Proposé par Françoise G
Source : Idriss J. Aberkane
L’OCDE compte 1,32 milliards d’habitants et on y parle déjà publiquement de leur faire manger des insectes et de rationner leurs déplacements à vie. Les BRICS comptent 3,3 milliards d’habitants et enchaînent les commandes d’avions de ligne et les mégaprojets d’infrastructure. La Chine à elle seule coule plus de béton en 2 ans que tous les USA durant tout le 21ème siècle… et ce même quand la construction représente presque 30% des émissions de CO2 mondiales.
Christian Gerondeau a vécu assez longtemps pour connaître l’époque où les catastrophistes climatiques prédisaient publiquement – et dans la presse – une nouvelle ère glaciaire pour les années 1990, ou encore les prédictions de fonte totale des glaces arctiques pour 2010. Il vient partager avec nous sa très haute expérience de la politisation extrême des enjeux climatiques. Oui il existe des défis environnementaux, et disons-le même des crises, mais leur résolution n’est absolument pas l’enjeu cardinal du catastrophisme ambiant. Pour les nouveaux Savonaroles et autres prêcheurs de l’apocalypse, seule la confiscation massive des libertés publique compte.
On n’y va pas « vers »! On y est purement et simplement ! Et,
« Pour qu’un mensonge devienne une vérité, il lui faut être répété le plus souvent et pour qu’il soit le plus crédible possible pour la masse des crédules, il lui faut une valeur certifiée, c’est pour cela qu’il est fait appel à de (très, trop) nombreux « experts » !
La masse de population ne se rend même plus compte, qu’elle est « culpabilisée », « soumise » insidieusement à devoir payer, sur base d’une monumentale « escroquerie » et un « mensonge éhonté ». Ces décisions ne sont que des « miroirs aux alouettes » et n’ont pour unique but, enrichir les finances des états et quelques « amis » du monde politique.
Quant aux dits « experts », ce ne sont que des « chasseurs de subventions » offertes par les politiciens et les médias dont ils dépendent directement.
En ce qui concerne les prétendues conséquences aussi catastrophiques les unes que les autres, toujours attribuées au « dit » réchauffement, il est grand temps de lire les Chroniques météorologiques très complètes de
Météo Paris.
Pour l’exemple voyez la manipulation des média, « la canicule de cet été, est la plus grave depuis l’histoire des relevés » !! Ah bon ? Or on peut lire ceci dans ces chroniques et il y a beaucoup d’autres exemples de ce type : Source Météo Paris https://www.meteo-paris.com/chronique une source inépuisable de contrevérités.
Donc un siècle d’ici !
– 10 mai 1923 : changement radical de temps – il neige dans l’extrême nord et en Belgique.
– Le mois de juin 1923 est exceptionnellement froid – à Paris, il fait aussi frais qu’en juin 1916 – les 17 et 18 juin 1923 , il neige au dessus de 900m dans les Vosges et le Jura.
– Du 5 au 15 juillet 1923 : importante vague de chaleur – les températures dépassent 35° sur presque tout le pays – on mesure 38° à Rouen, 39° à St Quentin et » 40°5″ à Lezay (Deux Sèvres). Dans le même temps, des orages extrêmement violents sont localement observés – une véritable tornade se produit au Mans et à la Flèche, provoquant la mort de 2 personnes – à Cissé (Vienne), tous les arbres sont déracinés.
Pourquoi peut-on parler de « Climarnaque » ?
D’un point de vue météorologique, tout ce qui se passe sur la terre à une cause cosmique ; tout dépend de l’action des astres. C’est dans les profondeurs de l’océan céleste qu’il faut aller chercher la cause de la plus légère brise qui souffle autour de nous. La terre y est étrangère.
L’esprit de l’homme, perdant de vue l’Univers, s’est confiné dans son petit monde et a voulu y trouver la cause de tout ce qui existe. C’est là une méthode mesquine que la science de l’Univers détruira.
