Covid-19 : abécédaire des idées fausses et reçues

De Confinement à Virus en passant par Couvre-feu, Dictature sanitaire, Masque ou encore Vaccin, mise au point sur les opinions erronées ou les messages biaisés dont le totalitarisme tire profit.

Aujourd’hui, une minorité saisit parfaitement que, sous le prétexte d’une prétendue pandémie, une terrible dictature est en train de se mettre en place.

Cette minorité dénonce, à juste titre, les fadaises, contradictions, incohérences, mensonges et manipulations dont le pouvoir est coupable.

Malheureusement, dans ce discours critique, on trouve aussi beaucoup de maladresses, d’idées fausses, de raccourcis dangereux, de slogans ou mots d’ordre contre-productifs, qui nuisent à l’efficacité de la résistance et font le jeu de l’oligarchie.

Remettre les pendules à l’heure est donc nécessaire, ne serait-ce que pour deux raisons :

a) on ne pourra pas s’en sortir en se basant sur de mauvaises analyses, des clichés, des illusions ou des erreurs.

b) il faut absolument contrer et démasquer les imposteurs qui feignent d’éreinter le pouvoir; qui se font passer pour des opposants, voire des dissidents ou des lanceurs d’alerte; mais qui, en réalité, servent le système et bernent délibérément leur public. Car, parmi les colporteurs d’idées erronées, il y a, certes, des gentils naïfs pleins de bonne foi et des personnes limitées intellectuellement mais sincères; toutefois, il se trouve aussi ce que nous appelons des infiltraîtres, c’est-à-dire des traîtres infiltrés, qui agissent sciemment.

Nous allons pointer quelques-unes des faiblesses du discours contestataire. Libre à chacun de tenir compte de nos remarques, ou de persévérer dans l’erreur.

C comme commencer à comprendre

Nous ne comptons pas le nombre de fois où nous avons pu lire ou entendre ces formules usées jusqu’à la corde : Les Français (ou les Suisses, ou les Autrichiens etc) commencent à comprendre; les gens commencent à se réveiller; il commence à y avoir une prise de conscience; le peuple a compris; il y a de plus en plus de gens qui se rendent compte; il y a de plus en plus de personnes lucides; beaucoup de monde réalise; tout le monde a compris; au début, la population a été sous le choc, c’est bien normal, mais, maintenant, elle commence à se secouer; les Français (ou les Italiens, ou les Allemands, ou les Espagnols etc) ont été dans un état de stupeur, c’est bien compréhensible, et il faut du temps pour sortir de cet état, mais, maintenant, ça y est, ils se réveillent; on assiste à une prise de conscience etc etc (1).

a) cela fait des décennies que nous subissons ces phrases bateau, sur tous les sujets. Comme nous avons déjà eu l’occasion de l’écrire, depuis le temps que les peuples ont commencé à comprendre, ils devraient peut-être avoir fini.

b) un état de stupeur, de sidération, de choc, bien normal, mais transitoire ? Allons donc !

Tout d’abord, en quoi un tel état serait-il normal ou obligé ? En quoi un tel état justifierait-il que l’on gobe des énormités dont un enfant de sept ans intelligent verrait la débilité ?

Ensuite, ce serait passager ?

Et le 11 Septembre 2001 ? On nous a sorti le même argumentaire; cela fait presque vingt ans, les gens n’ont toujours rien compris à ces attentats et n’ont pas cherché à en savoir plus que ce que leur ont conté les médias de masse; donc, si nous saisissons bien, cela fait vingt ans qu’ils sont en état de choc … (2)

Les affaires Merah ou Charlie Hebdo ? Cela fait des années. Or, là aussi, les Français n’y ont pas entendu goutte et n’ont pas cherché à en savoir davantage que la version officielle.

[Les assassinats de John et de Robert Kennedy ?]url:L’étrange décès de Kathleen Kennedy – Les moutons enragés (lesmoutonsenrages.fr) C’était il y a 58 ans pour le premier et 53 ans pour le second; les peuples n’ont toujours pas démêlé le vrai du faux.

Le scandale du sida ? Cette supercherie vieille de plusieurs décennies fonctionne toujours, et l’arnaque du Covid-19 en est, à certains égards, la descendante directe.

Nous pourrions multiplier les exemples, en remontant encore davantage dans le temps. Ce que l’Histoire récente nous montre, pour l’instant, ce sont des populations qui ne comprennent strictement rien à rien; qui gobent toutes les ficelles les plus éhontées, à commencer par les plus énormes; et qui n’ont même pas envie de s’informer.

C’est d’ailleurs l’une des raisons pour lesquelles les nations avalent si facilement aujourd’hui l’ingénierie Coronavirus : la clarté n’a pas été faite sur le sida, sur le 11 Septembre, sur les attentats divers et variés qui se sont succédé ensuite, sur la malédiction des Kennedy, sur la guerre en Syrie, sur l’agression contre la Libye, sans remonter plus loin dans le temps. Le mensonge sur tous ces sujets n’ayant pas été dissipé, l’endoctrinement sur le Covid-19 fonctionne parfaitement.

Tous ces leurres constituent une espèce de chape ou de verrou qui asphyxie ou cadenasse la manifestation de la vérité sur tout et sur le reste.

La propagande non démasquée concernant le Coronavirus, va fonctionner à son tour comme une chape et un verrou pour l’avenir, si bien que les populations croiront sans problème les exorbitances que l’oligarchie a prévu de sortir dans les étapes ultérieures de son plan.

C comme confinement

L’une des choses qui frappent dans la tragédie que nous vivons actuellement, c’est l’incroyable infantilisation des peuples.

Ces derniers sont traités, et réagissent, comme des immatures qui attendent que leurs dirigeants daignent leur accorder ou non le droit de sortir, de se promener, d’aller au cinéma, de faire du sport etc.

En France, par exemple, il est insupportable d’entendre les gens dire : « On va nous confiner … Le gouvernement va annoncer le confinement … Le président a décidé de confiner … » , comme si c’était inéluctable et comme si l’on n’y pouvait rien.

Mais, ce ne sont pas les dirigeants qui enferment leurs populations. Ce sont ces dernières qui se cloîtrent elles-mêmes. Rien ne les oblige à se plier aux diktats de l’oligarchie. Elles restent assignées à résidence parce qu’elles l’acceptent, parce qu’elles le veulent bien.

Et c’est pareil pour le masque, la « distanciation sociale » et le reste.

C comme coupable

On ne pourrait pas traiter les citoyens comme des enfants s’ils étaient adultes et responsables.

On ne pourrait pas les mépriser s’ils se faisaient respecter.

On ne pourrait pas se payer leur tête aussi ouvertement s’ils n’étaient pas aussi abominablement crétins.

En un mot comme en cent, le gouvernement les malmène parce qu’ils se laissent malmener et parce qu’il sait qu’il peut se le permettre.

Il y a un nombre incalculable de scandales et de mensonges outranciers qui auraient mis des millions de gens normaux, dignes, conscients ou informés, dans la rue.

Ce ne sont plus des ficelles, ce sont des câbles, et le terme n’est pas encore assez parlant (voir aussi S comme subtil).

Or, la grande masse avale tous les baratins les plus éhontés sans broncher et elle s’empresse d’exécuter sans sourciller les directives du pouvoir.

Il n’y a même plus de mots, et aucun n’est assez fort, pour rendre compte de l’immonde crétinisme, de la vomissable veulerie, de l’exécrable indignité, des populations.

On n’est plus dans un idiotisme profond, on n’est plus dans une haïssable lâcheté; on est dans une bassesse et une vilenie indicibles, et ces vocables sont encore trop faibles.

Osons l’écrire : des nations qui ingurgitent sans regimber des câbles, des niaiseries, des fables et des contradictions aussi extraordinaires, sont inexcusables; elles n’ont que ce qu’elles méritent et ce qu’elles ont cherché.

Bien évidemment, nous exceptons la minorité qui tente de résister, mais qui, malheureusement, est obligée de subir, précisément parce que la grande masse est avec le pouvoir.

Car c’est cela que nous payons : le satanisme de la classe dirigeante, certes; mais, aussi, du côté des citoyens, la crasse intellectuelle, la crasse morale, la crasse existentielle.

Et que l’on ne vienne pas nous dire, comme nous le lisons et l’entendons si souvent, que les gens sont endormis et vont se réveiller. Non ! C’est beaucoup plus grave. On n’a pas affaire à des Belles au Bois Dormant, mais à des dégénérés irrécupérables.

Quand des populations sont incapables ne serait-ce que de reconnaître un coup d’Etat, elles sont perdues. Quand des nations ne sont même pas aptes à voir qu’elles se trouvent face à un putsch, alors que ce putsch est le plus gigantesque de l’Histoire et va beaucoup plus loin que n’importe quel régime dictatorial connu jusqu’ici, il n’y a rien à en attendre.

Les dirigeants doivent mourir de rire et jouir littéralement quand ils contemplent la connerie et la couardise illimitées de leurs citoyens.

Ils savent qu’ils peuvent se permettre de dire et de faire n’importe quoi, ils savent qu’ils peuvent régurgiter les fadaises les plus débiles et les plus invraisemblables, et que cela passera comme une lettre à la poste.

Il est d’ailleurs évident que l’oligarchie s’amuse à inventer toujours davantage d’humiliations et de mensonges, dans une espèce de sadisme qui connaît d’autant moins de limites que ceux sur qui il s’applique, se montrent d’une inimaginable vilenie et d’une insondable crédulité.

Et l’on ne saurait reprocher au pouvoir sa perversité : il arrive un stade où le plus blâmable des deux n’est pas le sadique, mais l’individu qui, sans y être obligé, se soumet à lui; il arrive un moment où le plus condamnable n’est pas celui qui raconte d’invraisemblables sornettes qu’un déficient mental n’avalerait pas, mais l’immonde abruti qui le croit.

Au demeurant, quand on observe tous ces pleutres qui ne dévissent pas leurs masques (voir M comme masque), on est en droit de se demander si cela ne révélerait pas leur propre sadisme, retourné contre eux-mêmes (pour l’instant, mais le moment est proche où ils le tourneront carrément contre ceux qui essaient de résister à la dictature).

Un homme politique aimait marteler cette maxime : « Si tu es trompé une fois par une personne, c’est la faute de cette personne. Si elle te trompe une deuxième fois, c’est ta faute à toi » . Nous pourrions paraphraser et compléter cette maxime : « Si tu gobes des énormités qu’un enfant de sept ans intelligent n’avalerait pas; si tu ingurgites ensuite, sans sourciller, deux, trois, dix, des quantités de mystifications toutes plus monumentales les unes que les autres; si tu refuses simplement d’écouter les gens qui tentent de t’avertir, et si tu vas même jusqu’à les insulter; si tu ne fais pas l’effort d’essayer de t’informer; alors, tu as perdu le droit de te plaindre, tu es non seulement le principal responsable de ce qui t’arrive, mais le principal coupable » .

Cela doit être dit clairement, car l’un des fléaux majeurs qui handicapent la lutte contre la dictature actuelle, est la déresponsabilisation/victimisation/infantilisation des populations.

Or, certains démagogues pensent opportun de caresser les bêtes et méchants dans le sens du poil (3). A les entendre, le peuple ne serait jamais responsable de rien, il serait toujours victime et jamais coupable, on ne saurait lui reprocher quoi que ce soit, il faudrait le plaindre toujours et jamais le blâmer.

En somme, le mal viendrait toujours du sommet et uniquement du sommet. Il n’existerait pas dans le bas de la société. Il lui serait imposé d’en haut par la caste malfaisante au pouvoir.

Nous en avons notre claque de ce topo déresponsabilisateur et de ces démagogues. Ce sont d’ailleurs eux-mêmes des lâches qui, bien souvent, ne tiennent ce discours que parce qu’ils n’ont pas le courage de dire la vérité.

Mais, ce sont aussi des inconscients et des criminels : car leur démagogie ne fait qu’encourager encore un peu plus l’irresponsabilité et l’infantilisation des gens.

Ce sont enfin des incohérents en pleine contradiction. Car ils ne cessent de reprocher au gouvernement de traiter les Français comme des enfants. Mais, c’est ce qu’ils font également, puisque, comme nous venons de le souligner, ils donnent à fond dans le travers déresponsabilisation/victimisation/infantilisation.

C comme couvre-feu

Parmi les propos qui se veulent très critiques envers le pouvoir, mais qui, en réalité, sont extrêmement ambigus, celui-ci : « Il est absurde d’instaurer un couvre-feu à 18 heures, ou 21 heures, jusqu’à 6 heures du matin. Comme si le virus dormait le jour, se réveillait le soir et n’était actif que pendant la nuit ! » Et dire que l’on est obligé de « débunker » ce genre d’escroquerie alors que tout le monde devrait en déceler la perversité !

Tout d’abord, elle se donne l’air de contester une mesure liberticide, mais, en vérité, elle fait passer l’idée selon laquelle il y aurait vraiment un virus meurtrier.

Ensuite, clamer que le Covid-19 n’est pas moins virulent entre 6 heures et 19 heures, c’est nécessairement amener l’auditeur à penser que, le Coronavirus fonctionnant tout le temps, même en journée, il faudrait interdire aux gens de sortir y compris entre 6 heures et 19 heures.

En un mot comme en cent, ce boniment feint de fustiger le couvre-feu, mais, en réalité, l’idée qu’il enfonce dans la tête des gens, c’est que ce confinement, au lieu de n’être en vigueur qu’entre 19 heures et 6 heures, devrait l’être tout le temps, 24 heures sur 24.

On trouve la même ambiguïté (pour ne pas dire la même duplicité) dans ce genre de propos : « La politique du pouvoir est absurde. Quel intérêt a ce confinement, alors qu’on autorise les gens à s’entasser dans le métro et à faire leurs courses dans les hypermarchés ? » . Par cet argumentaire d’un bon sens de pacotille, on fait mine de délégitimer le confinement, alors qu’en réalité, l’idée que l’on accrédite, de manière subliminale, est qu’il faudrait empêcher totalement les populations d’aller acheter leurs commissions, de prendre les transports en commun, bref, de mettre le nez dehors. En somme, on se donne l’air de dézinguer le confinement alors qu’on en réclame un encore plus sévère avec fermeture et arrêt total d’absolument tout.

Nous avons même vu une vidéo hallucinante avec une dame qui se présentait comme une commerçante extrêmement mécontente du gouvernement. Mais, que dit-elle en réalité ? Elle tance Macron parce qu’il a fermé les commerces … tout en laissant les Français partir en vacances ! On aurait envie de savoir qui est vraiment cette dame et pour qui elle roule. On aurait également envie de lui demander : Mais, qu’est-ce que vous reprochez, in fine, au pouvoir ? De cloîtrer les gens, de ruiner les boutiques, ou, au contraire, de ne pas assez confiner à votre goût et de laisser encore aux populations ce que vous estimez être un peu trop de marge ?

C comme crédulité

Il y a un décalage abyssal entre, d’une part, ce que ressentent les personnes qui tentent de résister à la dictature, et, d’autre part, la manière dont la situation est vécue par l’immense majorité de la population. Cette dernière ne voit pas où est le problème. Pour elle, il y a une pandémie meurtrière, et il faut se protéger, c’est aussi simple que cela. Les développements sur la mise en place d’un régime totalitaire, sur les mesures liberticides, sur le nouvel ordre mondial, sur la grande réinitialisation, sur la volonté de tuer les indépendants, sur l’endettement forcé des nations, c’est du martien (4).

Nous ne citerons que quelques-unes des perles que l’oligarchie a réussi à faire passer sans problème en France, mais tout est à l’avenant et il serait trop long de tout lister :

a) le gouvernement a d’abord diagnostiqué que les masques étaient inutiles; les pharmaciens avaient même l’interdiction d’en vendre aux simples particuliers et ils devaient les réserver aux infirmières, médecins etc. On a appris qu’auparavant, des milliers de masques avaient été détruits. Il a été affirmé aussi que la France en manquait.

