Dans le monde universitaire, l’accusation de plagiat est sérieuse, et la réputation d’un chercheur peut être détruite instantanément s’il est découvert qu’il a volé le travail de quelqu’un d’autre.
Récemment, Idriss Aberkane, un écrivain, entrepreneur et chercheur français, a été plongé dans le tourbillon d’allégations concernant une thèse qu’il a déposée en 2016 et qui porte sur l’« économie de la connaissance ».
Depuis quelques années, et tout particulièrement depuis ses prises de position sur la gestion de la crise sanitaire, Idriss Aberkane subit les foudres de certains médias de grand chemin, notamment de « L’Express », qui tente allègrement de le discréditer en le faisant passer tantôt pour un usurpateur, tantôt pour un complotiste antivax.
Toutes ces accusations portent sur la manière dont Idriss Aberkane se présente et en particulier sur le prétendu gonflement de son CV.
Extrait de l’article du journal « L’Express » en date du 04/01/2022. Source : L’Express
La presse mainstream au service des mondialistes
Cette fois, le journal “L’express” (ou l’ex-presse), avec la participation de Victor Garcia, a titré : «Thèse d’Idriss Aberkane à Polytechnique : « Le plagiat est avéré, nous proposons de lui retirer son doctorat »».
Extrait de l’article du journal « L’express » en date du 30/08/2023. Source : L’Express
Pour L’Express, Idriss Aberkane est devenu « le porte-parole » des complotistes.
Durant la période du Covid, tous les médias subventionnés par l’État, y compris L’Express, étaient devenus les porte-parole de la peur. Ainsi nous avions chaque jour droit à des informations parfois fausses et/ouinfondées, mais toujours validées par le sacro-saint conseil scientifique qui était en réalité un prête-nom bien utile pour appliquer les conseils en communication du cabinet McKinsey.
On se souvient de la ligne éditoriale post-covid des médias mainstream et de leurs titres alarmistes. Entre les comptages journaliers des morts et des tests positifs, les mesures liberticides et l’incitation à l’injection sans fondements scientifiques, nous étions servis. Rien d’étonnant, en réalité.
C’est même plutôt cohérent, voire rassurant, d’observer ce genre de phénomènes somme toute assez naturels, s’exercer dans les tribunes de ces journaux aux ordres des multinationales.
Telles des hyènes prêtes à tout pour vendre leur âme pour un morceau de viande (une promotion en l’occurrence), on assiste à un véritable acharnement contre le bon sens. Les attaques ad hominem sont légion, et la pratique qui consiste à discréditer le moindre discours qui va à l’encontre des dépêches AFP, un véritable fer de lance à l’époque des fake-checkeurs, des zététiciens, et autres idiots utiles des mondialistes.
Victor Garcia n’en est pas à son coup d’essai. Ainsi, en 2021, son complotiste préféré, c’était Didier Raoult.
« Des études publiées par l’équipe du célèbre professeur frôlent, voire franchissent les limites de la loi qui encadre les expérimentations sur des êtres humains. Certaines impliquent des enfants. »
Malheureusement, Victor Garcia n’a pas eu l’audace de mener une enquête avec autant de véhémence qu’il l’a fait pour Didier Raoult et Idriss Aberkane concernant la vaccination des enfants.
Ce parti pris est bien commun aux journaux mainstream depuis longtemps acoquinés avec les pouvoirs en place.
Mais ne nous privons pas de rappeler, grâce à une simple image, la ligne éditoriale de ce journal très… complaisant à l’égard du système pendant la crise covid :
Il est intéressant de noter que ce petit extrait d’archive ne concerne que la simple journée du 20 mars 2020.
On vous laissera vous rendre compte de l’ampleur du phénomène en consultant les archives correspondantes aux dates des heures sombres par vous-même : https://www.lexpress.fr/archives/2020/.
Bien évidemment, le journal « L’Express » n’est pas le seul dans ce cas. On pourrait citer également le journal « Libération » ou encore « Le Monde » qui usent des mêmes pratiques et font preuve du même niveau d’asservissement à l’État profond.
La réponse d’Idriss Aberkane sur les réseaux sociaux
Suite à ces accusations, la réponse d’Idriss Aberkane ne s’est pas faite attendre.
Il aurait alors été aisément constaté que le chapitre 13 incriminé par M. DEVEAUD, intitulé « Matériel et méthode : documentation technique » est, comme son nom l’indique, la reproduction d’une documentation technique, dont les auteurs et les sources sont parfaitement cités.
Je précise que l’un des buts techniques de ma thèse tenait à implanter d’une façon stable le Chromium Embedded Framework – source owerte et très régulièrement modifiée – dans le moteur de jeu Shiva 3D, dont les sources sont entièrement fermées et moins régulièrement modifiées ; la thèse a donc donné loyalement, en citant ses sources, l’état exact de la documentation technique qu’elle a utilisée pour réaliser son objectif au jour de sa rédaction ; l’éthique et la méthodologie de ce chapitre sont donc non seulement indiscutables, mais en réalité les seules possibles pour une section « matériel et méthode », dont le but est de permettre à un chercheur de reproduire les travaux publiés, ce qui n’est possible et garanti que dans l’état exact de la documentation citée au moment de leur réalisation, pourvu que les sources soient citées, comme c’est le cas dans ma thèse.
