Les prêts-à-tuer sont dans les starting-blocks ! | Par Lediazec

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Les temps sont au grotesque. À ce ridicule criminel qui laisse des traces indélébiles dans l’histoire. Ces temps qu’on ne pourra pas évoquer plus tard sans ressentir un grand sentiment de honte, au point de regretter d’avoir été le témoin et même le complice d’un crime.

L’histoire présente et notre avenir sont entre les mains de grossiers échantillons d’humanité, n’ayant de la vie et de l’histoire des pays qu’on leur confie, qu’un grand mépris. Du président poulet-bicyclette (c’est ainsi qu’on nomme en Afrique la volaille peu en chair), se prenant pour un Musclé de foire, au dernier Gamelin venu, tous, veulent voir du sang sur le trottoir. 

C’est le black friday du prêt-à-tuer ! 

Leurs nuits ne sont qu’éviscération et dislocation ! Jack l’éventreur ? Un vulgaire amateur ! Ils ne dorment plus, ils fantasment un héroïsme au rabais, tapi dans les replis de leur lâcheté. Quand on dit le sang, on ne parle pas du leur, mais de celui des « fils et des filles de la France » qu’ils voudraient sacrifier, comme on sacrifie un poulet dans un rituel vaudou.

Tout cela, afin d’empêcher un ennemi imaginaire de nous envahir, alors que nous sommes déjà sous l’emprise de notre véritable ennemi, celui que nous nous nourrissons avec notre crédulité.

Pour qu’une guerre soit possible, il faut du conditionnement, du mensonge et un terreau. Il faut que les moyens de l’information et de la diffusion soient sous contrôle. Ils le sont. Ne reste plus qu’à appliquer le principe des neurosciences cognitives comme on fait dans le marketing, afin d’obtenir l’aval du consommateur, autrement dit l’opinion publique ! Le fait n’est plus contestable ! La guerre, c’est la fabrication de deux camps furieusement opposés. Ne l’emporte que le camp disposant de moins de scrupules, d’humanité. Le reste, c’est de la littérature pour des gens n’ayant jamais mis un pied dans le bourbier d’une guerre ni senti l’odeur du sang dans la nourriture qu’on avale au milieu des cadavres. Pas plus qu’ils ne comprennent la douleur des parents perdant le fruit de leurs entrailles pour satisfaire au plaisir d’une minorité sanguinaire !

De Gaza en Ukraine, ça ne fait qu’un pas vite franchi par des barbares qui fomentent les guerres sans jamais la faire, et ceux qui bêlent au son du tambour, courant vers l’abattoir comme on se rend à une manifestation sportive !

Sous l’Casque d’Erby

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Volti

5 Commentaires

  1. Encore une fois, cette guerre n’est possible que si les soldats, qu’ils soient de métier ou recrutés à l’arrache, obéissent.
    La plupart du temps, ça se limite à ça. L’obéissance. Cette guerre, c’est l’expérience de Milgram en réel.

  2. Si j’avais accès à la malette de Poutine. Et bien on ne serait plus là à parler de ce monde de merde.

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