Euthanasie, IVG, suicide assisté : Tout le monde doit mourir | Frigide Barjot | Géopolitique Profonde

Le 27 février à 18h30, Frigide Barjot, Nicolas Stoquer, Adrien Abauzit et Guillaume Bernard seront nos invités, en direct sur Géopolitique Profonde.

Frigide Barjot est une humoriste, chroniqueuse et militante française. Elle a été l’une des porte-paroles de la Manif pour tous, opposée au « mariage » des couples de même sexe – qu’elle veut remplacer par une union homosexuelle spécifique – et au changement de filiation en résultant. Elle a ensuite fondé l’association L’Avenir pour tous, qui défend la « filiation biologique » et la « reproduction humaine ».

Nicolas Stoquer est un géopolitologue et un expert en intelligence économique. Il est également patron d’émission à Radio Courtoisie, où il anime notamment “Le libre journal de Géopolitique Profonde” en partenariat avec notre média.

Adrien Abauzit est un avocat au barreau de Paris, écrivain, conférencier. Il est l’auteur de plusieurs ouvrages sur la politique, l’histoire, la culture et la religion, dont La France divisée contre elle-mêmeL’affaire Dreyfus – Entre farces et grosses ficelles et La gauche est une maladie mentale. Il anime aussi la chaîne Radio Athéna.

Guillaume Bernard est un historien du droit, spécialiste des institutions politiques et des idées politiques. Il est maître de conférences à l’Institut catholique de Vendée et auteur de plusieurs ouvrages, dont Droit constitutionnel et institutions politiques, La guerre à droite aura bien lieu : le mouvement dextrogyre et plus récemment Deux colères fracassées dans l’ignorance. Il est également chroniqueur pour divers médias, comme L’Homme Nouveau, Boulevard Voltaire ou TV Libertés.

Notre entretien aura comme thématiques : l’IVG, l’euthanasie et le suicide assisté.

Le 28 février, le Conseil constitutionnel doit se prononcer sur la constitutionnalisation de l’IVG, c’est-à-dire son inscription dans le bloc de constitutionnalité, qui regroupe les normes juridiques suprêmes de la République. Cette démarche, initiée par un groupe de députés de la majorité, vise à garantir le droit à l’avortement comme un principe fondamental, au même titre que la liberté d’expression ou la laïcité. Elle suscite de vives oppositions de la part des mouvements pro-vie, qui dénoncent une atteinte à la dignité humaine et à la protection de la vie dès la conception.

L’euthanasie et le suicide assisté sont deux pratiques qui consistent à mettre fin à la vie d’une personne atteinte d’une maladie incurable ou d’une souffrance insupportable, avec ou sans son consentement. En France, ces pratiques sont interdites par la loi, qui prévoit cependant le droit à l’arrêt des traitements et à la sédation profonde et continue. Plusieurs propositions de loi visant à légaliser l’euthanasie ou le suicide assisté ont été déposées au Parlement, mais aucune n’a abouti à ce jour. Le débat sur la fin de vie oppose les partisans du droit de mourir dans la dignité et les défenseurs du respect de la vie jusqu’au bout.

Dans un contexte de dénatalité de plus en plus inquiétant en France, est-ce que ces décisions ne dirigent pas le pays vers une vision de mort globale et collective ?

Quelle est la place de l’État dans la gestion de l’avortement et de la fin de vie ?

Quels sont les enjeux éthiques, juridiques, politiques et démographiques de ces questions ?

Quelles sont les visions du monde qui s’affrontent sur ces sujets ?

Peut-on faire un lien entre ces problématiques et les objectifs de Davos de gestion de la population occidentale ?

Ces questions sont au cœur d’un débat passionné et passionnant, qui concerne chacun d’entre nous, en tant que citoyen, mais aussi en tant qu’être humain. Elles touchent à des notions essentielles, comme la liberté, la dignité, la responsabilité, la solidarité, la justice, la souveraineté, la culture, la religion, la science, la technique, etc.

Pour en parler, nous avons réuni quatre invités de qualité, qui ont des points de vue différents, mais argumentés, sur ces questions. Ils vont nous faire part de leurs analyses, de leurs convictions, de leurs propositions, mais aussi de leurs interrogations, de leurs doutes, de leurs craintes, etc.

Ne manquez pas ce rendez-vous exceptionnel, qui vous permettra de vous informer, de vous former, de vous questionner, de vous positionner, et peut-être de changer de regard sur ces questions.

Alors, n’hésitez pas, rejoignez-nous le 27 février à 18h30, sur GPTV !

Vous ne voulez plus vous soumettre aux injonctions de mort de l’État ? Quittez le système maintenant :

GÉOPOLITIQUE-PROFONDE

Franck Pengam (Géopolitique Profonde)

5 Commentaires

  1. Laisser les gens tranquilles, qu’ils puissent décider personnellement de leur condition.
    C’est pas à des considérations religieuses d’imposer leur vues aux autres.
    Et ça n’a aucune influence sur la démographie globale.

    Bien content d’avoir pu euthanasier mon grand père qui souffrait atrocement en attendant une mort qui arriverait quelques jours plus tard. Pourquoi souffrir inutilement. La vie est de toute façon une chose à date limite.

    • Totalement d’accord. Les anti ne le sont que pour des considérations religieuses à la con.

      J’emmerde votre religion. Le droit le plus absolu d’un être humain est de pouvoir choisir de vivre ou de mourir librement. C’est pas à la morale archaïque de culs-bénits débiles de décider à ma place de ma vie et de ma mort.

      De tous temps, la religion s’est nourrie de la peur, de la souffrance, de la misère, du désespoir. C’est pour ça qu’ils ne veulent pas que les gens meurent. Ceux qui n’ont plus d’espoir se tournent vers la seule chose qui reste, aussi débile soit elle, la religion.

      Que ces salopards de culs-bénits fassent comme ça leur chante, libre à eux, mais ils n’ont pas a décider pour les autres.

  2. A tout les critiques des religions qui considèrent la vie comme sacré; sachez qu’actuellement vous pouvez vous suicider sans que cette loi existe. Simplement il faut du courage, chose qu’apparemment vous n’avez pas si vous demandez que d’autres prennent cette décision à votre place. Cette loi est à l’image de beaucoup de lois une déresponsabilisation des individus au profit de l’Etat. Quand ce dernier fera la promotion du suicide pour tout ceux qu’il considère comme inutile ou nuisible, qu’est ce que vous dirais, vous les soumis à l’Etat? très probablement, vous accepterez son message, soumis comme vous êtes.

    Et au final, ça mènera à ce genre de chose: https://www.la-croix.com/Monde/kits-daide-suicide-coeur-dune-vaste-enquete-Royaume-Uni-2023-08-30-1201280695

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