L’image du jour…

Si on se base sur les résultats des élections, on peut se poser la question. Merci à Thierry65

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Volti

10 Commentaires

  1. https://wp.me/p4Im0Q-6ip – Les dés sont pipés pour le casse-pipe général des casse-noisettes ! aux b-urnes citoyens

  2. Des événements très importants prophétisés sont arrivés à maturité : l’effondrement financier, les guerres civiles et la grande guerre.
    Ces trois événements seront, à quelques semaines près, concomitants.
    Pour la grande guerre, le déclencheur sera un assassinat au couteau, dans les Balkans, d’un grand homme.
    Et Vucic, le président de la Serbie qui fait partie des Balkans, est un grand homme mesurant plus de deux mètres de hauteur.
    Son éventuel assassinat mettrait le feu aux poudres instantanément dans toute la région.

  3. Il me semble avoir entendu ça, que la majorité des gens demanderaient la sortie de l’UE ???
    Il y avait pourtant deux partis pour le Frexit aux élections européennes il me semble …
    J’ai dû rêver … https://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_scratch.gif

    • Alors que les bulletins de vote des sept listes promues par les médias mainstream étaient présents dans tous les bureaux de vote , ceux des autres listes et en particulier ceux des listes pour le frexit ne l’étaient pas partout , certains sont restés dans les cartons jusqu’à 16 h , après que la plupart des votants soient déjà repartis . Des électeurs ont témoigné qu’ils ont visité plusieurs bureaux de vote afin de trouver le bulletin frexit qu’ils avaient choisi et d’autres y ont renoncé . Comme tous les bulletins ont été livrés , on peut supposer qu’il s’agit d’un procédé antidémocratique aussi révoltant que celui qui a nié illégalement la victoire du NON au referendum de 2005 concernant le traité de Maastricht-Lisbonne de l’Union Européenne . Le respect de ce NON légal nous maintiendrait légalement hors de l’UE qui verse notre argent à des régimes corrompus et hors de l’OTAN et de ses guerres américaines , tout comme le ferait le frexit . 2024 , avec ses bruits de bottes , est l’année de tous les dangers et le frexit est plus souhaitable que jamais .

