé sur deux sites, mais si je me fie à ce que tu dis, je dirais que c’est celui-ci. La Buvette des Alpages
J’ai bon ? La Bise.
Bonjour Lediazec,
Certes, « Un mouton noir ne faisant pas tout un troupeau »(dixit).
..Mais que dire quand ce troupeau élit systématiquement, des décennies durant, le même mouton noir pour les conduire !!!
Excellente remarque
Mais c’est sans compter la horde des « notables » (journalistes, influenceurs, pseudo-scientifiques, politiciens de tous bords) qui s’arrangent, avoinés copieusement pas les BANQUIERS, pour qu’on ne voie qu’un candidat, toujours le même.
…Des excuses, c’est comme le trou du cul, on en a tous et la décence voudrait que l’on évite de trop s’en prévaloir.