Un caprice macronien à 900 millions… qui nous coûte un « pognon de dingue »! Et les français rament.
Source : Berliner Zeitung via Les Moutons Rebelles et Réseau International
par Raphael Schmeller
Ah, la glorieuse épopée de la 155e brigade mécanisée ! Vous savez, cette unité ukrainienne formée en France avec tout le sérieux et l’expertise militaire qu’on nous connaît… et qui, six mois plus tard, est devenue l’incarnation même du chaos organisé. Un exemple à inscrire dans les manuels scolaires sous le chapitre : «Comment rater un projet ambitieux en trois étapes faciles».
Le début d’un rêve (ou d’un cauchemar ?)
En mars 2024, la France, sous l’impulsion de notre président visionnaire Emmanuel Macron, se lance dans une mission héroïque : former des soldats ukrainiens pour en faire une brigade d’élite, la 155e. Objectif ? Leur transmettre le savoir-faire français en matière de guerre. Oui, rien que ça. Mais, avant même que l’histoire ne commence, les choses dérapent. Sur les 2500 militaires initialement affectés, beaucoup sont rapidement réaffectés à d’autres unités. Et devinez quoi ? Le commandement de la brigade se retrouve à s’entraîner à moitié, avec des effectifs fantômes et des ressources limitées.
Imaginez un général ukrainien en France, criant des ordres dans un champ vide : «Chargez ! Enfin… s’il y a encore quelqu’un ?» Mais attendez, ce n’est que le début.
La grande évasion
Puis vient l’entraînement en France, où tout aurait dû se passer dans une harmonie parfaite. Hélas, la réalité est plus proche d’un sketch qu’une opération militaire. Avant même d’arriver au front, 1700 soldats de la brigade décident de déserter. Oui, 1700. C’est plus qu’un exode, c’est une hémorragie. Parmi eux, 50 quittent la formation… en plein milieu. Que s’est-il passé ? Trop de croissants ? Des exercices trop intenses ? Ou simplement une révélation existentielle : «Et si je faisais autre chose de ma vie, genre élever des chèvres ?» Mystère. Résultat des courses : Les Français ont payé, de leur poche, 900 millions d’euros… pour rien !
Le front : l’apothéose du fiasco
Enfin, cette brigade «d’élite» est déployée dans l’est de l’Ukraine, près de Pokrovsk. Sur le papier, elle compte 5800 hommes. En réalité, c’est une armée fantôme, dépourvue de drones, de défenses anti-drones et probablement même d’une boussole. Le journaliste ukrainien Yuri Butussov rapporte des pertes humaines élevées et accuse les dirigeants – Zelensky, le ministre de la Défense Rustem Umyerov, et le commandant en chef Olexander Syrsky – de manquer totalement d’organisation.
Et le bilan ne s’arrête pas là : cette brigade ressemble à une sorte de Frankenstein militaire, bricolée à la va-vite pour impressionner les médias internationaux. Et ça ne marche pas. Dans les médias étrangers, la France et Macron se couvrent de ridicule, offrant au passage une belle revanche aux amateurs de blagues sur les Français.
Le mot de la fin : la brigade zombie
La députée ukrainienne Mariana Bezuhla, sans doute fatiguée de tant d’inepties, qualifie la 155e brigade de «brigade zombie». Pourquoi zombie ? Parce qu’elle a été «créée pour des raisons de relations publiques» et non pour des opérations militaires sérieuses. En gros, une façade, une coquille vide, un château de cartes prêt à s’effondrer au premier coup de vent.
Bravo à la France, à Macron, et à cette incroyable brigade mécanisée, qui restera dans les mémoires comme un exemple parfait de ce qu’il ne faut absolument pas faire.
source : Berliner Zeitung via Les Moutons Rebelles
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Que pouvait-on attendre de l’envahisseur du 55, qui ne sait pas du tout ce que c’est que l’armée ?
Seul problème, alors qu’on avait des ennuis budgétaires, là nous Français on a payé, et pas qu’un peu !
ce qui est intéressant c’est que les 1700 deviennent des révoltés et entraînent d’autres pour créer une rébellion.
En fait, même pas besoin de rébellion.
Ceux qui font la guerre, c’est pas les politiciens, c’est pas les généraux, c’est pas les médias, c’est les soldats.
Pas de soldats, pas de guerre.
Les peuples prétendent ne pas vouloir de guerres, il suffit de ne pas y participer. Simplement ne pas obéir.
Oui mais si je n’obéis pas, je risque d’être tué… C’est vrai, mais c’est pareil si tu obéis. Tu préfères être tué après être devenu un meurtrier, ou mourir pour avoir refusé de l’être ?
HitIer lui-même n’était qu’un pauvre blaireau haineux avec une moustache ridicule. Ce n’est pas lui qui a perpétré un génocide, ce n’est pas lui qui a torturé, massacré, tenté d’exterminer tout un peuple, c’est ceux qui lui ont obéi. Lui, il a juste donné des ordres. Le véritable monstre dans cette histoire, ce n’est pas la figure de proue, c’est le peuple qui l’a suivi.
« Un dictateur n’est qu’une fiction. Son pouvoir se dissémine en réalité entre de nombreux sous-dictateurs anonymes et irresponsables dont la tyrannie et la corruption deviennent bientôt insupportables. »
Gustave Le Bon.
J’imagine l’embarras des recruteurs si un jeune homme leur dit : d’accord pour être soldat, si et seulement si c’est pour tirer sur les anglo-saxons, nos tortionnaires……..
Hitler savait de quoi il parlait.
Il fit la 1ere guerre mondiale, blessé et gazé, il fut.
Sauf qu’en acceptant de faire la guerre, l’enrôlé a une chance de survie. Refuser, il en a aucune.
…Simple pourtant à comprendre.
Finalement, en désertant, ils ont non seulement sauvé leur peau, mais aussi et – peut-être – celle de quelques Russes. Tout compte fait, on n’a pas payé pour rien vu qu’on a sauvé des vies !