Par H16
Aussi incroyable cela puisse-t-il être dans un pays réputé ultraturbolibéral, il existe en France une société publique spécialisée dans le déplacement des marchandises et des personnes exclusivement par le rail dont l’État est l’unique actionnaire. Grâce à cette société, le pays roule sur les rails d’un succès inéluctable.
Succès qu’entendent d’ailleurs partager les clients usagers usagés du rail qui, depuis des décennies, profitent de l’aubaine offerte par cette société nationale de chemins de fer efficace, sûre et surtout bon marché. La SNCF s’enorgueillit en effet de pouvoir répondre aux besoins de toutes les bourses pour emmener petits et grands d’un point à l’autre de l’Hexagone…
… Même s’il y a parfois des soucis, comme récemment avec ce petit pépin sur la ligne Paris-Limoges-Brive, sur laquelle les naufragés du rails subiront un retard de cinq heures après une rupture de caténaire au sud de Vierzon. Ou comme pour ces passagers malheureux qui goûtèrent aux aventures durailles du rail sur une ligne Paris-Clermont en profitant des trois heures supplémentaires imposées par des problèmes de locomotive pour admirer les campagnes bucoliques de notre beau pays.
Mais ces petits problèmes ne doivent surtout pas faire oublier la qualité (mondialement reconnue) de la principale production de cette entreprise : des jours de grève.
Il ne se passe en effet pas un semestre sans qu’un mouvement de grogne des personnels de la SNCF ne soit entendu, et régulièrement, le mouvement prend une ampleur nationale.
Ces dernières semaines, ce furent les contrôleurs puis les aiguilleurs de l’entreprise qui décidèrent d’arrêter le travail pour réclamer de meilleures rémunérations, plus de sous et davantage de salaire avec cette originalité qui ne se dément pas d’année en année, le tout bien évidemment en conjonction avec des vacances scolaires pour que la pression soit maximum sur les politiciens en charge.
Car oui, le sens du timing est essentiel dans toute entreprise gérant des trains : pas pour les faire arriver à l’heure (et puis quoi, encore ?) mais bien pour comprendre quand un mouvement de grève aura le maximum d’impact. On ne pourra ainsi qu’admirer le courage véritablement bravache de l’entreprise qui, alors qu’une partie de ses trains est à l’arrêt et qu’une autre, en panne, fait mijoter ses voyageurs en rase campagne, décide de communiquer sur le remboursement minimaliste des tickets pris au moment de la grève (en somme, ne comptez pas trop récupérer votre argent) et, encore plus culotté, sur de nouvelles restrictions concernant les bagages : désormais, chaque passager d’un TGV inOui ou d’un Intercités est limité à deux bagages et un bagage à main. Selon ces nouvelles règles, le bagage additionnel coûtera de 5 à 20€ supplémentaire sur un ticket dont le prix ne cesse d’enfler.
S’il est relativement logique que l’entreprise s’aligne progressivement sur les normes générales en vigueur dans le transport de passager et notamment en ce qui concerne les bagages, la comparaison avec l’aérien fait assez mal puisqu’avec des restrictions équivalentes, les prix des vols sont pourtant très souvent moins chers que la plupart des trajets SNCF. Il n’est pas rare d’avoir des vols intra-européens moins coûteux qu’un trajet de train Paris-Clermont et l’assurance raisonnable d’arriver à bon port (ce qu’ont de moins en moins souvent les victimes de la SNCF).
S’ajoute à ce timing impeccable une qualité de service généralement applaudie par tous les clients de la société nationale.
Sans même évoquer les grèves, les pannes ou les retards, force est de constater que les tarifs des billets sont globalement illisibles et autorisent toutes les fantaisies dont l’entreprise ne se prive pas.
Ce serait dommage de s’arrêter à ce simple constat et la SNCF relève le défi d’en ajouter une bonne couche en donnant l’occasion à sa clientèle d’expérimenter son application, SNCF Connect, spécialement conçue pour saboter réserver une place de train : mise en place en 2022, elle a reçu un accueil franchement mitigé du public qui y a surtout vu une nouvelle forme de torture chinoise. Heureusement, depuis, les choses ont vivement continué sur leur lancée, avec cependant un passage rapide (mais remarqué) par la case Floutage d’Hegel puisque cette même torture application, pourtant détestée par les usagers, a reçu le prix “service client de l’année 2024”, avec une décontraction que seuls les vrais roublards peuvent déployer.
