La France Shock Corridor
Comme nous avons tenté de le faire comprendre dans un précédent article, la reconduction de Macron a quelque chose de fondamentalement nécessaire, en ce sens qu’elle ne pouvait pas ne pas advenir.
D’une présidentielle dont quasiment tous les candidats et électeurs partageaient un même credo covidiste, Macron devait nécessairement sortir vainqueur.
Alors que nous n’avions pas encore terminé le présent papier, les législatives sont venues confirmer nos analyses.
D’ailleurs, on peut remarquer à leur égard exactement ce que nous avions écrit à propos de la présidentielle : dès lors qu’au moins 95% des Français ont gobé le baratin covidiste, porté la muselière y compris dehors, confiné et masqué les enfants, il s’ensuit que quasiment tous les votants de ces législatives – et quasiment tous les abstentionnistes – se sont rangés derrière les horreurs covidiennes. Dans ces conditions, il n’y avait rien à attendre de ce scrutin, d’autant que, comme nous n’avons cessé de le marteler, il est fou de croire en les élections dans un pays qui vit sous un régime de coup d’Etat, à tel point que l’on pourrait considérer les votants au minimum comme des inconscients.
Du reste, les faits sont là : Macron s’est maintenu à l’Elysée, et, dans toutes les circonscriptions aux législatives, les candidats citoyens, anti-injections etc ont été crédités de scores dérisoires.
La folie d’un seul homme : une théorie intenable
Une fois de plus, il faut donc fustiger l’aveuglement – ou, pour certains, la duplicité – des individus ou partis politiques qui ont entretenu des illusions à la présidentielle, et qui, ensuite, ont recommencé de plus belle aux législatives.
Il ne fallait pas participer à ces mascarades, non plus qu’aux municipales : la seule attitude décente, correcte, cohérente, tenable, eût été de nommer et de dénoncer, dès mars 2020, le putsch covidiste, et de le démasquer encore et encore, tout en expliquant que, les putschistes occupant le pays, il ne pouvait pas y avoir d’élections dignes de ce nom; ceux qui ne l’ont pas fait, portent une lourde responsabilité.
Ce qui ne doit pas camoufler celle de la population (hormis une minorité, qui, en raison de son petit nombre, est obligée de subir).
L’imputabilité de la situation actuelle, pour une grande part, au citoyen lambda, sera le sujet de cet article. Nous allons exprimer les choses ouvertement, sans langue de bois (sauf en de rares exceptions, justifiées par la volonté de ne pas mettre en difficulté le site Les moutons enragés), que nos propos plaisent ou non, et même s’ils choquent les petites natures, d’autant que 1 nous ne sommes pas du genre à caresser la bête dans le sens du poil, et, contrairement à tant d’autres, nous ne cherchons pas à ménager les susceptibilités afin de récolter des voix aux élections, de vendre des livres ou d’obtenir des abonnements et des vues sur Youtube ou Odysee 2 nous en avons décidément assez des discours bêtes et lâches tenus par certaines vedettes de la « dissidence » ou de la « résistance » , discours consistant à dire, en substance, que Macron le fou imposerait sa folie aux Français.
Donald Trump lui-même aurait déclaré que Macron était dingo.
D’autres nous expliquent que nous sommes manipulés par des psychopathes.
Peu de gens ont le courage d’aller jusqu’à demander comment il se fait qu’un peuple entier se range derrière un dingo dont il n’est pas foutu de se débarrasser, et quelle est la santé mentale d’un tel peuple.
Nous posons la question : que faut-il penser d’une population qui – hormis une petite minorité – se soumet à toutes les folies d’un malade mental, ou qui les accepte, voire les souhaite ou les plébiscite ? N’importe quelle personne un tant soit peu sérieuse et honnête répondra que cette population est elle-même dangereusement siphonnée.
