Par Cédric D. K
Parler ici d’Elon Musk est un véritable piège casse gueule, tant le personnage est controversé.
Phénomène de notre siècle, indiscutablement, il reste pourtant une énigme. Il bouleverse nos habitudes, anticipe les changements de société et innove sans discontinuité.
Vous savez, il est de ces hommes dont il est très difficile d’en discerner les intentions exactes. On peut étudier l’homme, sa vie, ses collaborateurs, ses réalisations, sa personnalité…. Tout est mystérieux chez cet individu, père de 11 enfants, et homme d’exception.
Alors j’ai toujours eu beaucoup de mal à me positionner sur ce personnage. Je lui reconnais son génie, mais n’arrive pas vraiment à trancher.
Certes, il est l’un des hommes les plus riche du monde, sans équivoque possible. Mais au moins, sa fortune il la doit à sa vision d’entrepreneur et il est loin de faire n’importe quoi. C’est simple, il a toujours un temps d’avance. Il nous sort un projet, le monde incrédule le moque, et il le fait ! Au mépris du risque, puisque justement, comme tout entrepreneur cet addiction du risque est inscrit dans sa matrice.
Ce qu’il déclare à propos de son action est sans équivoques. Son unique objectif est en tout simplicité de « sauver le monde ».
Phénomène de notre siècle, indiscutablement, il reste pourtant une énigme. Il bouleverse nos habitudes, anticipe les changements de société et innove sans discontinuité.
Vous savez, il est de ces hommes dont il est très difficile d’en discerner les intentions exactes. On peut étudier l’homme, sa vie, ses collaborateurs, ses réalisations, sa personnalité…. Tout est mystérieux chez cet individu, père de 11 enfants, et homme d’exception.
Alors j’ai toujours eu beaucoup de mal à me positionner sur ce personnage. Je lui reconnais son génie, mais n’arrive pas vraiment à trancher.
Certes, il est l’un des hommes les plus riche du monde, sans équivoque possible. Mais au moins, sa fortune il la doit à sa vision d’entrepreneur et il est loin de faire n’importe quoi. C’est simple, il a toujours un temps d’avance. Il nous sort un projet, le monde incrédule le moque, et il le fait ! Au mépris du risque, puisque justement, comme tout entrepreneur cet addiction du risque est inscrit dans sa matrice.
Ce qu’il déclare à propos de son action est sans équivoques. Son unique objectif est en tout simplicité de « sauver le monde ».
Il vient de révolutionner le paradigme humain en 8 étapes distinctives, et persévère, quoi qu’il lui en coûte.
- Le paiement en ligne relié à notre CB : X.com (PayPal) 1999- 2002
- L’énergie photovoltaïque : SolarCity
- La mobilité individuelle connectée et autonome, la batterie Powerwall : Tesla
- La conquête spatiale et la colonisation de Mars, l’hyperloop : SpaceX
- L’homme connecté pour contrer l’IA : NeuraLink
- L’aménagement de voies sous terraines : The Boring Compagny
- La plateforme médias pour tous et sans censure : Starlink et X
- L’Intelligence Artificielle Amicale contre l’IA : IAx
Première chose, il n’impose rien, ne se sert pas de l’argent public pour avancer, ni payer ses études qu’il a financé lui-même par son travail. Ce qu’il réalise influe notre humanité d’une manière révolutionnaire, le mot n’est pas trop fort.
D’un côté on peut raisonnablement penser qu’il a dans les mains des instruments de pouvoir puissants donc inquiétants. De l’autre, il n’a rien fait dans l’ombre et il ne le doit qu’à lui même.
Il l’affirme pour expliquer son insolente réussite : “Raisonner par premiers principes est un peu comme une manière d’analyser le monde sous l’œil de la physique. Vous partez de ce qu’il y a de plus fondamental et dites: De quoi est-on sûr? … et ensuite vous raisonnez à partir de la. »
Cela en dit long sur sa philosophie. Plus simplement il évoque juste un concept basique mais sorti totalement du logiciel gouvernementaux : le bon sens.