Il faut cependant reconnaître à la SNCF un talent : celui de la créativité comptable. À ce titre, l’année 2022 fut remarquable et on peut déjà imaginer que le bilan 2023, même s’il est annoncé “moins bon”, affichera lui aussi un coquet bénéfice. Oui, vous avez bien lu : en 2022, la SNCF affichait d’insolents bénéfices en engrangeant 2,4 milliards d’euros.
Compte-tenu des contre-performances présentées juste avant, on peut légitimement se demander comment un tel bénéfice a pu apparaître dans la comptabilité de cette entreprise publique pourtant réputée pour ses soultes et ses subventions multiples, ses compensations par le privé de régimes ultra-favorables, et ses résultats financiers en demi-teinte pour le dire gentiment (pour rappel, la dette de l’entreprise dépasse allègrement les 26 milliards d’euros en 2022).
Rassurez-vous, il ne faut pas chercher bien loin : en réalité, cette entreprise coûte 17 milliards d’euros par an aux contribuables (en augmentation de 25% par rapport à 2015), et sans cette somme, l’année 2022 aurait affiché un déficit de près de 15 milliards au lieu de ce profit grotesque.
Pannes multiples et systématiques, grèves répétitives, retards qui frisent le délirant aux petits fers, application de réservation pourrie, service à bord rachitique, sécurité de plus en plus médiocre, prestations fort coûteuses, prix aléatoires, dette abyssale et perspectives d’améliorations à peu près nulles : ceux qui prétendent qu’une privatisation totale de cette épave couinante et fumante provoquerait la ruine du rail français lancent en réalité un défi qu’il serait impossible de tenir, d’autant que d’autres pays, confrontés aux mêmes problèmes et ayant choisi cette solution, ont observé une nette amélioration générale des services rendus.
En Italie, la libéralisation s’est traduite par une modernisation du réseau, une baisse des coûts pour les voyageurs et une augmentation du trafic. En Suède, le trafic a bondi de 80% entre 1988 et 2013, le nombre d’opérateurs est passé de 1 à 13 et le coût par kilomètre est tombé à 5 centimes contre 16 en France (pour nettement moins de subventions étatiques). En Allemagne, les coûts de production sont maintenant inférieurs de 30% aux coûts français, et la fréquentation au augmenté de 30% depuis 1990 (et merci de nous épargner les mythes entourant la privatisation du rail britannique).
Bref : il est plus que temps que le contribuable, qui a déjà beaucoup trop payé, se débarrasse de ce boulet, rapidement. Au point où nous en sommes et alors que le pays continue de s’enfoncer dans une crise politique, économique et sociale sans précédent, il en va autant de la survie du rail français que de la survie du contribuable.
H16
Des solutions ?.
Cesser de subventionner les syndicats
Accepter le coût d’ une grève longue ( plusieurs mois ), ne rien céder.
Cela peut être aussi le moyen de remplacer une technologie dépasser, même ci le terme dépasser a pas de sens a la réalité de la recherche qui a tendance a caché les innovations pour créé de l’avance vers l’armée pour qu’elle garde le contrôle sur les sujets d’expériences,
Le train magnetique monorail fonctionne,
Lévitation magnétique fonctionne donc, mais personne a été mis au courant en la population, que la source d’énergie peut être généré par le train, donc le train a pas besoin de support, il est portabilisé et ressemble au concept du ballon dirigeable,
Un ballon dirigeable est vu comme lent et difficile a manœuvrer, mais c’est ce qu’ils veulent faire croire,
Un fluide peut se contracter sur lui même en par cela, augmenter ces frequences de portabilité, donc génère un champ électromagnétique de portabilité autour de l’engin, donc les vitesses sont pas problématiques pour les atteindre,
Cela existait déjà au début des années mille neuf cent,
La voiture éléctrique fonctionnait au début des années mille neuf cent, soit par transpondeur avec des tube a vide, soit en utilisant des batteries a eau pour créé le diamagnetisme véloce (dioxygène dihydrogene) pour alimenter des moteurs rotor/stators,
