Chronique des temps criminels

Par Lediazec

Ce monde est un désastre. Restons concentrés, ne baissons pas la garde, sous aucun prétexte. Si comme dit le dicton « A chaque jour suffit sa peine », il est des jours où la peine est double.

La machine est lancée et l’individu moyen se sent comme un zombi devant le rayon de farces et attrapes, sans savoir quel article choisir, ou se demandant – s’il lui reste un peu d’esprit – si ce n’est pas lui l’article à vendre.

Quand ce n’est pas le blanc qui tape sur le noir (cela devient assez rare), filmé à grand renfort de téléphone portable, c’est le noir qui bastonne du blanc pour tout le mal que l’ancêtre a commis, et dont il est forcément coupable. Ou la femme haineuse, qu’on envoie en mission pour castrer son complément masculin en détruisant son image dans des opérations « coups de poings » !

A défaut de résoudre les différends, on les attise afin de donner plus d’épaisseur au brouillard. Ceux qui ont pour mission d’apaiser, fournissent le combustible pour tout cramer.

Rien d’étonnant, quand on sait la haine que les Grandes Familles qui contrôlent le monde vouent à l’être « inférieur », dont nous formons les gros bataillons.

Il n’est pas de jour où un nouvel avatar ne nous soit proposé par les machines à décérébrer dont l’Oligarchie a le contrôle. On parle des médias et de la meute de petits soldats chargés de l’exécution des basses besognes. Le traumatisme subi par des enfants et leurs parents dans un square parisien sous la houlette de militants dits « d’extrême gauche », avec autorisation de la Mairie de Paris dont ils ont obtenu l’aval, pour une démonstration de répugnance extrême devient monnaie courante chez les gouvernants du pays.

Le fanatisme des « petites mains » est tel qu’on se demande qui, de l’oligarque ou de l’exécutant, mérite le premier suppositoire ! On nous la fait « camp de rééducation » à l’envers !

Déterminer qui est qui dans le registre de l’identité naturelle, relève désormais de la pure pagaille ! C’est ainsi que maîtres et larbins l’ont décidé dans le cadre d’un calendrier bien ordonné.

Il ne se passe pas de jour sans que le pilonnage n’atteigne de nouveaux sommets. Le but étant de trier l’humain comme on fait avec le bétail ! Ainsi, on nous martèle que la nature est mal faite, puisque, sans consultation « démocratique », décide de pourvoir d’attributs différents les femmes et les hommes. Comment pourrait-elle bien décider, puisqu’elle est par essence insensible ? Aberration ! Remodelons-la : « Toi, ma petite, tu seras un homme ; toi, le petiot, tu es fait pour devenir une femme, c’est ainsi que le réseau l’a décidé. Pas le choix. Par ici le bistouri ! ».

Exagéré ? Même l’école s’y met !

Dernière manifestation absurde sur une radio nationale, phare propagandiste de l’État profond, où entre deux blagues humoristiques, un engagement pro-nazi en Ukraine et une infamante campagne contre la Russie, en toute décontraction, on nous assène quelle est la bonne ou la mauvaise pensée que nous devons observer pour devenir un citoyen modèle.

On invite une « spécialiste » de plateau pour nous servir la soupe Woke, éléments de langage en sus, selon laquelle « l’instinct maternel » n’existe pas. Qu’il serait une manipulation sociale par laquelle la femme est asservie… J’arrête là.

Heureusement que dans la rue, chez les gens avec qui nous échangeons au quotidien, dans le respect des choix librement consentis, les choses ne sont pas comme les médias nous les présentent à toute heure du jour et de la nuit. Nous sommes la majorité des gens normaux  ! Eux sont les monstres !

Coupons-leur le sifflet, éteignons télé-radio-journaux, méprisons-les autant qu’ils nous haïssent, écoutons de la musique, ouvrons-nous au monde, à la poésie de la rue, si riche et si vraie ; quittons la fange où ils nous poussent chaque jour davantage, et laissons-les pourrir comme des mauvais plants dans une mauvaise terre !

Sous l’Casque d’Erby

Volti

Un Commentaire

  1. “Le bonheur est dans le pré”, du moins c’est ce que disent ceux qui sont les plus vaches. Bof, cela ne m’émeu pas, comme on dit en Australie.

Les commentaires sont clos.