  4. Il n’est pas impossible que le conflit ukrainien puisse finir par conduire à une guerre nucléaire dans laquelle il n’y aura pas de gagnants.
    Se peut-il que les forces de l’OTAN se retrouvent directement impliquées dans le conflit militaire entre la Russie et l’Ukraine ? Jusqu’à récemment, une telle question semblait très hypothétique, compte tenu des risques élevés d’escalade de la confrontation militaire entre le bloc dirigé par les États-Unis et la Russie vers un conflit armé à grande échelle. Mais ce scénario doit maintenant être pris au sérieux. La participation directe de certains pays de l’OTAN ou de l’ensemble du bloc aux hostilités pourrait progressivement échapper à tout contrôle. Franchir la ligne rouge peut conduire à penser que la participation à cette guerre n’aura aucune conséquence. Le résultat de telles manœuvres peut se manifester à un moment inattendu et entraîner une situation beaucoup plus dangereuse que celle d’aujourd’hui. À proprement parler, les pays de l’OTAN sont impliqués depuis longtemps dans le conflit. Cela revêt plusieurs formes. Premièrement, les pays occidentaux fournissent à Kiev une aide financière et militaire substantielle, notamment des systèmes d’armes de plus en plus sophistiqués et destructeurs. Comme les stocks d’armes de type soviétique dans les arsenaux des anciens alliés de l’URSS au sein de l’Organisation du pacte de Varsovie ont été épuisés, l’armée ukrainienne reçoit davantage de systèmes et de munitions occidentaux. Jusqu’à présent, les livraisons de masse ont été limitées par les capacités de production de l’industrie de défense occidentale et par la taille des stocks existants. Mais si les hostilités traînent en longueur, la capacité industrielle pourrait augmenter. L’augmentation des approvisionnements est également inévitable en cas de trêve, ce qui permettrait à l’Ukraine de se préparer à une nouvelle phase des hostilités. La Russie ne peut guère compter sur un manque de volonté politique et de ressources en Occident pour accroître le soutien à Kiev. Moscou paraît se préparer au pire des scénarios, à savoir une augmentation constante de l’aide militaire substantielle sur le long terme à l’Ukraine. Outre la fourniture d’armes et de munitions, cette assistance comprend la formation de personnel, l’aide au développement de l’industrie et des infrastructures militaires, ainsi que le remboursement des dépenses dans d’autres domaines qui permettent à l’Ukraine de concentrer ses ressources sur le secteur de la défense. Deuxièmement, l’Ukraine jouit d’un large soutien occidental sous forme de renseignements, y compris des données techniques provenant de satellites, de radars, d’avions de reconnaissance, etc. Les informations reçues permettent de mener un large éventail d’opérations, de la délimitation du théâtre d’opérations à l’identification de cibles spécifiques. Les fournisseurs de données peuvent être sélectifs pour en octroyer l’accès à la partie ukrainienne. Mais leur utilisation dans des opérations militaires contre la Russie ne fait aucun doute. Troisièmement, des spécialistes militaires citoyens de pays de l’OTAN prennent part aux opérations militaires. Leur rôle n’est pas toujours officiel. Il peut s’agir de volontaires ou simplement de mercenaires sur la participation desquels les autorités de leurs pays ferment les yeux. Selon les estimations de la Russie, leur nombre était d’environ 2 000 en octobre 2023. Que cela soit exact ou non, il est clair que des étrangers se battent du côté de l’Ukraine, que leur participation est systématique et non fortuite, et qu’au moins certains d’entre eux sont des citoyens de pays occidentaux. Escalade : les risques d’un déploiement occidental en Ukraine Leur participation n’a pas encore créé de risque excessif d’affrontement militaire direct entre la Russie et l’OTAN. Pour les partenaires occidentaux de Kiev, la lenteur dans l’évolution du conflit permet d’améliorer progressivement la qualité du soutien à l’Ukraine. Les livraisons de missiles de croisière sont devenues monnaie courante depuis longtemps. L’arrivée des avions de combat américains n’est qu’une question de temps. L’armée russe passe à la broyeuse le matériel occidental au fur et à mesure qu’il arrive. Mais les approvisionnements étrangers en Ukraine nécessitent également une concentration des ressources du côté russe. Un facteur d’escalade important qui amplifierait le risque d’un affrontement direct entre la Russie et l’OTAN pourrait être l’apparition de contingents militaires des membres du bloc sur le territoire de l’Ukraine. La perspective d’un tel scénario a déjà été évoquée par certains responsables occidentaux, bien que leur vision