Le collectivisme totalitaire pousse la lourde

Auteur Lediazec

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Selon des experts en flatulence, le pet de vache est nuisible. Il serait à l’origine de désastres écologiques majeurs. Qui oserait imaginer un tir nourri de cette saloperie au moment où l’on pense remplir les poumons d’air pur ?

Porté par des traîtres et des imposteurs, le concept écologique fait peau neuve. La disparition de l’écologie politique, telle que l’avaient professée les pionniers du « combat pour la nature » est actée. Comme pour le cuir véritable, il y a le cuir et il y a le simili.

On a fait de l’écologie un produit dérivé dont le vélo et la trottinette sont les marchandises phare, l’école pilonnant les bases à de la matière corvéable, autrement dit, nos enfants, pendant le cycle obligatoire de leur « formation ». On n’ouvre plus les esprits, on les confine !

En fait, c’est un peu de l’histoire cyclique, ce phénomène qui revient périodiquement selon un processus similaire ou identique à celui des saisons de l’année. Nous revivons avec les écolos ce que feu Mitterrand fit avec le Parti Communiste en son temps : prenant les communistes pour des mouches, il les attirant avec du miel (le programme commun), avant de les écrabouiller contre la vitre de la fenêtre à coups de tapettes !

Il y a à peine un soupir, dans l’horloge du temps, l’Occident entraînait les peuples qu’il avait sous contrôle, dans une fausse « guerre froide » où le pigeon se trouvait des deux côtés du rideau de fer. Les faux gentils et les vrais méchants, main dans la main, s’amusaient à danser une ronde funeste. Avec l’effondrement du mur et la défaite des « méchants », des naïfs ont pensé que le monde avait enfin gagné le droit au bonheur ! Vraiment ?

Les nouveaux habits du collectivisme brun sont en vitrine.  Un très large choix est proposé : une tenue pour chaque événement est à disposition, suffit de se courber pour en profiter.

Bientôt, avec le régime qui prend ses aises nous n’aurons plus à nous soucier pour nos loisirs, l’État se fera un plaisir de nous offrir tout ce dont nous avons besoin dans un périmètre restreint. Si restreint que nous n’aurons plus besoin de moyens de locomotion. Un petit quart d’heure suffira à notre bonheur. En moins de temps qu’il ne faut pour le dire – et à pince s’il vous plaît ! – nous aurons toubib, magasins d’alimentation et tout ce dont nous aurons besoin pour vivoter dans des villes-enclos pourvues de jardinets – ou pas -,  le tout verrouillé à double tour.

« Libres », nous serons ! A condition de ne pas « quitter notre zone de confort », car au-delà du périmètre autorisé, l’identité numérique et son « crédit de système social » déclenchés, nous cesserons d’être humains, pour prendre le statut de nos amis les rats !

Une blague, dites-vous ? Attendez de voir ce qui advient de vos bicoques, payées à grands coups de sueurs et d’humiliations par le travail.

Bientôt, la loi, voté par nos grands députés, toutes tendances confondues, autorisera l’État à s’approprier le terrain sur lequel vous avez bâti et vous deviendrez (soyez heureux, vous respirez encore !) le propriétaire des murs. De fait, vous posséderez des clopinettes ! Cela commencera par des contrôles techniques de vos biens « validés » par les agences de l’État, tout pareil que pour les voitures, mais en pire ! Si ces agents décident que vous n’êtes pas en conformité… 

Vous ne voyez toujours pas ? Nous, complotistes, nous appelons cela le contrôle total ! Et vous ?

Sous l’Casque d’Erby 

Volti

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