Il fait fis des analystes présomptueux et autres spécialistes qui passent leur temps à tourner en rond sur leurs propres convictions héritées d’un système qui a pour but sa propre survie aux manettes de notre véhicule Terre. Il balaie les usines à gaz et autre inventeurs du fil à couper l’eau et les cheveux en quatre et en revient au fondamental. L’idéologie pour lui, est ce qu’il faut combattre, c’est l’instrument de propagande clairement identifié.
L’approche d’Elon Musk est purement expérimentale, et non théorique. Il s’appuie sur le développement par itération. Il s’agit de ne pas tout concevoir en une fois et s’appuyer sur l’évolution plutôt que la conception. Il élimine ainsi le superflu et les échecs s’évitant le piège d’optimisation imbécile. Il aime souvent à dire à ce propos : « si vous ne rajoutez pas au moins 10 % de ce que vous avez supprimé, c’est que vous ne supprimez pas assez ». Enfin, il prône à très juste titre l’intégration verticale, à contrario de tout ce qui se fait actuellement, en regroupant toutes les compétences afin de ne pas dépendre des difficultés extérieure, de fournisseurs étrangers par exemple.
Je suppose qu’il a ses sources, étant donné sa position sociale et bénéficie à ne pas en douter de données qui ne sont pas disponibles au commun des mortels. Et il le dit, se moquant ouvertement de DAVOS dans le texte, alors qu’il est en position d’y avoir son siège et son service d’escort.
Il n’a pas hésité à publier les « twitter files » qui démontraient clairement une obscure affaire de censure du Washington post, par un groupe interne à Twitter, censurant et établissant des listes noires de ce qu’il fallait bannir ou pas. Ainsi il a expliqué pourquoi et comment Trump s’est fait sortir du réseau social.
Il a ensuite nettoyé la société, virant 4 employés sur 5, dont des agents du gouvernement qui avaient été engagés pour s’assurer que Twitter distribuait la bonne propagande. Il a ensuite changé le nom en X, et créé un espace sans censure et affirmé comme tel, en lançant les outils de vérification des faits par les internautes et les sources publiques.
Le moins que l’on puisse dire, à l’instar de nos gouvernements, il redonne sens au mot remaniement !
La méthode est brutale. Comme le sont chacune des déclarations du milliardaire. Il a mis en cause Twitter sur le non filtrage des contenus pédopornographique, ce qui a conduit à la démission du conseil de surveillance à ce sujet.
Il a été l’un des premiers dissidents à s’opposer aux contrôles du Covid en continuant à faire tourner ses usines au mépris du gouverneur et en quittant même la Californie pour le Texas afin d’y trouver plus de liberté. Il a été un des premiers à accuser directement la politique du Dr Fauci lors de la pandémie. Là aussi l’intéressé après 38 ans de bons et loyaux services a disparu des radars.
Je ne vais pas faire ici le décompte de ses déclarations, il y en a trop. Néanmoins, il a racheté et protège aujourd’hui la seule plateforme de libre expression qui ait une réelle portée mondiale. Pourtant, X est loin d’être rentable, c’est le moins que l’on puisse dire.
Aujourd’hui, et pour cette raison, il est une véritable cible aux attaques de tout bord. Ce qui le rend intrinsèquement fort sympathique.
La liste des attaques est tout simplement hallucinante. Elle est tellement longue que c’est à peine croyable. Vous pouvez juger par vous même.
Mis directement en cause, il propose un vote sur Twitter, remettant sa présidence dans les mains des Twittos au travers d’un vote, et prend un revers cinglant. Malgré la preuve d’utilisation de bots pour son évincement, il finira par annoncer laisser la présidence à Linda Yaccarino par étape, preuve s’il en est de la difficile digestion de l’affaire.
