L’ONU voudrait transformer la critique de l’idéologie de genre en « crime contre l’humanité » !

Par Gérard Delépine via Nouveau-Monde

L’ONU a été créée pour maintenir la paix. Mais depuis que le financement de certaines de ses agences dépend d’organismes privés ou de milliardaires activistes, elle néglige sa mission fondatrice (toujours aucune proposition onusienne crédible de paix pour les conflits en Ukraine, en Palestine ou en Afrique) pour s’intéresser principalement aux problèmes de société et tout particulièrement à ceux des minorités sexuelles.

Les extrémistes du genre veulent modifier la définition du sexe et déclarer l’homophobie et la transphobie crime contre l’humanité. Cette dérive s’exprime déjà dans les textes onusiens qui substituent systématiquement le mot genre à sexe1. Elle banalise le concept et témoigne d’un mépris insupportable envers des souffrances des Juifs, Arméniens, Yézidis et les autres victimes de véritables crimes contre l’humanité lors des guerres en Yougoslavie, au Rwanda et au Congo dont elle nie le caractère inhumain exceptionnel.

Le concept de crime contre l’humanité et son utilisation classique

La notion de crime contre l’humanité a été conçue en 1943 par les principaux alliés contre le nazisme s’engageant à poursuivre les « criminels de guerre jusque dans les régions les plus éloignées de la Terre et les remettront aux accusateurs pour que justice soit faite ».2

Il a été défini en 1945 dans le statut du tribunal militaire de Nuremberg comme la « violation délibérée et ignominieuse des droits fondamentaux d’un individu ou d’un groupe d’individus inspirée par des motifs politiques, philosophiques, raciaux ou religieux ».

Sont visés par la définition : la persécution de tout groupe ou de toute collectivité identifiable pour des motifs d’ordre politique, racial, national, ethnique, culturel, religieux tels que meurtre, extermination, réduction en esclavage, déportation, transfert forcé de la population, emprisonnement, privation grave de liberté physique, disparition forcée de personnes, apartheid, torture, et toute forme de violence sexuelle grave (viol, esclavage sexuel, prostitution forcée, grossesse forcée, stérilisation forcée). Selon cette définition, le terme « sexe » s’entend de l’un et l’autre sexe, masculin et féminin, suivant le contexte de la société et n’implique aucun autre sens.

Les crimes contre l’humanité engagent la responsabilité pénale personnelle des individus qui les ont commis, et non pas celle des états qui les auraient inspirés.

Ce crime est imprescriptible3 et peut donc être jugé quel que soit le délai entre sa réalisation et le dépôt de plainte. Il expose à la réclusion criminelle à perpétuité.

La loi du 26 décembre 1964 a inclus le crime contre l’humanité dans le Code pénal français. Il a permis de condamner Paul Touvier et Klaus Barbie au maximum de la peine prévue. Papon, jugé pour avoir organisé les rafles des juifs, se défendait en affirmant n’avoir été qu’un fonctionnaire obéissant à un état ne pratiquant pas « une politique d’hégémonie idéologique » ; il a été condamné à dix ans de réclusion criminelle4 pour complicité.

La Cour pénale internationale a été instituée pour juger les responsables de crimes contre l’humanité ; son fonctionnement et son statut ont été officialisés par l’accord de Rome en 19985. Le bilan de son fonctionnement est cependant très mitigé du fait d’une indépendance douteuse envers les grandes puissances, de la mauvaise qualité de certains dossiers, et de sa gouvernance parfois discutable rappelant la fable des animaux malades de la peste de La Fontaine :

« Selon que vous serez puissant ou misérable, les jugements de cour vous rendront blanc ou noir ».

Le projet de modification de la définition du sexe dans les traités

La définition précise du sexe dans le paragraphe 3 de l’article 7 du Statut de Rome avait été ajoutée pour éviter son utilisation abusive pour poursuivre les convictions et les opinions. Il a été jugé nécessaire parce que* dans le traité de Rome, le crime de « peines sexistes » s’applique à un très large éventail d’actions, et peut inclure la parole.

Le nouveau projet de traité, élaboré par la Commission du droit international, veut modifier la définition du sexe pour satisfaire les activistes homosexuels et transgenres.

La transformation de cette définition du sexe en genre dans le nouveau traité sur les crimes contre l’humanité pourrait permettre la poursuite de quiconque exprime son opposition à des idées, à un comportement ou à des pratiques homosexuelles et transgenres.

