đŸ’„ GREAT RESET ALIMENTAIRE : VERS UN CHANGEMENT DE MODÈLE AGRICOLE

Le commerce mondial est devenu une machine incroyablement complexe qui s’est arrĂȘtĂ©e brutalement en 2020 avec des gouvernements qui ferment les frontiĂšres et imposent des mesures digne de l’Allemagne de l’Est. Et les politiques pensent Ă©videmment, comme Ă  l’époque, avoir une infinie sagesse dans ce genre de dĂ©cision.

Franck Pengam (GĂ©opolitique Profonde)

6 Commentaires

  1. La France est le premier pays d’Europe et le troisiĂšme mondial en ce qui concerne l’utilisation de pesticides. Ce triste palmarĂšs expose particuliĂšrement la population aux Ă©pandages massifs de produits dits “phytosanitaires”.
    L’aide agricole sert Ă  empoisonner les gens ?
    https://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_wacko.gif

    • tu vois voltigeur c est lĂ  que l on s aperçoie que le messager Ă  plus d importance que le message ……https://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_negative.gif
      “La France est le premier pays d’Europe et le troisiĂšme mondial en ce qui concerne l’utilisation de pesticides.”ce qui sans explication n est que de la propagande …..https://www.senat.fr/rap/l02-215-2/l02-215-239.html c est dĂ©jĂ  moins impressionnant 4,4 litres de substance active Ă  l hectare en france contre 17,5 aux pays bas https://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/plugins/wp-monalisa/icons/wpml_bye.gif

