Le 1er août à 18h30, Serge Federbusch est l’invité de la Grande Émission, animée par Mike Borowski, en direct sur Géopolitique Profonde.
Serge Federbusch est un haut fonctionnaire, essayiste, blogueur et homme politique français. Ancien élève de l’ENA, il a été conseiller au tribunal administratif de Paris, diplomate en Asie, conseiller pour l’Urbanisme, le Logement et les Transports au cabinet du maire de Paris et directeur général de la SEM Paris Centre. Il est l’auteur de plusieurs livres sur la politique française et parisienne.
La France semble se diriger inévitablement vers une ère de changements drastiques.
La stratégie de Macron lui a permis de garder le pouvoir pour le moment, suite aux élections législatives et en imposant une trêve politique lors des Jeux olympiques de Paris 2024, mais cette situation n’est pas tenable.
La crise politique actuelle pourrait se résoudre par une augmentation du pouvoir du judiciaire, avec le Conseil d’État prenant un rôle plus actif dans la législation, autorisant ainsi l’empiètement sur les pouvoirs législatifs traditionnels.
De même, le Conseil constitutionnel pourrait jouer un rôle décisif dans l’approbation du budget national, marquant une évolution vers un système où les technocrates et les juges prennent les rênes du gouvernement.
Ce mouvement vers un gouvernement plus autoritaire soulève des questions sur la viabilité à long terme de ce modèle de gouvernance. Avec les technocrates et les juges au pouvoir, le système pourrait devenir plus statique et éloigné des besoins et des voix du peuple, ce qui pourrait accélérer un changement inévitable vers un régime autoritaire.
Ce scénario préparerait le terrain pour une révolution de grande ampleur, remettant en question les fondements mêmes de la démocratie et de la justice sociale en France.
Les tensions croissantes et le mécontentement général pourraient également conduire à des scénarios plus extrêmes, tels qu’une guerre civile, signalant la possibilité d’un effondrement complet du système actuel.
Ces événements potentiels nécessitent une réflexion approfondie sur les moyens de préparation et de protection, notamment en termes de sécurité financière et de solutions concrètes sur le plan politique.
Ne manquez pas l’analyse passionnante de Serge Federbusch, le 1er août à 18h30, en direct sur GPTV.
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Ah, ah, ah, Federbusch. C’est le fond de cuve qui a conseillé la «remigration» à l’élue écologiste Fatoumata Koné. Ah, il est gras de la tête, celui-là…
Je vais peut-être l’écouter, comme remugle dont le RN devrait se délester s’il veulent apparaître comme autre chose comme ramassis de bourrins en mode LP toujours prêts à casser du bougnoul et du black.
au delà de la question de la « rémigration » ce que ne peuvent plus supporter une majorité de français c’est de constater que certains (beaucoup) immigrés, et souvent sans papiers, sont mieux traités que ceux qui ont cotisé depuis des années et qui ne sont jamais aidés … eux ont droit à des hôtels partiucliers, nourris et blanchis tandis que des autochtones se retrouvent à la rue à se démerder tout seul … mais il n’y a bien sûr pas que ca …. ces énarques sont d’une stupidité incroyable et ont amené la France à la faillite. Pour des gens soit disant intelligents on a fait mieux …
…Le mot « traître » te dit-il quelque chose ?
La stupidité n’a rien a voir dans cette affaire ,l’enrichissement personnel et la soif de pouvoir, tout !
Certains, ou beaucoup ? Moi j’ai des immigrés nouveaux et anciens, entassés dans un quartier, moitié français pur porc, moitié estrangers, à la louche. Ca cohabite sans plus de mal qu’ailleurs, sauf que la misère est la sauce aigre dans laquelle ils baignent, ce qui énerve un peu et donc y a des bastons parfois de couples ou de jeunes. Mais guère plus qu’en ville.
Le vrai problème, c’est un groupuscule de caïd qui viennent vendre la drogue et qui recrute quelques choufs, pauvres diables souvent très jeunes et/ou malades de la tête. Eux, foutent le bordel parce qu’ils se battent entre eux et une fois tous les 15jrs y a alerte à échange de tirs, voiture brûlée…En fait, ça n’a rien à voir avec les immigrés tout ça. Tout à voir avec la suppression par Talonnettes de la police de prévention, des travailleurs sociaux, et celle du travail, public ou privé.
En fait la canaille à écharpe, locale ou nationale, s’en sert comme un repoussoir, un fantasme. Je pense à gros k..n de Wauquiez, monsieur ragnagnassistanat. Les gens du quartier que je décris y en au RSA, c’est sur, mes ces messieurs donneurs de leçons, y zont jamais bossé ces fils de p…tes. Ils ne font que monter les gens contre les autres, particulièrement ceux qui en chie au RSA. Essaye de vivre au RSA, ducon. Et les gens des quartiers ont autant besoin de reconnaissance sociale que n’importe qui. Ils cherchent pas à croupir dans la misère. C’est les grosses pu…tes, style Bertrand, Wauquiez, Bardella, toute cette merde en bleu blanc rouge qui existent avec de la propagande dégeulasse. Faudrait en pendre quelques-uns de ces nouveaux nazis. En place de Grève, ça les calmerait.