Aussi, il est avéré que la température, plus élevée dans les temps anciens, s’abaisse graduellement ; le mensonge du « réchauffement climatique » est destiné, d’une part, à faire croire que les « élites » actuelles et leurs scientifiques dits « sérieux » peuvent apporter tous les progrès, même ceux du climat.
Et d’autre part, le Fonds pour l’Environnement Mondial (FEM), « validé » par le biais des Nations Unies en 1992, lors de la conférence sur l’environnement et le développement, plus connue sous le nom de « Sommet de Rio », qui gére le système de financement destiné, soi-disant, à mener des actions pour la préservation de l’environnement, dans le cadre du « développement durable », et accordant, entre autres, des subsides au projet lié à la lutte contre les effets du pseudo réchauffement climatique, est l’un des mécanismes clés dans le cadre du financement de la future monnaie mondiale (entièrement dématérialisée) que les élites bancaires globalistes contrôleront, et qui débouchera, par la force des choses, sur un gouvernement mondial ploutocratique désigné du doux nom de « Nouvel Ordre Mondial ».
NB : À l’origine, le FEM est issu du 4ème Congrès Mondial des Terres Sauvages (4th World Wilderness Congress) organisé en 1987 par le président de la Banque privée Edmond de Rothschild, le Baron Edmond de Rothschild lui-même, et parrainé par l’« International Wilderness Foundation » dont il était l’un des administrateurs. Quelque 1 500 banquiers et dirigeants parmi les plus puissants du monde ont assisté à ce congrès présidé par l’homme d’affaires, homme politique et multimilliardaire canadien, Maurice Strong (1929-2015), agent de « N. M. Rothschild & Sons » à Londres, et Directeur de l’« Earth Council », créé par lui en 1992 au Costa Rica pour coordonner la réalisation des programmes de l’« Agenda 21 », élaborés au sein du « Sommet de Rio » ; un « Earth Council », dont, rappelons-le, Klaus Schwab, président du World Economic Forum de Davos (« Mr Grand Reset »), est membre-fondateur.
Maurice Strong, ancien Secrétaire général de la Conférence des Nations unies sur l’environnement, et membres fondateurs du Groupe « d’experts » Intergouvernemental sur l’Évolution du Climat (GIEC) créé en 1988, a été visé personnellement par l’enquête sur le scandale du programme « Pétrole contre nourriture » de l’ONU en Irak.
Rappelons aussi que Al Gore, ancien sénateur et vice-président des États-Unis sous l’ère « Clinton », qui a évoqué l’environnement en tant que question politique, et qui est donc surtout connu pour sa « lutte », avec l’aide du GIEC, contre les effets du réchauffement climatique, est aussi le cofondateur (avec le chef de la gestion d’actifs de Goldman Sachs, David Blood) de « Generation Investment Management LPP », fonds d’investissements dans « l’économie durable », qui recueille des capitaux d’investisseurs du monde entier et en particulier de nombreux fonds de pension américains. Al Gore s’est lancé également dans le négoce de certificats d’émissions de CO2, et est aujourd’hui membre du conseil d’administration d’Apple, important actionnaire et conseiller de Google, et membre du conseil d’administration du Forum économique mondial de Klaus Schwab.
On constate dans cet exemple, et au-delà des beaux discours trompeurs mais « nobélisés » (Al Gore a reçu le prix Nobel de la paix en 2007) et « oscarisés » (« Une vérité qui dérange » a été récompensé par 2 Oscars en 2007) par les promoteurs du « système », toute l’hypocrisie et le caractère toujours bassement mercantile de tous ces médiocres individus au service de l’oligarchie.
Cosmogonie et météo : https://livresdefemmeslivresdeverites.blogspot.com/2017/07/cosmogonie.html
on peut parler de climarnaque dans les cas suivants:
– quand on prend des evenements exceptionnels pour en faire des generalités
– quand ceux qui annoncent des etats climatiques ne sont pas des climatologues, ni meme des scientifiques, mais des enkulés de politiciens mis en place pour l’occasion
– quand on prepare en loucedé des moyens coercitifs pour empecher la population de se servir d’appareils qu’ils ont acheté une blinde (exemple les clims bloquées en froid a mini 26°, voir carrement bloquées a distance par nos dirigeants comme ca a ete le cas aux USA l’ete dernier…
Et apres certains continuent a mouiller de la raie devant nos enkulés de dirigeants??? Avec ceux la, on a pas fini de creuser!!!!!