En France, c’est Thierry Breton qui s’attelle à la tâche. Thierry, vous le connaissez ? Tout droit sorti de l’école Alsacienne, il est une synthèse du système actuel à lui tout seul. Son palmarès est des plus impressionnant. Il a vendu Bull, fleuron français à Packard Bell, puis a savonné la planche pour l’effondrement de Thomson, privatisé France Telecom pour finir par faire plonger Atos dernièrement. Je vous fais grâce de sa double carrière de politicien, de son lobbying pour le nucléaire, militant du FEDS (Fond Européen de Stabilité Financière), membre de la commission intérieure européenne, et enfin, petite perle qui pour ma part ne passe absolument pas, a écrit un livre, « Vatican III », dont je vous remercie d’avance de ne pas lire. Publié en 1985, il imagine le Vatican lancer des satellites géostationnaires pour diffuser sa propagande par l’image…
Donc ce cher Thierry accuse Elon Musk de violation des obligations de lutte contre le contenu illégal et la désinformation. En sachant que l’objectif même du régime de l’UE est d’imposer une absence de transparence, Thierry a utilisé X pour s’attaquer à Elon Musk, profitant du fait qu’il ne serait pas censuré. Cynique le garçon, non ?
Thierry profite de Gaza, bien évidemment, pour en remettre une couche
Musk refuse de se laisser intimider et réaffirme à qui veut l’entendre d’«aller se faire voir». Il est attaqué sur tout les fronts, en attaques concertées, par ceux là même qui vivent du système plutôt que de le faire vivre. Il va même plus loin, accusant NewsGuard d’être l’organe de propagande américains dans le monde, ce qui n’est pas complètement impossible, avec l’ombre de Soros toujours en arrière plan au Royaume uni, qu’il accuse publiquement de détester l’humanité.
https://fr.wikipedia.org/wiki/NewsGuard
Il faut bien avouer, ses convictions sont parfois caricaturales. De fait la part faite aux femmes dans ses entreprises est très faible, tout comme les personnes d’origine étrangères, bien qu’il s’en défende en mettant sa condition d’immigré en avant. Conservateur sur la forme, donc, il est surtout un anti-wok maladif, ayant expérimenté directement le problème transgenre au travers de sa propre fille qui a rompue tout contact avec lui.
Comme tout bon libéral, il est allergique au syndicalisme d’entreprise, et reste l’ennemi personnel de Bernie Sanders qui rêve d’un impôt sur la fortune. Tout comme Emmanuel Todd, il reste également persuadé de l’importance de conserver une forte natalité.
Cela fait un drôle de mélange, surtout après sa sortie italienne très remarquée auprès de Méloni, lorsqu’il assume la théorie du grand remplacement ou lorsqu’il prend ouvertement la défense d’Alain Soral lors de son procès en Suisse. La nomenklatura le classe donc à droite toute, même si ce concept devient très fumeux tant il ne veut plus dire grand-chose. Surtout qu’il reste toujours aussi insaisissable.
On a dit qu’il est un supporter inconditionnel de Trump, aimant à ironiser sur la « gérontocratie » de l’administration Biden. Il prend tout le monde à contre pied et soutient le libertarien Ron DeSantis contre Trump lors des primaires américaines. Il faut dire que la position farouchement anti-wokiste du gouverneur de Floride, qui s’est opposé à toute restriction des libertés lors de la pandémie et ouvertement militant du port d’arme a toutes ses faveurs.
La guerre en Ukraine va nous permettre également de mettre en relief certains points.
Pour la seconde fois il va proposer un duel d’homme à homme avec Poutine, comme il a pu le faire avec Mark Zuckerberg avant de se dégonfler. Mais passons l’anecdote, même si de ce point de vue, comme pour le vote de twitter, on notera un effet grande gueule qui a du mal a assumer ses propres bravades.
Mais d’un autre côté, il affirme avoir refusé à Kiev la possibilité de couler des bateaux russes au mouillage à Sébastopol, qui demandait l’activation de son réseau StarLink. Mieux encore, il s’en explique fort bien et se propose même d’initier un plan de paix avec un statut de neutralité pour les ukrainiens et laissant la Crimée à la Russie, déplorant le nombre de morts pour un front qui ne bouge pas. Hors ce même réseau a été utilisé par les ces mêmes Ukrainiens lors du début du conflit, dans le Nord du pays.