Pierrot le fou dans ses oeuvres
Monseigneur Emmanuel a lancé la France dans une guerre contre la Russie; il dilapide des milliards pour l’Ukraine pendant que l’économie française et les services publics sont détruits; il a supprimé le corps diplomatique (extravagance qu’à notre connaissance, aucun autre pays, même le plus petit, ne se permet); il promet des tickets d’alimentation (c’est-à-dire, en réalité, des tickets de rationnement; voilà avec quoi l’on fait rêver, aujourd’hui, pour se faire élire, quand, il y a encore quarante ans, on jurait de rétablir le plein emploi et d’augmenter le pouvoir d’achat …); il parle ouvertement d’économie de guerre; il évoque carrément pour l’hiver des coupures d’électricité et un défaut d’approvisionnement en gaz, qu’il a lui-même provoqué; il a emprisonné le pays entier pendant des mois avec les fameux confinements, ruiné des commerces, aggravé de plusieurs centaines de milliards d’euros l’endettement artificiel de la France; il a décidé des injections nocives et dégagé les professionnels qui les refusaient; il a supprimé des milliers de lits d’hôpitaux et annonce maintenant la fermeture des urgences la nuit, nouvelle extravagance dont nous serions curieux de connaître des équivalents dans le reste du monde, y compris dans les contrées les plus misérables; il a éborgné et amputé les Gilets Jaunes, attenté aux libertés comme cela ne s’était jamais pratiqué depuis au moins 60 ans, violé outrageusement la Constitution, insulté la France et les Français, fanfaronné qu’il emmerderait jusqu’au bout les non-injectés, poursuivi l’éradication de toute morale et de tout bon sens …
Tout cela, et pire encore, il ne peut le commettre que parce que la grande masse le laisse faire.
On ne le répétera jamais assez : fondamentalement, le pouvoir n’a pas imposé ses mesures covidistes folles et liberticides, non plus que sa politique économique et internationale; les populations les ont acceptées, ce qui est tout à fait différent.
Bon nombre de gens seraient même allés encore plus loin que le gouvernement si on les avait écoutés.
Vol au-dessus d’un nid de coucou
Des individus qui acceptent d’être astreints à un confinement ou à un couvre-feu sous prétexte d’une prétendue pandémie, si ravageuse et tuant tant de victimes que personne n’en soupçonnerait l’existence si la télévision n’en parlait pas et qu’il faut un test PCR (trafiqué) pour apprendre que l’on est gravement malade; qui tolèrent des ignominies tel le passe « sanitaire ou vaccinal » ; que cela ne dérange pas de rouler en train avec un bracelet bleu « Vacciné » autour de leur poignet et du poignet de leurs enfants, tout cela contrôlé, paraît-il, par des migrants entrés illégalement sur le territoire; qui masquent leurs gamins même dans la rue et leur recommandent de bien remonter leur PQ facial; qui gardent leur muselière jusque dans des endroits quasiment déserts; qui continuent de s’autobâillonner alors que les gouvernants qui l’exigent, sont pris la main dans le sac, en de multiples occasions, sans masque et sans « gestes barrières » dans des agapes entre happy few, ce qui aurait amené n’importe quelle personne normale à réaliser que ceux qui agitent l’épouvantail Coronavirus sont les premiers à ne pas y croire et se fichent du monde; qui se font injecter n’importe quoi dans n’importe quelles conditions, et avec le sourire encore …; qui peuvent écouter tranquillement le ministre de la Justice éructer qu’on ne « vaccinera » pas les prisonniers parce qu’ils ne sont pas des cobayes, ce qui signifie implicitement mais clairement que les citoyens, eux, le sont; qui ne bronchent pas quand le gouvernement leur raconte que les urgences sont submergées à cause du Covid, alors que, dans le même temps, ce gouvernement sabote l’hôpital, supprime des milliers de lits et éjecte des milliers de professionnels de santé non injectés; de tels individus sont, de toute évidence, atteints d’idiotisme profond, et largement aussi aliénés que Macron.
Pour tout dire, on se trouve en présence de véritables fous furieux, dangereux pour eux-mêmes, pour leurs enfants et pour l’ensemble de la société.
