Il y a quelques jours, nous avons entendu parler du rapport Covid de l’ATIH.
Nous avons appris cette information importante : en 2020, les patients Covid ont représenté SEULEMENT 2% (2,3%) de la totalité des hospitalisations.
Cependant, une information autrement plus scandaleuse est malheureusement passée totalement sous les radars et mériterait d’être connue par tous.
La voici en image, extrait du rapport global de l’ATIH (https://www.atih.sante.fr/actualites/rapport-d-activite-atih-2020) :
Par ce rapport, nous apprenons que les hôpitaux ont connu une baisse drastique du nombre de patients pris en charge :
-10%, soit plus d’1 000 000 de patients en moins par rapport à 2019 !
Ce chiffre décrit une réalité grave et lourde de sens.
Malgré cette baisse significative de la fréquentation des hôpitaux, nous avons quand même pu constater qu’ils ont subi des tensions dans certains services, notamment ceux liés au Covid.
Ceci démontre qu’en réalité, avec ou sans Covid (car les 2,3% sont inclus dans les 90% par rapport à 2019), les hôpitaux ne peuvent plus tourner correctement !
Nous avons ici la preuve des conséquences IRREFUTABLES de dizaines d’années de destructions de l’hôpital par choix politique afin de répondre aux exigences d’une doctrine économique de misanthrope. Il serait d’ailleurs absurde de faire comme si l’augmentation des décès n’avait aucun lien avec le fait qu’il y a un manque flagrant d’effectifs et de moyens !
Les soignants avaient prévenu, ils ont manifesté pendant des années et des années. Mais ils n’ont pas eu le soutien nécessaire et encore moins les réformes pour répondre à la crise sanitaire qu’ils vivaient déjà à l’époque.
Hier, en 2020, nous avons eu les conséquences de ce travail de destruction des hôpitaux, ironiquement sous les applaudissements à la limite de l’hypocrisie et aujourd’hui nous avons la PREUVE irréfutable de la réalité des choses, de la cause de cette situation.
Cette situation est dramatique sur le plan sanitaire, car si rien n’est fait pour pallier à ce manque d’effectifs, la débâcle va devenir la norme !
Les hôpitaux seront toujours au bord de l’explosion, avec ou sans Covid. Car encore une fois, il représente SEULEMENT 2,3% qui sont inclus dans les 90% de la fréquentation de 2020 par rapport à 2019 !
Que penser des mesures de confinements face à de telles révélations ?
Des mesures symboliques et zélées dans les hôpitaux se résumant à montrer une forme de soutien fictif, à pousser les quelques survivants de la destruction des hôpitaux à se déguiser en astronaute tout en leur ajoutant une myriade de protocoles ?
Aujourd’hui, en 2021, la situation a encore empiré. Nos oligarques s’enfoncent dans leurs conneries et sont même allés jusqu’à faire renvoyer certains soignants, juste parce qu’ils n’ont pas accepté de servir de cobaye pour la vaccination.
Entre cela, et ceux qui, après avoir fait le travail de 4 personnes pendant l’année 2020 ont littéralement pété les plombs et démissionné, je ne vous parle pas de l’état catastrophique de la situation actuelle.
On atteint un tel niveau d’absurdité qu’aujourd’hui il faut prouver qu’on n’est pas malade ou qu’on a servi de rat de laboratoire pour avoir le droit de se faire soigner dans un hôpital.
On notera qu’à force de virer des soignants et refuser des malades sous des prétextes cyniques tout en fermant des services, ceci aura au moins le mérite de faire de la place dans les hôpitaux…
Plus sérieusement, il n’y a pas besoin d’avoir fait Science Po ou l’ENA pour comprendre qu’absolument rien n’a été fait pour régler le vrai problème.
Pire encore, rien n’a été fait pour que la plèbe se rende compte du vrai problème.
Au contraire, tout a été fait pour que la plèbe soit rendu coupable de la situation.
Tout a été fait pour la rendre docile, soumise par la peur, la culpabilité et l’infantilisation.
Ainsi, ils nous ont confinés, non pas pour notre santé, mais pour nous choquer.
Ils nous ont imposé l’utilisation d’attestation, non pas pour notre santé, mais pour nous choquer.
Ils nous masquent, enfants comme adultes, non pas pour notre santé, mais pour nous choquer.
Une plèbe choquée à ce point, a fait ce qu’on attendait d’elle : qu’elle travaille, consomme et se taise.
Ni plus, ni moins.
Car la seule chose qu’elle espère, c’est de retrouver une vie normale loin des tortures morales et physiques imposées par ses oppresseurs.
Toutes ces mesures pseudo-sanitaires perturbent énormément la psyché des êtres sociaux que nous sommes.
Cependant, jusqu’à preuves du contraire, elles ne permettent pas aux hôpitaux d’augmenter le nombre de lits, de matériels et surtout de soignants.
Or, aux vues des faits que nous avons maintenant en notre possession, grâce au recul, nous pouvons être sûrs et certains que les « mesures de chocs » n’étaient pas les bonnes choses à faire du point de vue du bien-être de la plèbe.
La seule chose qui aurait dû être faite, c’est de rendre aux hôpitaux les moyens de fonctionner correctement.
Il apparaît clairement que l’exécutif a instrumentalisé l’apparition d’un nouveau virus pour dresser la plèbe via une stratégie du choc grossière et misanthrope.