Là encore difficile de se faire une idée exacte sur son positionnement concernant ce conflit. Il souffle le froid et le chaud, sans vraiment prendre parti. Tout comme son mensonge concernant la capacité de ses batteries surestimée, ce qui lui a permis de conquérir ce marché en forçant la concurrence à s’adapter. Mais un mensonge reste un mensonge. Même s’il déclare que c’est un contresens technologique (le poids du véhicule), il a adopté la même stratégie que ses concurrents en matière d’industrie automobile.
https://www.cnbc.com/2017/03/28/messaging-app-parent-tencent-takes-stake-in-tesla.html
C’est du côté de la Chine que Musk a une posture plus lisible. Ouvertement pro chinois dans le conflit qui l’oppose à Taïwan. Il a suggéré que l’île pourrait céder une partie du contrôle à la Chine en se transformant en « zone administrative spéciale ». Là encore, il se veut résolument pacifiste, ou faut il évoquer ses intérêts directs avec le PCC (Parti communiste chinois), qui lorgne avec bonheur sur son projet « Everything App ». Cette méta application mondiale sur le modèle de WeChat, permettrait aux dirigeants chinois de posséder un outil dangereux. Car cette affaire est transversale. En effet, l’appli WeChat, véritable outil d’espionnage interne, est la propriété de Tencent Holdings Ltd, et ouvertement affiliée au PCC. Hors cette entreprise détient des parts très importantes de Tesla qui sort de ses usines de Shanghai des milliers de véhicule chaque jour.
Non pas qu’Elon Musk trahisse son pays d’origine, mais il est ici question de l’importance du respect de la vie privée, de nos données personnelles. Elles sont le nouveau Graal économique et une organisation capable de détenir la propriété d’une « application pour tout » aurait accès à toute nos données. C’est cette concentration qui pose question, étant donné la grande vulnérabilité d’un tel système.
Cela va bien dans le sens de son projet StarLink, qui propose un accès à internet à tous, partout dans le monde, et principalement aujourd’hui en Afrique. Et à contrario de ce qui est dit précédemment, nous nous retrouvons avec un gouvernement chinois qui cette fois vois ce réseau d’un œil plutôt circonspect.
Je ne peux manquer d’évoquer ensuite ses engagements contre l’IA, plutôt très factuels, et la création d’IAx dans le même temps, pour selon lui aller sur la piste d’une IAA (Intelligence Artificielle Amicale), pour selon lui, découvrir les secrets de l’univers.
Elon demande un moratoire pour selon lui encadrer très strictement ce développement, car il y voit une grande menace pour l’humanité. Il accuse même Microsoft de s’être servi des données Twitter pour des expériences complètement illégales de trafic de données personnelles, encore une fois aux antipodes de sa centralisation des données. Il souhaite développer son propre système AI afin de gérer ses différents projets et analyser plus profondément les impacts d’une telle intelligence. Il a pour principal conseiller Dan Hendrycks, véritable défenseur de « l’éthique des machines ». Grand lecteur depuis toujours, il ne s’est jamais caché de son admiration pour Asimov et adopte une posture prudente. Ou encore une fois il manœuvre afin de combler son retard en la matière.
Faire le tri entre intention réelle ou affichée, là encore, il est difficile de trancher.
Pour finir, et cette fois sans questionnement sur le sujet, je finirais par la position transhumaniste de sa vision. NeuraLink est clairement dans cette optique. Il l’avoue lui-même, le jeu Deus Ex a été pour lui une révélation. Alors, oui, il argumente sur le fait que l’homme pour garder son avance sur l’IA doit s’adapter et devenir cyborg. Il travaille sur la connexion homme-machine par la pensée, mais aussi sur la régénération cellulaire, donc l’immortalité.