Ni responsables ni coupables ?
Mais, cette folie furieuse et cette lourde déficience mentale n’atténuent en rien la responsabilité, et même la culpabilité, des gens qui en sont atteints (1).
Car il y a dans la société française, dans sa très grande majorité, une mentalité exécrable, abjecte, criminelle et funeste composée d’irresponsabilité, de je-m’en-foutisme, de lâcheté et d’indignité (2).
Une famille française pathologique
Selon nous, Macron est l’incarnation d’une société française déséquilibrée, dérangée, dégénérée. Et cette société perturbée s’est choisi un leader perturbé aussi.
Dit autrement, une France malade s’est choisi un champion également malade (et c’est vrai aussi d’autres pays). Il était donc logique que des détraqués portent un détraqué à l’Elysée.
Les psychologues connaissent bien ce que l’on appelle les familles pathologiques. On pourrait comparer le pays à cela.
On pourrait évoquer aussi la notion de tare.
Selon le Centre National de Ressources Textuelles et Lexicales (CNRTL), Tare signifie notamment : défectuosité physique ou psychologique présentée par un individu; vice inhérent à un système; en médecine, état pathologique antérieur à une maladie actuelle, dont il aggrave souvent le pronostic.
Taré signifie affecté d’une tare, d’un vice, d’un défaut.
Eh bien, pour une large part, les populations sont tarées, dans les deux sens du terme : affectées d’une tare, et fêlées.
Mensonges d’Etat
On nous bassine avec les mensonges éhontés du président, des ministres, des parlementaires, des politicards de tous bords, des journalistes et des scientifiques vendus. Mais, nous explique-t-on par quelle aberration des millions de gens gobent ces mensonges qu’un gamin de dix ans moyennement éveillé démasquerait ?
On nous répète aussi que tous ces baratineurs prennent les citoyens pour des imbéciles. Non, ils ne les prennent pas pour, ils savent avoir affaire avec …
Si tant de gens n’étaient pas des imbéciles, il y a belle lurette qu’on ne pourrait plus les considérer comme tels.
D’ailleurs, quand on a en face de soi des individus intelligents, on ne peut pas se payer leur tête éternellement, il arrive un moment où ils font comprendre, et où l’on s’aperçoit, que l’on a intérêt à changer de discours précisément parce que, de toute évidence, on ne peut pas, on ne peut plus les traiter comme des arriérés mentaux. On ne sort continuellement des inepties et des monstruosités telles celles qui sont servies aux populations depuis des décennies, que parce qu’on a parfaitement conscience d’avoir affaire avec des abrutis et parce qu’on en a tous les jours la confirmation.
Quand les menteries les plus gigantesques triomphent et passent telles des lettres à la poste, c’est qu’il y a des menteurs, mais aussi des demeurés qui les croient.
N’en déplaise à certains, l’énormité des fadaises que débite l’oligarchie, est à la mesure de l’insondable idiotisme des populations.
Après leur avoir fait avaler des pilules sidérantes comme des galaxies; après les avoir copieusement chambrées avec des sornettes sur les variants, les vagues, les virus collés aux portes pendant neuf jours, la nécessité de rester debout ou au contraire assis afin de passer à travers les mailles des agents pathogènes, on agite maintenant des gadgets comme la variole du singe, la grippe de la tomate, l’hépatite A des fraises bio … C’est un véritable concours de débilité, qui ressemble furieusement au discours que l’on tiendrait à un enfant en bas âge. De toute évidence, les dirigeants doivent s’amuser comme des fous à inventer toutes ces absurdités, et doivent mourir de rire quand ils constatent qu’au moins 95% de la population les croit …
Et cela est le signe, non pas seulement que les dirigeants n’ont ni foi ni loi et ne reculent devant aucune saugrenuité, mais qu’ils savent avoir en face d’eux des populations atteintes du syndrome d’idiotisme. Car, qu’un charlatan, pour arriver à berner son monde, se sente non seulement autorisé, mais même obligé de débiter d’invraisemblables balivernes, démontre que ce bonimenteur pense ne pouvoir être cru que de cette manière. Et s’il considère ne pouvoir convaincre que par des sottises sans nom, c’est qu’il sait s’adresser à des simples d’esprit sur lesquels un discours intelligent n’aura pas prise.