n’ait pas été soutenue par les États-Unis et ne constitue pas une position officielle de l’OTAN. Un certain nombre de dirigeants du bloc ont pris leurs distances avec l’idée d’envoyer des troupes en Ukraine. Qu’est-ce qui pourrait déclencher une telle décision et comment pourrait-elle être mise en œuvre ? Le facteur le plus probable d’une intervention directe de certains États ou de l’OTAN dans son ensemble serait un éventuel succès militaire majeur de l’armée russe. Jusqu’à présent, la situation sur le front reste relativement stable. Mais l’armée de Moscou a déjà remporté d’importantes victoires locales, accru la pression, pris l’initiative, élargi le front offensif et peut-être accumulé des réserves pour des actions plus décisives. Il n’y a aucun signe de reprise de la contre-offensive ukrainienne de l’année dernière. Kiev serait à court de munitions, bien qu’à l’avenir, ce déficit puisse être comblé par des fournitures extérieures. Des attaques périodiques sur le territoire russe avec des missiles de croisière, des drones et de l’artillerie causent des dégâts et des victimes, mais ne perturbent pas la stabilité du front. De plus, de telles frappes renforcent la détermination de la Russie à créer des zones tampons, c’est-à-dire des territoires depuis lesquels Kiev ne pourra pas attaquer des cibles dans les régions russes. Un éventuel effondrement de certains secteurs du front ukrainien et des avancées territoriales importantes des forces russes vers l’ouest deviennent un scénario de plus en plus réaliste. Des hypothèses improbables à la réalité Le fait qu’aucune avancée ni percée profonde n’ait eu lieu depuis un certain temps ne signifie pas que cela ne sera pas possible à l’avenir. Au contraire, cette probabilité augmente en raison de l’expérience au combat de l’armée, des fournitures du complexe militaro-industriel au front, des pertes du côté ukrainien, des retards dans la livraison du matériel occidental, etc. La capacité de l’armée russe à réaliser de telles avancées et percées augmente également. Un scénario catastrophique pour des groupes ukrainiens isolés n’est pas inévitable, mais il est probable. Une percée majeure de l’armée russe vers Kharkov, Odessa ou une autre grande ville pourrait devenir un déclencheur sérieux pour les pays de l’OTAN vers une solution pratique de la question de l’intervention dans le conflit. Plusieurs percées de ce type, simultanées ou consécutives, soulèveront immanquablement la question. Ici, chaque pays et le bloc dans son ensemble se heurtent à une bifurcation stratégique. La première option est de ne pas intervenir et de soutenir l’Ukraine uniquement avec du matériel militaire, de l’argent et des « volontaires ». Peut-être d’admettre la défaite et de tenter de minimiser les dégâts par des négociations, évitant ainsi une catastrophe encore plus grande. La deuxième option consiste à changer radicalement la vision de l’implication dans le conflit et à permettre une intervention directe. L’intervention peut prendre plusieurs formes. Elle peut inclure l’utilisation d’infrastructures, notamment des aérodromes des pays de l’OTAN. Cela pourrait signifier le déploiement massif de certains détachements de liaison et d’ingénierie et de systèmes de défense antiaérienne, tout en évitant leur présence sur la ligne de front. Un scénario plus radical consisterait à déployer un contingent issu de certains pays de l’OTAN à la frontière entre l’Ukraine et la Biélorussie. Enfin, une option encore plus radicale serait le déploiement de contingents militaires des pays de l’OTAN sur la ligne de front, un seuil qui serait sans doute catégoriquement inacceptable pour le bloc. Chacun de ces scénarios implique un affrontement direct entre les forces russes et celles de l’OTAN. Une telle situation poserait inévitablement la question d’une implication plus profonde des blocs et, à plus long terme, d’un transfert du conflit militaire vers d’autres zones de contact avec la Russie, notamment la région baltique. À ce stade, il sera encore plus difficile d’arrêter l’escalade. Plus les pertes seront importantes pour les deux parties, plus le tourbillon des hostilités augmentera et plus elles se rapprocheront du seuil d’utilisation des armes nucléaires. Et alors il n’y aura plus de vainqueurs. Tout cela ne sont que des options hypothétiques. Mais elles doivent être examinés maintenant. Après tout, il n’y a pas si longtemps, des livraisons militaires aussi importantes à l’Ukraine semblaient improbables, tout comme le conflit lui-même il y a trois ans. Aujourd’hui, c’est une réalité quotidienne. L’évolution vers une guerre à grande échelle entre la Russie et l’OTAN doit être prise au sérieux.