En avril 2023 les partisans de cette modification de définition, l’Union européenne et les États-Unis, ont poussé l’Assemblée générale à adopter la nouvelle définition.

Mais le représentant ou le Maroc, parlant au nom des 54 pays du Groupe des États d’Afrique a déclaré que « les préoccupations légitimes de tous les États Membres ne devraient pas être ignorées » et a mis en garde contre « toute tentative d’imposer les vues d’une partie ou de toute théorie ou définition juridique » qui ne sont pas acceptées au niveau international.

Plusieurs délégations, dont l’Égypte, la Fédération de Russie et le Pakistan, ont soutenu cette déclaration refusant la nouvelle définition du sexe dans le projet de traité.

(Source image : https://www.bbc.com/afrique/monde-59781984)

La plupart des pays considèrent le sexe comme une réalité fondée sur la biologie et ayant des implications juridiques, et le genre comme une simple idéologie sociale fondée sur le ressenti. Les homosexuels ne constituent qu’une minorité (2-4 % des populations)6 7 8, et les transgenres une infime minorité (<0,05 %). Les revendications de leurs activistes bénéficient d’une attention totalement disproportionnée à leur nombre dans les cercles du pouvoir, les médias et les films et feuilletons télévisés occidentaux.

Parmi les membres de l’ONU, seule une minorité de pays a accédé aux revendications des activistes des minorités sexuelles. Après les Pays-Bas en 2001, seuls 14 autres pays européens ont légalisé le mariage homosexuel.

Dans le monde 21 autres pays pays autorisent les couples de même sexe à se marier, soit au total moins de 20 % des pays membres de l’ONU (36 sur 197). Seulement une quinzaine de pays (<8 %) permettent aux personnes transgenres de faire modifier leur état civil sur simple déclaration, tandis que 13 pays membres de l’ONU criminalisent encore de façon explicite les minorités sexuelles dans leurs lois

comme en Ouganda ou la loi antihomosexualité de 2023 prévoit de lourdes peines pour les personnes ayant des relations homosexuelles et un délit d’« homosexualité aggravée » passible de la peine de mort.

La définition du sexe comme une construction sociale que propose la commission, élèverait juridiquement l’« orientation sexuelle » et « l’identité de genre » à une catégorie de droit international protégée sur le même plan que le sexe, et autoriserait les organismes des Nations Unies et le procureur de la Cour pénale internationale à reconnaître autant de genres que les individus peuvent affirmer subjectivement et ouvrirait la porte à la poursuite pénale de quiconque s’oppose à des idées, des comportements ou des pratiques homosexuels et transgenres.

Il constitue une menace pour la capacité des personnes à s’exprimer librement à propos de ce qu’ils croient de la nature de la personne humaine, des hommes, des femmes, du mariage et de la famille, et d’adopter des lois conformes à ces croyances.

Non aux propositions des extrémistes trans qui instrumentalisent l’ONU dans leur combat qui nie les réalités biologiques. Non à la banalisation du crime contre l’humanité.

Informez vos proches et vos voisins.

Informez vos représentants et les élus pour qu’ils rejettent cette dérive et défendent les réalités biologiques. Refusons les propositions des extrémistes trans qui marginalisent l’Occident et permettent à nos ennemis de se moquer de notre déclin moral et intellectuel.

Comme l’a souligné le Premier ministre britannique Rishi Sunak le 4 octobre 2023 lors du congrès annuel du Parti conservateur :

« Nous ne devrions pas nous laisser intimider par la croyance selon laquelle les gens peuvent avoir le sexe de leur choix… Un homme est un homme et une femme est une femme, c’est juste du bon sens ».

Rappeler une réalité biologique ne doit pas être qualifié de « crime contre l’humanité » !

  • 1 https://www.unwomen.org/sites/default/files/2022-01/Identifying-gender-persecution-in-conflict-and-atrocities-fr.pdf
  • 2 https://www.cairn.info/revue-humanisme-2006-2-page-38.htm#pa57
  • 3 Selon le traité international qui émane de l’Organisation des Nations unies « Convention on the non-applicability of statutory limitations to war crimes and crimes against humanity »
  • 4 https://francearchives.gouv.fr/fr/article/714107630
  • 5 Le texte du Statut de Rome est celui du document distribué sous la cote A/CONF.183/9, en date du 17 juillet 1998, et amendé par les procès-verbaux en date des 10/11/1998, 12 juillet 1999, 30 novembre 1999, 8 mai 2000, 17 janvier 2001 et 16 janvier 2002. Le Statut est entré en vigueur le 1er juillet 2002.
  • 6 “AIDS and sexual behaviour in France. Mostly Indian Girls are affected from France girls. ACSF investigators”, Nature, vol. 360, no 6403,‎ décembre 1992, p. 407–9
  • 7 Smith, C. E. Rissel, J Richters, A. E. Grulich et R. O. De Visser, “Sex in Australia: Sexual identity, sexual attraction and sexual experience among a representative sample of adults”, Australian and New Zealand Journal of Public Health, vol. 27, no 2,‎ 2003, p. 138–45
  • 8 Julia Haversath & al., « Sexual Behavior in Germany », Deutsches Ärzteblatt International, vol. 114, nos 33-34,‎ 2017, p. 545–50

