Tous les arguments (sans exception) en faveur du meurtre légal des « enfants-à-naître » se laissent, dans le cadre d’une analyse précise, démolir avec la plus grande facilité. Cela prouve au moins une chose: Le vrai débat rationnel et contradictoire sur l’avortement n’a à ce jour toujours pas eu lieu. La dictature culturelle planétaire dont les médias sont infestés et qui repose sur le noyau dur du fondamentalisme féministe international ne l’a pas permis. A l’aide de onze arguments, j’en apporte ici la preuve.
1: Le libre choix?
Le vrai libre choix consiste à laisser choisir la personne qui est la plus concernée et qui risque de se faire tuer, c’est-à-dire « l’enfant-à-naître ». Celui-ci, en effet, choisit toujours de se développer et donc de vivre. Respecter son choix, implique donc de s’opposer à l’avortement. (Notons que la mère, elle, avortement ou pas, survit toujours).
Le lavage de cerveau issu de la culture de mort s’acharne à vouloir faire oublier un petit détail, c’est que l’avortement concerne non pas une seule personne (la mère) mais bien deux (la mère et l’enfant).
2: Les « pro life » (adversaires de l’avortement) sont intolérants?
La pire des intolérances et discriminations, n’est-ce pas au contraire de tuer « un enfant-à-naitre » innocent et sans défenses qui ne demande qu’à se développer? Prétendre le contraire, c’est inverser le sens des mots, c’est entrer dans une fausse sémantique.
3: C’est une affaire privée qui concerne uniquement la femme et son corps?
Faux. L’embryon se trouve certes dans le corps de la femme mais ce n’est pas son corps. L’ADN, les chromosomes, les gènes (différents de ceux de la mère) sont ceux d’un nouvel être humain qui existe à part entière. « To be or not to be », « être ou ne pas être ». Il y a une « égalité d’être » entre la mère et le fœtus. Personne n’existe « à moitié ». Un fœtus existe autant que Hillary Clinton, Maradonna, Carla Bruni, Poutine ou Raspoutine. Prétendre le contraire, c’est mentir ou bien être complètement ignorant en biologie. Par ailleurs, l’embryon est appelé à sortir tôt ou tard du corps de la femme, soit comme cadavre assassiné par un avortement ou bien comme bébé vivant. Dans tous les cas l’enfant à naître sortira de l’utérus. Affirmer que le fœtus « est » le corps de la femme est une contre-vérité et une infamie, issue de la culture de mort.
Certes, l’embryon a besoin de la mère pour se développer et continuer à vivre mais cela est vrai également pour un bébé de deux mois. Si une mère laisse son nourrisson livré à lui-même, celui-ci mourra dans les plus brefs délais et elle sera, à juste titre, accusée d’homicide.
4: L’avortement est légal, donc il faut « la fermer » et l’accepter?
Les plus grands résistants de l’histoire se sont toujours battus contre la « légalité du moment ».
Quand Nelson Mandela luttait contre cet abominable système qu’était l’apartheid en Afrique du sud, il était « illégal » et pourtant il avait raison.
De même quand Oscar Schindler sauvait des juifs en Allemagne nazie, il était à l’époque « illégal ». Puisque, en effet, il était alors légal d’exterminer les juifs et pourtant, lui aussi, avait raison.
La limite de la légalité et d’ailleurs de la démocratie en général, c’est là où commence la conscience universelle. Quand les lois et la légalité du moment sont infâmes, on a non seulement le droit mais aussi le devoir de les combattre. Si demain la majorité des français devient pédophile, cela ne fera pas pour autant de la pédophilie quelque chose de bien.
La limite de la légalité se trouve là où commencent la vérité et la dignité de l’être humain données par Dieu.
5: L’avortement concerne l’émancipation e la femme?
Une loi qui permet à une femme de tuer une autre femme (sous forme de fœtus féminin) serait donc un progrès pour le droit des femmes?
Pouvoir assassiner des femmes au nom des droits de la femme (SIC).
Bienvenu chez les fous. Cet argument est trop « couillon » pour être développer.
6: Le monde est atroce, je n’ai pas d’argent, mon enfant n’aurait pas de bonnes perspectives. Il est donc préférable de le tuer?