L’un des buts pourrait être de faire passer la pilule de dizaines d’années de mesures d’austérités doctrinales mais la détermination de cela mériterait des enquêtes approfondies, car le caractère hautement symbolique et psychologique de la « démesure sanitaire » ne peut pas être anodin.
Les députés et les sénateurs n’ont pas eu le courage d’aller radicalement contre l’utilisation politique de cette situation. Quand ils n’ont pas soutenu directement l’empereur, ils ont simplement passé leurs temps à pleurnicher sur le fait qu’on manquerait de masque, qu’ils n’auraient pas fait comme si mais plutôt comme ça etc…
Ainsi par leur manque d’investigations, de sérieux et de sincérité, ils ont participé à la confusion et se sont montrés coupables de collaboration.
Les grands médias n’ont toujours pas été capables de fournir un travail journalistique sérieux, comme à leurs habitudes. Au contraire, ils ont pratiqué des campagnes de désinformations massives, de propagande par la peur (communément appelées terrorisme) et ont renforcé la confusion dans la tête de la plèbe. Ils n’ont jamais pointé du doigt le vrai problème, la cause du manque de moyens. Ils ont, au contraire, soutenu à 200% toutes les mesures de choc de la population. Ainsi ils se sont montrés eux aussi coupables de collaboration.
La situation démontre que l’oligarchie tyrannique républicaine dans laquelle nous vivons depuis 1958 permet aux pires d’entre nous de créer un monde dicté par leurs folies.
Il serait peut-être temps de changer de système, de constitution ? Ou au moins de la lire pour prendre conscience que la situation dans laquelle nous vivons n’a rien d’exceptionnelle mais qu’elle est conditionnée par une constitution oligarchique et tyrannique.
Si nous gardons un tel système, nous vivrons encore et toujours ce même genre de situation, comme ce fut le cas par le passé.
Hier c’était des guerres militaires, aujourd’hui se sont des guerres psychologiques et directement contre les peuples.
Je ne sais pas vous, mais je n’ai pas trop envie de savoir quel sera le prochain type de guerre.
Alors voici une bouteille à la mer, lancée par un pseudo-citoyen lambda, inconnu au bataillon mais plus qu’indigné par la situation :
Tous les collaborateurs actifs et influents de cette instrumentalisation doivent être traînés en justice, qu’ils soient de la sphère publique ou privée, afin qu’ils puissent être jugés au cas par cas et répondre de leurs crimes de hautes trahisons contre le peuple de France pour la destruction des vies de millions d’enfants et d’adultes, sur le plan physique, psychologique, social et économique.
Il va de soi que le peuple doit s’unir, il va de soi que ceci est plus simple à dire qu’à faire…
Cependant, il va de soi également que les forces de coercitions ont le devoir d’honorer leurs engagements en prenant la défense du peuple de France, en résistant aux sirènes du carriérisme, du chantage et de la corruption, en montrant l’exemple afin de ne pas s’enfoncer dans le déshonneur.
Les services de renseignements doivent cesser tout acte de trahisons (ne serait-ce que par leurs silences) et exposer au grand jour les fruits de leurs travaux concernant la pseudo-crise sanitaire afin que la vérité puisse continuer à émerger et que l’impunité soit éradiquée du soi-disant « pays des droits de l’homme ».
Plus nous attendrons, plus ils iront loin.
Ils ne s’arrêteront pas tant que nous ne leur imposerons pas de limite.
Les faits démontrent qu’ils ne sont pas partis pour s’arrêter.
Karugido via Agoravox
S’il y a eu moins d’hospitalisations, c’est peut-être parce que, pour jouer le jeu sordide jusqu’au bout, de nombreuses interventions ont été repoussées. Des gens sont morts chez eux faute de soins. Non pas parce qu’il n’y avait pas de place à l’hosto (on a vu des services vides) mais parce qu’il fallait absolument montrer des reports de soins, « au bénéfice » des covidés que l’on disait si nombreux.
Ceci dit, le problème de la fermeture des lits et du manque de personnel – surtout maintenant qu’on les a virés – n’en est pas moins une réalité, tout comme la volonté délibérée de saborder le service public.
il faudrait avoir la répartition des « soins » lorsqu’ils parlent de prise en charge.
il faut aussi définir les % de variation de fréquentation pour les catégories d’hôpitaux (généraux, psy, universitaire et spécialisé).
Je pense à cela car certains types de soins sont urgent & important, d’autres « moins ».
Un traitement orthodontie par exemple qui est « cheros » à partir d’un certain age n’est peut être plus faisable pour une catégorie de personne. D’où une possible baisse de fréquentation du secteur.
les chiffres de 2012 en Belgique renseignent que l’hôpital général comporte 34.000 lits sur les 70.000 tout hôpital confondu.
J’aimerai savoir si par exemple les -10% sont pour les lits « totaux » ou uniquement pour les hôpitaux général…
Quand on voit la liste des services hospitalier, il est intéressant de se demander où se situe cette diminution.
depuis 2002, on constate une augmentation croissante des Hôp chirurgical de jour ainsi que les Hôp non chirurgical de jour. il serait bien de savoir si ce sont ce genre de service qui est impacté par les 10% ou les séjours de plus d’un jour (qui sont plus « grave »).
Quoi qu’il en soit, l’hôpital public coûtent cher à l’Etat et nulle doute qu’ils aimeraient enlever ce poste des charges de l’Etat pour le filer au privé… encore une menace de la SS qui risque de transformer le secteur de santé à la made in US…