Puis, le gouvernement a simplement recommandé les muselières, pour, finalement, les imposer partout, prétendant cette fois que c’était absolument vital. Cela n’a pas empêché les gouvernants de déclarer tranquillement que l’Etat n’avait pas à en fournir gratuitement à la population; ce sont les catégories les plus pauvres qui en ont reçu, les autres doivent les acheter avec leurs deniers (si bien que tous les pleutres qui se calfeutrent derrière leurs bâillons, doivent financer eux-mêmes, avec leur propre argent, leur propre aliénation, et doivent payer de leur poche les instruments de leur coercition).

b) pendant ce temps, le gouvernement a commandé des quantités d’armes pour mater les contestataires (drones, LBD, cartouches, gaz lacrymogènes), armes représentant des sommes importantes.

c) des entreprises avaient proposé de fabriquer des masques. Le gouvernement a fait la sourde oreille.

Idem pour les respirateurs artificiels.

d) le pouvoir a juré ses grands dieux qu’on allait créer des lits en hôpital et, même, récemment encore, qu’on en avait effectivement créé. En réalité, on a continué d’en supprimer et l’on est même allé jusqu’à annoncer la fermeture d’hôpitaux entiers. Du reste, les suppressions de postes sont toujours davantage à l’ordre du jour, concernant notamment les infirmières (5).

e) le pouvoir a interdit aux médecins de soigner les malades et a fait en sorte que les Français ne puissent pas utiliser des substances très peu coûteuses telles que l’hydroxychloroquine. On vient aussi d’apprendre qu’un praticien est convoqué par le Conseil de l’ordre pour avoir prescrit de la vitamine et du zinc. Par contre, le gouvernement impose la commercialisation de molécules, de médicaments ou de « vaccins » nocifs et extrêmement chers (6).

f) Dans les EHPAD (établissements d’hébergement pour personnes âgées dépendantes), l’on aurait littéralement éliminé des quantités de vieux en leur administrant du Rivotril, médicament qui n’est absolument pas censé guérir le prétendu Covid-19 (alors même que, rappelons-le, on proscrit les vitamines ou les oligo-éléments, ainsi que les molécules inoffensives qui, par contre, seraient efficaces pour toutes sortes de pathologies, ce qui implique au passage que l’on défend aux gens de se soigner y compris par exemple contre la grippe).

Si elle est avérée, l’élimination planifiée des personnes âgées, restera comme l’un des grands crimes commis par l’oligarchie ET PAR LES POPULATIONS. Que l’on n’ait surtout pas l’abominable audace de nous opposer les très mauvaises excuses habituelles : « le peuple n’y est pour rien, il n’est jamais coupable, il ne sait pas, ce n’est pas de sa faute ». Si ces meurtres ont bien été commis, le peuple en est comptable, car il a laissé faire. Du reste, dans les EHPAD, ce sont bien des personnels soignants qui ont administré le Rivotril. Au passage, parmi les personnes âgées ainsi rivotrilisées, certaines devaient avoir une famille. Qu’ont fait ces familles ? De même, récemment, un petit vieux aurait été attaché quinze jours à une chaise avant de mourir. Ce n’est pas Macron qui est allé personnellement le ligoter, ce sont des salariés de l’EHPAD. L’ordre d’agir ainsi aurait même été donné par un médecin, via une espèce d’ordonnance écrite. Pour se justifier, ce médecin aurait affirmé que c’est la procédure normale.

g) On a fermé les commerces, les cafés, les restaurants, les clubs de sport, les théâtres, les cinémas, les musées, les salles de concert etc. On a imposé une « distanciation sociale » . On a confiné et reconfiné. On a rendu le masque et tout le reste obligatoire sous peine d’amende, voire de prison. Dans le même temps, certains pays n’ont rien instauré de tel; dans ces pays, on continue de vivre normalement, tout est ouvert, et il n’y a strictement aucune pandémie et aucune surmortalité. C’est le cas par exemple de la Suède. Ce n’est pas à des milliers et des milliers de kilomètres, c’est tout près, en Europe du Nord; mais, les bonnes âmes qui trouvent toujours toutes les excuses aux Français, nous expliqueront que ces derniers, les pauvres, n’ont pas les moyens de s’informer (voir M comme mainstream) …

Pendant ce temps, en Espagne (et probablement bientôt ailleurs aussi), les vacanciers des bords de mer devront porter le masque même dans l’eau. Nous leur souhaitons de bonnes vacances, bien méritées …

h) Outre le lock-out des commerces, l’oligarchie a stoppé net le transport aérien mondial. Elle a immobilisé la plupart des trains, des bus, des métros, des RER, des véhicules individuels etc. Elle interdit aux populations de se déplacer aussi bien à l’intérieur qu’à l’extérieur des frontières. Mais, ce sont les mêmes qui, depuis des années, se mettent à hurler que les grèves bloquent le pays dès que des travailleurs entament un mouvement social.

Ce sont également les mêmes qui vous rétorquent que vous voulez refermer votre pays si jamais vous souhaitez sortir de l’Union européenne.

Au passage, les crétins criminels qui ont voté Oui au traité de Maastricht peuvent être contents : ils fêtaient leur victoire en chantant qu’ils allaient pouvoir circuler librement d’un pays à l’autre; c’était il n’y a pas trente ans, et les nations sont prisonnières dans leurs frontières …

Ce sont encore les mêmes oligarques qui continuent de favoriser une immigration massive : si bien que les populations sont assignées à résidence pendant que les migrants bénéficient de la sacro-sainte liberté d’aller et de venir (surtout de venir …). Les frontières sont donc bouclées pour les Français qui désireraient partir, mais grandes ouvertes pour les migrants, qui pénètrent quasiment librement sur le territoire français (de même qu’en Italie, en Espagne, en Grèce etc).

i) Des policiers, ou gendarmes, ou autres agents des forces de l’ordre totalitaire, sont allés jusqu’à maltraiter et traîner par terre, avant de les emmener au poste, des gens dont le seul crime était de n’avoir pas mis le masque ou de l’avoir simplement baissé.

Des individus ont été envoyés en prison pour ne s’être pas soumis au couvre-feu ou au confinement.

La police n’a rien eu de mieux à faire que de verbaliser des promeneurs dont le grand tort était de marcher en bord de Seine ou en forêt.

On a même traité comme de véritables terroristes des citoyens qui avaient simplement fait leurs courses et dont on a inspecté les sacs de commissions pour vérifier si les produits achetés étaient ou non de première nécessité.

Dans le même temps, les voyous font régner la terreur dans un nombre croissant de villes et de quartiers, avec la bénédiction des pouvoirs publics.

Quant aux Cahuzac, aux Balkany, aux Sarkozy, aux Tapie et aux Mitterrand qui pullulent dans la caste politicarde, ils sont libres comme l’air …

j) On a dit aux gens qu’ils devaient se faire « vacciner » pour combattre la prétendue pandémie et reprendre une vie normale.

En réalité, comme nous et d’autres analystes l’avions annoncé, il faudra vivre, ad vitam aeternam, avec, à la fois, les « vaccinations » à répétition, le masque, la « distanciation sociale » , les confinements, les fermetures de commerces ou d’administrations, les passeports prétendument sanitaires, les tests PCR, les codes QCR ou autres méthodes de flicage permanent, les caméras à reconnaissance faciale absolument partout, les camps d’internement, les peines de prison, l’interdiction de se réunir à une poignée de personnes même chez soi, l’armée déployée à tous les coins de rue, et autres joyeusetés qui ont commencé à tomber.

Aujourd’hui, tout en continuant de répéter aux populations qu’elles doivent absolument se faire injecter les prétendus vaccins, on leur avoue le plus ingénument du monde que ces « vaccins » ne protègent de rien; que, même, ils pourraient être nuisibles et rendre la personne soi-disant immunisée encore plus vulnérable et encore plus dangereuse pour les autres, voire provoquer sa mort; qu’il va falloir se faire piquer tous les trois mois, peut-être plus souvent encore. Sans compter que le Conseil d’Etat a jugé tout à fait légitime qu’un « vacciné » soit soumis aux mêmes restrictions et au même confinement que n’importe quel quidam non « vacciné » .

Le type qui fait office de ministre de la Justice en France vient de déclarer que les détenus dans les prisons ne sont pas des cobayes et ont donc la possibilité de refuser le « vaccin », cela étant une question de dignité. Si c’est vrai, ils auront donc plus de droits que le citoyen lambda, qui, lui, est par conséquent bel et bien un cobaye dépourvu de toute dignité.

Au passage, les déclarations de ce ministre auraient incité des gens normaux à refuser catégoriquement et illico presto la « vaccination » . Que nenni ! Des quantités de caves continuent d’aller se faire piquer (heureusement, pas tant que cela, paraît-il, du moins pour l’instant).

On a instauré des réglementations pour dégager la responsabilité de Big Pharma en cas de problèmes. On a institué un fonds d’indemnisation qui est abondé par les contribuables, c’est-à-dire que ce sont les victimes qui devront « s’indemniser » avec leur propre argent.

Certaines compagnies d’assurance refuseraient de couvrir les dommages qui seraient causés par les « vaccins » ou autres « thérapies » géniques. Elles argueraient notamment – et à juste titre – de ce que les éventuelles victimes ont sciemment accepté de subir ces « thérapies » expérimentales.

On a également appris qu’en Suisse, invoquant les mêmes motifs, des compagnies d’assurance refuseraient de verser les primes d’assurance-vie en cas de décès dus aux « vaccins ».

k) Le pouvoir et ses acolytes n’ont cessé de trafiquer les statistiques, les courbes, les pourcentages, les résultats des tests. Des quantités de gens sont déclarés positifs au Covid-19, et présentés comme malades ou morts de ce supposé virus, alors qu’ils n’ont jamais rien eu et que, concernant les décès, le Coronavirus n’y est strictement pour rien. Toute personne peut le savoir dès lors qu’elle se donnerait la peine de s’informer. Il y a même un Conseil scientifique indépendant, qui publie en particulier des vidéos démontant la propagande de l’oligarchie : combien de Français les regardent ?

l) Des laquais de l’hyper-classe (parlementaires, ministres, « journalistes », scientifiques vendus à Big Pharma et autres collaboratoires, vedettes du show-biz etc) ont été pris en flagrant délit alors qu’ils participaient à des dîners dits clandestins, sans masques, sans distanciation, pendant le couvre-feu. En outre, des vidéos montrent de ces imposteurs qui, croyant n’être plus filmés ou ne pas l’être déjà, soit s’empressent d’ôter la muselière qu’ils portaient ostensiblement devant la caméra, soit attendent que cette dernière tourne pour mettre leur bâillon.

Il est donc prouvé que ces menteurs sont les premiers à ne pas croire à ce qu’ils racontent à longueur de journée sur la dangerosité du Coronavirus, sur l’absolue nécessité de se masquer, sur l’obligation de se tenir à plus d’un mètre du voisin etc (7).

On ne prétendra pas que le quidam ignore l’affaire des agapes chez le chef cuisinier Christophe Leroy, puisque les médias mainstream l’ont évoquée. Le soir même où ils l’ont fait, les Français auraient dû, par millions, enlever leurs muselières. Ils ont sagement continué de les porter (8).

Avec tout cela, les Français n’ont pas bougé (9).

Il n’y a eu que quelques petites manifestations, ultra-marginales.

Avec tout cela, des quantités de gens continuent de se faire tester et des quantités vont se faire « vacciner » .

Avec tout cela, la quasi-totalité des parents mettent le masque à leurs enfants, dont certains paraissent ne même pas avoir six ans. Les géniteurs habituent donc leur progéniture à la muselière et ce sont bien eux qui créent cette « nouvelle normalité » dont les gamins n’auront même pas envie de se défaire, puisque, ayant vécu ainsi dès leur plus jeune âge, ils ne pourront même pas imaginer qu’on puisse vivre autrement (voir aussi E comme enfants).

Avec tout cela, la quasi-totalité de la population croit dur comme fer aux déclarations du gouvernement et crève de peur rien qu’en prononçant le mot Coronavirus.

Mais, c’est plus fort qu’eux, certains commentateurs persistent à prétendre, contre toutes les évidences, que les Français ont tout saisi concernant le Covid-19. C’est curieux, parce que, nous, ce que nous voyons, ce sont des trouillards qui ne dévissent pas leur bâillon, non seulement dans les transports en commun ou les endroits fréquentés, mais aussi quand ils sont dans des lieux quasiment déserts où il n’y a pas un policier à l’horizon; et cela montre bien qu’ils s’accrochent à leur masque non pas seulement parce qu’ils ont peur de l’amende, mais parce qu’ils sont convaincus qu’il y a une pandémie mortelle.

Car, si ces gens portaient leur camisole faciale uniquement par crainte du gendarme, quand ils se trouvent dans des endroits déserts, ils auraient parfaitement la possibilité de la baisser sous le nez, ou de l’accrocher à une oreille ou à une main, ou de l’envelopper d’un petit sac plastique dans la poche, ce qui leur laisserait largement le temps de la relever ou de la mettre pour le cas où ils verraient arriver de loin des policiers, en admettant que, par extraordinaire, des agents se pointent en ces lieux (et à ces heures-là). Non, ils ne la décollent pas parce qu’ils sont assez abominablement cons pour gober la propagande, ce qui confirme, au passage, qu’ils ne font pas l’effort de s’informer (voir M comme masque).

C comme covidiot

Voilà un mot que certains chérissent particulièrement. Macron et ses ministres seraient des covidiots, des imbéciles, des niais, des débiles. Les mesures qui se mettent en place seraient aussi débiles et relèveraient de la Covidiotie ou du Covidiotisme, en un mot, du « n’importe quoi ».

Ce discours faussement critique, est l’un de ceux qui contribuent le plus à berner le public.

Ce n’est pas Macron qui est un covidiot.

Les covidiots, ce sont les demeurés qui gobent une propagande basée sur des énormités alors qu’un enfant de sept ans intelligent n’en croirait pas un mot et verrait parfaitement que l’on se fout de lui.

Les covidiots, ce sont tous ces gens dont nous donnons par ailleurs quelques exemples et qui gardent leurs bâillons même dans des lieux déserts où il n’y a d’ailleurs pas un policier à l’horizon (voir M comme masque).

Les cons, ce sont tous ces zombies aux faces dissimulées par leurs muselières/connelières et qui relèvent de ce que l’on pourrait appeler la Conid-19.

Voici quelques exemples de ce que sont de vrais abrutis (10) :

Une femme qui nous sort ceci : « Ce serait bien qu’il y ait un nouveau confinement (…) Moi, le premier confinement, j’ai trouvé ça bien (…) ça dépend des gens; pour certains, le confinement, c’est bien, pour d’autres, ce n’est pas bien … »

La même femme à qui nous signalons qu’un certain nombre de Français seraient partis en Suède, parce que là-bas, il n’y a ni assignation à résidence, ni masques, ni fermeture des commerces, ce qui n’empêche pas ce pays de se porter fort bien; la seule réaction de notre interlocutrice est de nous lancer : Ils vont choper le virus (NDLR : ils, c’est-à-dire les Suédois, apparemment, mais aussi les Français, sans doute) .

Encore la même qui nous déclare tranquillement qu’il faut vacciner tout le monde; et pourtant, nous lui avons fait remarquer qu’il est prévu de maintenir la distanciation sociale, les fermetures de commerces et la camisole faciale même avec la « vaccination » , ce qui ne semble pas l’interpeller outre mesure.

Dans le bus, une passagère qui clame sereinement que, quand on aura vacciné 60 millions de Français, on pourra reprendre une vie normale. 60 millions de Français, cela signifie qu’on inclut y compris des enfants … Pourtant, rappelons-le, le pouvoir et sa presse ont répété expressément, à maintes reprises, que la « vaccination » ne mettrait pas fin à « la nouvelle normalité » (masques et tutti quanti).