TRANSITION ÉCOLOGIQUE
Combien de milliers de tonnes de bétons sont coulés au milieu des terres arables pour y planter des éoliennes monstrueuses, onéreuses, à la production erratique et dont les socles de bétons seront indéplaçables, condamnant à l’infertilité des hectares et des hectares ? Crime écologique.
Combien de milliards vont être sacrifiés en France dans une transition énergétique alors que notre pays contribue à 1% de la production humaine de CO2 avec un impact dérisoire sur le climat ? Crime économique et irrationalité.
Combien d’entreprises et emplois vont être détruits du fait d’un surenchérissement arbitraire des énergies fossiles ? Crime social.
La transition écologique. Est-ce sérieux ?
Une eolienne c’est 600m3 de beton… Une eolienne c’est des tonnes de produits non recyclables!!!
Ce n’est pas la transition écologique, mais la trahison écologique!!!!!
..De plus, la production est médiocre et totalement aléatoire.
Ce ne sont que des pompes à subventions et des cracheuses d’enveloppes et dessous de tables.
Tout comme certaines infrastructures rourieres qui ne sont que du blanchiment d’argent… Est il croyable que pour une entree sortie d’autoroute qui a un rond point a coté, on construise un rond point supplementaire dont un servira une E/s nord et lm’autre une E/S sud… Vraiment du grand n’importe quoi!!!! copinage entre vinci btp, entre les quelques societées de maconnerie mafieuses du sud drome pour fabriquer du cash piqué aux habitants… Voila ce qu’est une ville macronnienne!!!
Une dictature climatique…
Quand on parle de la Corée du Nord, on ne dit pas une dictature anti-impérialisme américain…
Quand on parle du régime de Staline, on ne dit pas une dictature anti-capitaliste…
Une dictature est une dictature, point barre.
Avec dictature climatique, j’entends presque d’ici le « c’est pour notre bien, pour sauver le climat, c’est nécessaire, on a pas d’autres solutions. »
D’une certaine manière, parler de dictature climatique, c’est faire sa promotion. C’est mettre en avant l’excuse qu’elle se donne pour être ce qu’elle est. Dictature exploitant l’angoisse climatique, c’est plus long, moins accrocheur, mais ça a le mérite de séparer clairement le régime de l’excuse utilisée pour tenter de s’imposer.
De toutes manieres en oxydent, on enjolive de pretextes mignons les dictatures pour qu’on nous enfile avec…
Il est clair que toute dictature meme avec un pseudo pretexte bisounours reste une dictature!!!
Salut Radagast,
Tu as entièrement raison, et c’est pour celle-ci que je requalifierait l’expression en « Terrorisme … » ! Et dans le même ton que tu le suggères, s’en suivrait « … financier ayant trait sur le réchauffement de la planète ».
Quand au terme « Réchauffement », il n’est pas le plus juste non plus, il s’agit plus exactement d’un « Changement climatique » !
Il n’en reste pas moins que toutes ces manœuvres de corruption, sont une escroquerie mondiale et mensongère !
Je me permettrai de modifier une expression.
Il ne s’agit pas d’un « changement climatique », mais « d’une modification provoquée volontairement du climat d’un endroit donné », ce qui change tout bien entendu.
@ Jclaude,
Selon toi, modifié ou provoqué, par qui ou quoi ?
Sachant que ce phénomène aurait concrètement débuté vers 1650. A cette date un peintre autrichien, reproduit sur une toile, la fonte, la diminution, du glacier qu’il a toujours connu, ainsi que les anciens du village. D’autres témoignages et d’ailleurs font mention aussi de modifications comparables mais également, de perturbations dans le climat, s’étalant sur plusieurs années déjà. Les premiers écrits sont des chroniques paroissiales remontant à 1600 pour la date la plus ancienne.