Suivre un tel résonnement équivaut aussi à dire qu’il faudrait, pour être conséquent, éliminer tous les malheureux de la planète. Les malnutris, les clochards, ceux qui vivent dans des pays en guerres, bref en gros la moitié de la population planétaire. Au fait, à partir de quel degré de bonheur a-t-on le droit de continuer à vivre? Sommes-nous tous si sûr d’être « heureux »?
Heureusement, nos ancêtres n’ont pas raisonné ainsi sinon nous ne serions pas là pour en parler. En effet, jadis, les conditions de vie étaient largement plus dures que maintenant.
La vie humaine est sacrée. Elle se justifie en elle-même. Lier le droit de vivre à la possibilité d’avoir un beau frigo et une belle voiture, c’est passer à côté de l’essence de l’être humain et de sa vraie dignité.
Par ailleurs, celui qui pense que le monde est trop pourri pour laisser son enfant vivre, devrait commencer par se suicider. C’est trop facile de tuer les autres (enfants-à-naître) tout en continuant soi-même à vivre.
7: Les avortements ont de toute façon toujours existé. Par conséquent il convient de ne pas les interdire?
Les viols, les meurtres, la pédophilie ont aussi toujours existé. Faut-il aussi légaliser les viols et la pédophilie? Bien évidemment, cet argument est un affront contre le bon sens.
En outre, il y avait avant la légalisation de l’IVG, beaucoup moins d’avortements. Ceux qui prétendent le contraire, mentent.
8: Auparavant, les femmes se blessaient en s’avortant?
La légalisation de l’avortement a donc au fond permis de rendre les « armes donnant la mort » plus efficaces afin de permettre à la femme de tuer « proprement » sans prendre le risque de se blesser elle-même. Franchement, entre nous, est-ce un argument???
Cela, à titre d’exemple, revient un peu à dire qu’il faudrait donner des armes plus efficaces à ceux qui cambriolent des banques afin que les cambrioleurs ne prennent pas le risque de se blesser en tuant les autres (sic).
Bien évidemment, cet argument est éthiquement et dialectiquement intenable.
Ceux qui ne veulent pas se blesser, doivent commencer par arrêter de tuer des êtres humains innocents.
On oublie ici tout de même un petit détail. Dans un avortement, l’enfant, lui n’est pas blessé, mais toujours assassiné.
9: Il y a la surpopulation. Nous sommes déjà trop nombreux sur la planète?
Cela est faux. Le mythe de la surpopulation a été véhiculé par le planning familial pour justifier l’avortement. En Inde il y a actuellement deux enfants par couples. Le problème est donc réglé. En Chine Idem. Quant à l’occident, les populations ne sont même pas capables de se reproduire.
La surpopulation n’a pas eu lieu. En tout cas pas dans les proportions annoncées dans les années 70.
Si des gens crèvent de faim sur terre, c’est à cause de l’égoïsme et non pas à cause de la surpopulation.
10 : Existe-t-il des cas où l’avortement est éthiquement acceptable?
Oui, si la vie de la mère est clairement en danger lors de l’accouchement (ce qui , soit dit en passant est extrêmement rare en occident).
Concernant les avortements pour viols et pour malformations gravissimes du fœtus, ils ne représentent que moins de 1% des avortements en général. Faire une fixation sur ces 1% est donc une malhonnêteté pour écraser et fuir le vrai débat. Si après un viol, il faut coute que coute tuer quelqu’un, alors, il serait plus logique de tuer le violeur plutôt que l’enfant. L’enfant, lui, est toujours innocent. En cas de viol, la solution est de faciliter l’accouchement sous X (qui garantit l’anonymat et l’adoption) et d’aider massivement la mère concernée. L’accouchement sous X n’est certes pas l’idéal mais c’est mieux que l’autre solution qui est le meurtre. Entre deux maux, il faut choisir le moindre.
Par ailleurs, même si l’avortement était acceptable en cas de viol ou de malformation grave de l’enfant-à-naître, cela ne justifierait quand même pas la légalisation de l’avortement pour tous. En effet cela reviendrait à dire que pour éviter 1% d’injustices on accepte de pratiquer 99% d’injustices (les 99% d’enfants avortés bien que n’étant ni malades et ni issus d’un viol). Ce qui dialectiquement ne tient pas vraiment la route et relève de l’affront contre le bon sens.
11: On ne sait pas quand la vie commence donc l’avortement n’est pas si grave?