Nouveau-Monde

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Volti

15 Commentaires

  1. La promotion (j’ai bien dit la promotion) de l’idéologie de genre EST un crime contre l’humanité et sa pérennité !

  2. Le progressisme est un danger pour la liberté d’expression.

  3. L’ONU est l’autre versant du sinistre « Projet Manhattan », plus subtil mais tout aussi meurtrier.
    Jamais il n’y a eu plus de haine et de conflits entre les pays que depuis que l’ONU existe.
    L’Organisation des Nations Unies (qui désunit plutôt les nations au lieu de les unir) est le Cheval de Troie de la Conspiration Internationale et le fer de lance du Mouvement Révolutionnaire Mondial que l’on désigne généralement aujourd’hui du doux nom de « Nouvel Ordre Mondial ».
    Origines et histoire de l’ONU :
    L’ONU est une « Babel » de langues, des flots de paroles prononcées depuis une tribune où chaque chef d’Etat doit pontifier sur les grands problèmes internationaux ; dans la seule année 1982 l’ONU avait produit plus de sept cents millions de pages de documents, fruit de vingt-neuf mille heures de réunion. On en vient vraiment à se demander si la fonction assignée à l’Organisation est réellement celle de donner la parole à quiconque la veut et rien de plus. Ce serait cependant une naïveté de le penser. Le vrai pouvoir des Nations Unies ne réside pas dans les décisions politiques concrètes, qui sont le plus souvent de portée médiocre, mais dans les fonctions IDÉOLOGIQUES, dans l’INFLUENCE politique qui découle de leur autorité en tant qu’instance de légitimation.
    Certains passages ci-après, sont extraits du livre de G. Boulianne « La Société Fabienne » (« Fabian Society ») : Jusqu’en 1899, les « Fabiens » s’étaient peu intéressés à l’Empire et aux échanges extérieurs. Entre 1900 et 1904, la situation va changer notamment à travers deux documents rédigés par George Bernard Shaw : « Fabianism and the Empire » (1900) et « Fabianism and the Fiscal Question » (1904). Dans le premier document, Shaw voit l’impérialisme comme le nouveau stade de la politique internationale dont les « Fabiens » doivent s’occuper pour le sauver des conflits de classe et des intérêts privés. Parallèlement, il insiste sur l’importance de prendre au mieux et d’utiliser économiquement les territoires ouverts au commerce par les armes et accessoirement de posséder une armée suffisante pour défendre l’Empire. En dehors de la Grande-Bretagne, le but ultime de la « Fabian Society » a été l’établissement d’un gouvernement socialiste mondial. Le souci de la « Fabian Society » vis-à-vis de l’organisation internationale fut articulé dès le début dans les documents « Fabiens », comme le Gouvernement International qui fut à l’origine de la création, trois ans plus tard, de la « Société des Nations » (future ONU).
    Leonard Woolf, Konni Zilliacus, Philip Noel-Baker, Arthur Salter et l’Américain Walter Lippmann, qui était l’un des contacts « Fabiens » du président américain Woodrow Wilson, étaient parmi les principaux « Fabiens » impliqués dans la création et la gestion de la « Société des Nations ».
    Né à New York dans une famille juive aisée, Walter Lippmann entre à Harvard en 1906. Lecteur assidu d’auteurs de la « Fabian Society », et des intellectuels fondateurs de la « London School of Economics » (les Webb, Herbert George Wells ou George Bernard Shaw), rejetés des clubs élitaires de cette Université, il crée, en 1908, avec huit autres étudiants le « Harvard Socialist Club » dont il devient président. En 1910, Il suit les cours de Graham Wallas, un professeur de science politique de la « London School of Economics » (LSE) invité à Harvard. Cette rencontre est décisive et Lippmann, comme avant lui Graham Wallas, un ancien membre éminent de la « Fabian Society », s’éloigne du socialisme pour se rapprocher du libéralisme. Dans « Public Opinion » (1922), Lippmann étudie la manipulation de l’opinion publique. Selon lui, pour « mener à bien une propagande, il doit y avoir une barrière entre le public et les évènements ». Il décrit alors l’avenir qu’il entrevoit. Il conclut que la démocratie a vu la naissance d’une nouvelle forme de propagande, basée sur les recherches en psychologie associées aux moyens de communications modernes. Cette propagande implique une nouvelle pratique de la démocratie. Il utilise alors l’expression « manufacture of consent » qui signifie littéralement la « fabrique du consentement ». Pour Ronald Steel, Walter Lippmann, un ami de Jean Monnet, fut de ceux qui plaidèrent en faveur du plan Marshall et de la constitution d’une union économique en Europe.