Un coiffeur, salarié du salon, qui nous dit, énervé, que, si l’on confine, c’est à cause des gens qui vont en nombre dans les cafés, et sans porter de masque. Il nous tient tout un discours justifiant les fermetures de petits commerces, alors qu’il en est lui-même un salarié et qu’il pourrait se retrouver définitivement sans emploi si les confinements continuent (11). C’est le même coiffeur qui ne trouve rien de mieux à faire que d’allumer la télé pour écouter et faire écouter par ses clients la propagande de BFM-TV concernant le Covid-19, propagande dont le salon de coiffure est une victime (12).

En fait, celui qui est un covidiot aussi, c’est celui qui croit que la dictature en place, relève simplement de la covidiotie. Car Macron et sa clique, eux, savent parfaitement ce qu’ils font. Ils mentent effrontément, ils se paient ouvertement la tête de la population, ils trichent sur les chiffres et les statistiques, ils arborent des courbes fantaisistes, ils prétendent que les hôpitaux sont débordés tout en sachant pertinemment que ce n’est absolument pas le cas, ils empêchent délibérément les malades de se soigner même contre un rhume. Tout cela et le reste, ils le font, non pas par bêtise, mais en toute connaissance de cause, parce qu’ils servent consciencieusement les intérêts de l’oligarchie. Clamer qu’ils agissent par incompétence ou stupidité, non seulement ne les dérange pas, mais les arrange. L’hyper-classe n’est absolument pas gênée que l’on dézingue la prétendue insuffisance de Macron ou de Véran. Cela fait même son affaire, puisque l’on concentre une critique inoffensive sur des individus qui sont au fond de simples domestiques que les vrais détenteurs du pouvoir remplaceront au besoin par d’autres laquais. Ce qui compte pour la caste dirigeante, c’est de faire passer l’idée qu’il y a bien une pandémie et un virus meurtriers justifiant les mesures dites sanitaires.

Le marqueur, il est là : les personnes vraiment contestataires ne hurlent pas que le gouvernement est un ramassis d’idiots incapables de gérer une crise sanitaire et de faire face à un virus; elles essaient de faire comprendre qu’il n’y a ni pandémie, ni morts en pagaille, et qu’il s’agit d’une dictature qui a inventé une épidémie pour légitimer son putsch.

Il ne fait aucun doute que, par contre, certains des individus qui véhiculent le discours sur la soi-disant inconsistance de Macron, sont des agents du système. Eux essaient d’accréditer la version selon laquelle il y aurait effectivement une pandémie, face à laquelle le gouvernement, voulant bien faire, serait désarmé. Cette thèse fallacieuse renforce encore l’impression que la prétendue pandémie serait décidément ô combien terrible et terrifiante, puisque même les plus hautes autorités ne sauraient pas comment lutter contre …

Trêve de mauvaise plaisanterie : il est possible que les apparentes incohérences et contradictions du gouvernement reflètent en partie des luttes d’influence entre ses différentes factions; qu’elles relèvent d’un partage des rôles du genre méchant flic/bon flic; ou même que l’oligarchie appréhende, dans une certaine mesure, les réactions d’une petite partie de la population. Mais, répétons-le, les organes du pouvoir savent parfaitement ce qu’ils font. Ce ne sont pas des gens de bonne foi qui voudraient le bien du peuple mais seraient simplement incompétents ou débordés; ce sont des malfaisants qui agissent en toute connaissance de cause, avec un agenda précis qu’ils font avancer. L’imbécile ou l’incompétent, ce n’est pas Macron, c’est le type qui prétend que Macron agit par imbécillité ou incompétence (13).

La politique menée par le gouvernement n’est pas incompréhensible, comme nous l’entendons depuis plus d’un an; par contre, les gens qui le serinent, manquent de lucidité (et/ou sont des agents du pouvoir …). Des personnes qui passent leur temps à geindre : « C’est incompréhensible … On ne comprend pas … On ne peut pas comprendre … » ne font qu’exprimer leur propre incapacité à saisir et analyser (14).

Pire encore : de toute évidence, certains individus sont chargés de faire croire à la population qu’on ne peut pas expliquer et, donc, qu’il faut y renoncer. En martelant qu’il n’y a rien à élucider, ces individus insinuent qu’il n’y a rien de caché à découvrir et qu’il serait donc vain de s’y atteler.

Autre rengaine que l’on nous sert depuis des mois et qui est à mettre dans le même sac que les diatribes présentant le président de la République et ses ministres comme des idiots, des incompétents, des naïfs, ou encore des jeunots inexpérimentés et trompés par de méchants conseillers : Macron serait quelque peu perturbé mentalement, si ce n’est carrément dingo.

En réalité, les fous, ce sont les parents qui mettent le masque à leurs enfants et le leur font porter des journées entières; les fous, ce sont les gens qui ne dévissent pas leur camisole faciale quand ils se promènent dans des lieux quasiment déserts; les fous, ce sont les abrutis qui font leur jogging ou leur musculation en étouffant sous leur bout de tissu; les fous, ce sont les consommateurs qui, devant l’entrée d’un hypermarché, demandent qu’on les asperge de solution hydroalcoolique; la folle, c’est cette grande intello qui, par une journée particulièrement chaude, s’emmitoufle dans des vêtements d’hiver, en portant le masque et, par dessus, un écran facial (voir M comme masque).

Les déments, ce sont ces moutons qui se précipitent pour recevoir des injections sans savoir ce qu’il y a dans la piqûre.

La démente, c’est la femme qui nous dit que le premier confinement, elle a trouvé ça bien, et qu’un nouveau confinement serait une bonne chose.

L’aliéné, c’est le type qui met un bâillon spécial pour manger.

Les tarés, ce sont ceux qui acceptent de rester confinés chez eux durant des semaines et des semaines, de ne sortir qu’une heure par jour et seulement dans un rayon d’un kilomètre, de devoir fournir un laissez-passer dès qu’ils pointent le nez dehors, mais qui trouvent encore le moyen d’applaudir chaque soir à vingt heures (15).

D comme dictature sanitaire

C’est l’une des expressions les plus couramment utilisées, hélas !

Or, comme nous avons déjà eu l’occasion de l’écrire dans un autre article, cette expression est l’une de celles qui contribuent le plus fortement à égarer le public : elle laisse entendre que la dictature qui se met en place, serait effectivement justifiée par une situation sanitaire dramatique; elle ancre donc encore un peu plus dans la tête des gens l’illusion qu’il y a vraiment une pandémie, et que les mesures totalitaires qui s’accumulent, ayant un caractère sanitaire, ont pour objectif d’éteindre cette pandémie; elle accrédite donc l’idée selon laquelle ces mesures, vraiment sanitaires et salvatrices, préserveraient la santé, et n’auraient en quelque sorte qu’un inconvénient collatéral, la « restriction des libertés » (16).

En un mot comme en cent, l’expression Dictature sanitaire favorise l’association automatique des termes « dictature » et « sanitaire » et crée une équivalence entre eux, une assimilation.

On fait donc croire, en conséquence, que s’opposer à cette dictature, ce serait être anti-sanitaire, ce serait être du côté de la saleté, du virus, de la maladie, de l’épidémie, de la mort.

Or, les mesures édictées un peu partout dans le monde, ont tout de totalitaire mais rien de sanitaire. Entre autres choses, interdire aux gens de se soigner; proscrire les médicaments efficaces et bon marché; défendre aux médecins de prescrire même simplement des vitamines ou des oligo-éléments; favoriser la commercialisation de substances nocives, voire mortelles, et très coûteuses; éliminer les personnes âgées dans les maisons spécialisées avec du Rivotril ou autre poison; fermer les commerces, les théâtres, les salles de sport; faire porter le masque dehors; instaurer un couvre-feu et condamner les contrevenants à de la prison; verbaliser les promeneurs qui sont seuls en forêt ou sur une plage; supprimer des lits d’hôpitaux et fermer même des hôpitaux entiers; supprimer encore davantage de postes chez les personnels soignants; imposer de pseudo-vaccins tout en disant carrément qu’ils ne protègent de rien et que, même, ils pourraient favoriser le décès des personnes « vaccinées »; tomber à plusieurs flics ou plusieurs gendarmes sur une personne qui a baissé son masque ou dont la fille a baissé le sien, la traîner par terre et l’emmener au poste de police; refuser de faire fabriquer des masques ou des respirateurs artificiels alors que des entreprises se sont portées volontaires; aucune de ces mesures, aucun de ces actes ne possède un caractère sanitaire.

Les expressions « Crise sanitaire » et « Mesures sanitaires » sont du même tonneau.

Il n’y a pas et il n’y a jamais eu de crise sanitaire, tout comme il n’y a jamais eu de pandémie (voir P comme pandémie).

A cet égard, certains font croire que, certes, il n’y aurait pas d’épidémie meurtrière, mais que l’oligarchie prendrait prétexte d’une espèce de grippe peu grave pour faire avancer ses objectifs dictatoriaux.

Une fois de plus, nous accusons les gens qui colportent ces idées fausses, d’être, pour certains, peu sagaces, et, pour d’autres, des agents masqués du système.

Car c’est l’inverse qui est vrai : il n’y a pas d’épidémie, réelle ou gonflée, qui existerait en quelque sorte en amont de la dictature, étant arrivée avant elle, et qui lui servirait de prétexte; il n’y a pas d’abord une pandémie, et ensuite un putsch se servant de cette pandémie comme d’une aubaine inespérée. L’oligarchie n’a pas sauté sur la survenue d’une maladie imprévisible pour faire triompher ses objectifs; elle n’a pas utilisé un virus nouveau qui serait apparu comme par magie et dans lequel elle aurait vu, après coup, une occasion, une opportunité, une divine surprise. Elle a inventé une prétendue pandémie pour faire accepter ses objectifs (17).

Il y a donc, d’abord et en amont, la volonté d’instaurer un régime cauchemardesque, et, ensuite, l’invention d’une prétendue épidémie, parce que c’est le scénario que les putschistes ont estimé être le plus apte à faire accepter la société dont ils rêvent depuis longtemps (18).

Ce n’est donc ni une dictature sanitaire ni une crise sanitaire (18′). C’est un coup d’Etat scénarisant une prétendue épidémie pour instaurer une dictature avec des réglementations totalitaires présentées mensongèrement comme une politique sanitaire.

A cet égard, il est navrant de voir des manifestations avec des slogans du style « Contre les mesures sanitaires … » . Avec ce genre de mot d’ordre, on fait passer le message selon lequel les mesures seraient effectivement sanitaires (ce qui est faux) tandis que les manifestants seraient des anti-sanitaires.

C’est vraiment tendre la perche à l’oligarchie, qui, ensuite, aura beau jeu de clamer : « Ces gens sont contre le sanitaire et contre la santé, ils veulent pouvoir faire n’importe quoi et avoir des comportements irresponsables favorisant la maladie » .

D comme droit

De nombreux recours judiciaires ont été exercés : plaintes au pénal; procédures devant la Cour de Justice de la République (CJR), devant les juridictions administratives, auprès de la Cour européenne des droits de l’Homme etc.

Décision de justice après décision de justice, la collusion de toutes ces juridictions et de tous ces juges avec l’oligarchie est apparue de plus en plus évidente. Cela n’est pas pour nous surprendre, puisque nous avions écrit, dès le premier confinement, que l’on ne combat pas un coup d’Etat avec des recours judiciaires.

Pour autant, ces actions ne sont pas inutiles (nous sommes d’ailleurs membre de deux associations et nous nous sommes joint à des plaintes intentées en particulier par Réaction 19). Peut-être ces démarches auront-elles au moins le mérite de dessiller les yeux des naïfs qui croient encore en la Justice. Il faut aller au bout de ces procédures, même si rien ne peut remplacer le combat des masses (nous parlons bien du vrai combat, et pas d’une pétition ou d’un happening au cours duquel l’on chante et l’on danse, même si ces formes d’expression ne sont pas condamnables dès lors qu’elles visent bien à mobiliser et à réveiller les gens, et non à les bercer d’illusions ou à les neutraliser dans des initiatives inoffensives pour le pouvoir).

E comme élections

Aux élections, La République en Marche (LREM) va prendre une raclée, si l’on en croit certains !

a) Avant chaque scrutin, des aruspices en tous genres prédisent que le pouvoir va se faire balayer, que les partis de l’oligarchie vont se ramasser une pelle et qu’il va y avoir un raz-de-marée en faveur des mouvements (prétendument) contestataires. Les résultats démentent systématiquement ces communiqués de victoire prématurés qui ne sont basés sur rien, hormis l’absence d’analyse sérieuse, une dangereuse propension à prendre ses rêves pour la réalité, ou une volonté délibérée de tromper les électeurs.

On l’a vu encore en 2017 : nous étions certain que ce serait l’année de tous les dangers et de toutes les catastrophes; d’autres clamaient haut et fort que, ça y était, le grand soir électoral était arrivé, et que leur chouchou ou leur favorite allait faire un malheur … C’est nous qui avions raison, Macron s’est retrouvé à l’Elysée. Et que l’on ne nous parle pas de fraudes; certes, il a pu y en avoir, mais seuls des fanatisés croiront que tel candidat apparemment anti-système a obtenu en réalité 20% et non pas 1%, tandis que Macron n’aurait récolté, lui, que 2% des voix. S’il y a eu tricherie, elle a dû favoriser Macron au détriment de postulants qui auraient mené la même politique que lui, ou auraient fait pire, tels un Fillon, une Le Pen ou un Mélenchon.

b) L’oligarchie n’est d’ailleurs absolument pas gênée que l’un de ses agents perde l’élection, dès lors qu’il est battu par un autre de ses agents. De même, la chute, par exemple, du PS ou de l’UMP, qui semble réjouir tant de nigauds, fait une belle jambe à la France, maintenant que le PS et l’UMP sont remplacés par LREM. Et, demain, les Français seront bien avancés si, à une présidentielle, Macron est battu par l’un de ses clones ou un type encore pire que lui.

c) En admettant qu’il y ait une présidentielle … Nous constatons que de plus en plus de gens se mettent à dire ce que nous avons nous-même écrit dans un autre article : [la tenue de la présidentielle en 2022 n’est pas du tout acquise]url:Pourra-t-on encore voter en France ? – Les moutons enragés (lesmoutonsenrages.fr). Tout peut arriver, la prorogation du mandat de Macron, le remplacement de celui-ci par on ne sait qui ou on ne sait quoi et sans la moindre consultation populaire, ou n’importe quel autre coup d’Etat sous n’importe quelle forme (19).

d) Du reste, si une présidentielle avait lieu demain matin, Macron n’aurait même pas besoin de tricher pour garder toutes ses chances. Nous parierions jusqu’à notre chemise qu’il pourrait l’emporter et qu’il y a encore des millions d’électeurs qui sont prêts à voter pour lui. Même parmi les commerçants, par exemple, alors qu’il les a délibérément ruinés (20).

Nous sommes prêt à parier aussi, sans le moindre risque de nous tromper, que, s’il y a des départementales et des régionales, l’abstention sera certes plus forte que d’habitude, mais les participants voteront, une fois de plus, comme des c…, pour les partis qui entraînent la France dans l’abîme : LREM, Les Républicains, EELV, La France Insoumise, le Parti Socialiste, Le Rassemblement National ou autres mouvements qui servent l’oligarchie.

e) Quoi qu’il en soit, [nos analyses sur la fin de la démocratie élective]url:Report des départementales et régionales : vers la fin de la démocratie élective – Les moutons enragés (lesmoutonsenrages.fr) se trouvent amplement validées par l’actualité : le pouvoir a annoncé un nouveau report des départementales et régionales, sans que cela soulève beaucoup de réactions (21).