De grâce, que l’on arrête aussi de nous seriner que tous ces crétins seraient, les pauvres, en quelque sorte sidérés, paralysés comme un lapin pris dans la lumière des phares d’un véhicule. C’est la dernière mode, que se sont empressés d’adopter tous les pseudo-analystes en mal d’explications satisfaisantes. Recourir à une telle métaphore ne résout rien, mais permet d’exonérer les peuples de leurs responsabilités, à peu de frais.
Une société en trans(e)
Ces derniers temps, on a beaucoup évoqué l’éventuel transsexualisme de tels ou tels leaders.
Mais, qu’y aurait-il d’étonnant à ce que certains pays soient gouvernés par de telles personnes ?
Il nous paraît que, fondamentalement, c’est dans la logique, dans l’ordre des choses.
Nous entendions un homme politique déclarer que les populations européennes sont pour une large part émasculées (3). Effectivement, on pourrait le formuler de cette manière, ou, pour ne pas employer de termes encore plus directs, parler d’eunuques, d’impuissants, de femmelettes, de mauviettes, aussi bien sur le plan moral qu’intellectuel ou physique.
Et il est dans l’ordre des choses que des émasculés soient dirigés par des gouvernants du genre précité.
En deçà de l’animalité … et de l’humanité
Non seulement les populations ont basculé dans la folie, et depuis déjà longtemps, mais, dans une certaine mesure, elles ne sont même plus à la hauteur de l’animalité.
Des gens qui s’auto-asphyxient avec des muselières à longueur de journée pendant plus de deux ans, quand leur chien n’en a pas, et qui sacrifient leur progéniture en lui administrant le même traitement (sans parler des injections), de tels gens sont au-dessous de la condition animale et ne méritent même pas d’être qualifiés de moutons.
Les bêtes défendent rageusement leurs petits : essayez de vous en prendre aux nouveau-nés des brebis ou des vaches, vous verrez ce qu’il vous en coûtera … Les géniteurs les protégeront jusqu’à la mort.
On ne peut vraiment pas en dire autant des parents d’aujourd’hui …
Sortis de l’humanité et même de l’animalité, dénaturés, bon nombre d’individus tiennent déjà de la machine.
Il suffit de les observer, qui ne décollent pas le nez de leurs smartphones et ont un mal fou à se défaire de leurs masques, qu’ils continuent de porter soit sur la bouche, soit juste en dessous, soit encore autour du bras, du coude ou du poignet (4).
Ce n’est même pas que le smartphone et le PQ facial soient des appendices inséparables de la personne; c’est la personne qui est un appendice indétachable de sa muselière ou de son iphone.
Des camés de l’écran constamment branchés sur leurs appareils – ordinateur, tablette, téléphone portable, console de jeux vidéo etc – sont déjà les accessoires des appareils. Ils en sont les auxiliaires, et non l’inverse.
En fait, ce sont déjà des machines.
On notera d’ailleurs qu’il y a un lien entre, d’une part, la robotisation bien engagée d’une partie de la population, et, d’autre part, le transsexualisme réel ou supposé de tel ou tel dirigeant.
Trans est l’abréviation de transformé. Un trans perruqué, hormoné, opéré, travesti, maquillé, manucuré, est déjà dans une certaine mesure un objet manufacturé, ou, si l’on préfère, ce que l’on appelle, précisément, un produit transformé.
Il n’y a rien de surprenant à ce que la propagande trans et la volonté de métamorphoser les humains en automates, convergent en le transhumanisme, dans lequel on pourrait voir en réalité ce que nous nommerions un transhumachinisme.