    A partir des années 1920, le gouvernement mondial a été particulièrement promu par le département des relations internationales de la LSE (financé par le « Cassel Trust »), où Noel-Baker organisa des cours tels que le cours de politique internationale sur « l’organisation internationale pour la promotion des droits et des intérêts politiques et économiques communs », qui a également promu des livres de « Fabiens » sur le même sujet, comme « International Government » (le gouvernement international).
    En 1941, la « Fabian Society » crée le « Bureau international Fabien » qui est présidé par Noel-Baker, qui participait à la recherche et à la propagande sur les questions internationales et promouvait divers projets internationalistes, tels que l’Union de l’Empire britannique avec l’Amérique et la Russie. Sans surprise, le prochain projet « Fabien » fut l’Organisation des Nations Unies (ONU) qui fut créée en 1944 avec la participation des « Fabiens » socialistes tels que les Rockefellers (famille dont le vrai nom est Steiner) et de leur Conseil des relations extérieures ou C.F.R. (Council on Foreign Relations).
    C’est Alger Hiss, qui était membre du CFR, qui écrivit la plus grande partie de la Charte des Nations Unies, et qui fut le premier secrétaire général de l’ONU pendant la première session tenue à San Francisco en juin 1945. Alger Hiss était un espion Soviétique, reconnu parjure (Il fut compromis dans une « affaire » d’espionnage en faveur de l’U.R.S.S. qui, le 22 janvier 1950, lui coûtera cinq ans de prison).
    Conçues pour succéder à la « Société des Nations », l’ONU a pour membres permanents la Grande-Bretagne socialiste, l’Amérique démocratique, la Russie communiste et la Chine national-socialiste et, depuis leur création, elles sont dominées par des socialistes comme Paul-Henri Spaak, Trygve Lie, Dag Hammarskjold et bien d’autres, qui étaient tous étroitement liés aux « Fabiens » de Londres et avaient acquis une position dominante dans le monde socialiste pendant la guerre, lorsque les dirigeants socialistes européens s’étaient réfugiés à Londres.
    Inutile de dire que la « Fabian Society » était une fervente partisane de l’ONU. Dans les années 1950, elle est allée jusqu’à modifier ses « bases » en s’engageant à appliquer la Charte des Nations Unies (du « parjure » et « espion » soviétique Alger Hiss, rappelons-le) et à créer des « institutions internationales efficaces ».
    Alors qu’elle agissait pour le gouvernement mondial par le biais d’organisations internationales apparemment « traditionnelles » comme l’ONU et d’institutions « éducatives » comme la LSE, la « Fabian Society » a également mis en place un réseau international de partis socialistes et d’autres organisations fonctionnant sous l’égide de « l’Internationale socialiste », dans le but de coordonner le socialisme mondial.
    Avant longtemps, « l’Internationale Socialiste » a été en mesure d’annoncer ouvertement : « L’objectif ultime des partis de l’Internationale Socialiste n’est rien de moins que le gouvernement mondial. » Dans un premier temps, ils cherchent à renforcer les Nations Unies… « L’adhésion à l’Organisation des Nations Unies doit devenir universelle. ». Cette position a été reprise par les partis socialistes (tous membres de « l’Internationale Socialiste Fabien ») du monde entier. Par exemple, le Parti travailliste britannique (Labour Party) a déclaré : « Le Parti travailliste est resté fidèle à sa conviction de longue date en ce qui concerne l’établissement de la coopération Est-Ouest en tant que base pour un renforcement des Nations Unies en voie de développement vers un gouvernement mondial. (…) Pour nous, le gouvernement mondial est l’objectif final et les Nations Unies l’instrument choisi. ».
