Par Lediazec
Que célébrait-on ce 11 novembre ? La fin de la première guerre mondiale et la victoire de la France, ou la défaite des mouvements ouvriers bien au-delà des frontières du Rhin ?
Ou, plus vraisemblable, la victoire du « Triangle de fer » ? Ces groupes de pression composés de chefs militaires et de diverses agences gouvernementales se faisant des « couilles en or » en éviscérant les peuples lors des guerres et conflits déclenchés par leurs soins.
Le très explosif « conflit » ukrainien, avec le retour en force du nazisme sur le terrain et dans les administrations, ouvertement soutenu par l’occident, prélude une « ère nouvelle », dont l’issue sera inéluctablement plus sanguinaire que ne le furent les deux grandes confrontations mondiales de 14-18 et 39-45. Par le fait inédit qu’il ne se concentre plus sur une catégorie ethnique particulière mais sur l’extermination pure et simple de 80 à 90% de l’humanité. Et ceci n’est pas une fantaisie conspirationniste élaborée par des esprits dérangés, mais la volonté clairement propagée par des nombreux hauts responsables politiques depuis des décennies dans tous les médias, sans que cela ne perturbe ni ne dérange la conscience des Líder máximo, jouant du pipeau comme d’une arme de précision !
Dans cette trame sinistre, ces « artistes » du crime sont poussés à la besogne par des industriels et des parlementaires des différentes commissions de Défense appartenant aux deux camps, sans quoi cela manquerait de « piquant ». Des scélérats qui poussent le cynisme jusqu’à verser une contribution sur les bénéfices engrangés dans l’organisation de commémorations annuelles et défilés de la victoire, « à la mémoire de », partout où il y a des pauvres gens à manipuler et des sales pattes à graisser pour préparer la prochaine conflagration. Le tout, au nom de la Patrie, des droits de l’homme ou de la lutte contre le racisme et les « inégalités » !
Prosternés et médaillés, les miraculés de ces boucheries (il n’en reste plus un), les humbles, ouvriers, paysans, employés, l’œil brillant de fierté, la larme affleurant à la paupière, flattés jusqu’à la nausée, vont sublimer et perpétuer l’orgie criminelle des puissants jusqu’à la fin des temps héroïques ! Ceux-là mêmes qui aujourd’hui gouvernent, nous confinent, nous obligent à porter un masque, signe absolu de soumission, ordonnant le couvre-feu, imposant un vaccin et détruisant l’économie pour transformer les pays en un immense camp de rétention !
Que fête-t-on en vérité dans le milieu du gangstérisme organisé aujourd’hui ? La fin d’une guerre ou le début d’une autre, autrement plus effrayante et meurtrière ? Ou, encore, la désintégration morale d’une opposition parlementaire qui, à l’instar du joueur de pipeau des frères Grimm, n’attrapent pas de rats, mais des humains pris pour des rats !
Il faut se souvenir que deux mois avant le déclenchement de la guerre de 14-18, la gauche parlementaire d’Europe était farouchement opposée à celle-ci, proclamait urbi et orbi que la seule guerre valable était la « guerre contre le capitalisme ». Pauvre Jaurès !
Chauffée à blanc par les médias de l’époque, un mois plus loin, des deux côtés du Rhin, on était soit anti-boche, soit anti-français ! Un seul perdant dans l’histoire : le rat ouvrier !
Sous l’Casque d’Erby
Voyons les choses d’un peu plus haut. Le 11 novembre est l’occasion de commémorer, dans presque chaque famille française, ou allemande, les membres de ces familles qui ne sont pas revenus. Rares sont les familles épargnées. Il suffit de relire les noms, sur les monuments aux morts. C’est d’autant plus lourd que l’épidémie de 1917 a frappé les familles où il n’y avait que des filles. Épidémie dont on peut se demander si elle n’ a pas été apportée par ceux d’outre-Atlantique. A calamité, calamité et demi….
Qu’ils reposent tous dans la paix, et que se dressent les dépouilles de tous ces financiers, généraux, grands parleurs qui infligèrent tant de maux, afin que l’opprobre les atteigne à jamais.
« 14-18 : On croit mourir pour la Patrie, on meurt pour des industriels”
https://www.investigaction.net/fr/14-18-on-croit-mourir-pour-la/
Dans le mot « armistice » tout est énoncé clairement.
Malheureusement, la plupart n’ont pas vu et ne voyent toujours pas l’évidence.
https://www.larousse.fr/dictionnaires/francais/armistice/5299
Le terme « Armistice » : est sans ambiguïté synonyme de « trève » qui par définition est une situation temporaire.
Et depuis, nous n’avons jamais signé de traité de paix.
…Tous au plus des traités de capitulation, voir de coopérations, mais jamais de paix !