Tel leader ayant soi-disant changé de sexe, serait donc l’incarnation du syndrome trans dans sa globalité, lequel se manifeste dans maints domaines, allant du transsexualisme au transhuma(chi)nisme, sur fond de transgression des lois naturelles (ou divines) les plus fondamentales.
La révolte des machines
Or, des automates se rebellent-ils ?
Nous entendons souvent des commentateurs pronostiquer de grands soulèvements sociaux. A les croire, la paupérisation s’aggravant et le réfrigérateur devenant désespérément vide, la faim commençant vraiment à sévir, des troubles sociaux seraient inévitables. En somme, selon eux, la misère devrait entraîner la révolte en quelque sorte mécaniquement.
Nous ne sommes pas du tout convaincu.
Même en admettant que l’Histoire ait fourni maints exemples de ce modèle, nous sommes aujourd’hui dans une situation totalement différente, inédite.
Par le passé, il y a eu de l’ignorance, de la bêtise, de l’égoïsme, de la couardise, de la soumission, de la trahison. Mais, il semble qu’aujourd’hui, nous soyons dans autre chose, de bien plus grave, un phénomène si insondable que l’on ne trouve même pas les mots pour le décrire. Une telle indignité, une telle bassesse, un tel idiotisme, une telle perte des réflexes vitaux les plus basiques et les plus instinctifs, sont peut-être inédits dans l’Histoire.
Au surplus, jamais les dominants n’avaient disposé de tels moyens de contrôle et d’asservissement. Jamais ils ne s’étaient trouvés en mesure de modifier jusqu’à la nature même de l’être humain, jusqu’à ses gènes, jusqu’à sa biologie, jusqu’à son cerveau, que ce soit par l’électronique, par la chimie ou par d’autres méthodes modernes.
Jamais, enfin, ils n’avaient eu le pouvoir de métamorphoser les humains en robots.
Comme nous l’avons souligné plus haut, aujourd’hui toute une partie de la population est déjà déshumanisée, « machinisée » ; elle a déjà quelque chose d’hybride entre l’humain et la machine. En somme, jusqu’à un certain point, elle est déjà mutante. Et ces mutants, le pouvoir les maîtrise et les maîtrisera de plus en plus, eux et leur psychisme, eux et leur cerveau, eux et leur biologie, eux et leurs réactions chimiques, eux et leurs hormones, eux et leurs gènes.
Au demeurant, il suffit de regarder ce qui se passe sous nos yeux.
Au lieu de lutter contre la tyrannie covidiste, la plupart des gens ont rampé devant elle : ils ont sacrifié jusqu’à leurs propres enfants; ils se sont littéralement greffé une muselière, ou s’y sont greffés, eux, alors que même les chiens ne sont pas tenus de s’en embarrasser; ils ont accepté le passe pour boire un café en terrasse, ou pour aller voir un ignoble navet au cinéma, ou pour aller applaudir un brailleur de fausses notes sur scène; ils se sont fait piquer comme du bétail, allant jusqu’à arborer fièrement un bracelet « Vacciné » autour du poignet …
On pense bien que de tels gens ramperont encore plus quand on exercera sur eux un chantage, non plus à la terrasse de café, mais à la survie. Quand on leur dira « Soit tu te fais pucer, soit tu ne mangeras pas, tu ne percevras plus aucun revenu, tu ne toucheras plus le RSA ou les allocs, on te chypriotisera et tu perdras tout ce que tu possèdes sur ton compte bancaire, on te piquera ta baraque etc », eh bien, quand on leur dira tout cela, ils s’aplatiront encore plus qu’ils ne l’ont fait jusqu’à maintenant.
Des individus qui, déjà pour pouvoir simplement prendre le train ou aller au bistrot, acceptent de se plier aux traitements les plus dégradants, les plus avilissants, jusqu’à être traités comme du bétail, de tels individus s’écraseront encore davantage quand il s’agira de ne pas crever la dalle.
Autrement dit, contrairement à ce que croient certains naïfs, la faim n’amènera pas la révolte, elle amènera exactement le contraire : une soumission encore plus abjecte.