  2. Le grenelle de l’environnement avait fixĂ© comme objectif la rĂ©duction du NOMBRE de molĂ©cules de 50% dans un dĂ©lais infĂ©rieur Ă  6 ans. C’Ă©tait en 2011….. Document signĂ© par des Ă©colos tel un certain Yannick Jadot.
    RĂ©sultat des courses dĂšs 2019 : plus de 30% d’augmentation de pesticides , en volumes, administrĂ©s Ă  l’unitĂ© de surface ( l’hectare).
    En supprimant les molĂ©cules, ce groupe d’apprentis( pour ne pas ĂȘtre mĂ©chant ) a entrainĂ© une situation oĂč la lutte contre certains parasites et maladies cryptogamiques, virales ou bactĂ©riennes, s’est retrouvĂ© avec une seule molĂ©cule ( usage mineur) voire zĂ©ro molĂ©cule ( usage orphelin). L’effet d’annonce se voulait ĂȘtre triomphant : MOINS 50% ….en omettant de prĂ©ciser moins 50% de quoi ?
    Dans le cas des usages dits “orphelins” cĂ d avec zĂ©ro molĂ©cule homologuĂ©e, des professionnels regroupĂ©s au sein de certains syndicats agricoles ont fait pression auprĂšs des instances sanitaires pour faire repĂȘcher la derniĂšre molĂ©cule passĂ©e Ă  la trappe des AMM, retirĂ©e de la liste. Ce faisant, il incombait d’apporter la preuve que relativement Ă  la maladie ou au parasite concernĂ© il n’y avait AUCUNE technique dite “alternative” ( non de synthĂšse ou bio) en mesure de rĂ©pondre Ă  au moins 50% de l’efficacitĂ© de la molĂ©cule Ă  repĂȘcher. Soit dit au passage que dans la catĂ©gorie des techniques alternatives c’est une combinaison de plusieurs techniques qui gĂ©nĂ©ralement apporte une rĂ©ponse globale pour rĂ©soudre en totalitĂ© ou pour partie la problĂ©matique sanitaire.
    Et encore un dĂ©tail dans le dĂ©tail, ce travail incombant aux ingĂ©nieurs dĂ©diĂ©s justement Ă  mettre en place les fameuses techniques alternatives, non chimiques. Un travail de PĂ©nĂ©lope avec les consĂ©quences contre productives Ă©videntes que l’on peut en dĂ©duire. Je peux en tĂ©moigner au titre d’administrateur d’un centre technique durant 14 annĂ©es. Pas jojo le topo au niveau des motivations nĂ©cessaires.
    Maintenant on aborde le cƓur du sujet. Avec une seule molĂ©cule, les phĂ©nomĂšnes dits d’accoutumance ou de rĂ©sistance s’amplifient. Bilan des courses, lĂ  oĂč avec 2-3 molĂ©cules diffĂ©rentes 4 Ă  5 traitements annuels suffisaient avec une seule molĂ©cule et au fil des annĂ©es on en arrive Ă  prĂšs de 10 traitements et avec des rĂ©sultats sans cesse dĂ©croissants. Ca le gentil Yannick Jadot il le camoufle en s’exprimant de la sorte : Nous avions projetĂ© de rĂ©duire de 50 % ( il ne prĂ©cise pas quoi) et au final le constat est que nous soyons rendus Ă  plus 30% de pesticides ( et lĂ  encore il ne prĂ©cise pas ce dont il s’agit clairement. Du MENSONGE par omission !
    Vous me direz, oui cher Sully, mais avec tout ton joli baratin, comment qu’on fait gouyat ?
    RĂ©ponse : Au Canada et dans plusieurs Etats de l’Ouest des USA ( oĂč j’ai de la famille dont une partie de plus en plus importante est dans l’arboriculture fruitiĂšre, donc avec pas mal d’infos in situ) le modĂšle est tout autre. Pour qu’un professionnel puisse accĂ©der Ă  des pdts Phytosanitaires, il faut qu’il se les fasse prescrire. D’une, ce qui n’est pas le cas ici et je vous expliquerais plus loin pourquoi. De deux, il faut qu’il puisse justifier auprĂšs du prescripteur que TOUTES les techniques alternatives– principalement prĂ©ventives–VALIDEES par les instituts techniques soient rĂ©ellement pratiquĂ©es sur son exploitation. Ensuite, comme il y a toujours une rĂ©alitĂ© du terrain qui fait que souvent pour des raisons gĂ©odĂ©siques ou autres ( courants Hartmann etc..) il y ait ce qu’on appelle des foyers primaires rĂ©currents de parasites et ce malgrĂ© toute l’artillerie de techniques bio mise en place en bon ordre, il est nĂ©cessaire de les Ă©teindre dans l’oeuf avant que la pression parasitaire ne se dissĂ©mine sur la totalitĂ© des surfaces cultivĂ©es. OpĂ©ration canadair en quelque sorte, ponctuelle et ultra localisĂ©e, mais avec plusieurs molĂ©cules donc avec moins de risques de s’exposer Ă  terme Ă  des rĂ©sistances. Au lieu de traiter 10 fois 100% des surfaces avec une seule molĂ©cule, dans de pareils cas c’est 3-4 interventions avec 2-3 molĂ©cules diffĂ©rentes et sur moins de 15 % des surfaces. MathĂ©matiquement il n’y a pas besoin d’ĂȘtre un PoincarĂ© pour vite capter qu’il n’y a pas photo.
    ConsĂ©quence, le professionnel dispose de la sorte un vĂ©ritable filet de sĂ©curitĂ© et sa motivation et sa foi personnelle dans les techniques alternatives reste intacte. Les fabricants de pesticides s’orientent progressivement vers des formulations Ă  base d’extraits de plantes de plus en plus pertinents, eux aussi restent motivĂ©s pour s’investir dans des filiĂšres comme celle des fruits et lĂ©gumes oĂč le parcours du combattant pour les AMM n’en vaut pas souvent la chandelle.
    Toute cette procĂ©dure repose donc sur l’acte de la prescription. Ce faisant les pouvoirs publics ayant le devoir d’habiliter les prescripteurs deviennent automatiquement CO-RESPONSABLES des risques environnementaux liĂ©s aux pesticides. Et c’est lĂ  oĂč on peut soupçonner la loufoquerie du personnel politique ici en Europe incluant les faux prĂȘtres d’une orthodoxie vertueuse en matiĂšre de pollution par les pesticides. Des gifles ils mĂ©riteraient ces tartuffes !

  3. Le grenelle de l’environnement de l’environnement une vaste fumisterie…Tout ce qui touche Ă  la politique a pour but de prendre les Français pour des couillons !

  4. TrÚs bonne vidéo.

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