Et c’est tout là l’enjeu. Car par ce simple fait, il est clair que l’homme n’a aucune idée de la nature spirituelle de la vie. Et si l’on remonte le fil de cette réflexion, tout devient plus clair. Elon Musk se tient dans un univers purement matérialiste, physique, mécanique. La vie se traduit pour lui en une série de 1 et de 0, clairement. La spiritualité, Musk n’y croit pas, c’est une coquille vide. Point final.
Mais est-ce vraiment le cas ? Car derrière tout cela, bien au contraire, n’y aurait-t-il pas une intimité concernant sa foi ? Ou un secret bien gardé ? Ou encore un conflit en lui ?
J’allais conclure sur ce dernier point, mais soyons honnête une dernière chose vient encore une fois apporter du doute dans mon moulin. Elon Musk est à titre privé un endetté à hauteur de 500 millions de dollars, il est locataire, sans argent liquide, ni salaire, car il est « l’homme le plus riche du monde » le plus virtuel de l’Histoire. Sa fortune n’est en effet composée quasiment que d’actions de ses deux sociétés Tesla et SpaceX. Avec un patrimoine de 195 milliards $ , il possède très peu de liquidités et a vendu tous ses biens immobiliers en 2020.
A chacun de se faire son propre avis.
Cédric D.K
Je comprends les hésitations à classer le bonhomme ! Pour ma part, un gars qui vous pourrit le ciel avec des milliers de satellites et veut implanter des logiciels dans le cerveau humain, c’est un gars dangereux. Quelles que soient ses raisons. L’inventeur de la bombe atomique n’avait certainement pas de mauvaises intentions au départ. Puis il a amèrement regretté son invention quand il a vu ce que certains en ont fait.
Cédric le dit fort bien: « il se tient dans un univers purement matérialiste ». Alerte !!
Légende urbaine,
« L’inventeur »(Oppenheimer) de la bombe atomique savait dés le départ l’usage qu’il allait en être fait, évidemment.
Bonjour Biquette
Perso je m’en suis toujours méfié de E Musk. Son apparition dans l’armure de cuir rouge à l’éffigie de baphomet pour la halloween 2023 était plus que douteuse d’ailleurs.
– L’Elon Musk ne doit pas trop poser de problème au système, si non il y a belle lurette qu’il aurait été effacé.
…Pensez à JF Kennedy, président des USA, soit disant l’homme le plus puissant du monde.
Il tient le système au contraire. il a potentiellement assez d’information au travers des Twitter files pour s’assurer une certaine tranquillité, il dispose d’une technologie redoutable satellitaire et assure une plateforme sans censure. Il ne s’est pas opposé au système, il l’a rendu dépendant. Donc il est intouchable.
Mon questionnement est sincère.
Bonjour Cedric DK
…Parce que vous croyez que les twitter files arrêtent les balles ?
Bonjour. Elon Musk intouchable? Pour avoir rendu le système dépendant? Opposition contrôlée. Ce n’est pas un self made man. Le mossad, la CIA, pentagon…
Le X reflète par dédoublement la pointe du compas et de l’équerre, mais bon, on s’en fout, chacun ses appartenances. Ce n’est pas notre sauveur, loin de là.
Juste un pion parmi d’autres. « L’homme le plus riche du monde »? Lisez Larry Romanoff.
Je suis fatigué et je sens bien que le silence est d’or.
« Questionnement sincère », pourquoi pas. Mais à qui profite ce doute? Avant de me taire, comment croire que l’on puisse se rendre intouchable en ayant rendu le système dépendant ? D’une manière ou d’une autre, nous dépendons tous du système, tout comme il dépend de nous tous. Bonne nuit les amis.
C est clair. Ils s attaquent au russes pour leur plan mais ont peur de Musk
Ce n est qu une marionnette utile qu on fêtera après utilisation comme Zelinski en Ukraine.
ne pas se fier aux apparences
Ce qui est autorisé, c est bien pour une bonne raison.
L espérance de vie de Zelinski est très réduite. Vous verrez..
Ce qui est certains, démêler le vrai du faux est quasiment compliqué pour ce qu vivait dans la planète Barbie avant.