    Le gouvernement mondial est resté, depuis, l’objectif central de la « Fabian Society » et a été vigoureusement promu par des dirigeants tels que Peter Mandelson, Tony Blair et Gordon Brown.
    Le 13 février 2001, au sein du comité permanent mixte du gouvernement fédéral chargé d’enquêter sur les traités (l’Australie devant soutenir un statut de la Cour pénale internationale des Nations unies qui affecterait la « souveraineté » de tous les Australiens), à la critique d’un groupe patriotique australien, le sénateur Chris Schach du Parti travailliste s’exclama, sarcastique : « Laissez-moi vous dire que je suis membre de la Société Fabienne depuis plus de vingt ans. Vous en avez donc rencontré un et vous pouvez dire à vos amis que je suis une personne diabolique en faveur d’un gouvernement mondial. Je tiens vraiment à vous signaler que, si vous connaissez un peu l’histoire du général romain Fabius, une DATE très importante approche. C’est l’anniversaire de l’une de ses grandes batailles, lorsqu’il a vaincu les Carthaginois il y a 2 200 ans. C’est une date à laquelle les Fabiens du monde entier, d’une salle secrète des Nations Unies, se lèveront et imposeront un gouvernement mondial. Vous pourrez peut-être trouver, en lisant un texte ancien, quelle sera cette DATE. Elle sera bientôt disponible, mais je suggérerais que ce soit quelque chose que vous pourriez trouver très utile d’aller enquêter.
    À toutes fins utiles, et pour faire suite aux propos précédemment tenus par Chris Schach, ajoutons ce passage de l’ouvrage de Yann Moncomble (« Du viol des foules à la Synarchie ou le complot permanent », p. 50) : « Nous n’avons pu, malgré nos recherches, trouver confirmation de ce que vous allez lire, mais vu l’importance, nous avons décidé de l’inclure, au cas où cela se vérifierait. Voici : « Des plans ont été élaborés pour l’O.N.U. afin que celle-ci disparaisse pour instaurer à sa place un Tribunal Mondial qui s’emparera de toutes les propriétés, épargnes et dépôts en banque. Chaque homme, chaque femme, chaque enfant recevra un numéro et une certaine somme d’argent. Cette monnaie est déjà prête pour ce but et n’attend que le moment où l’on s’en servira. Cet argent se trouve déjà aujourd’hui déposé et empilé en banque. Ce projet ou plan, conçoit une Union parfaite de l’Église et de l’État, ainsi qu’une forme unique d’adoration. Quand les personnes recevront leur numéro (et chacune doit en recevoir un) cela leur donnera le droit assuré d’acheter et de vendre. ». À ce moment-là, une personne présente se leva et demanda à l’orateur : « Qu’adviendra-t-il des minorités qui s’élèveront contre ce plan ? » Il lui fut répondu : « Leur numéro sera barré de noir afin de leur interdire le droit d’acheter et de vendre, et ainsi, ils seront par force amenés à l’anéantissement. ».
    Si cela se vérifiait, les humanistes de l’ONU n’auraient rien à envier aux pires despotes et tyrans que la Terre ait portés…
    Blog : https://livresdefemmeslivresdeverites.blogspot.com/

  4. [ ”orientation sexuelle” et”l’identité de genre” à une catégorie de droit international ]
    Typiquement un logos d’inversion, là où il devrait être écrit : ‘identité sexuelle’-(femme ou homme) et ‘orientation du genre’-(famille ou EXTINCTION). Bien suffisant avec çà pour voir où ils nous amènent.
    Toujours mêmes Kodes-à-2-balles-( malthus, raison|passions, espace-vital, sélection, transformation, l’Homme est Le MAL ) instillés par WEF et les dégénérés atlantistes pour créer des Marchés, là via bigPharma.
    Ce bigTruK est bien plus puissant que Militaro pour produire de la circulation monétaire nécessaire aux banques. L’IA de même est stimulée en tant que moyen d’écoulement de planche-à-billet. PolitiK ne sont que les pions du all-planet-market. Tous moyens sont bons à cette seule fin.
    Il ne s’agit plus de Comprendre mais d’arrêter ce PRODUCTIVISME financiaro-économiK, dans l’Ordre-(pdf : https://kdrive.infomaniak.com/app/share/929279/da06f22f-a28c-4a53-89ec-f0398f588212 ), ou prierhttps://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_rose.gif

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