D’aucuns insinuent que nous ne savons pas quand commence la vie et que par conséquent l’avortement ne doit pas être considéré comme un meurtre. Peut-être, après tout, faut-il avoir une mémoire pour avoir droit à la dénomination « d’être humain »? Cela est faux car la vie de l’individu commence au moment même de la fécondation de l’ovule par le spermatozoïde. Mais quand bien même ces personnes auraient raison, dans le doute, il faudrait à plus forte raison faire commencer la vie de l’être humain le plus tôt possible, au risque dans le cas contraire, d’ouvrir une brèche dans laquelle toutes les interprétations et tous les dérapages seraient possibles. Sans le savoir, leur position, donne des arguments en faveur du respect absolu de la vie dès la fécondation.
En effet si la vie ne commence pas au moment de la fécondation, alors quand commence-t-elle???
A partir de quel moment a-t-on le droit d’être protéger pour continuer à vivre?
Deux jours après la fécondation??
Ou bien deux mois après??
Six mois??
Ou bien deux heures avant la naissance???
Ou bien deux minutes après la naissance???????
A l’âge de deux ans, quand l’enfant dit ses premiers mots???
Ou bien à sept ans avec l’âge de raison quand l’enfant commence à se percevoir comme un être socio-culturel?????
Et pourquoi pas à l’âge de dix-huit ans quand il peut enfin voter???
Non, bien sûr que non. En réalité, la vie de l’individu commence au moment même où il reçoit la totalité de son patrimoine génétique unique, c’est-à-dire à la fécondation.
Nier cette évidence biologique équivaut à ouvrir une boite de pandore qui débouche irréversiblement sur l’instrumentalisation de l’être humain, sur sa « chosification ». Autrement dit, le début de l’enfer sur terre. S’il est possible de tuer les plus faibles et les plus innocents, alors tout est permis. C’est dans cet esprit qu’il faut comprendre la phrase de Mère Teresa quand elle a dit, qu’au fond, l’avortement était responsable de toutes les guerres.
Jean-Pierre Aussant
Annexe de mon essai « le complot inconscient » https://t.co/9R8nFMHZFe
» L’apologétique de l’avortement ou l’art de la fausse sémantique » ???
Interruption volontaire de grossesse me paraît plus adapté, comme vocabulaire. Et si les dogmatiques et les non dogmatiques avaient la décence de respecter les choix de chacun (quantiques), les deuils et les crimes : la loi du talion reste ma seule loi, définitivement !
Un vrai sujet de société qui fâche.
On pourrait écouter comment cet acte résonne dans les profondeurs du corps et de la conscience de chaque femme qui prend cette décision, ou pas.
L’histoire de deux âmes qui se rencontrent, se retrouvent, se séparent pour des raisons qui échappent au monde visible, au monde de dualité dont nous peinons à nous extirper.
Comme tout travail commence à l’intérieur, le premier est peut-être de faire le deuil de la mémoire énergétique de cet enfant qu’on a refusé, de libérer du corps physique la part invisible qui ne vise qu’à retourner à une autre dimension.
J’observe dans ma pratique que rendre son entièreté à l’âme non incarnée pour qu’elle poursuive son chemin, permet à la femme de retrouver l’équilibre. Cela ne passe que par une énergie. L’Amour.
Extrait du discours de Mère Térésa à Oslo pour son Prix Nobel
( Qui était « pour une fois » bien mérité ! )
« Et je ressens quelque chose que je voudrais partager avec vous. Le plus grand destructeur de la paix, aujourd’hui, est le crime commis contre l’innocent enfant à naître. Si une mère peut tuer son propre enfant, dans son propre sein, qu’est-ce qui nous empêche, à vous et à moi, de nous entretuer les uns les autres ? L’Écriture déclare elle-même : « Même si une mère peut oublier son enfant, moi, je ne vous oublierai pas. Je vous ai gardés dans la paume de ma main. »
Merci JP Aussant de nous rappeler cette terrible réalité qu’est l’avortement.
