Bruno Le Maire le meilleur économiste de l’histoire de France

C’est vraiment à pleurer une telle mauvaise foi. Arrogance, déni des réalités ou foutage de gueule ? Après le Mozart de la finance, nous avons le virtuose de la dette et du satisfecit.

Source INSOLENTIAE

Je ne m’en lasse pas.

C’est exceptionnel.

Un satisfecit total, complet, intégral, pour l’homme qui mène l’économie française vers des sommets, que dis-je des pinacles, de prospérité.

A l’entendre, jamais en France, la richesse n’a été aussi grande.

Je ne m’en lasse pas.

Notre vedette de Bercy nous en a mis pour 1 000 milliards de dettes en plus dont il n’est même plus capable de payer les intérêts avec des taux qui montent.

Un as ce Bruno.

Une flèche disons-le.

Heureusement que Bruno s’occupe de l’économie de notre pays sous l’œil du Mozart de la finance de l’Elysée.

Hahahahahahahahahahahaha…. J’en pleure encore.

2 minutes de Bruno chaque matin mes amis avant de commencer la journée cela permet de commencer en riant.

La photo qui illustre cet article témoigne de la capacité de notre ministre d’inventer même jusqu’à l’eau chaude. Une génie on vous dit.

Charles SANNAT

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Volti

3 Commentaires

  1. tient , une bonne idée pour chauffer son eau en cas de coupure inopinée de courant

  2. Bruno Le Maire, comme tous ces collègues et homologues est un agent à la solde des puissances d’argent.
    Rappelons que Bruno Le Maire était présent à la réunion Bilderberg qui s’est tenue du 30 mai au 2 juin 2019. Il était accompagné de l’ancien président de la Commission européenne, José Manuel Barroso, devenu depuis banquier chez Goldman Sachs et aussi Président du board du GAVI, l’alliance pour les vaccins en janvier 2021 ; avec lui se trouvait également l’Allemande Ursula von der Leyen qui allait devenir le nouveau président de la Commission européenne le 1er décembre suivant.
    Précisons que le/la Président(e) de la Commission Européenne et les Commissaires européens sont nommés (non élus) à la Commission européenne par les chefs d’État ou de gouvernement des États membres, c’est-à-dire en réalité par les actionnaires des multinationales et les banquiers qui ont financé leurs campagnes, et sont donc sous le contrôle de l’oligarchie, dans leurs pays respectifs.
    Ainsi, dans la plupart des pays du monde, et surtout occidentaux, l’État actuel est « l’État profond », c’est-à-dire une réelle ploutocratie, apatride et supranationale, cachée derrière une démocratie, véritable coquille vide. Cette étape, qui a souvent pris le chemin indirect et sournois du contrôle bancaire, utilise, parfois, lorsque c’est nécessaire, des méthodes plus musclées. La stratégie de la tension, les opérations ou attentats « sous faux drapeau », et la récente création et prolifération d’armées de proxy, formées de mercenaires, sont certaines des manifestations de force employées par les « principaux détenteurs de capitaux » pour faire disparaître les États indépendants.
    C’est ainsi que la prise du contrôle étatique par l’oligarchie n’a, historiquement, fait l’économie d’aucun coup d’État, permanent ou non. Toutes les révolutions de couleur, de fleur ou autre nom jovial, sont une émanation de cette première tactique, consistant, pour les oligarchies (locales ou coalisées), à s’emparer des institutions étatiques des différents pays du monde.
    La seconde étape consistant en la collaboration des élites économiques des différents pays.
    NB : les hommes dits politiques (ou les « Jézabel » et autres « paulinistes » modernes, ces « femmes perdues » qui les suivent et se font leurs complices) n’ont rien de « politique », ils sont des « hommes de paille », des « hommes-liges », interchangeables et, surtout, de véritables courroies de transmission des « puissances d’argent », réels donneurs d’ordres.
    Bien plus prompts à réprimer rapidement et dans le sang un mouvement émancipateur comme celui des « Gilets Jaunes », que de lutter contre la délinquance dans les banlieues, le trafic de drogue et d’armes, les violences en général, la corruption, les paradis fiscaux, le chômage ou la pauvreté… c’est-à-dire, en fait, tout ce qui permet à la ploutocratie de continuer à se maintenir en place et à s’enrichir, nos dirigeants politiques sont choisis pour leur faiblesse morale, leur capacité à mentir, à suivre les ordres, à se soumettre au chantage ou leur volonté de faire avancer le plan de l’oligarchie. Le parti auquel ils appartiennent n’a aucune importance. Au-delà d’une boulimie d’argent et de pouvoir, certains sont aussi les produits d’une vie qui peut inclure la pédophilie, le trafic et la consommation de drogue, la pornographie enfantine, la bestialité, etc. Aussi, ils leur sont donnés de nombreuses occasions de se livrer à leurs vices, ce qui assure leur obéissance et leur solidarité. Et le public ayant une confiance enfantine en ses dirigeants, en particulier les présidents, l’accusation selon laquelle ils pourraient s’adonner à de telles activités reste pour lui quelque chose d’inconcevable.
    On comprend, alors, pourquoi le pouvoir politique se fonde volontiers sur l’ignorance du peuple et s’accroît d’autant que les esprits sont faibles, les gens incultes.
    Blog : https://livresdefemmeslivresdeverites.blogspot.com/

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