Le gouvernement se livre à un chantage : en somme, il n’y aura d’élections que si les Français se font « vacciner » . C’est encore la confirmation de ce que nous avons écrit ailleurs : on habitue les gens à l’idée que les non-vaccinés (et tous ceux qui résisteront un tant soit peu à la dictature) n’auront pas le droit de voter. Sauf qu’il se passera pour les élections la même chose que pour les voyages, les confinements, la « distanciation sociale » , le masque et le reste : les « vaccinés » seront eux aussi privés de leurs droits, et ils ne pourront pas plus voter que les non-vaccinés. Car c’est bien la suppression pure et simple de la démocratie élective qui se profile et à quoi l’on est en train d’habituer les citoyens.

Or, nous serions prêt à tenir un autre pari : si, demain soir, dans une allocution télévisée, Macron annonçait tout bonnement qu’il n’y aura plus jamais aucune élection, de quelque type que ce soit, cela ne provoquerait quasiment aucune réaction. Il y aurait peut-être quelques manifestations (noyautées et contrôlées par les réseaux de l’oligarchie, d’ailleurs, comme c’est quasiment toujours le cas maintenant), mais la grande masse de la population resterait complètement amorphe et ne moufterait pas.

Il est possible, au demeurant, que, dans un premier temps, pour justifier la suppression pure et simple des scrutins, on invoque un attentat, une catastrophe naturelle, une pandémie ou autre opération du même acabit. En 2020, c’est bien la pseudo-épidémie de Coronavirus qui a servi de prétexte pour reporter et quasiment annuler les municipales.

E comme enfants

« Si on touche à leurs enfants, alors là, les gens vont se lever, et ce sera terrible … »

Encore une de ces tartes à la crème que nous avons entendues et lues ici ou là, et que les faits démentent de façon cinglante.

Leurs enfants ? Cela fait des décennies qu’on y touche, et cela fait des décennies que les parents restent sans broncher.

a) Les onze « vaccins » obligatoires, et depuis maintenant plusieurs années, les parents ont refusé de les faire inoculer à la chair de leur chair ?

b) La « vaccination » pour le H1N1 en 2009 ? On raconte partout que cela fut un échec. Pourtant, à l’époque, nous avons pu voir de nos yeux tout un collège se faire « vacciner » sans que les profs et les parents ne mouftent.

c) L’école qui n’a cessé de se dégrader au fil des réformes, les petits n’y apprenant plus, grosso modo, que la théorie du genre, les bienfaits de la sexualité infantile, et la propagande sur tel ou tel aspect d’une Histoire falsifiée … Où est la réaction des parents ? (22).

d) Un Etat qui promeut la pédophilie, au point qu’au moins un pédophile revendiqué s’est retrouvé ministre ou que, récemment, le choix d’un Garde des Sceaux s’est porté précisément sur un avocat qui avait défendu des adultes accusés de pédophilie et qui avait démoli les enfants plaignants. Est-ce que cela a empêché les parents de voter pour les partis et hommes politiques responsables ?

e) Les bambins « genrés », le garçon qui veut devenir fille, et inversement, ce sont notamment des parents qui, aux Etats-Unis, l’encouragent, et il risque fort d’y avoir la même chose en France (23).

f) Ce qui se passe maintenant avec la pseudo-pandémie, montre à quel point l’oligarchie peut faire ce qu’elle veut y compris aux enfants sans que les parents ne l’ouvrent.

Pire encore : aujourd’hui, ce sont les parent eux-mêmes qui infligent les mauvais traitements à leurs enfants. Ce sont les parents qui mettent le masque à leur progéniture pour se promener dehors ou pour qu’elle le porte des journées entières à l’école (et il s’agit parfois de petits qui, semble-t-il, n’ont même pas six ans); ce sont les parents qui envoient leurs gosses se faire tester pour le Coronavirus; ce sont les parents qui, demain, vont livrer leurs gamins à des criminels afin qu’on leur injecte des poisons présentés comme des vaccins. On ne met pas un pistolet sur la tempe du père ou de la mère pour le forcer à infliger tous ces mauvais traitements à son enfant. Ces sévices, les parents les infligent eux-mêmes, volontairement.

« Si on touche à leurs enfants ? » . Mais, ce sont les parents qui touchent à leurs enfants. Ce sont eux les maltraitants.

Nous n’écrivons pas ceci pour paraître drôle, mais parce que nous le pensons profondément : nous voyons venir le jour où l’on dira aux géniteurs que, pour respecter la distanciation sociale quand ils sortiront avec leurs bambins, ils devront les tenir en laisse, comme des chiens. Et ils le feront (ils leur imposent bien, déjà, une muselière …).

D’ailleurs, comment veut-on que des gens soient des pères et mères dignes de porter ce nom, alors qu’ils ont accepté de perdre jusqu’au droit de l’utiliser et se contentent désormais de Parent 1 ou Parent 2 (en attendant pire encore …) ? On a touché aux pères et aux mères en tant que tels, et ils se sont laissé faire; il est logique que, dans le même temps, l’on attente aussi aux enfants (et réciproquement). Désacraliser l’un, c’est nécessairement désacraliser l’autre.

Au demeurant, puisque les géniteurs ont consenti à perdre jusqu’au nom de père ou de mère, ils ont par là même accepté de s’en voir retirer les attributs, et ils ont acquiescé au fait que les gosses ne soient plus appelés leurs enfants, car si je ne suis pas le père ou la mère du bambin, ce bambin ne peut pas être le mien.

De fait, aujourd’hui, les parents ne sont plus que des espèces de kapos qui exécutent les ordres de maltraitance à l’enfance donnés par l’Etat. Ce sont des auxiliaires, des agents, des intermédiaires au service du régime dictatorial, maltraitant et sadique, contre leurs propres enfants (24).

F comme faim

« Quand les gens auront faim, ils se révolteront (…) Il faut qu’ils crèvent de faim, parce qu’alors ils réagiront (…) Il n’y a que quand la population sera affamée qu’elle se lèvera (…) La situation n’est pas encore assez catastrophique pour que les gens bougent; c’est malheureux, mais seul le chaos le plus total réveillera le peuple » . Encore une de ces idées reçues qu’il faut battre en brèche.

La politique du pire n’est jamais une bonne chose. Le pire n’amènera pas le meilleur, et il est très naïf de croire qu’il doive nécessairement déclencher une réaction des populations.

D’autant que nous nous trouvons dans une situation inédite : jamais auparavant dans l’Histoire, le pouvoir n’avait disposé des moyens de coercition et de destruction sur lesquels les classes dominantes actuelles peuvent s’appuyer. Jamais aucune oligarchie n’avait pu compter sur de tels outils technologiques ou sur des armes aussi dévastatrices (bombes nucléaires ou de toutes espèces, champs électromagnétiques, ingénierie climatique etc). Jamais l’hyper-classe n’avait eu à ce point la possibilité de tuer toute vie sociale et toute vie tout court, à l’échelle de la planète. Jamais l’on n’avait vu une telle capacité à démanteler les réseaux de distribution alimentaire, à arrêter les transports, à neutraliser l’électricité et les moyens de communication, à contrôler et à fliquer les populations. Quand le pire sera là, que restera-t-il à ces dernières pour s’organiser et se défendre ? Elles ne pourront déjà même pas sortir de chez elles. Elles ne pourront même pas se téléphoner. Elles crèveront de faim et dépendront totalement du fait que l’armée aura reçu l’ordre de distribuer ou non de la nourriture. Dans ces conditions, que les malins qui prônent la politique du pire, nous expliquent comment les gens, ou une minorité combattante, feront concrètement pour résister ?

I comme instinct de survie

Dieu sait que l’on a pu l’entendre, cette idée selon laquelle la population se soulèverait quand sa survie serait en jeu. Le fameux instinct de survie … Encore une illusion que la réalité a balayée. Ce qui frappe, justement, c’est que les gens ne l’ont même plus, cet instinct. Ils sont incapables de se révolter même quand leur survie économique, ou leur survie tout court, en dépendent. Et, comme l’ont fait remarquer maintes personnes avant nous, ils se laissent tranquillement mener à l’abattoir (25).

Les commerçants, quoi qu’on en dise, ne se sont pas battus. Et cela, alors même qu’ils n’avaient plus rien à perdre (voir P comme plus rien à perdre).

Mais, l’absence même de cet instinct de survie est déjà inscrite dans le port du masque. Respirer est un élan, un réflexe vital primordial, que n’ont même pas des gens qui acceptent d’étouffer sous leur bout de tissu et choisissent de réprimer ce réflexe vital basique. S’auto-asphyxier avec la muselière, c’est déjà accepter de mourir (et asphyxier ses enfants de cette manière, est déjà une forme d’infanticide).

Ajoutons ceci : il y a quelques jours, nous sommes passé devant une vitrine de magasin dans laquelle il y avait … des masques. Cela nous a rappelé une vidéo dans laquelle une commerçante était toute contente d’arborer les masques qu’elle vendait. Quand on en est à ce degré d’inconscience … Car, bien évidemment, vendre des bâillons, c’est inciter à les utiliser, c’est accréditer l’idée selon laquelle il y aurait un virus nécessitant d’en porter, et cela revient donc à légitimer toutes les mesures prises par l’oligarchie, dont la fermeture des commerces.

M comme mainstream

A en croire certains, tout serait de la faute des médias mainstream; ce sont ces médias qui lavent le cerveau des Français, qui désinforment à tour de bras, qui mentent et qui manipulent.

Loin de nous l’idée de défendre cette presse pourrie qui, effectivement, n’est qu’un ramassis de barbouzes vendus.

Cela étant, il est trop facile de déresponsabiliser, une fois de plus, les populations.

Personne ne les oblige à n’écouter et à ne croire que la parole oligarchique; personne ne les contraint à rester devant leur télé. Le type qui choisit de regarder TF1, ou France 2, ou BFM-TV, ou Arte; le type qui choisit d’acheter Le Figaro, ou Le Monde, ou Le Point, ou Libération, ou Le Parisien, ou qui choisit de s’abonner à Mediapart; le type qui, donc, choisit de donner son argent à ces organes crapuleux de propagande, n’a pas un pistolet sur la tempe (26).

Personne n’oblige le peuple à être ce chien collé au gramophone que montre la fameuse affiche La voix de son maître, cette célèbre publicité Pathé-Marconi qui illustrerait assez bien la relation public/médias oligarchiques.

On nous dit que les gens sont soumis 24 heures sur 24 à un véritable lavage de cerveau. Mais, ils s’y soumettent eux-mêmes; c’est bien parce qu’ils allument leur télé ou leur radio, c’est bien parce qu’ils choisissent de lire des torchons, qu’ils se retrouvent bombardés par les fausses nouvelles et autres analyses bidonnées.

Et que l’on ne vienne pas nous répéter qu’ils n’ont pas le choix. Une fois de plus, il faut arrêter de dédouaner les gens et de les victimiser sans jamais pointer leurs propres responsabilités.

Le choix, ils l’ont. Ils pourraient essayer de s’informer sur internet, où, malgré une censure de plus en plus écrasante, la réinformation ne manque pas : chaînes de lanceurs d’alerte sur des plateformes de vidéos, sites divers et variés, journaux alternatifs, web-tv etc.

Le mensonge et l’imposture triomphent parce qu’il y a des menteurs et des imposteurs, certes; mais aussi parce qu’il y a des gens crédules et criminels qui les écoutent complaisamment, qui veulent bien les croire sur parole et qui ne veulent surtout pas prêter une oreille même distraite à la parole alternative.

En un mot comme en cent, le mensonge règne parce qu’il y a des menteurs, et parce qu’il y a des gens qui en font leurs rois.

Ajoutons ceci : aujourd’hui, le pire chien de garde du pouvoir, ce n’est pas la presse mainstream, c’est le grand public.

On dispose de témoignages établissant que le quidam se montre extrêmement agressif dès que quelqu’un remet en cause la version officielle sur le Coronavirus. Il y a, semble-t-il, des frictions entre amis, et même au sein des familles, parce que les caniches, ne supportant pas que l’on ose réfuter le narratif officiel, se mettent à mordre toute personne un peu contestataire, même si c’est leur frère ou leur fille (il y a eu la même chose avec le 11 Septembre).

Pointons enfin la responsabilité de gens qui ne sont pas des « journalistes » du mainstream, mais font partie des pires relais du discours oligarchique : les syndicats. Dans les lieux de travail (usines, écoles, administrations etc), les syndicats jouent un rôle primordial pour légitimer les thèses anxiogènes du pouvoir sur la prétendue pandémie, la nécessité de porter des masques ou encore de se faire « vacciner » (27).

M comme martyrs

C’est encore l’un de ces discours dégoulinants et indécents que nous avons lus ici ou là : les Français seraient des martyrs.

Que l’on n’ait pas l’odieuse audace de salir ce qualificatif en l’attribuant à des masses de lâches qui rampent devant le pouvoir et qui paniquent devant un virus de pacotille, alors que les vrais martyrs, eux, mouraient dans les arènes sans trembler devant des lions. Que l’on n’ait pas cet abominable culot de donner à des larves le même titre de gloire que ceux qui ont été emprisonnés, torturés, exécutés, fusillés, pendus, décapités, parce qu’ils se battaient pour la liberté, l’indépendance, le bien commun, la vie des autres, ou un idéal.

Les martyrs, ce sont ceux qui défendent leurs idéaux ou leurs convictions, jusqu’au bout, au prix de leur vie; ce sont ceux qui luttent (28).

Les martyrs sont des résistants, pas des collabos.

Les martyrs se sacrifient pour les autres; les pleutres, eux, sont prêts à sacrifier la planète entière, jusqu’à leurs vieux, et jusqu’à leurs propres enfants, pour préserver leur misérable carcasse d’une dérisoire petite grippette.

M comme masque

Comme nous l’avons souligné plus haut, il suffit de regarder les gens dans la rue, ou dans les transports en commun, pour connaître l’état de l’esprit public. Ce n’est pas compliqué, on ne voit que rarement des gens non masqués.

Si ce n’était tragique, on serait même tenté d’être amusé quand on aperçoit des personnes dont les visages sont presque totalement dissimulés : bâillon remonté le plus haut possible, casquette ou bonnet baissés le plus bas possible, avec, parfois, en prime, des lunettes de soleil. Ce n’était pas la peine de faire tant d’histoires avec le voile intégral pour, finalement, porter des espèces de burqas Covid (29).

Nous pourrions citer des quantités de cas hallucinants concernant le port de la muselière dans des endroits où les gens pourraient l’enlever, nous n’en donnerons que quelques-uns :

Dans notre rue, des femmes qui, à 5h15 du matin, alors qu’il n’y a quasiment personne dehors, sortent leur chien devant chez elles, masquées jusqu’aux yeux.

Une femme qui sort ses chiens à des heures très matinales aussi; qui les promène dans le quartier, où il n’y a presque personne, et, en tout cas, pas un policier; mais, qui prend bien soin de mettre son masque, qu’elle garde dans l’immeuble (et peut-être y compris chez elle); sans compter qu’à chaque fois que nous la croisons, elle ne manque pas de se reculer ostensiblement, comme si nous avions la peste. Faut-il se demander ce qu’elle fera quand le pouvoir rendra obligatoire la « vaccination » des animaux, puisque c’est maintenant à l’ordre du jour ?

Les gens qui portent leur camisole faciale y compris à l’intérieur de notre immeuble, et qui entrent dans leur appartement avec. Nous nous demandons même si certains ne resteraient pas masqués une fois rentrés chez eux …

Des joggeurs ou joggeuses, dont des jeunes, qui font leur jogging masqués, alors que la réglementation ne l’impose même pas dans ce cas-là. Idem pour un certain nombre de gens à vélo.

Un type qui, sur une berge de fleuve où il est presque seul, effectue son jogging sans même baisser sa muselière, alors qu’il semble être particulièrement mal à l’aise.

Un couple de jeunes qui, sur une autre berge de fleuve, promènent leur chien en ayant chacun son masque, alors qu’en cet endroit et à cette heure, il n’y a quasiment personne, et notamment pas la police. Au passage, une inversion est ici encore frappante : le chien sans muselière, les maîtres avec.