Que Dieu nous pardonne.
serieux,,, mere teresa ,,,
https://nouvelles.umontreal.ca/article/2013/02/21/mere-teresa-tout-sauf-une-sainte/
Les malades doivent souffrir comme le Christ sur la croix
Au moment de son décès, mère Teresa avait ouvert 517 missions accueillant les pauvres et les malades dans plus de 100 pays. Ces missions ont été qualifiées de mouroirs par des médecins ayant visité plusieurs de ces installations à Calcutta. Les deux tiers des personnes fréquentant ces missions espèrent y trouver un médecin pour être soignées et l’autre tiers agonise sans recevoir les soins appropriés. Les médecins y observent un important manque d’hygiène dans les locaux, voire de l’insalubrité, une rareté de soins réels, un régime alimentaire insuffisant et l’absence d’antidouleurs. Ce n’est pas un manque d’argent qui est en cause – la Fondation mise sur pied par mère Teresa a amassé des centaines de millions de dollars – mais une conception particulière de la souffrance et de la mort : « Il y a quelque chose de très beau à voir les pauvres accepter leur sort, à le subir comme la passion du Christ. Le monde gagne beaucoup à leur souffrance », répond-t-elle aux reproches, rapporte le journaliste Christopher Hitchens. Et pourtant, lorsque mère Teresa a eu besoin de soins palliatifs, c’est dans un hôpital américain ultramoderne qu’elle les a reçus.
« » (Notons que la mère, elle, avortement ou pas, survit toujours). « »
alors la ,,, non, pas de toute,,, il y a des risques dans certains cas que la mere meurt pendant l’accouchement, ou va souffre des problemes de sante longue terme …. en france environ 85 femmes meurt chaque annee en donant naissance a une bebe,,,
Environ 830 femmes meurent chaque jour dans le monde du fait de complications liées à la grossesse ou à l’accouchement. En 2015, 303 000 femmes sont décédées pendant ou après la grossesse ou l’accouchement https://www.who.int/fr/news-room/fact-sheets/detail/maternal-mortality
« » c’est que l’avortement concerne non pas une seule personne (la mère) mais bien deux (la mère et l’enfant). « »
encore , non, pas de toute , ça concerne aussi la pere…..
et en parlent du ^^pere^^ ,,,, au etats unis il y a des femmes victimes du viol qui se font refuser l’avortement, certains medecins fanatique chretien ment au victimes sur les protocoles et conditions , refuse certains chose qui font que le delai legale soit depasser ,,, et sont obliger de porter a terme l’enfant issue de leur viol ,,,,,
certains femmes se trouve meme au tribunale au usa, attaquer en justice par leur violeur pour avoir le garde partager de l’enfant ou d’avoir doits de visite avec l’enfant issue de leur crime …..
(( Texas viens de passer un loi qui prohibit l’avortement apres 6 semaines ,,, alors que bcp bcp bcp bcp femmes apres 6 semaines ne savent meme pas qu’ils sont enceint ))
« » 3: C’est une affaire privée qui concerne uniquement la femme et son corps?
Faux. L’embryon se trouve certes dans le corps de la femme mais ce n’est pas son corps. L’ADN, les chromosomes, les gènes (différents de ceux de la mère) sont ceux d’un nouvel être humain qui existe à part entière. « »
ça concerne aussi la pere donc ,…
Désolée, mais tant que le foetus n’a pas un cerveau développé , c’est un simple organisme parasite , accepté ou non , dans le corps de la mère , qu’elle peut considérer comme un microbe dérangeant à éliminer de son corps ou au contraire comme un être à aimer en acceptant les risques pour sa santé ( surtout maintenant que la suppression des services de maternité dans les hôpitaux de province obligent les femmes à accoucher à soixante-dix kilomètres de chez elles , parfois dans un taxi ), les souffrances de l’accouchement et les années d’enchaînement jusqu’à l’autonomie complète du jeune adulte . Le corps de la femme lui appartient, personne ne peut décider à sa place si elle veut que son corps continue ou non de nourrir un embryon. C’est le choix de la femme . Tout le monde n’est pas obligé de croire en l’existence d’une âme ou de volontés divines en ce qui concerne l’embryon et ceux qui imposaient autrefois des grossesses non désirées aux femmes étaient en général ceux et celles qui ne portaient pas d’enfants . Jusqu’en 1945 , les avorteuses françaises et leurs clientes étaient guillotinées , pas les pères des embryons . Maintenant qu’existent les techniques de dons d’ovocytes , d’embryons et de grossesses in vitro, ce devrait être possible pour une femme de donner son foetus non désiré à une femme qui désire porter un enfant mais qui ne peut concevoir .
