À quelques jours de l’échéance électorale, qui désignera le prochain ou la prochaine président(e), un retour sur le quinquennat du banquier élyséen, qui nous a endetté au passage de 600 milliards d’euros de plus . On pourrait définir sa relation avec les cabinets de conseils et en particulier McKinsey, qui vampirisent les finances publiques pour détruire ce qui reste de notre nation, de trahison ou de corruption ? Peut-être ou sans doute les deux, l’idéologie mondialo-capitaliste jusqu’auboutiste, n’expliquant pas tout.
Il est indéniable que l’ennemi est au cœur même de nos institutions, même les plus sensibles, un ennemi qui joue sur plusieurs tableaux, puisque pour l' »Ukraine : McKinsey au service de l’acteur Zelensky« . En regard des données sensibles que ce cabinet détient sur tous les états qui font appel à lui, on imagine la possible nuisance de ses conseils selon les intérêts. C’est un véritable « Diable de Tasmanie » ce McKinsey. Chacun appréciera à sa juste valeur, l’opportunité ou pas de reconduire un individu arriviste, sur lequel la nation n’a pas pu et ne pourra jamais s’appuyer, le mensonge étant sa seconde nature, avec ses « amis » plutôt encombrants. Merci à mon correspondant.
· j’ai la souris …. qui me démange. ,j’aime mieux penser se que je pense, et de ne pas l ‘écrire mais , de le fair ! »Voyez ce que je veux dire » Je ne sais pas si vous avez suffisamment examiné cette question par vous-même, comprend qui peut ,Pourquoi les liens faibles sont-ils si utiles? Elle consiste à se poser des questions fondamentales, à y réfléchir et à mettre en discussion les réponses qu’on y apporte. Ces questions concernent la place de l’homme dans le monde ,trop de lien tue L’information ! Même les plus aguerris savent à quel point il est difficile « se concentrer sur un sujet » –avec toutes les Lumières qui sévices , ici , sans la direction d’autrui, minorité dont il est lui-même responsable (faute) puisque la cause en réside non dans un défaut de l’entendement mais dans un manque de décision et de courage de s’en servir sans direction pour autrui