Après le premier confinement, un jeune qui fait sa musculation avec le masque sur la tronche, à une heure où il n’y a presque personne dans la salle. Et la musculation, ce n’est pas du golf ! Pour avoir l’idée de pratiquer ce sport avec un masque, il faut en tenir une sacrée couche.

En fin de crue, alors que le fleuve n’était pas encore revenu à son niveau normal, nous nous sommes trouvé devant une berge dont une partie était encore légèrement inondée. Nous avons quand même trouvé un moyen pour gagner la partie de la berge qui était à sec, mais difficile d’accès, et où, d’ailleurs, nous étions tout seul. Nous sommes ensuite passé sur la rive d’en face. De là, nous avons vu, de l’autre côté du fleuve, un individu, qui, lui aussi, avait dû jouer les équilibristes pour se rendre sur cette berge. Il était, comme nous-même avant lui, tout seul. Cet abruti n’a pas dévissé sa camisole faciale ! Tout seul sur une berge difficile d’accès, où, du reste, il n’avait aucune chance d’être contrôlé, et il n’a pas ressenti l’envie de respirer un peu !

En bordure de fleuve, quand l’eau, rentrée dans son lit, n’était pas encore tout à fait revenue à son niveau habituel, un jeune qui marche sur la berge basse (nous étions sur la berge haute) et qui a le nez et la bouche couverts par son masque alors même qu’il est en train de téléphoner avec son portable. Il est pourtant tout seul, d’autant qu’à chaque passage de péniche (et il en passe fréquemment), la berge basse est recouverte d’eau, ce qui fait que cela doit mouiller notre jeunot et que le sol doit glisser. Inutile de le préciser : les policiers ont autre chose à faire que d’aller voir si, par hasard, il y aurait un quidam assez inconscient pour traîner sur cette berge glissante qui, déjà, en temps normal, est quasiment vide. S’ils veulent faire du chiffre, ils iront ailleurs. C’est-à-dire que ce blanc-bec n’est pas gêné de se retrouver trempé et prend le risque de tomber à l’eau, mais semble craindre d’attraper un hypothétique virus alors qu’il est absolument seul sur une berge où il ne risque certes pas d’être contrôlé.

Sur la même berge basse, un autre jour, une gourde qui, sous une pluie battante, se promène avec son masque sous son parapluie. Nous l’avons revue plusieurs fois; un matin, elle avait quand même baissé sa muselière, mais elle ne l’avait pas carrément enlevée, alors que, visiblement, elle se balade à cet endroit tous les jours et sait donc parfaitement qu’elle ne croisera personne.

Dans le bus, par une journée chaude et ensoleillée, une tarée emmitouflée dans des vêtements d’hiver censés sans doute la protéger des agents pathogènes. Elle cache fièrement son visage derrière le masque et, par dessus, un écran facial. Elle a enfilé des gants en latex qu’elle trouve encore le moyen d’asperger plusieurs fois avec du gel hydroalcoolique. Et tout cela en racontant tranquillement à une amie qu’elle et son mari ont eu (soi-disant) le Covid, mais qu’ils n’ont absolument pas été malades et n’ont même pas eu de température, ce qui ne l’incite absolument pas à se demander si le discours officiel touchant la dangerosité du Coronavirus ne serait pas du pipeau.

Dans le métro, une femme masquée qui se lève brusquement quand un homme, masqué aussi, s’assoit à côté d’elle, et qui finit son trajet (encore trois stations) debout.

Devant un hypermarché, trois ou quatre personnes demandant à un vigile de les asperger, elles et leurs vêtements, avec une solution hydroalcoolique. L’on aurait cru assister à une espèce d’office dans une église, avec un ecclésiastique répandant de l’encens; il ne manquait plus que l’hostie, mais nul doute que le pouvoir parviendra à convaincre les Français d’avaler des hosties à ARN messager.

Ces couards sont atteints d’une espèce de couaronavirus bien réel qui paraît n’avoir épargné que peu de personnes.

Ce qui nous frappe en particulier, ce sont les jeunes. Devoir étouffer derrière un bout de tissu ou de papier, ne semble pas les déranger, et ils ont même l’air de prendre cela très bien.

Pour que le masque (avec le reste) devienne la nouvelle norme, il n’a pas fallu vingt ans, il n’a pas fallu dix ans, il n’a pas fallu cinq ans; cela s’est fait instantanément, dès lors que l’oligarchie l’a voulu. Et ce, pour au moins une raison : les esprits étaient mûrs, et déjà assez veules. Les gens ne sont pas devenus lâches et débiles du jour au lendemain, ils l’étaient déjà. Le putsch nommé Covid-19 n’a fait que le mettre encore davantage en évidence.

C’est une autre idée reçue qu’il faut battre en brèche : non, les gens n’ont pas perdu leur raison et leur intelligence à cause d’une peur panique; non, ce n’est pas la terreur qui les aurait rendus bêtes et trouillards. C’est exactement l’inverse. Ils ne sont pas stupides parce qu’ils ont peur; ils ont peur parce qu’ils sont stupides et lâches (et ces épithètes sont faibles).

Nous nous sommes parfois dit que si les combattants qui sont descendus dans les tranchées en 1914/1918, voyaient leurs descendants, ils les renieraient peut-être et iraient même, qui sait ? , jusqu’à leur cracher à la g….. .

Quant aux femmes qui, certes, n’étaient pas au front, mais qui officiaient par exemple comme infirmières, que penseraient-elles de toutes ces froussardes que nous avons mentionnées, celles qui ne dévissent pas leur masque même en des lieux déserts, celles qui s’écartent ostensiblement dès que quelqu’un s’approche ? La dame qui recule à chaque fois qu’elle nous croise, irait-elle soigner des blessés ? Il y a fort à parier qu’elle laisserait le monde entier crever. Si l’humanité n’avait connu que ce genre de pleutres, il n’y aurait jamais eu ni infirmières, ni garde-malades, ni résistantes, ni combattantes; il n’y aurait eu que des gens soumis, des kapos et des collabos.

P comme pandémie

Certains se croient malins en disant qu’il y a bien une pandémie de Covid-19 puisqu’il y a des gens qui en sont atteints et même qui en meurent.

a) Tout d’abord, on n’a strictement aucune preuve que des personnes soient malades à cause de ce prétendu virus. Par contre, on dispose de toutes les preuves établissant que quantités de gens sont mensongèrement déclarés infectés par cet agent pathogène supposé. On sait également que les soi-disant morts Covid sont, très souvent (toujours?), les victimes de tout autre chose, incorporées dans les statistiques du Coronavirus afin de mettre en avant des chiffres inventés de toutes pièces.

Au passage, l’argument selon lequel des personnels hospitaliers auraient vu des malades Covid ne tient pas. En supposant que des soignants aient vraiment vu des patients qu’on leur a présentés comme atteints du Covid-19, rien ne permet à ces soignants de savoir si lesdits patients ne seraient pas atteints en réalité d’une grippe ordinaire ou de n’importe quelle autre affection.

b) Ensuite, en admettant qu’il y ait vraiment des cas Covid, cela ne prouverait pas qu’il y ait une pandémie.

Dans le monde entier et dans chaque pays, il y a des quantités d’acnéiques; ce n’est pas pour autant qu’il y a une pandémie d’acné.

Dans le monde entier et dans chaque pays, il y a des quantités d’ulcéreux; ce n’est pas pour autant qu’il y a une pandémie d’ulcères.

Dans le monde entier et dans chaque pays, il y a des quantités de cardiaques; ce n’est pas pour autant qu’il y a une pandémie de problèmes cardiaques.

Dans le monde entier et dans chaque pays, il y a des quantités d’arthrosiques; ce n’est pas pour autant qu’il y a une pandémie d’arthrose.

Dans le monde entier et dans chaque pays, il y a des quantités d’aveugles; ce n’est pas pour autant qu’il y a une pandémie de cécité.

Et nous pourrions continuer comme cela avec toutes les maladies.

Au fait : dans le monde entier et dans chaque pays, il y a des quantités d’abominables cons; est-ce pour autant qu’il y a une pandémie de connerie ?

P comme plus rien à perdre

C’est l’une des illusions les plus répandues : quand les populations n’ont plus rien à perdre, elles se révoltent.

Eh bien, ce que l’on voit aujourd’hui démontre à quel point c’est faux.

Les commerçants (cafetiers ou restaurateurs, propriétaires de clubs de sport, fleuristes, libraires, responsables de salles de cinéma etc) et leurs salariés n’avaient plus rien à perdre et avaient tout à gagner à se soulever : ils ne l’ont pas fait. Ils se sont laissé ruiner.

En réalité, quand les gens n’ont plus rien à perdre,

il se passe ceci :

soit il leur reste en réalité un tout petit quelque chose, et, alors, ils s’y accrochent de toute la force, ou de toute la faiblesse, de leur inaction. Ils ne veulent surtout pas risquer ce tout petit quelque chose et préfèrent s’écraser en espérant le préserver.

soit ils n’ont vraiment plus rien à perdre, et, alors, ils réagissent comme s’ils n’avaient plus rien à gagner. Ils gambergent ainsi : pourquoi est-ce que je me ferais c…. à me rebeller et à courir au-devant des ennuis ? N’ayant plus rien, cela ne peut plus être pire pour moi. Il peut arriver n’importe quoi, la situation peut encore se détériorer, le ciel peut nous tomber sur la tête, pour moi cela ne changera rien.

En somme, puisqu’ils n’ont plus rien à perdre, ils n’ont plus rien à sauver, et ils n’ont aucune raison de bouger (voir aussi I comme instinct de survie).

R comme référendum d’initiative citoyenne

Tout ce que nous avons constaté sur l’état d’esprit de la population, amène nécessairement à douter que soit pertinente l’une des priorités des Gilets Jaunes ces dernières années : le référendum d’initiative citoyenne (RIC).

Est-il judicieux d’en faire la pierre angulaire d’une nouvelle démocratie quand l’immense majorité de la population est à ce point vile et abrutie ?

a) S’il y avait, demain matin, un référendum sur les questions relatives à la pseudo-pandémie, le pouvoir en sortirait peut-être grand vainqueur : car, comme nous l’avons expliqué, loin de rejeter les mesures liberticides, la grande masse des lâches en demanderait plutôt encore davantage (30).

Ainsi, dans le contexte actuel, le référendum serait peut-être l’une des meilleures armes dont l’oligarchie puisse disposer pour parvenir à ses fins (31).

b) d’ailleurs, il a beaucoup été dit qu’il faudrait abaisser le nombre de signataires nécessaire pour obtenir une telle consultation, parce que, sinon, on aura du mal à atteindre ce nombre. Or, argumenter ainsi, c’est reconnaître implicitement qu’en réalité, l’on est minoritaire au point de ne pas même pouvoir atteindre le seuil de signatures fatidique.

Et si une consultation populaire était initiée à partir d’un nombre relativement bas de signataires, que se passerait-il ? Les pétitionnaires qui auraient voulu le référendum en croyant faire triompher l’idée A, risqueraient d’être battus parce qu’une majorité d’électeurs voteraient pour l’idée B. Le référendum ferait donc une belle jambe aux partisans de la solution A …

c) Quoi qu’il en soit, aujourd’hui, une oligarchie putschiste a lancé une guerre féroce contre des peuples avachis et incapables de réagir ou même de comprendre. Or, on ne résiste pas à un putsch avec un référendum et on ne guerroie pas à grands coups de consultations électorales. Les mouvements qui ont combattu la colonisation de leurs pays, ont pris les armes. Les gens qui ont fait des révolutions, ont pris les armes. En 1914/1918, ou en 1940/1945, la victoire des uns ou la défaite des autres s’est décidée par les armes.

Et ceux qui sont sortis vainqueurs de ces conflits armés, ont imposé leurs intérêts, leurs volontés, leurs idées, leurs nouvelles règles juridiques, leurs nouvelles Constitutions, leur nouveau système économique et politique. Après avoir bataillé les fusils à la main et anéanti leurs ennemis, ils n’ont pas déclaré qu’ils lanceraient des référendums dans le cadre desquels les vaincus pourraient faire valoir leurs idées et leurs intérêts. Ils les ont laminés, point à la ligne.

La situation est analogue aujourd’hui : c’est maintenant une guerre à mort qu’a initiée l’oligarchie. Macron l’a d’ailleurs avoué avec sa fameuse phrase « Nous sommes en guerre », que la plupart des gens, bien évidemment, n’ont absolument pas comprise. Confrontée à cette offensive sans pitié, la petite minorité consciente ne s’en tirera certainement pas en proposant des référendums ou des élections (32). Elle devra prendre ses responsabilités, c’est-à-dire se battre, vraiment. Et soit elle sera écrasée, soit elle écrasera ses adversaires. Dans le deuxième cas, elle devra continuer de prendre ses responsabilités en imposant ses solutions à l’oligarchie et à la grande masse des citoyens avachis.

Nous utiliserions volontiers la métaphore suivante : un bateau dont le capitaine et son équipage organisent méthodiquement le coulage, étant bien entendu que, eux, ils ne le craignent pas, puisqu’un autre navire les attend un peu plus loin, sans compter les canots de sauvetage et les gilets, qu’ils se sont réservés. Les passagers, eux, vont immanquablement crever si le nécessaire n’est pas fait. Malheureusement, il n’y a qu’un tout petit nombre de voyageurs lucides qui sachent comment agir pour éviter le naufrage savamment planifié par les officiers. Ce petit nombre n’a pas de temps à perdre à essayer de convaincre la masse des inconscients, des je-m’en-foutistes, des abrutis et des lâches. Il réalise pertinemment que le temps lui est compté. Il ne va pas s’amuser à proposer un référendum, sachant d’ailleurs pertinemment qu’il sera mis en minorité par la foule des autres voyageurs. La minorité doit prendre ses responsabilités : si elle le peut, elle doit passer à l’action et faire ce qu’il faut, sans attendre que le capitaine criminel et égoïste lui en donne l’autorisation, et sans espérer vainement que les autres passagers se réveillent éventuellement de leur torpeur.

S comme subtil

A en croire certains, l’ingénierie Covid-19 serait très rusée, très intelligente, extrêmement subtile, particulièrement bien pensée !

Ce qui frappe, au contraire, c’est que toute cette opération est basée sur des ficelles, sur des câbles d’une exorbitance que l’on croirait difficilement possible.

Plus haut, nous avons mentionné certaines de ces ficelles, qu’un gamin de sept ans un peu intelligent ne goberait pas.

Le fait que l’immense majorité de la population, elle, soit dupe, n’y change rien : ce n’est pas parce que l’on arrive à berner des débiles mentaux profonds avec des énormités, que l’on est subtil ou intelligent.

T comme trouille

Combien de fois n’avons-nous pas entendu et lu ceci : le pouvoir a lancé une offensive parce qu’il a peur du peuple; ce dernier est très en colère, ça va péter, le couvercle va sauter, et c’est justement pour cela que Macron et sa clique prennent des mesures répressives et autoritaires.

Désolé de décevoir une fois de plus, mais nous affirmons que c’est exactement le contraire.

a) Tout d’abord, répétons-le, cela fait des décennies que nous entendons : ça va sauter, ça va péter, c’est pour bientôt. Or, dans toute cette période, c’est le contraire qui s’est passé : les populations ont été toujours plus atones cependant que l’oligarchie n’a pas cessé d’engranger les victoires et de faire avancer ses intérêts.

b) Ensuite, quand on rabâche pendant des décennies que le peuple est sur le point de faire la révolution, on a beau jeu de clamer qu’on avait raison si, un beau jour, après ces décennies d’apathie, une partie des citoyens réagit.

c) En vérité, la classe dominante a déclenché la guerre, non pas parce que le peuple serait en ébullition, mais parce que, au contraire, elle voit à quel point il est avili et incapable de réagir (sans compter que les instances censées le représenter ou l’appuyer, le trahissent).

