La France est-elle encore une province ?

Par Lediazec

Le foot, le tennis, le cyclisme, les JO… La ministre Amélie Oudéa-Castéra patauge dans la vase de la Seine pour prouver qu’on « ne risque rien » à s’y baigner, démontrant qu’au milieu du chaos, la bêtise pavoise !

Le monde s’effondre sous nos yeux, mais on fait semblant… D’être beaux. Intelligents, même si nous devenons bêtes jusqu’à ne plus savoir qu’en faire de la bêtise !

Si nous devions mettre une épitaphe sur nos tombes, nous pourrions graver : « Ci-gît une promesse qui n’a pas tenu la sienne ».

C’est avec un générique dystopique que des élections européennes se sont transformées en scrutin législatif national sans que personne ou presque y trouve à redire. Rien dans le contenu. Même pas le moindre semblant de programme, comme nous pouvons légitimement l’espérer, dans un monde où penser est un luxe hors de prix.

Une seule idée en guise de programme : la désignation d’un faux ennemi. On le fabrique et on le jette en pâture comme on donne le foin aux bovins. Un plat mille fois réchauffé : le fascisme !

Lente et inexorable dégringolade de l’esprit. Comment en demander à des gens à qui on ne donne aucune chance de s’en pourvoir ?

Composée de trois tiers, à un poil près, la nouvelle assemblée fait ce que font de mieux toutes les assemblées : troquer, marchander, chantager. Pas pour le « salut du peuple », ça non, mais pour perpétuer les privilèges d’un groupe, d’un clan, d’une organisation mafieuse.

À ce jeu, la quête d’un Premier ministre « consensuel » se transforme en guerre intestine. Otage de ce jeu, l’électeur. Après avoir donné le max de ce qu’il pouvait offrir dans l’urne, triche comprise, il se repose sur le front de mer les pieds en éventail, si la « sécheresse humide » le permet dans la région de son choix.

Comme si la désignation d’un Premier ministre allait changer quelque chose au destin d’un pays dont le sort est décidé hors de ses frontières. 

« Mission accomplie ! »« No pasarán ! »« On vous a niqué ! » crient les petits pions qui s’agitent dans des bastilles improvisées, comme s’ils venaient de vaincre le nazisme, alors même qu’ils le nourrissent ! Alors même que ce sont eux qui dirigent l’Europe et sont en train de biffer ce que nous prenons encore pour notre nation.

La France est en train de se dissoudre sous nos yeux avec la complicité d’une horde de décérébrés pensant « sauver le pays » !

Dans une atmosphère de confusion totale, le globalisme tisse son horrible toile avec des parodies d’élections et des lois liberticides, afin de supplanter les États publics par des systèmes prédateurs sans foi ni loi, où le crime devient monnaie courante !

Applaudir cela comme cela est le cas avec les résultats de ces législatives, c’est se condamner à une mort certaine !

Sous l’Casque d’Erby

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4 Commentaires

  1. la bobo oudea castera vétue de sa combinaison moulante a osé faire le plongeon, suivi de peu par un authentique champion de natation mettant l’ane hidalgo dans une rage verte ; elle a osé la petite coquine (pas osé Josephine du regretté Bashung Alain)……!!!

  2. “Sous le pont Mirabeau coule la Seine”……
    Elle coule ! Elle coule ! Elle coule ! C’est l’affect de la goule !

  3. Avec une combinaison, un masque et un bonnet, il ne reste pas beaucoup de peau exposée à la pollution. Mais attendons un peu les dermatites et autres joyeusetés dermatologiques. Ou alors elle s’est mis une bonne couche de crème protectrice, bien grasse, sur le visage.

    Le titre m’étonne: La France est-elle encore une province ?
    Pourrais-tu nos l’expliquer ? Pour moi, la France devient une province de l’UE. https://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_unsure.gif

    • Bonjour tout le monde. Bonjour Biquette. La notion de province pour désigner le statut politique de la France vient naturellement à tout le monde depuis que les dirigeants Français ont trahi la volonté du peuple lors du référendum de 2005. Or depuis, et plus encore ces dix-quinze ans, cet inféodement s’est tellement intensifié que la France perd le statut de province pour devenir à peine un tout petit village entre les mains de politicards corrompus qui ne lui veulent aucun bien. Voilà mon idée du titre. Peut-être pas heureuse, mais elle est là. La bonne journée.

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