    • Vous avez raison , il y a du souci à se faire .

      • Ukraine : un sénateur américain trahit le terrible secret de Washington
        En qualifiant l’Ukraine de «mine d’or» que Washington ne peut pas se permettre de perdre, Lindsey Graham laisse échapper la vérité.
        Lindsey Graham, sénateur américain belliqueux et adepte des déclarations provocatrices, a causé de nouveau l’émotion en laissant échapper la vérité. Dans une récente interview pour l’émission Face the Nation sur CBS, il a déclaré que les États-Unis ne devaient pas permettre à la Russie de gagner la guerre en Ukraine. La raison : les gisements riches en minéraux critiques d’une valeur de 10 ou 12 000 milliards de dollars que recèle le sous-sol ukrainien. Le sénateur a insisté en particulier sur trois points. Premièrement : le contrôle russe de cette «mine d’or» enrichirait Moscou, lui permettant de partager avec la Chine les minéraux exploités. Deuxièmement : l’Ukraine, au cas où elle garderait le contrôle de ces minéraux, pourrait devenir «l’un des plus riches pays d’Europe» et «le meilleur partenaire d’affaires qu’on puisse imaginer». Troisièmement : l’issue de la guerre en Ukraine est donc «très importante». En effet, à en croire Lindsey Graham, les enjeux sont tels que les États-Unis doivent aider Kiev à gagner une guerre qu’ils «ne peuvent pas se permettre de perdre».
        L’interview contenait d’autres déclarations frappantes, mais c’est ce passage qui a attiré le plus d’attention et de condamnation : Lindsey Graham, soulignent les critiques, a révélé ce que le Hindustan Times, par exemple, appellait «la véritable raison pour laquelle les États-Unis aident l’Ukraine». Il s’avère que cette raison est mercantile, égoïste et stratégique. Tant pis pour tous ceux qui parlent de la «souveraineté», de la «démocratie» et de la «liberté» de Kiev. L’Ukraine, un actif à utiliser L’Ukraine, pour les États-Unis, est un actif à utiliser — et à épuiser — dans un jeu géopolitique beaucoup plus vaste et général. Ou, pour être précis, un éventail d’actifs : outre une situation géographique stratégique, des minéraux critiques, du tchernoziom et du gaz, il y a aussi, bien sûr, les hommes. Le sénateur a également appelé à une plus vaste mobilisation militaire en Ukraine. Il est également tristement célèbre pour un commentaire lors d’une conversation avec Volodymyr Zelensky en mai 2023 : «Des Russes meurent» dans la guerre, a-t-il dit, l’aide américaine étant «le meilleur argent» que les États-Unis «aient jamais dépensé». Si l’on omet l’obscénité générale de la manière de penser fièrement brutale de Graham, pour faire «mourir» ces Russes il faut bien que de nombreux Ukrainiens meurent également. Zelensky n’avait pas l’air de s’y opposer. Les critiques du sénateur ont raison, bien sûr. Mais la plupart d’entre eux, je crois, reconnaîtraient également qu’il n’y a là rien d’étonnant ou d’exceptionnel. Finalement, la déclaration du sénateur n’est tout simplement qu’une forme de sincérité brutale : alors qu’il se comporte comme un provocateur sans scrupule quant à son approche froide et mercenaire de la politique, il représente la mentalité des élites américaines. En même temps, il y a pourtant quelque chose de profondément trompeur dans sa position, même si cela se manifeste de manière moins évidente. Essayons donc de distinguer la sincérité cynique de la malhonnêteté persistante. En-dehors de ces chiffres spécifiques, Lindsey Graham a raison de dire que l’Ukraine, contrairement à la plupart des pays d’Europe, possède des réserves substantielles de minéraux critiques et que ces minéraux rares sont indéniablement d’une grande importance. De façon générale, il s’agit des éléments «indispensables à la production des puces et des batteries utilisées dans les appareils de haute technologie comme les smartphones et les ordinateurs», ainsi que «pour la production des dispositifs d’énergie renouvelable tels que les éoliennes, les véhicules électriques et les panneaux solaires». Or, l’approvisionnement mondial en minéraux critiques est compliqué, car ceux-ci se situent dans les zones limitées et font, par conséquent, l’objet de la géopolitique. Pétrole 2.0., si vous voulez. L’importance de ces substances pour les États-Unis, par exemple, est si grande que leur secrétaire à l’Énergie a établi une liste précise de 50 minéraux considérés comme «critiques» (se recoupant avec une deuxième liste de 18 «matériaux critiques pour l’énergie»). Guidé par son désir de réduire sa dépendance vis-à-vis de la Chine, l’Union européenne a également manifesté un vif intérêt pour les minéraux critiques ukrainiens qui sont au cœur de son partenariat stratégique officiel sur les matières premières avec Kiev, officiellement inauguré en 2021. Depuis 2022, le Service géologique ukrainien coopère avec la Banque européenne pour la reconstruction et le développement pour, en substance, cataloguer et numériser les données sur les gisements ukrainiens pour les investisseurs occidentaux. Les normes ukrainiennes d’évaluation de l’impact sur l’environnement ont été «simplifiées» à ces fins. En 2024, l’UE a renforcé ces opérations dans sa législation sur les matières premières critiques. Parallèlement, même malgré la guerre en cours, les investisseurs occidentaux font déjà la queue, y compris les Australiens. En effet, c’est la société américano-ukrainienne BGV Group qui «détient une partie importante et la plus diversifiée des minéraux critiques de l’Ukraine». L’Occident en quête de minéraux critiques Voilà donc le premier point sur lequel le sénateur Graham a tort : si quelqu’un a l’intention d’accaparer des minéraux critiques en Ukraine (et, plus généralement, des matières premières), c’est bien l’Occident. Nous assistons à un cas classique de projection où une accusation virulente contre Moscou dévoile ce que l’Occident a fait. Là, rien de surprenant non plus. Il suffit des «sphères d’influence», qu’il faut empêcher la Russie de revendiquer, même tout près de sa frontière, alors que la sphère d’influence américaine s’étend jusqu’aux régions à l’est de Kiev et à Taïwan. Cependant, au-delà de la banale hypocrisie du sénateur, il y a un point plus général. Ce qui est peut-être le plus profondément mensonger dans ces déclarations, c’est leur hypothèse implicite qu’il ne peut y avoir aucun moyen pour l’Occident, la Russie et d’autres de partager les ressources ukrainiennes, évidemment à des conditions du commerce international et de l’investissement pas plus mauvaises que d’habitude, de sorte que l’Ukraine puisse également en bénéficier. Ce n’est pas la Russie qui persiste à faire de la guerre économique un outil systématique de la concurrence géopolitique, mais l’Occident. Lindsey Graham n’est pas seulement un vil cynique. Il est aussi victime d’une myopie politique, aveuglé par sa realpolitik du pauvre. Il a perdu de vue la simple option de la coopération, même entre concurrents. Sur ce point aussi, il représente bien les élites américaines, aujourd’hui en pleine décadence, hélas.

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