On ne provoque pas une bagarre contre un individu déterminé à se défendre et beaucoup plus costaud que soi en sachant que l’on va prendre une raclée. Le type qui vous agresse, le fait parce qu’il estime que le rapport de forces lui est favorable et que c’est lui qui va vous mettre une trempe.

L’oligarchie est passée à l’attaque parce qu’elle se sent en position de supériorité, et non pas parce qu’elle se considérerait en état de faiblesse.

Certes, il y aura peut-être un soulèvement populaire, mais, à notre humble avis, il concernera une petite minorité de la population. Aussi loin que puisse aller l’horreur dictatoriale oligarchique, la grande masse, non seulement ne lèvera pas le petit doigt contre le pouvoir, mais sera de son côté et lèvera la main sur les résistants.

d) D’ailleurs, les mêmes qui répètent à l’envi que le pouvoir restreint les libertés parce que le peuple va se soulever incessamment sous peu, ne cessent de dire aussi que ce même peuple a peur (33). Nous l’avons entendu sous toutes les formes possibles et imaginables, avec toutes les variantes : les profs ont peur (du Coronavirus, des élèves, du directeur d’établissement, de l’académie, du rectorat etc); les élèves ont peur; les avocats ont peur (du conseil de l’ordre, notamment); les médecins ont peur (du conseil de l’ordre, eux aussi, mais aussi des malades); les hypocondriaques ont peur; les pharmaciens ont peur (encore le conseil de l’ordre …); les personnels soignants ont peur (de la hiérarchie, en particulier, mais aussi des patients prétendument atteints du Covid-19); les gens ont peur (du chômage, du virus, de leurs voisins éventuellement contaminés, des inconnus qu’ils croisent dans la rue ou dans les transports, des personnes qu’ils ne croisent pas dans les zones désertes où ils gardent leur masque, des objets sur lesquels le Coronavirus resterait accroché, de l’air dans lequel le Covid-19 demeurerait en suspension, de la maladie, de la mort, des attentats, de l’avenir, des lendemains incertains, du présent, du futur, et probablement aussi du passé); les salariés ont peur de leur patron et de perdre leur emploi; les chômeurs, les RSistes et tous ceux qui n’ont pas de travail ont peur de ne pas en trouver, ainsi que des pouvoirs publics dont ils dépendent pour survivre, entre autres; les emprunteurs qui ont un crédit à rembourser, ont peur; les acheteurs qui ont fini de rembourser leur crédit, ont peur; les malchanceux qui ne sont pas propriétaires de leur maison ont peur, mais les bienheureux qui le sont, ont peur aussi …

Bref, tout le monde a toutes les excuses possibles et imaginables pour trembler.

Comment faut-il appeler des gens qui ont peur de tout, d’un rien, et même de l’ombre de leur ombre ? Et à qui veut-on faire croire que la peur est une excuse, comme certains le ressassent depuis des mois et des mois ?

e) Que les choses soient claires : ni la peur, ni la lâcheté, ni la bêtise ne sont des excuses ou des circonstances atténuantes. C’est même l’inverse : ce sont des circonstances aggravantes.

Voici ce qu’il faut dire à tous ces pleutres : en plus d’être des couards, vous êtes des imbéciles; et en plus d’être des imbéciles, vous êtes des couards.

L’un n’excuse pas l’autre, les deux s’aggravent mutuellement.

Les couaronavirus sont injustifiables, ne serait-ce que parce qu’ils pourraient parfaitement s’informer aux bonnes sources et parce que sont disponibles toutes les preuves que le Coronavirus est une gigantesque escroquerie (voir aussi M comme Mainstream).

On est mal venu d’invoquer des excuses quand on ne veut pas voir ce qui crève les yeux et quand on n’essaie même pas de se renseigner.

En vérité, toutes ces disculpations ne sont que des mauvais prétextes.

f) Et il y en a un en particulier que nous voudrions épingler : celui du crédit.

Ne l’avons-nous pas entendue, celle-là : « le pauvre, il est obligé de se taire parce qu’il a un crédit » . Les gens qui sortent ce genre d’horreur ne réalisent pas à quel point ils se trahissent eux-mêmes. Car, en clair, ce qu’ils nous disent, c’est qu’avoir des mensualités à payer légitimerait le fait de tolérer ou de servir une dictature; le fait d’avoir un prêt à rembourser justifierait que l’on cautionne toutes les abominations commises dans un Etat totalitaire, et même que l’on y participe.

Est-ce qu’on imagine un kapo de camp d’extermination qui fermerait les yeux sur ce qui s’y passe, sur des expériences utilisant des humains comme cobayes, sur des massacres de masse, sur des charniers, et qui aurait l’abominable audace de croire se justifier en disant : J’ai un crédit à rembourser !

Ceux qui osent prétendre que collaborer avec l’oligarchie, ou même simplement demeurer passif devant ses exactions, est compréhensible et légitime dès lors que l’on a un prêt à honorer, sont eux-mêmes des monstres et des crapules (34).

Eux considèrent qu’un crédit à rembourser légitime toutes les compromissions dans toutes les horreurs, nous pas.

g) On n’a pas à faire preuve de la moindre indulgence envers toutes les larves qui rampent devant le pouvoir sous prétexte qu’elles auraient mille motifs d’avoir peur. Ne serait-ce que pour une raison : demain, quand l’oligarchie balancera un agent pathogène qui, cette fois, sera vraiment meurtrier, tous ces sacs à trouille dépourvus d’âme n’auront ni indulgence ni pitié pour les résistants. Ce sont eux qui réclameront des mesures extrêmes contre la minorité anti-vaccin, anti-confinement, anti-puçage, anti-dictature. Ce sont eux qui demanderont les camps de concentration; ce sont eux qui voudront qu’on élimine purement et simplement les réfractaires en tant que porteurs éventuels de virus; ce sont eux qui applaudiront aux exécutions sommaires, aux bûchers de purification dans lesquels brûleront les corps des contrevenants, aux charniers, aux déportations de masse, aux expériences sur des humains, et autres horreurs que nous ne pouvons peut-être même pas imaginer mais que, eux, par contre, seront capables d’inventer sans peine.

La bonne femme masquée qui se lève brusquement parce qu’un homme, masqué aussi, s’assoit à côté d’elle dans le métro; la trouillarde qui ne dévisse pas son masque pour sortir son chien devant chez elle à une heure où il n’y a quasiment personne; le jeune pétochard qui, tout seul sur une berge de fleuve difficilement accessible, n’a même pas l’idée de simplement baisser sa muselière; la gourde qui, sous son parapluie, garde sa camisole faciale, alors qu’elle est toute seule sur une autre berge de fleuve par une pluie battante; la rombière qui fait un geste signifiant « Dégage, recule, tu vas me contaminer » ; la lopette qui s’en prend à une demoiselle dans le bus parce qu’elle a baissé son bout de tissu, et qui exhorte le chauffeur à appeler la police; le type qui donne un coup de poing dans l’épaule d’une jeune femme participant à une manifestation contre la suppression des libertés; les dingos qui gardent leur connelière y compris dans leur immeuble (et peut-être dans leur propre appartement); ces gens ne sont pas seulement immondément lâches et demeurés, ce sont de futurs nervis qui, demain, quand le pouvoir les autorisera à se lâcher, ne seront arrêtés par aucune limite. Ils tomberont sur le gars dépourvu de muselière (à plusieurs, bien sûr); ils lyncheront la personne dont le test PCR sera positif ou dont le code QCR sera rouge; ils assassineront la fille non « vaccinée »; ils organiseront de véritables pogroms; ils exigeront qu’on liquide de prétendus porteurs de maladies …

Fantasmes fous et paranoïaques ?

Mais, les faits sont déjà là.

Le salon de coiffure qui exige un test PCR négatif pour accepter une cliente, alors même que la réglementation ne l’impose pas encore, c’est une réalité.

Les gens qui regardent de travers l’individu non masqué, c’est une réalité.

Les clients d’un magasin qui s’en prennent à un autre client parce qu’il ne porte pas la muselière, et qui vont le signaler au personnel, c’est une réalité.

Le propriétaire d’une discothèque qui dénonce un concurrent ayant ouvert son établissement en violation du lock-out, c’est une réalité.

Le prof de base qui, sur son lieu de travail, distribue un tract syndical hallucinant sommant les élèves et leurs parents de se soumettre aux diktats sur le masque, c’est une réalité. Il s’agit d’un tract que monsieur Carlo Brusa a lu dans l’une de ses vidéos. Au passage, nous ferons remarquer que ce n’est pas le ministre de l’Education nationale, Blanquer, qui est allé distribuer personnellement ce torchon dans l’école; ce n’est pas non plus le secrétaire général du syndicat en question; non, ce sont bien des profs syndiqués de base … Et les autres enseignants, ont-ils désavoué le tract ?

Pour l’instant, ces crapules ne s’en prennent pas vraiment physiquement aux brebis galeuses (encore que …), mais, que le pouvoir les laisse faire, et ce ne sera pas beau à voir …

Ce sont ces mêmes larbins du système qui ont laissé éliminer les personnes âgées dans les EHPAD, sans que cela leur fasse ni chaud ni froid. Ce sont ces mêmes pleutres qui, en ce moment, sur leur lieu de travail, servent de kapos au pouvoir, en exerçant notamment des pressions pour que les salariés courbent l’échine et en véhiculant tous les mensonges les plus éhontés sur la prétendue pandémie (comme quoi, la presse mainstream n’est pas la seule à jouer ce rôle, loin de là … Voir aussi M comme mainstream).

Ils ne seront pas gênés le moins du monde quand les non-vaccinés, devenus des laissés-pour-compte, des sous-citoyens de quatrième zone, auront interdiction de sortir de chez eux, d’aller au cinéma, de s’abonner à un club de sport, de prendre le train, le bus ou le métro, d’aller acheter leurs commissions; au contraire, du moment que cela leur semblera susceptible de les protéger des maladies dont ils ont si peur, ils applaudiront des quatre pattes.

C’est cela aussi qui est tragique dans les situations telles que celle d’aujourd’hui : quand les autorités deviennent ouvertement totalitaires, tous les veules et tous les pourris se sentent encouragés et ont l’impression que leur heure est venue. Ils ont la sensation que leur poussent des ailes. Ils se lâchent, et, pour peu que le pouvoir en place les y encourage ou les laisse faire, ils ne reculent devant aucune abomination.

Ce sont les mêmes qui, ensuite, si le vent tourne, se mettent à geindre « Je ne savais pas … Je ne faisais qu’obéir aux ordres … Je faisais mon devoir … J’étais obligé ». Certains ne craindraient même pas de sortir cette horreur : « J’avais un crédit » … (35).

Avec de telles pourritures, il ne faut avoir ni pitié ni indulgence, ne serait-ce que parce que, quand le vent tourne à nouveau en sens contraire, ils s’empressent de recommencer ce qu’ils feignaient de regretter.

V comme vaccin

Nous entendions un lanceur d’alerte dire, en gros, que, quand les « vaccinés » vont commencer à mourir par milliers à cause du prétendu vaccin, il faudra les aider et non pas les montrer du doigt ou leur reprocher d’avoir été dupes des gouvernements.

Mais, les choses vont se passer très différemment.

Le pouvoir impute déjà les décès, ou les séquelles diverses et variées, au Coronavirus.

Or, sauf une minorité, les victimes et leurs familles iront dans le même sens. Il est naïf de croire qu’elles se retourneront contre Big Pharma ou les ministres et qu’elles reconnaîtront avoir eu tort de ne pas écouter les contestataires. En réalité, c’est précisément contre les résistants qu’elles se retourneront, et ce sont elles qui les montreront du doigt. Elles les accuseront d’être responsables de tous ces décès, d’avoir nui à la lutte contre le Covid-19, d’avoir favorisé la propagation d’une pandémie, d’avoir été criminels en persuadant certaines personnes de ne pas se faire « vacciner » tout en les y contraignant par leur acharnement à ne pas mettre la camisole faciale. Nous ne serions même pas surpris qu’il y ait, alors, des actions en justice non pas contre les laboratoires, les médecins ou l’Etat, mais contre les lanceurs d’alerte.

D’ailleurs, le grand public a déjà choisi ses coupables, ses boucs émissaires et ses victimes expiatoires. Dans sa logique de crétin, le quidam vous dira, déjà aujourd’hui, que l’on confine et que l’on ferme les commerces à cause de ceux qui refusent le masque, la distanciation et le « vaccin » (nous citions notamment le cas de notre coiffeur); mais il vous déclarera aussi que, si l’on impose le « vaccin », c’est à cause des mêmes, qui rejettent la fermeture des commerces et la muselière.

V comme variant

L’histoire des « variants » , des « mutants » et des « vagues » est l’une des plus énormes fadaises inventées par le pouvoir (si c’est cela que certains trouvent subtil et bien imaginé … Voir S comme subtil). Pourtant, l’on arrive à faire gober aux populations ces extravagances, alors qu’un déficient mental verrait parfaitement à quel point l’on se fout de lui (36).

Une anecdote à ce sujet : dans le bus, des grands-parents avec leur petit-fils, un tout jeune enfant. La grand-mère se met à parler d’un des « variants » . Bien évidemment, elle croit dur comme fer aux bobards du pouvoir. Et il faut l’entendre, avec son air con, cette façon de parler qui trahit immanquablement les abrutis, ceux qui, dès qu’ils ouvrent leur clapet, empestent la stupidité. Si c’était sorti de la bouche du petit-fils, nous aurions encore compris, mais, venant d’adultes âgés … Comment veut-on que des gamins qui évoluent dans des familles aussi débiles, puissent, plus tard, devenir des gens conscients, avec un sens critique ? Ils risquent d’être encore pires que leurs parents et grands-parents, parce qu’ils auront été élevés dès leur plus jeune âge dans des milieux qui auront avalé tous les mensonges éhontés de la dictature la plus effrontée.

V comme violence

Récemment, nous entendions un commentateur dire à peu près ceci : « Je suis contre la violence; je n’ai pas envie d’aller me castagner contre la police; mais, je ne sais pas ce qui arriverait si vraiment je n’avais plus que ce dilemme : soit me soumettre, soit me battre physiquement ».

Ces propos sont naïfs. Ce ne sont pas les individus qui ont ou auront le choix, c’est l’oligarchie, et, précisément, elle a déjà fait son choix, pour elle-même et pour les autres, celui de la violence (il suffit de voir comment des Gilets Jaunes ont été éborgnés ou mutilés).

Autrement dit, l’hyper-classe ne laisse aucune option, aucune alternative; elle dicte la forme de la lutte, par sa propre radicalisation.

Quand l’armée viendra chercher les gens chez eux pour les emmener sans ménagement dans des camps; quand, manu militari, des nervis enfermeront les récalcitrants dans des asiles psychiatriques où on leur passera la camisole de force; quand des soldats tireront sur les manifestants; quand les enfants seront pris aux parents qui refuseront les « vaccins » ; quand on traînera les résistants près de fosses communes pour les y jeter après les avoir abattus; quand tout cela arrivera, quel choix y aura-t-il pour les victimes ? Soit crever, et dans d’atroces conditions, soit se battre; mais, ce n’est pas un véritable choix.

Et quand l’oligarchie balancera un virus vraiment meurtrier et/ou provoquera un cataclysme nucléaire; quand elle coupera l’électricité, l’eau, le gaz, internet, le téléphone; quand elle empêchera le ravitaillement des populations et organisera la famine; quand elle aura fait tout cela, quelle sera l’option pour l’individu désarmé et isolé ?

V comme Virus

Tous les quatre matins, des individus répètent que l’hyper-classe a d’ores et déjà perdu et qu’elle va devoir renoncer à ses ambitions !

Propos d’autant plus étonnants que l’oligarchie est en train de mettre en œuvre concrètement son programme, sous nos yeux, et avec succès.