Il n’y a donc point de plagiat.
Sur la commission Deveaud.
Votre article affirme que le comité d’éthique aurait été saisi en mars 2021. Or, en mars 2021, l’école Polytechnique n’avait aucun comité d’éthique. Celui-ci n’a été institué que le 20 juin 2022 par note n°2022-008/PCA/DG/SG/ DAJ et ses membres n’ont été nommés que le 2 septembre 2022 par décision n°2022-037/EP/DG/SG/DAJ.
Il est donc très singulier qu’une commission dont les membres ont été désignés le 2 septembre 2022 ait pu se prononcer le même jour sur ma thèse, alors que son « président » affirmait par voie de presse n’avoir pas examiné le dossier dans sa partie scientifique peu de temps avant. Il est encore plus singulier que cette commission se soit prononcée sur mon travail sans que je n’aie été avisé, entendu ou mis en mesure d’apporter des éléments de réponse.
Il est enfin édifiant qu’un membre d’un comité d’éthique, censé incarner ladite éthique, et soumis à une obligation de discrétion professionnelle et de confidentialité en vertu de la décision n°2022-037 / EP/DG/SG/DAJet des dispositions des articles L. 121-6 du code général de la fonction publique et 226-13 du Code pénal, se permette d’attenter à mon honneur par voie de presse pour des raisons qui lui appartiennent.
Une nouvelle plainte va donc être déposée à son encontre et je précise qu’une plainte a d’ores et déjà été déposée pour des faits d’escroquerie, de faux en écriture publique et de violation du secret professionnel.
Sur la prétendue sanction.
Aucune sanction n’a été prononcée à mon encontre et il est donc faux de dire que ma thèse a été annulée. Mme IACONA, présidente de l’Université Paris Saclay, a confirmé à mon conseil par courrier du 14 décembre 2022 qu’aucune procédure n’avait été ouverte à mon encontre ; par conséquent aucune sanction n’a été prononcée à mon encontre. »
Thomas Durand, la tronche en biais
Alors que la polémique concernant le prétendu plagiat auquel Idriss Aberkane se serait livré dans sa thèse fait son chemin, Idriss en a profité pour rappeler que « l’ami personnel » de Victor Garcia, Thomas Durand, est assigné à comparaître en justice le 7 septembre 2023 au tribunal des commerces pour « actes de concurrence déloyale par dénigrement ».
Sur les réseaux, Idriss Aberkane a publié en capture d’écran un document qui stipule les sommes requises à l’encontre de Thomas Durand, à savoir la somme de 1 053 000 euros au total.
Idriss Aberkane et Thomas Durand se sont souvent écharpés par vidéos interposées, notamment suite à une vidéo publiée par le zététicien Thomas Durand sur sa chaîne YouTube LaTroncheEnBiais où il exposait les doutes qu’il estimait légitimes d’avoir, compte tenu du curriculum vitae très chargé d’Idriss Aberkane.
Ce à quoi Idriss avait répondu arguments à l’appui, et ne manquant pas à l’époque de déclencher un flot d’allégations et de rumeurs à son encontre. Les choses s’étaient calmées jusqu’à ce qu’une plainte soit déposée contre Thomas Durand.
Interrogé à ce propos dans l’émission animée par André Bercoff sur Sud Radio, « Bercoff dans tous ses états », Thomas Durand, allias LaTroncheEnBiais, a accédé à son droit de réponse.
Thomas Durand répond à Idriss Aberkane
Étonnamment, il ne semblait pas au courant qu’une plainte avait été déposée et sa défense était pour le moins… balbutiante.
Se définissant comme « trop pauvre » pour assumer un combat juridique face à Idriss Aberkane, il a ensuite démenti ses propos en ayant le culot d’exhorter les auditeurs à « rembobiner » pour vérifier … qu’il avait bien dit qu’il était pauvre.
Visiblement exaspéré par la posture du zététicien, André Bercoff n’a pas hésité à mettre la tronche en biais face à ses biais.
Qu’en sera-t-il du jugement de cette affaire ? Nous le saurons bientôt.
Cela m’agace de lire “les antivax complotistes”et jamais “les provax complotistes” alors que les provax étaient manifestement auteurs d’un complot visant à pousser tout le monde , par une coercition énorme , à s’injecter un produit expérimental aux effets secondaires cardiaques et neurologiques gravissimes , voire mortels , si l’on en croit l’augmentation en flèche des morts subites ou des paralysies de jeunes , sportifs ou non sportifs .
La justice fera son travail…
Non lieu, allez circulez y’a rien à voir.
Cela m’agace de lire “les antivax complotistes”et jamais “les provax complotistes” alors que les provax étaient manifestement auteurs d’un complot visant à pousser tout le monde , par une coercition énorme , à s’injecter un produit expérimental aux effets secondaires cardiaques et neurologiques gravissimes , voire mortels , si l’on en croit l’augmentation en flèche des morts subites ou des paralysies de jeunes , sportifs ou non sportifs .