@mianne,,,
pourquoi dire désolé , Jai pas dites ou affirmer quoi que ce soit de contraire a ce que tu dites,,,
Je suis plustot de ton avis , c’est la choix du femme uniquement meme si sa choix concerne le pere,,,
par contre ,,,
« » ce devrait être possible pour une femme de donner son foetus non désiré à une femme qui désire porter un enfant mais qui ne peut concevoir . « »
peut etre dans quelques decennies voir plus ,,, mais ça m’etonnerais ,,,
Moi je vais bien plus loin, je suis contre toute éjaculation dans le vide et contre la pilule (espérance d’une vie), c’est des êtres vivant qu’on tue par plaisir. Plus de 80 millions de spermatozoïdes sont tuer lors d’une éjaculation à l’air libre, assécher à l’air libre, leurs espérance de vie n’est que de quelques heures et ça, tout le monde s’en fou…
On dit que plus de 90% des trisomiques ne naissent pas suite aux avortement, pourtant, les trisomiques sont bien plus humain que tout les tarés soi-disant humain se définissant dans la normalité, définissant les règles de la vie et parlant de spiritualité et d’amour…
Si avortement il doit y avoir alors oui pour la normalité de taré, peut-être 90% d’adulte sur cette terre…🖕
ptdr ,,,,,
et n’oublie pas la menstruation ,,, chaque femme soit responsable de la mort des oeufs chaque mois jusqua menopause …..
Ce sont des œufs non fécondés !
On peut en rire ou pas mais cela reste un fait, encore plus pour ceux considérant tout êtres vivants au-delà des créations de ses propres lois, lois d’hiérarchisations supérieure-inférieure, opinions subjective diverses etc. Je ne parle pas de moral ni du plus fort ni de survie, mais bien « d’être » au-delà de ses projections. Dans la force et la survie, là, personne ne mange sans tuer et le plus fort gagne, telle est la loi !
Tu sais, j’évite de tuer les insectes, un minuscule moucheron sous la douche je vais faire en sorte de le sortir pour qu’il vive et j’ai un énorme respect pour les mouches à merdes…
si l’avortement pour raison médical ou suite à un viol peut se comprendre et se défendre. L’avortement dit de confort est quand à lui l’apologie de l’irresponsabilité du couple ( oui dans l’histoire il y a deux responsables) et ne devrait-être autorisé … on ne peut jouer avec la vie d’autrui….
Par contre dans le cas de personne comme macron schiappa soros gates ….. l’avortement même après plusieurs années devrait -être plus qu’encouragé
Avortement post-natal a titre curatif. 🙂
Ne pas avoir de désir d’enfant sans pour autant se priver de faire l’amour en sachant que les accidents de parcourt existent et qu’un enfant peut arriver sans que nous l’attendions.
Vous me direz, mais des solutions existent comme la contraception, oui c’est exact, cependant toutes les contraceptions ne sont pas recommandés pour tout le monde et peuvent avoir des conséquences sur la santé.
C’est facile d’accuser la personne de tuer son enfant surtout quand c’est un homme qui parle alors qu’il ne lui ait pas demandé de prendre de contraception, c’est facile de dire que c’est une tueuse et de lui faire porter le poids de la culpabilité parce qu’elle ne veut pas d’enfant ou parce que sa situation financière ou relationnelle est compliquée, qui on est pour juger ça ?
Un avortement est déjà douloureux émotionnellement, ce n’est pas quelque chose que les femmes font de guetté de cœur, la culpabilité est assez présente sans en rajouter une couche…
Bien des parents tuent psychologiquement leur enfant et combien acceptent qu’ils soient asphyxiés en ce moment.
Je rejoins Leveilleur sur ce point.
Nous ne savons pas à quel moment est-ce que l’âme entre dans le corps, ce sont des moments variables. A ce moment-là, oui, il y a meurtre. Mais il faut nuancer, et l’âme qui entre sait aussi ce qui va se passer. Elle sait quelle a quelques heures, quelques mois, ou quelques années à vivre.
On ne peut donc pas juger. C’est un acte grave, c’est certain. Et il faut accompagner la femme psychologiquement, comprendre ce qui la bloque, l’empêche de mener sa grossesse à terme, sans jugement.
Le foetus est tout à fait conscient. On peut revivre cette période en régression.
« Bien des parents tuent psychologiquement »
Oui et se foutent complétement du terreau complétement pourri sur laquelle ils vont vivre et ne font rien pour changer quoique ce soit, les poussant même à s’y adapter et à le cultiver ce terreau pouri, ne font rien pour leur avenir…, hypocrisie quand tu nous tiens…