L’inconscience et l’inconsistance des anti-Cassandre a donc quelque chose de navrant.

Parce que ces optimistes-à-tout-prix s’imaginent qu’après avoir mis peut-être la moitié de la planète en confinement, qu’après avoir fermé et avoir ruiné une bonne partie des commerces du monde, qu’après s’être arrangée pour décupler artificiellement l’endettement illégitime de la plupart des pays, qu’après avoir commencé la « vaccination » de la Terre entière, qu’après avoir provoqué la mort d’un nombre incalculable de gens, qu’après avoir commencé la mise en place des passeports prétendument sanitaires, qu’après avoir initié le traçage de toute la population mondiale, qu’après avoir édicté quantités de mesures dictatoriales, qu’après avoir truqué ouvertement ou supprimé les élections ici ou là, qu’après avoir organisé un tel putsch planétaire, l’oligarchie va sagement renoncer, se retirer docilement et remettre tranquillement au peuple les clés du royaume ? Et cela, alors même que les populations, quoi qu’on en dise et nonobstant quelques petites réactions ultra-marginales, sont d’une passivité et d’une servilité crasses ?

Le projet des classes dominantes est en très bonne voie, il est en train de se mettre concrètement en place, et il n’y a pour l’instant aucune raison sérieuse qui l’empêche d’aller au bout.

Nous le répétons pour la énième fois : le Covid-19 n’est qu’une étape, et le pire est déjà en route.

Les choses vont même certainement aller très vite désormais, raison pour laquelle il aurait fallu une réaction maintenant, parce qu’après, il sera trop tard.

Il y aura peut-être des étapes, telle ou telle péripétie, cela prendra peut-être plus ou moins de temps (bien qu’à notre avis, répétons-le, cela risque d’aller dorénavant très vite), mais, dans les grandes lignes, voici ce qui va se passer :

l’oligarchie va balancer un virus qui, cette fois, sera vraiment extrêmement meurtrier. Il n’est pas impossible qu’elle organise aussi, parallèlement, une attaque ou une catastrophe nucléaire, histoire de faire bonne mesure (37).

Les attaques seront présentées comme émanant de groupes terroristes et/ou de pays étrangers, ce qui servirait de prétexte pour initier une vraie guerre totale à l’échelle mondiale.

Les putschistes couperont l’électricité, le gaz, l’eau, toutes les formes de communication (téléphone, internet etc). Là encore, le pouvoir pourrait faire croire, éventuellement, à une agression venue de l’extérieur.

Tous les magasins seront fermés.

Il sera interdit de sortir de chez soi, bien évidemment, et, de toute façon, personne ne le pourra et personne n’en aura envie, parce que ce sera la mort assurée, la panique et le chaos.

L’armée sera déployée partout et aura pour ordre d’abattre à vue tout contrevenant.

Alors, tous ceux qui croient au Père Noël pourront courir pour publier des vidéos de réinformation sur internet, pour créer des plateformes alternatives, pour se téléphoner, pour s’envoyer des courriels, pour organiser des vidéo-conférences, pour appeler à manifester. Dans de telles conditions, aucune résistance ne sera possible (38).

La résistance, c’est maintenant, ou ce ne sera jamais. Et, il ne faut surtout pas s’imaginer que l’oligarchie va attendre pour agir, afin de laisser à la minorité consciente le temps de s’organiser.

L’hyper-classe n’est pas comme la grande masse des lâches, des inconscients, des irresponsables et des crétins. Elle ne passe pas ses journées à regarder le football; à lire L’Equipe ou Point de vue; à se goinfrer avec Plus belle la vie, Bienvenue chez les Ch’tis, Voisin voisine, Joséphine ange gardien, Transformers, Camping, Profs ou Les visiteurs; à béer d’admiration devant des Arthur, des Nagui, des Ruquier, des Cymes, des Hanouna, des Tapie, des Frank Dubosc, des Dany Boon, des Sublet ou des Stéphane Bern (39).

L’oligarchie ne lambine pas et ne plaisante pas. Elle ne roupille pas sur ces trois oreilles crasses que sont l’irresponsabilité la plus totale, la plus immonde vilenie et la plus profonde débilité mentale.

Et la preuve que le chaos ne va plus tarder à survenir, c’est la campagne qui a été déclenchée ces derniers mois sur le thème des coupures d’électricité. Cela est apparu clairement avec les déclarations de madame Barbara Pompili, déclarations dont les commentateurs n’ont absolument pas saisi la portée. Cela a continué avec des articles consacrés notamment aux insuffisances du réseau électrique et des équipements. Toute cette campagne a pour but de préparer l’opinion publique au lock-out que les factieux ont d’ores et déjà planifié. Quand l’électricité sera coupée, le bon peuple ne pensera pas une minute que cela puisse être le fait des gouvernants : soit il croira que cela est dû à des problèmes techniques ou d’infrastructure, et que d’ailleurs une Pompili avait sonné l’alarme; soit il mettra cela sur le dos des méchants terroristes et/ou des méchants Etats étrangers que le pouvoir lui aura montrés du doigt.

L’oligarchie est également en train de préparer l’opinion à la coupure totale d’internet et à la mise hors service des ordinateurs : la presse mainstream insiste notamment sur l’éventualité d’une cyber-attaque qui, bien évidemment, selon cette presse, viendra de méchants extrémistes et/ou d’Etats voyous.

Nous sommes infiniment triste quand nous songeons à toutes les abominations auxquelles on va assister dans un proche avenir. Nous sommes profondément chagriné quand nous voyons telle jeune femme qui fait de la réinformation et qui ne demande qu’à chanter et à vivre, mais qui sera parmi les premières à payer un lourd tribut à la dictature dont nous n’apercevons en ce moment que les débuts. Nous sommes navré en pensant à toutes ces vies qui vont être détruites, et de quelle manière !

Il est urgent que la minorité consciente s’organise afin d’être en mesure de résister à toute l’horreur qui vient.

(1) Certains commentateurs nous serinent cela depuis plus d’un an. Cela fait donc plus d’un an que les gens commencent … Pourtant, cela fait plus d’un an que nous voyons des vidéos de manifestants, de commerçants, de citoyens, d’analystes en tous genres, marteler des phrases du style : « C’est incompréhensible … Je ne comprends pas … Je n’arrive pas à comprendre … » .

(2) On va sans doute rétorquer que ce serait bien excusable parce que, depuis le 11 septembre 2001, les attentats n’ont cessé de se multiplier. Ce à quoi l’on pourrait répondre que, justement, leur multiplication devrait mettre la puce à l’oreille des populations et inciter celles-ci à essayer de réfléchir un peu, ce qu’elles ont eu largement le temps de faire …

(3) Si certains partis et hommes politiques non représentés au Parlement calculent que flatter l’irresponsabilité des électeurs leur rapportera des voix, ils sont bien naïfs. Au jour du vote, la grande masse choisira encore et toujours les crapules qui gouvernent la France depuis des décennies et l’entraînent dans l’abîme. D’ailleurs, c’est logique. En disant aux électeurs qu’ils ne sont responsables et coupables de rien, on leur signifie que leurs votes ne sont pour rien dans la situation dramatique du pays. Dès lors, pourquoi voteraient-ils autrement ? On leur signifie aussi que, plus généralement, leur attitude n’est pour rien dans rien; dès lors, pourquoi en changeraient-ils ?

(4) Il faut ici fustiger les agents de l’oligarchie qui trompent volontairement l’opinion publique, tout en se faisant passer pour des révolutionnaires ou des insoumis radicaux. Quand Jean-Luc Mélenchon, masqué (devant les caméras …), déclare que porter la muselière est de sa responsabilité pour protéger les autres, ce n’est pas parce qu’il est dupe. Non, lui, il sait parfaitement ce que signifie et implique le bâillon, il sait parfaitement qu’il n’y a aucune épidémie et qu’il s’agit d’un putsch planétaire, mais il exploite et renforce sciemment la crédulité du quidam. Ce dernier est un crétin, quand notre politicard, lui, est un charlatan qui abuse de la confiance du peuple et le roule délibérément dans la farine. Du reste, comme nous l’avons déjà souligné ailleurs, c’est l’un des atouts dont joue l’oligarchie : aujourd’hui, en France, non seulement elle n’a presque plus de véritables opposants, mais elle n’a quasiment que des collabos à sa solde : Gauche et syndicats vendus, organismes professionnels divers et variés, Justice, partis politiques de tous bords, fédérations de parents d’élèves etc.

(5) Une précision : contrairement à ce que racontent de pseudo-opposants, on n’a pas confiné parce que l’on manquait de lits ou de personnel dans les hôpitaux, ou parce que l’on ne possédait pas des stocks suffisants de gel hydroalcoolique ou de masques. Ce baratin est encore de ceux qui ont l’air de fustiger le pouvoir alors qu’ils le secondent, puisqu’il accrédite l’idée selon laquelle on aurait été débordé en raison d’un afflux de malades et de décès liés au Coronavirus, ce qui est faux. Même avec un hôpital dans un état désastreux, même sans muselières, il n’y avait aucune obligation de confiner, ne serait-ce que parce qu’il n’y a jamais eu de pandémie.

(6) Selon monsieur Carlo Brusa, président de l’association Réaction 19, le pouvoir aurait fait en sorte que les citoyens ne puissent plus acheter des oxymètres pour mesurer leur taux d’oxygène avec et sans masque.

(7) Il y a des gens assez dupes pour s’étonner que les happy few soient les premiers à ne pas respecter leurs propres injonctions sur la camisole faciale, la distanciation sociale etc ! Parce que ces naïfs s’imaginent que les notables portent la muselière quand ils ne sont pas sous l’oeil des caméras ou des appareils photos ! Parce que ces pigeons croient qu’un Axel Kahn, qui vient de se faire pincer dans une gare à propos du test PCR, a l’intention de se soumettre aux humiliations qu’il exige pour les gueux !

(8) Il y aurait beaucoup à dire sur cette énième manipulation que constitue le « scandale » Christophe Leroy. Une manipulation sur laquelle se sont empressés d’embrayer certains individus qui font semblant de critiquer le régime Macron mais qui, en réalité, ont complètement joué son jeu dans cet épisode. Que les choses soient bien claires : pour ce qui nous concerne, nous voulons que tout le monde puisse organiser des repas entre amis librement, à n’importe quelle heure, sans masque, sans distanciation, sans gel hydroalcoolique, sans « vaccin » . Nous récusons absolument les horribles expressions du genre Dîner clandestin ou Fête clandestine (utilisées aussi, malheureusement, par des personnes qui affirment combattre la dictature). Nous ne sommes donc pas du tout sur la même longueur d’onde que les tartufes qui hurlent au scandale parce que, eux, au contraire, s’acharnent à faire passer dans les mœurs l’interdiction des agapes, des fêtes, des réunions familiales ou entre amis.

(9) On les assigne à résidence; on leur interdit d’exercer une activité professionnelle; on les ruine; on les soumet aux contrôles d’une police et à la sévérité d’une Justice intraitables pour eux mais étrangement laxistes pour les voyous et les délinquants en col blanc; on criminalise le simple fait de sortir de chez soi, d’ouvrir son commerce, d’essayer de vivre de son travail, de ne pas porter un masque, de se soigner avec des médicaments éprouvés et bon marché, ou d’en vendre; on maltraite les manifestants, quand on n’interdit pas, de fait, les manifs. Qu’est-ce qu’il leur faut de plus ? Si, avec tout cela, ils ne se révoltent pas, inutile d’espérer qu’ils le fassent plus tard.

(10) Rares sont les personnes que, dans la vie réelle, nous avons entendues dire des choses un tout petit peu sensées. Nous parlons bien de la vie courante, en contact physique avec les gens, et pas de ce qui est dit par des chaînes de réinformation sur internet, contrairement à ceux qui prennent le microcosme de la sphère réinformative pour le monde réel.

(11) D’après ce qu’il nous a raconté, il touche une espèce d’indemnité de chômage pendant les périodes de confinement.

(12) Voici ce que ce coiffeur, marocain et musulman, nous a sorti, un jour où il devait être particulièrement inspiré : « L’Iran, ils tuent les musulmans (…) Daech, c’est bien les musulmans; l’Iran, ils tuent Daech (…) Les Iraniens, ils tuent les musulmans … » . Faut-il commenter de tels éclairs de génie ? Il faut signaler que, quand sa télé est allumée, ce coiffeur se hausse sur la pointe des pieds, tourne les yeux vers l’écran et se montre vraiment intéressé dès que les infos parlent … du football.

(13) Nous parlons bien ici de la prétendue incompétence concernant le Coronavirus. Par ailleurs, il n’est pas faux qu’au fil des décennies, les présidents, ministres et autres parlementaires ont été de plus en plus nuls.

(14) Ce sont parfois les mêmes qui répètent, depuis plus d’un an, que les gens commencent à comprendre …

(15) Récemment encore, nous avons lu un article parlant de folie liberticide du gouvernement. Non, il n’y a pas de folie liberticide, mais une politique froidement destructrice des libertés pour servir les intérêts d’une oligarchie, et la démence est du côté des populations qui acceptent cette dictature et la rendent donc possible.

(16) L’expression « restriction des libertés » est un euphémisme très trompeur, puisque l’on assiste en réalité à une destruction complète de toutes les libertés. Et nous n’en sommes qu’au début …

(17) Les origines du Covid-19 resteraient à déterminer. Là aussi, il y a énormément de désinformation. Qui faut-il croire ? Ceux qui diagnostiquent qu’un virus aurait été fabriqué intentionnellement en laboratoire ? Ceux qui contestent qu’il s’agisse d’un virus ?

(18) Pour répéter les choses encore une fois, puisqu’il semble que beaucoup de gens soient durs d’oreille et d’esprit, les factieux préparent leur coup depuis belle lurette; ils ont pensé que le moment était venu; ils ont alors mis en scène une fausse pandémie afin de faire accepter leurs mesures totalitaires.

(18′) Les expressions Dictature sanitaire et Crise sanitaire, censées s’opposer frontalement, fonctionnent, en réalité, ensemble, en miroir. Contrairement à ce que penseraient certains, la première ne contredit pas la seconde; elle la renforce et lui donne du crédit, car elle repose sur le même postulat, celui selon lequel ce qui se passe serait de l’ordre du sanitaire. Elle ne fait que convaincre encore un peu plus le public qu’il y a bien une crise sanitaire.

(19) Parmi les scénarios dont dispose l’oligarchie, celui-ci, avec toutes les variantes possibles : un fort opportun attentat qui serait mis sur le dos de militaires d’extrême-droite ayant voulu commettre un coup d’Etat. Cela permettrait au pouvoir de procéder à cette inversion qui est l’une des marques de fabrique préférées du totalitarisme d’aujourd’hui : ledit pouvoir réaliserait son putsch en se donnant les apparences du héros qui, par son action, a sauvé la démocratie et mis en échec une tentative extrémiste de renverser la République. Ce stratagème permettrait notamment à la Gauche – La France Insoumise, Mélenchon, le PCF et toute la clique – d’approuver le coup d’Etat macronien et de le faire accepter par « le peuple de gauche » en le présentant comme la résistance à un coup de force des fachos. Une telle éventualité n’a rien de fantaisiste : déjà en 2017, des politicards et des réseaux divers et variés avaient clairement déclaré que, si Le Pen l’emportait (autrement dit, si Macron n’était pas porté à l’Elysée), ils ne reconnaîtraient pas les résultats; c’était un appel clair à piétiner le vote majoritaire s’il venait à leur déplaire, tout cela, bien évidemment, au nom de la République, de la démocratie, des droits de l’Homme, de la liberté et des valeurs. De la même manière, aux dernières présidentielles américaines, s’étaient multipliés les refus de reconnaître une éventuelle victoire de Trump, et l’on a pu voir que le scrutin a été outrageusement truqué. Addendum : quelques jours après que nous eûmes écrit les lignes qui précèdent, est intervenue une nouvelle manipulation qui confirme, ô combien, nos analyses : il s’agit de cette tribune publiée par des officiers de l’armée dans Valeurs actuelles et qui a servi de prétexte au gouvernement et à la Gauche pour hurler au putsch factieux. Le scénario que nous pressentons est donc bel et bien dans les cartons du pouvoir.