Il faut être singulièrement aveugle pour ne pas le comprendre.
D’autant que l’oligarchie va encore durcir sa dictature, cela ne fait aucun doute pour les personnes un peu lucides. Or, des peuples qui n’ont déjà pas été capables de se battre contre le pouvoir d’aujourd’hui, ne le seront certainement pas face à un régime encore plus dur, tout simplement en vertu de ce fait d’évidence que qui ne peut pas le moins peut encore moins le plus.
Au vu de notre diagnostic, notre pronostic est qu’il va se passer ce qui s’est passé ces dernières années : une petite minorité – à peu près toujours le même noyau d’irréductibles – réagira vraiment. Mais, elle sera trop peu nombreuse pour renverser le pouvoir.
D’autres personnes seront prêtes à se remuer un peu, mais n’iront pas plus loin que la marche au cours de laquelle on psalmodie des slogans, on chante et on danse. Ces personnes-là se fatigueront assez vite et resteront chez elles après quelques samedis au cours desquels elles se feront peut-être matraquer, et qui n’aboutiront à aucun changement (5).
Une grande masse, elle, ne bougera pas d’un iota.
Cette masse-là, l’oligarchie pourra lui infliger n’importe quoi, infliger n’importe quoi à ses enfants et lui demander d’infliger n’importe quoi à ses enfants.
Des populations en voie de disparition
Au fond, certains peuples – singulièrement ceux d’Europe – sont peut-être tout simplement en voie d’extinction, comme on le dirait d’une espèce animale.
On pourrait l’exprimer aussi en suggérant qu’il s’agit de peuples finis, de même que l’on parle d’un individu fini, en bout de course.
Car on a vraiment l’impression de voir des populations condamnées, sans aucun ressort, sans aucun jus, sans aucune vitalité.
L’attitude du plus grand nombre face à la prétendue pandémie de Covid-19, n’est décidément pas normale. Des gens qui crèvent de peur devant un virus bidon, qui se greffent à des muselières et en deviennent les accessoires, qui se laissent promener comme du bétail, qui ne possèdent même plus les réflexes vitaux les plus fondamentaux, sembleraient voués à disparaître.
L’un des signes de ce phénomène résiderait dans la natalité en baisse, accompagnée d’un vieillissement global.
Dès lors, ce n’est peut-être pas un hasard si maints dirigeants n’ont pas d’enfants et si certains, peut-être, ne peuvent pas en avoir, ne serait-ce que pour des raisons biologiques.
E la nave va …
La France ressemble à un Titanic ivre peuplé de robots déréglés.
Elle nous fait penser aussi à une œuvre de Federico Fellini, E la nave va (Et vogue le navire …). On y voit un bateau qui coule peu à peu, et dont les passagers sont presque tous déjantés, irresponsables, inconscients.
Et cela ne date pas de 2020. Depuis déjà de nombreuses années, bien avant l’offensive covidienne, nous assistons, consterné, à cet implacable suicide : un peuple qui, par sa propre bêtise, sa propre inconsistance, fonce vers l’abîme.
Un auteur avait connu le succès avec un livre intitulé La France Orange mécanique, par référence au film de Stanley Kubrick.
Comparaison pour comparaison, nous parlerions de France Shock Corridor, clin d’oeil à un autre film, réalisé par Samuel Fuller et sorti en 1963. C’est l’histoire d’un journaliste qui se fait interner dans un hôpital psychiatrique afin d’y enquêter, et qui finit par devenir fou. Puisse la minorité encore saine de l’Hexagone ne pas connaître le même sort !
(1) Pour autant, nous n’évacuons absolument pas la responsabilité de tous ceux qui, au lieu d’éclairer les citoyens, les trompent et organisent leur impuissance, délibérément : syndicats censés défendre les travailleurs, organismes professionnels, conseil de l’ordre des médecins, autorités soi-disant chargées de protéger la santé publique, presse mainstream écrite et télévisée, partis politiques de toutes tendances, pseudo-scientifiques vendus aux multinationales, juges supposés appliquer la Constitution et la loi, hiérarchie de l’institution scolaire etc etc.