L’accès a la compréhension de l’électricité était beaucoup plus claire, et progressivement, les lobby ont modifié les lois de la thermodynamique pour trompé les étudiants en faisant ce quil se passe aujourd’hui, des gens stupides incapable de saisir le fonctionnement de la quadrature du cercle (sur unité générant le principe perpétuel qui est aussi nommé l’exponentiel du principe mémoires compressés)
Principe memoire, peut expliquer le fonctionnement du génome, donc toutes personnes ayant cette connaissance peut les dénoncé sur les injections,
Peut expliquer le fonctionnement cognitif, donc toutes personnes ayant cette connaissance, peut les dénoncé sur le contrôle mental en tout les étapes sociale éducative de leurs mise sous contrôle par le dressage et le sucre carriériste pour les plus docilisé…
La SNCF c’est rien d’autre qu’une société publique géré par des privés pour le blanchiment d’argent provenant du système de detournement de pouvoirs,
Les trains électriques consomme pas le courant, il créé une vélocité pour faire résonné le courant pour généré une portabilité du signal par projection magnetique induisant le sens rotatifs des moteurs,
Quand les trains électriques sont a l’arrêt, vous pouvez entendre les ventilateurs très bruyant qui sont en réalité des roues lourde (principe gyroscopique) permettant quand le train est a l’arrêt, de gardé la vélocité donc garder un effet de tranpond de la charge electrostatique par effets de cavitation en les moteurs au point neutre, ce qui génère un effet de cavitation neutre dont le surplus génère l’effet de capillarités des ions de sol, pour alimenter la vélocité des roues gyroscopique pour qu’elles restent sur la même frequences de cycles tours( plus fréquences en le principe du tour cyclique, car le cycle est toroïdale, donc le courant s’enroule autour du toroïde, il est alors a des phases qui s’approche plus près du centre et d’autres qui s’en éloigne, générant des fréquences celerés (temporalité de force forte + et force faible -)
++= –
– -= +
D’où le comment ont alimente une roue pour la faire tourner a l’intérieur d’un stator, est que le stator est une force faible (ondes courtes), qui par rétroactions (convergances des flux vers le rotor qui va créé aussi une rétroaction vers le stator et Progressivement augmenter la compression des flux jusqu’à saturé l’espace entre le rotor et le stator (chargement du flux jusqu’à la fréquence adéquat pour portabilisé la masse (la charge electrostatique de rayonnements électromagnétiques),
La roue gyroscopique permet de climatisé la charge electrostatique, donc réduire les chauffes et sans servir pour augmenter la vélocité qui a grande vitesse, le principe gyroscopique garde le train en l’axe des rails, le train peut pas déraillé dans la plupart des cas de train électrique,
Ci un train électrique deraille je pense que c’est volontaire de leur part,
La SNCF est un système de blanchiment d’argent pour légalisé le détournement de pouvoirs pour dérivé les flux masses monetaire, pour les réinjecter en les sociétés privées qui sont en contrat avec la SNCF (le gouvernement qui a des liens de conflits d’intérêts gigantesque avec le secteur privé corrompus),
au train où tu vas, la physique n’est plus un frein pour toi !
Contente toi de commenter l’actualité, si tu prépare une thèse en physique ou autres, tu n’es pas vraiment au bon endroit..
Si la sncf est là où elle en est rappelons toujours que c’est une démarche organisée. une fois de plus ceux qui représentent l’état ont saboté un trésor national. Merci l’europe, la libéralisation …
– Trop con pour comprendre que tuer la poule aux œufs d’or n’a jamais enrichi quiconque !
Comme toutes les sociétés nationalisées avant elle, la SNCF sera tué par ses syndicats et les idiots qui les suivent aveuglément.
Ces gens là ne soucient que de leurs intérêts personnels immédiats et surement pas du collectif sociétal à long terme qui les fait vivre.
– Et cela tombe bien puisque le pouvoir à décidé de vendre « aux copains du privé » la Société Nationale des Chemin de Fer.
Dés lors, il faut qu’elle soit moribond pour que ces gens là puissent l’acheter à vil prix, …comme déjà, tout le reste avant.
– Syndicats, gouvernements, fausse opposition….mais vraie trahison main dans la main !
…Et cela dure depuis 50ans !
Rien n’arrive par hasard…
SNCF : Société Nationale des Citoyens Fainéants ! Et j’en sais quelque chose mon père y travaillait !!!