(20) Quand on a tous les moyens de s’informer; quand on pourrait donc savoir parfaitement à quels hommes politiques on a affaire; quand on préfère ignorer Cassandre, ou quand on refuse obstinément de la croire; quand on répète, année après année, décennie après décennie, les mêmes bourdes, en votant, encore et toujours, pour les crapules du système, on en est le complice. Pire encore : on est une crapule soi-même. Sarkozy a pu lancer une guerre contre la Libye parce que les électeurs l’ont porté à l’Elysée (certains seraient d’ailleurs prêts à recommencer, malgré toutes les casseroles qu’il se traîne). Le petit vieux qui a la possibilité d’aller chercher la bonne information, mais qui révèle tranquillement avoir voté Macron parce qu’il pensait que celui-ci augmenterait les retraites, est inexcusable.

(21) Il y aurait beaucoup à dire sur l’attitude des partis politiques, qu’ils soient ou non représentés au Parlement. Ils semblent avoir fait l’impasse sur les départementales et régionales pour se concentrer, déjà, sur la présidentielle, pourtant hypothétique … On dirait que ces gens agissent comme si l’on n’avait pas changé d’époque, comme s’il ne s’était rien passé à la présidentielle américaine, comme si la France n’était pas en régime de coup d’Etat … Ces partis sont décidément lamentables.

(22) Il est vrai aussi que, selon certaines personnes, la tentative d’organiser une résistance face au dévoiement de l’école, aurait été sabotée par des gens prétendant eux-mêmes restaurer l’instruction publique).

(23) Là encore, il y aurait beaucoup à dire sur le sabotage de toute résistance à la dictature LGBT. Rappelons, par exemple, que les manifestations contre le mariage gay ou contre la GPA (gestation pour autrui) sont totalement dévoyées, manipulées, contrôlées par le système, et que, là aussi, certaines vedettes de ces mouvements sont clairement des personnes infiltrées.

(24) La situation est donc particulièrement perverse et s’apparente à un cercle vicieux : l’oligarchie a fait en sorte que la grande masse des gens perdent le droit de se dire parents, puisqu’ils maltraitent eux-mêmes leur progéniture; si bien que cela peut paraître justifier encore davantage la privation de leurs prérogatives parentales et la réduction de leur rôle à l’exécution des directives sadiques de l’Etat concernant leurs enfants.

L’individu est également un agent de l’Etat maltraitant vis-à-vis de sa propre personne : il porte le masque partout, comme s’il était son propre garde-chiourme au service du pouvoir coercitif.

Aussi, la grande masse de la population étant particulièrement irresponsable, servile et veule, on serait enclin à se dire qu’il faut effectivement lui retirer ses droits (parentaux ou électoraux, par exemple) et qu’après tout, c’est bien fait. On serait même tenté de penser qu’il faudrait les traiter plus mal encore; on pourrait donc tomber dans un travers sadique consistant à approuver le totalitarisme. Or, c’est certainement l’un des gros pièges que tend l’hyper-classe : elle légitime sa dictature en partie par le fait que les peuples l’acceptent au point de paraître la mériter.

(25) Nous avons trouvé, sur internet, une photo extrêmement parlante : si l’on en croit l’article qui l’accompagnait, c’étaient des moutons qui formaient une espèce de file en attendant leur « vaccination ». Les mots moutons ou bétail sont très appropriés, parce que le flot de ces gens était canalisé par des espèces de barrières qui dessinaient comme un labyrinthe, et cela nous a rappelé des images de westerns où l’on voit exactement le même dispositif pour marquer au fer rouge les vaches du troupeau.

(26) Mediapart bénéficie d’une étrange mansuétude de la part de ceux qui, par ailleurs, ne cessent de s’en prendre par exemple à BFM-TV. Pourtant, l’officine de monsieur Plenel, qui possède une influence énorme en particulier sur les gens de gauche, ne cesse de diffuser des fausses nouvelles n’ayant rien à envier, loin de là, aux pires mensonges véhiculés par la presse des milliardaires.

(27) On rappellera, au passage, que, par la voix de son secrétaire général, Martinez, la CGT s’est prononcée pour l’obligation « vaccinale » en entreprise, ce qui implique, entre autres, que [cette organisation vendue]url:Avenir lycéen : témoignage exclusif sur la corruption syndicale, la Justice et la presse – Les moutons enragés (lesmoutonsenrages.fr) a d’ores et déjà jugé justifié le licenciement des salariés refusant de se faire injecter les prétendus vaccins. Avec cela, il y a encore des nigauds pour clamer « Heureusement qu’il y a les syndicats … » .

(28) Le Gilet Jaune qui s’est battu dans la rue contre la police de Macron, et qui s’est fait éborgner ou couper la main, mériterait encore d’être appelé martyr. Le Gilet Jaune qui a boxé un gendarme parce que ce dernier frappait une femme à terre, et qui a fini en prison, aurait le droit de se dire martyr. Mais, pas des couaronavirus qui n’osent déjà même pas ôter leur bâillon quand ils sont tout seuls en forêt. Le type qui porte sa camisole faciale jusque dans un lieu désert, n’est pas martyrisé par Macron; il réussit encore l’exploit de se coucher devant Macron même quand ce dernier n’est pas là.

Au passage, la répression contre les Gilets Jaunes doit dissuader un certain nombre de gens d’entrer en lutte.

(29) Avec l’été, on va voir un nouveau type de bronzage : des zombies avec le haut du visage hâlé et le bas tout pâle.

(30) Une jeune femme qui fait de la réinformation sur internet, racontait qu’en France, un salon de coiffure a refusé de la prendre si elle ne montrait pas un test PCR négatif. Rappelons que, pourtant, pour l’instant, la réglementation ne l’impose même pas. C’est encore un bon exemple du manque total de conscience de certains commerçants : comment peut-on être aveugle au point de ne pas voir que tout cela mènera inéluctablement à leur fermeture définitive ?

(31) Indépendamment de son sujet, le référendum pose, en soi, de nombreux problèmes. Nous en avons évoqué certains dans notre article [Fausse bonne idée et vraie mauvaise solution : le référendum pour ou contre le masque]url:Fausse bonne idée et vraie mauvaise solution : le référendum pour ou contre le masque – Les moutons enragés (lesmoutonsenrages.fr) .

(32) On n’a qu’à demander leur avis aux Américains, qui, à l’évidence, avaient voté pour Trump très majoritairement, mais se sont fait voler le scrutin. Aujourd’hui, l’hyper-classe est moins disposée que jamais à s’incliner devant le vote populaire conscient. Elle ne reculera que forcée.

(33) Ce sont en effet parfois les mêmes qui serinent sans arrêt que le gouvernement a peur du peuple et que les gens ont peur. Donc, selon eux, Macron craint la population, laquelle craint … quoi, au fait ? Macron ?

(34) On aurait d’ailleurs envie de leur demander si eux-mêmes ont des crédits …

(35) C’est l’une des raisons pour lesquelles nous serions également sans indulgence pour les gens qui, en ce moment même, fournissent de prétendues circonstances atténuantes, toutes prêtes, aux kapos du système, en leur inventant toutes espèces de mauvaises excuses dont ces kapos se serviraient si la résistance finissait par l’emporter.

(36) Autre narratif qui ne tromperait pas un déficient mental mais qu’avale sans broncher la quasi-totalité des citoyens : le monde serait entré dans l’ère des pandémies, et il y en aura désormais en permanence. Et ces caves ne trouvent pas cela bizarre …

(37) On peut craindre également une ingénierie climatique ou géologique déclenchant des catastrophes qui seront présentées comme naturelles et spontanées. Les factieux pourraient très bien provoquer par exemple un séisme, lequel détruirait des centrales nucléaires, ce qui causerait des réactions en chaîne.

(38) Si, demain, un agent pathogène vraiment dévastateur était balancé, on verrait un certain nombre de gens qui, aujourd’hui, se font passer pour des opposants, basculer ouvertement du côté du pouvoir. Nous pensons en particulier à des individus qui se donnent l’air de critiquer le gouvernement sur le thème de sa prétendue incompétence face à une pandémie que, par ailleurs, ils ne contestent pas. Il ne faudrait pas compter sur eux pour demander d’où et de qui viendrait l’agent pathogène ravageur. Ils cautionneraient toutes les mesures liberticides au motif que, les décès s’accumulant, elles seraient inévitables. Au passage, suggérons cette démarche aux lecteurs : quand on a commencé à parler du Covid-19, Macron a déclaré que c’était une petite grippette. C’était là qu’il disait la vérité. Eh bien, que l’on s’amuse à vérifier qui lui a alors reproché de sous-estimer une dangereuse épidémie. Parmi les gens qui lui adressaient ce reproche, n’y avait-il pas certaines des personnes qui, par la suite, ont joué les opposants ? En y réfléchissant, le lecteur comprendra que les soi-disant contestataires qui attaquent Macron au motif qu’il ne ferait pas ce qu’il faut concernant le Coronavirus, s’arrangent en réalité pour accréditer l’idée qu’il y aurait bien une pandémie meurtrière. Pour eux, enfoncer dans la tête des gens l’idée que l’on n’en fait pas assez et qu’on ne le fait pas assez bien, sert à faire croire que, décidément, il y a bien une épidémie terrible face à laquelle on n’en fait jamais trop. D’ailleurs, certains partis politiques se sont donné l’air de démolir Macron au moment du premier confinement, alors qu’ils lui ont reproché de ne pas avoir confiné assez tôt, puis d’avoir déconfiné trop vite et trop tôt. Certains encourageaient même les profs et les parents d’elèves à refuser d’aller en cours, au motif que, les « mesures sanitaires » nécessaires n’étant pas prises, ils étaient en danger !

(39) Encore un exemple de la responsabilité des peuples dans ce qui leur arrive : combien de Français connaissent Claire Séverac et ses ouvrages ? Combien ont fait ce qu’il aurait fallu pour se donner une chance de les découvrir ? Et s’ils la connaissaient, ne la traiteraient-ils pas de dangereuse complotiste, de facho, d’illuminée, de sinistre apôtre du charlatanisme guérisseur, et autres qualificatifs tout aussi aimables ? Par contre, monsieur Michel Cymes, collaboratoire de Big Pharma, possède des quantités d’admirateurs, aurait vendu des centaines de milliers d’exemplaires des bouquins qu’il a signés, et a fait fortune…

Sellami

A propos Guido

Sellami est juriste.

9 Commentaires

  1. Perso, je n’ai pas le temps de tout lire.
    Merha, par exemple….quand on a VRAIMENT compris les dessous de cette opération – montée de toute pièce par le MOSSAD- on ferme sa gueule, même la mienne, de très grande gueule.
    11/09….Là faut être neuneu pour continuer à croire en la thèse dite officielle.
    Les Kennedy, idem. Le point de départ et également point commun avec l’assassinat de Lincoln (projet de rétablissement de l’étalon-or au sortir de la guerre de sécession) c’est le décret de juillet 1963 concernant les préparatifs à un étalon-argent.
    Disposer d’une réelle expertise en décryptages divers et variés n’est pas donné à tout le monde. Il y a un vécu et même parfois il y a l’antécédent des vies antérieures qui font que…..
    Donc, s’énerver de la naïveté et de la perte immédiate de toute forme de mémoire collective ne sert à rien.
    Si la mission pour certains est d’informer ses contemporains, de leur ouvrir les yeux, il faut savoir exploiter certaines informations-clés et éviter comme c’est le cas avec ce texte-catharsis de saturer l’auditoire.

    • Totalement d’accord, sachons que derriere tout attentat se trouve israel et les USA pour faire capoter un truc meme insignifiant a cous de false flag. Une video de rabbins donnait le discours suivant concernant les attentats dans le monde: l’islam est le balai d’israel… Tout est dit, rien de plus a ajouter!!!
      Concernant l’article, ca ne me donne pas envie de le lire, le peu que j’ai lu est juste un abecedaire des theories plus fumeuses les unes que les autres… Donc NIET…
      On a des faits prouvés, on ne veut pas de placards fumeux sans aucune saveur

  2. 30/04/2021 – le poids des mots et le choc des analyses (découvrir la situation en matière du « vol d’atteints » ou des couvre-feux justifiés dans le tableau « France au goût du jour », inclus dans le lien à cliquer).
    https://wp.me/p4Im0Q-4V1
    – Le pouvoir va sanctionner ses piou-piou qui ont osé lui dire son fait. La sinistre en charge d’icelle va leur interdire le port de l’uniforme, alors qu’elle n’a pas peur, c’est peut-être oublier que ce sont les « sans-culottes » qui défirent l’ancien système dans lequel nous sommes revenus malgré ou à cause de nous !
    – RV sur la pétition de soutien civile et simplement citoyenne, hors de tout parti politique et au seul titre de l’Honneur à retrouver : https://www.change.org/p/le-monde-politique-soutien-du-peuple-aux-militaires-de-l-honneur

    • Lol, comme si le petitions servaient a quelque chose… je respecte ce choix tant qu’il n’empeche pas le reste!!!! Mais on en est plus a cela, seule une action forte, de loup solitaire, bien ciblée fera reflechir. Une petition c’est comme si en 40 on avait demandé aux resistants de signer une petition contre adolf… Tu sais comment cela se serait fini??? Pour le japon pareil, et le japon, l’action forte cibléee, ca a ete radical: deux bombes sur la gueule!!! CQFD!!!! A un moment donné, les choses ne sont plus a la plume mais a la baionette… et desormais nous en sommes la!

  3. Tant que nous ne nous serons pas délivrés des banksters et autres mafieux notre pays ne sera pas libéré réellement.
    Aujourd’hui ils tentent d’imposer une sorte de despotisme rouge qui est un mélange de maoïsme, et de satanisme (ne faites plus sortir vos petits enfants les pédocriminels ont la main mise sur notre pays. Ils hésitent pas à maltraiter les jeunes enfants (masques, tests et peut être vaccin génomique si les parents ne se lèvent pas contre ces pourritures !).
    Il est grand temps que le Peuple souverain reprenne ses droits, abroge les textes liberticides et redonne ainsi la dynamique nécessaire à la vie de notre pays.
    Le Passeport sanitaire est un danger car les données de santé ne nous appartiennent plus (c’est contraire au RGPD). Quand l’on sait que nos données transiteraient sur des serveurs MicroSoft aux USA on voit combien l’intelligence avec des pays ayant des intérêts autres démontre un acte de haute trahison. Les données de santé sont personnelles et seul un médecin peut y avoir accès.
    C’est aussi une grave atteinte à nos droits fondamentaux et un non respect de notre DDHC de 1789 ! Nous avons affaire à une bande de despotes où tenez vous bien : élus (par le peuple), partis, syndicats, associations diverses, médias, justice, police, personnels de santé…sont corrompus gravement !
    Personne ne bouge concernant la maltraitance faite aux enfants ! Où sont les syndicats de l’Éducation, les élus, les professionnels de l’Éducation et de la Santé ? C’est très proche du Satanisme ! Il est temps de prendre conscience de la malveillance de tous ces gens !
    Refusons de porter des masques ! Refusons la thérapie génique ! Refusons le passeport sanitaire ! Imposons des traitements préventifs et curatifs et engageons des actions en justice au niveau international contre ces individus gravement coupables de crimes contre l’humanité !

  4. Il est certain que ça va casser !

  5. Tout est dit. Je ne vois rien à ajouter et je rejoins totallement l’opinion de l’auteur. Seule une révolution des citoyens a une petite chance de nous sauver. Mais quand je vois l’apathie ambiante…….

Les commentaires sont clos.