Il y a d’ailleurs une différence énorme entre ces personnes morales ou physiques, d’une part, et, d’autre part, le quidam : le second croit dur comme fer à toutes les salades que lui assènent les premiers, lesquels, eux, savent parfaitement qu’il s’agit de mensonges éhontés.
Le second croit au Covid-19, les premiers font semblant d’y croire et bernent, sciemment, les naïfs.
(2) Nous parlons de la France parce que c’est le pays dans lequel nous vivons. Mais, on pourrait certainement en dire autant de maints autres pays.
(3) Le masque est bien une forme de castration, d’émasculation.
(4) Ils mettent donc leur muselière autour du poignet comme ils ont mis le bracelet bleu Vacciné pour prendre le train.
(5) La violence extrême que subissent les contestataires- on l’a vu notamment avec les Gilets Jaunes – ne favorise évidemment pas la mobilisation.
SELLAMI
Rude, mais juste…..
Ce peuple de sauvages va même à sacrifier ses enfants comme les Mayas mais ici c’est sur l’autel du fric.
L’infanticide est un meurtre prémédité. Pour moi il n’y aura pas de problème s’il faut tirer dans le tas. Ce ne sera pas de la violence mais un geste de survie.
Avant, les Résistants pouvaient se réfugier dans le Maquis mais aujourd’hui vous êtes pourchassé dans n’importe quel trou, vu les moyens techniques à disposition du roitelet élyséen.
Ce sera donc avec les mêmes armes du pouvoir qu’il faudra se battre. La propagande est leur arme. Alors n’arrêtons pas de parler, de dénoncer, de placarder des infos.
Peut-être qu’après des milliers de morts, dans votre village, de picousés il se peut qu’un nombre croissant de révoltés surgisse.
Pour les plus téméraires, secouer physiquement les élus n’aura pas beaucoup d’effet mais qui sait?
Bonjour,
Les gens, la plupart des gens, ne sont pas des imbéciles.
L’être humain a très peu
Bonjour,
Les gens, la plupart des gens ne sont pas des imbéciles.
L’être humain à très peu changé, voir pas du tout, ces derniers millénaires,
Les poussées fébriles de certains peuples, à tous les âges témoignent qu’un délire de masse n’est pas du tout une exception.
Si vous lisez « sapiens » D’harari, il explique très bien comment les civilisations ont un besoin vital de fictions, de croyances commune pour fonctionner. L’exemple le plus évident est la confiance que nous accordons à la monnaie, nous nous échangeons tout, jusqu’aux biens les plus précieux, contre de simples bouts de papiers… Parce que nous croyons à cette fiction.
Quand le pouvoir échoit dans les mains d’un être un peu retort, voir d’un psycopathe, il lui suffit de jouer habilement avec cela, ces fictions qui à la base sont le ciment d’une civilisation, sans lesquelles même elle ne peut subsister, alors cela peut très vite glisser vers un délire belliciste ou autoritaire.
Le pouvoir actuel, celui des milliardaires qui contrôlent, grace à la monnaie, les gouvernements et surtout les médias, a elevé ce dit contrôle jusqu’à l’art, appliquant de mieux en mieux les préceptes d’Edward Bernays, de Machiavel et des autres théoricien du (complot?) genre.
Nous ne pouvons nous en sortir qu’en misant sur l’intelligence des gens, du peuple, par l’éducation et la discussion.
Ce n’est pas un hasard si les bars, restaurants et lieux de rencontre sont restés fermés le plus longtemps lors de cette (mascarade) pandémie.
Nous nous devons de nous adresser à l’intelligence de nos interlocuteurs… Tous ceux qui sont ouverts à la discussion au moins. Ceux qui sont a combattre sont ceux qui profitent de cet état de fait, et qui l’alimentent…
C’est du moins mon humble avis