Un Charles Sannat atypique, qui nous raconte une fiction qui me paraît bigrement actuelle dans son évolution…J’ai bien aimé !
Charles SANNAT pour Le Grenier de l’éco
Cette semaine, mes chers Grenésiens, je voulais partager avec vous, une petite histoire que j’avais envie d’écrire. C’est une modeste nouvelle. Elle s’appelle « Surnuméraire ».
Surnuméraire. Qui est en surnombre.
Se disait également (jusqu’en 1948) des employés de grade inférieur ou non titularisés.
J’aime ce mot. Enfin aimer est un bien grand mot. Disons que dans ce mot, on ressent toute la puissance destructrice dont l’homme est capable.
On ressent tout le potentiel génocidaire de l’idée. C’est un mot qui déshumanise.
Un mot qui décrit parfaitement nos maux et nos vicissitudes.
Je voulais, en cette période si particulière, si dangereuse, si violente, partager avec vous, cette réflexion philosophique sur la place de la déshumanisation dans les massacres.
Une réflexion aussi sur la nécessité de la paix et de la compréhension qu’il n’y a jamais de grandes choses fondées sur des massacres.
Ici, encore une fois, aucune vérité absolue, mais des pistes de réflexions pour prendre de la hauteur et anticiper ce qui pourrait arriver pour vous protéger, vous, et ceux que vous aimez, ceux qui sont importants à vos yeux.
Prenez bien soin de vous.
Amicalement.
A bientôt.
Charles.
…Et encore, ça c’est la version optimiste.
l’I.A une conne, oui bien sûr…
Sinon pour la réserve de pièces détachées une grande porcherie fera l’affaire.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Xénogreffe
Et pour le reste des pièces non-compatible, les cellules souches devraient bientôt faire l’affaire (…avec peut-être l’immortalité en prime).
https://fr.wikipedia.org/wiki/Cellule_souche
Bien sûr, ceci n’est AUSSI qu’une fiction…